Post de Pierre Bonis

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Directeur général chez Afnic

Une petite recension du debat de fin de journée ici à Sao Paulo concernant le rôle des grandes agences et institutions dans la gouvernance de l’internet. Désolé j’ai pas le temps de faire un glossaire des acronymes 😁Deux questions posées à unesco, itu, igf, cstd, le tech envoy du sg de l’onu, la commission européenne. L’unesco est assez à l’aise sur l’integration d’acteurs non gouvernementaux dans ses reflexions. Mais il leur manque les grands acteurs majeurs du numerique, qu’ils ont du mal à faire venir. Le tech envoy, Amandeep Singh Gill : le flobal digital compact est « multiacteurs dès la conception ». Il est aligné avec le fgi et devrait s’articuler avec les processus existant. Il faut faire la promotion du modèle multiacteurs à new york. Un peu langue de bois peut être Chengetai masango de l’igf : il est a la maison, mais insiste beaucoup sur le rôle de facilitateur ( une manière polie de dire coordinateur) de la collaboration entre les differentes organisations participant à la gouvernance de l’internet. Pour lui, c’est le fgi qui inspire les autres en matière d’approche multiacteurs. Pour l’uit : ils se postionnent a la fois comme plateforme de soutien au fgi, mais indiquent egalement qu’ils ont une appeoche très ouverte aux acteurs non gouvernementaux, notamment sur l’IA. Ils insistent sur leur rôle de coordination dans le cadre de la mise en oeuvre du smsi. Il evoque l’evolution de l’uit sous la pression des acteurs de la communauté internet depuis 20 ans. Cstd : insiste sur le rôle d’evaluation de la mise en oeuvre du smsi. Et se postionne comme une institution multilaterale ( ce sui est plus honnête sue d’autres intervenants avant elle). Mais ils preparent la cstd 2.0

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