Post de Plateau Urbain

🤝 Nouveau partenaire : Fif’Tattoo Society 👉Pouvez-vous vous présenter ainsi que votre structure en quelques mots ? ”L’association de Vesaignes-sous-Lafauche FIF’TATTOO Society a pour but la promotion du tatouage et des arts connexes par tous vecteurs jugés opportuns par elle : expositions, conventions, happening, concerts, débats, conférences, presse, édition. Lors de sa première action pour la promotion du « 10eme Art », la jeune association investira les 14 et 15 juin 2025 rien de moins que le Château du Grand Jardin de Joinville. A pratique d’exception : lieu d’exception ! Pas moins de 30 artistes tatoueurs, dans des styles divers et variés, venus des 4 coins du Grand Est, mais aussi de la Haute-Marne, proposeront au public leur virtuosité. Au programme de la photo, des spectacles et concerts, des animations diverses, des exposants créateurs, des “puces culturelles” et des food trucks ! La volonté de l’association en plus de la mise à l’honneur du tatouage, est également la mise en lumière du patrimoine local haut-marnais, par la proposition de la découverte d’un lieu exceptionnel à un public qui n’en aurait jamais franchi les grilles en temps normal. Et à l’inverse proposer aux afficionados du Grand Jardin des activités atypiques en tel lieu. D’autres projets viendront probablement, mais comme dans les livres de châteaux, de chevaliers et de princesses, ceci est une autre histoire…” 👉Pourquoi avez-vous choisi d'être partenaire à l'Agence d'attractivité de la Haute-Marne ? "Tout simplement pour nous agréger à une dynamique qui colle à nos objectifs et à nos aspirations pour le département." 👉Qu'est-ce qui fait, selon vous, l'attractivité d'un département ? "A notre avis la conjonction de plusieurs facteurs rendent la Haute- Marne attractive : La situation géographique, la qualité de vie, les grands espaces, le patrimoine et enfin le coté page vierge sur laquelle les esprits entreprenant pourraient écrire une histoire." 👉Pour vous, quel est l'avantage de venir travailler en Haute-Marne ? "L’avenir nous le dira."

L'innovation postmoderne de la cérémonie et de certains sites de pratiques (Versailles, l'obélisque de la concorde,...) des J. O. 2024 se situe dans la place accordée à l'environnement urbain et naturel de la ville de Paris. Pour la première fois, la cérémonie n'a pas eu lieu dans un espace fermé et exogène à la ville, au sein d'un stade aseptisé, mais en lien et en correspondance avec les dimensions architecturales, esthétiques, patrimoniales et naturbaines de la ville. Sur le fleuve, dans les airs, sur les toits, le jour et la nuit, avec les Bateaux Mouches, dans les catacombes ou encore à l'intérieur de Notre-Dame, une reliance est présente dans cette intention de composer avec les aménités territoriales et les lieux de vie parisiens. Jusqu'à la pluie qui s'est invitée dans cette cérémonie, amplifiant sa présence dans la fabrique de ce moment festif. Sans doute, faut-il ajouter toutes les animations récréatives (sport, musique, art, danse, concert, expositions, fêtes...) qui alimentent la forte présence de cette forme culturelle postmoderne tout au long de ces jeux olympiques. Reste à savoir si les modes d'existence en seront profondément modifiés dans les temps à venir, lorsque Paris retrouvera les chemins du quotidien ordinaire. L'habitabilité territoriale en sera-t-elle transformée pour participer à la transition des cités urbaines ? Un beau challenge en perspective...

BRAVO les enfants ! Un bel exemple à suivre

La préparation de l' exposition "Symbiose(s)" sous les auspices de la mairie de Bordeaux a été conduite à travers diverses étapes, chronophages certes, mais combien valorisantes, une fois le dossier validé par les responsables municipaux sous le contrôle de @dimitri boutleux 1-Le thème, développé dans une lettre de motivation rédigée par nous, artistes @helene david-dubrana, @joelle-pebereau-lalubin et @clairepoirson 2- Le formulaire de demande de mise à disposition d'un espace culturel municipal avec une description du projet, document déposé en février 2024 pour l'évènement souhaité en 2025 3-Les demandes spécifiques dues aux contraintes de logistique liéesau site 4- La communication et son cahier des charges intégrant la réalisation de flyers et affiches

"À Nantes, tout est possible" 📍 On parle de Nantes dans le dossier spécial "Bretons de Nantes" de Ouest France & "Bretons". Au travers d'entretiens, de reportages, de portraits, nous vous partageons au fil des jours le dossier spécial proposé par Ouest-France 🧐 💬 "L’art rend une ville vivante et joyeuse !" La culture est un axe majeur dans la vie de la ville : témoignage de Sophie Lévy, Directrice du Musée d’Arts de Nantes, également membre du réseau du Bureau des Congrès de Nantes et Saint-Nazaire. 💬 "Nantes ne sait pas vraiment qui elle est. Comme moi. Si elle est de la mer ou de la campagne, si elle est en Bretagne ou pas… Mais ça lui a toujours bien réussi, car c’est une ville très prompte à l’engouement. Elle a envie de tout ce qui est nouveau. [...] À Nantes, il y a une malléabilité, une fluidité, à l’image du fleuve. Tout y est possible. On peut donc inventer des nouvelles choses". Pour en découvrir plus, cliquez ci-dessous 👇👀 ___ La Cité des Ducs regorge de lieux atypiques et prestataires engagés 💪 C'est une ville dans laquelle s'entremêlent facilement tourisme d'affaires et tourisme d'agrément. Venez organiser votre prochain #événement sur le territoire (et pourquoi pas au Musée d'Arts ?). Si vous êtes plus inspirés par la mer, #SaintNazaire et #Pornichet vous accueilleront avec plaisir. ___ 👀 Vous voulez gagner du temps dans votre recherche de lieu, activité, traiteur, etc. pour votre événement pro ? Contactez-nous ! 📧 bureaudescongres@nantes-saintnazaire.fr 📞 02 40 35 55 45 #eventprofs #meetingprofs #event

" Le Musée d'Orsay, c’est un #musée #républicain, un #biencommun de la nation qu’il faut restituer à l’ensemble de la #nation. Cela veut dire être capable d’accueillir tout le monde, indépendamment de son bagage, faire comprendre que le XIXe siècle, c’est la matrice du monde #contemporain, qu’il s’agisse de la #conditiondesfemmes, du rapport entre les #villes et les #campagnes, des #découvertesscientifiques, du #cinéma, de la #photo… Il faut montrer l’histoire de l’art, mais aussi l’#histoiresociale, l’#histoiredesidées. Les deux visions étaient visibles au début de l’ouverture d’Orsay. Mais, avec le temps, l’histoire de l’art a pris toute la place. Il faut retrouver le point d’équilibre, redonner les clés des images. Cette année, on va ouvrir une salle consacrée à l’#affaireDreyfus, l’événement politique majeur de la période que couvre Orsay. On imagine aussi de nouveaux formats, comme le procès fictif d’une œuvre, avec des avocats et des historiens d’art. On commencera à l’automne avec Le Déjeuner sur l’herbe, de Manet, et, si ça fonctionne, il y en aura d’autres."

Comment transformer des couloirs morbides en lieux de passage branchés. Merci pour les personnels de Necker cela va leur changer la vie.

Une nouvelle façon de découvrir la cité médiévale de Pérouges. Les jeudis à partir de 17h30 et les samedis à partir de 16h30 (du 27 juin au 19 septembre) des artistes de la région se produisent dans les rues de la cité médiévale. Musiques, cirque, contes, théâtre… Le principe est de favoriser les interactions entre les artistes et le public. Pour compléter les Flâneries, pourquoi ne pas rejoindre la cité médiévale à pied depuis Meximieux (parking de la gare, place Lieutenant Giraud ou même parking du cimetière) en traversant la coulée verte de l’étang des Aubépins ? 

depuis que le musée est fermé 🚧 , beaucoup de gens dans mon entourage me demandent d'un air peiné, ou parfois inquiet, inquisiteur, envieux : mais depuis que le musée est fermé, que faites-vous ? vous ne vous ennuyez pas trop ? La réponse est évidemment NON ! car imaginez-vous qu'un musée fermé fait plus ou moins les mêmes choses qu'un musée ouvert. Certes, nous n'accueillons plus de visiteurs dans nos murs et nos agents d'accueils exercent temporairement leur missions dans les autres musées de la Ville, mais le reste de l'équipe poursuit ses missions, parfois dans un contexte plus difficile. Nous continuons à produire des expositions, notamment l'exposition temporaires de réouverture, mais aussi les contenu de toutes les expositions permanentes qui évoluent. Et comme l'exposition temporaire de réouverture sera plus grande et plus ambitieuses que celles que nous faisions avant, elle nécessite des procédures d'achat plus complexes, un travail plus en réseau. Nous continuons à animer des activités d'éducation artistique et culturelle et scientifiques pour nos différents publics : scolaires, familles, etc, car si vous ne venez pas au musée, alors le musée vient à vous. Et comme la politique culturelle durable et partagée de la Ville de Lille nous invite à nous tourner vers des publics qui ne venaient pas nous voir, nous travaillons avec de nouveaux partenaires pour comprendre les besoins et les enjeux de ces publics pour les accueillir comme il faut à la réouverture. Le bâtiment doit être partiellement vidé pour accueillir des travaux. C'est plus de 15 000 objets de collections, 1200 cartons de documentation et d'archives, 800 lots de meubles et une cinquantaine de vivariums et leurs habitants à 6 ou 8 pattes à traiter. Les mobiliers non conservés sont proposés à d'autres structures de la collectivité et éventuellement mis en vente s'il ne trouve pas preneur. L'économie circulaire est au cœur de nos préoccupations. Les vivariums sont au zoo de Lille et notre soigneur entomologiste leur rend visite quotidiennement pour s'occuper d'eux. Les collections font l'objet d'un colossal chantier de déménagement qui va durer plus de 4 mois. Les cartons rejoignent petit à petit nos futurs locaux temporaires. Les rénovations d'expositions permanentes ont commencé. L'équipe technique du musée démonte elle même les anciens insectariums pour transformer les espaces ou rénover des vitrines anciennes. plus généralement nous travaillons déjà à ce que sera le musée à sa réouverture : quels parcours, quelle médiation, quels horaires, quelle communication... et je n'ai pas tout dit ! Suivez les posts de Musée d'histoire naturelle de Lille pour suivre toute notre activité foisonnante ! Céline Coisne - Brillet Veronique Esquieu Margaux Oliveau Aurélie BISIAUX Morgane Vandewalle

Un centre d'art sur cinq est rural. Ce n'est vraiment pas beaucoup mais la très grande majorité des artistes vient des villes ou a été formée en milieu urbain. - Mais c'est bien la limite de cette fameuse " ruralité" décidée comme thème prioritaire ,cette année, par la ministre de la culture. Limite car: - les publics de l'art contemporain sont majoritairement dans les villes; - les collectionneurs aussi - et les galeries d'art , quasiment toutes urbaines, ne vendraient pas en milieu rural, moins peuplé. - Quelle raison politique l'État a-t-il pour choisir ce thème de la ruralité? - Pour rattrapper le naufrage exprimé par les manifestations récentes des agriculteurs? Pour ne pas poursuivre le rééquilibrage entre les villes et des banlieues délaissées? - Pour rattraper le fameux "139 euros par an pour un francilien, contre 15 euros en moyenne pour les autres citoyens" que donne le ministère de la Culture? ( 2018- F.Nyssen, ministre de la Culture, Discours de La Villette). On en reparle si le ministère de la culture quitte Paris pour s'installer à Bourges ou Pontivy? Je ne sais. Perso, je préfère le choix du social, pour la Culture, comme ce DEAI ( Diversité, Équité, Accessibilité et Inclusion) adopté par l'AAM ( Alliance des musées aux USA). Et vous, mes amis, vous en pensez?