Post de Prix de l'Économie Néo Aquitains

🔥 RECORD ALERT : La Défense adopte Black and White Burger ! 🍔 +150 000 € de CA (sans delivery) en seulement 2 semaines d’ouverture. Quand Black and White Burger débarque, les compteurs explosent ! C’est à La Défense, l’un des quartiers les plus iconiques d’Europe, que nous avons terminé l’année 2024 en apothéose. Ce succès est également le reflet du travail exceptionnel de Reda, notre multifranchisé à la tête de ce restaurant. Déjà propriétaire de l’établissement d’Ermont, Reda incarne parfaitement l’esprit Black and White Burger : motivation, professionnalisme et une vision résolument tournée vers l’excellence. Un immense merci à lui et à ses équipes pour leur implication sans faille. 💪 Pourquoi ça marche ? 👉 Un concept premium qui casse les codes du burger. 👉Un local premium sur mesure, avec un flux de 44M par an. 👉 Une expérience qui fait vibrer les amateurs de fast casual. 👉 Une équipe ultra motivée qui porte nos valeurs. Merci à nos clients et partenaires qui nous prouvent chaque jour que Black and White Burger, c’est bien plus qu’un burger. La suite ? Une expansion qui ne ralentit pas : Montpellier Odysseum, Marseille TDP, Angers, Thionville… et bien d’autres surprises ! 🚀 Prêts à rejoindre l’aventure ?

Foodles se déploie partout en France et notamment dans le Grand Ouest. Avec le récent rachat de notre traiteur Le Val d'Evre, basé à Ancenis, nous devenons l'acteur local de référence pour votre restauration d'entreprise. Je vous explique tout dans cette courte vidéo ! Et si on discutait de vos projets autour d'un déjeuner découverte ?

La récente opposition de la mairie de Nantes à l’installation d’un restaurant KFC en plein cœur de la ville a fait couler beaucoup d’encre. Cette décision, qui intervient alors que le géant américain de la restauration rapide semblait sur le point d’ouvrir un nouvel établissement place du Commerce, soulève de nombreuses questions sur la place du fast food dans nos centres-villes et sur les relations entre collectivités et grandes enseignes. La mairie dénonce un manque de transparence Pour Gildas Salaün, adjoint au maire délégué aux commerces, l’arrivée de ce KFC s’est faite dans l’opacité la plus totale. Il pointe du doigt “une volonté manifeste de dissimulation” de la part de la chaîne de restauration rapide, qui aurait cherché à cacher son projet à la municipalité. “Si le porteur nous avait sollicités, je pense que nous aurions signifié que l’offre en la matière est déjà conséquente, et conseillé de trouver un autre secteur.” – Gildas Salaün, adjoint au maire de Nantes délégué aux commerces En effet, le centre-ville de Nantes regorge déjà d’enseignes de restauration rapide, avec notamment un McDonald’s et un Popeyes à proximité immédiate du futur KFC. Pour la mairie, il n’est pas question de laisser les fast foods envahir l’hypercentre sans concertation préalable. Un droit de regard limité pour les communes Pourtant, en dépit de son opposition de principe, la mairie de Nantes dispose de peu de leviers pour empêcher l’installation de ce KFC. Comme le rappelle Gildas Salaün, si un projet commercial ne semble pas cohérent avec le territoire, la ville peut théoriquement faire valoir son droit de préemption. Mais dans les faits, ce dernier est rarement utilisé pour barrer la route à une enseigne spécifique. Les relations entre commerces et collectivités sont souvent complexes, particulièrement lorsqu’il s’agit de grandes chaînes internationales. Les municipalités cherchent à préserver l’équilibre et la diversité de leur tissu commercial, mais ont parfois du mal à peser face aux stratégies d’implantation des géants de la consommation. La place du fast food en question Au-delà du cas nantais, cette polémique illustre le débat récurrent sur la place de la restauration rapide dans nos villes. Si leur succès commercial ne se dément pas, les fast foods sont régulièrement pointés du doigt pour leur impact sur la santé et l’environnement. Certaines municipalités tentent de limiter leur prolifération, à l’image de la mairie de Paris qui a interdit l’ouverture de nouvelles enseignes de restauration rapide dans certains quartiers. D’autres au contraire y voient une opportunité économique et un moyen de dynamiser des zones en perte de vitesse. Un sujet qui divise l’opinion Sur les réseaux sociaux, l’annonce de l’opposition de la mairie nantaise à ce KFC a suscité des réactions contrastées. Si certains saluent la volonté de la municipalité de préserver la diversité commerciale du centre-ville, d’autres y voient une forme de mépris élitiste...

Ce vendredi 18 octobre à 21h10 sur M6, un nouvel épisode de Cauchemar en cuisine ! Cette semaine, on vous invite dans les coulisses de "Chez Le Père Alex" à Thoissey, un restaurant en grande difficulté, où le chef Philippe Etchebest a fait face à l'un de ses plus grands défis…Après 28 années en tant qu'employé dans la restauration, Alexis a repris l’établissement il y a un an. Mais la situation s'est vite dégradée, avec des clients qui ont déserté le restaurant, des dettes qui s’accumulent et même des huissiers à la porte. Face à une situation catastrophique marquée par de graves lacunes en cuisine et un service raté, l’intervention du chef Philippe Etchebest, Nicolas de Rivalis & de Guillaume Richelet, conseiller Rivalis, s'est révélée déterminante pour aider Alexis. Guillaume réalise un travail méticuleux depuis le tournage pour remettre le restaurant sur les rails avec des solutions concrètes et adaptées : 🍽 Repenser la carte : grâce à une analyse approfondie de chaque plat, Guillaume a aidé à supprimer les produits à faible marge tout en introduisant des options plus rentables, sans dénaturer l’esprit du restaurant. 💡 Optimiser la gestion : en simplifiant les processus et en mettant en place un suivi rigoureux de la rentabilité, il a permis à Alexis et son équipe de gagner en efficacité, rendant ainsi leur travail plus fluide et productif. 📊 Suivi des finances et gestion des dettes : Guillaume a également accompagné Alexis dans la gestion des dettes et la mise en place d'un suivi financier strict, permettant de retrouver une stabilité durable pour l’établissement. On vous donne rendez-vous demain soir, à 21h10 sur M6 !

Pas de férié pour la Foodservice de STEF Narbonne . . . 📣 "Foodservice" c'est la nouvelle appellation de notre activité Restauration hors domicile. Un changement qui marque l'accélération du Groupe à l'échelle européenne. 🤝 Quelle est notre expertise ? Chez STEF nous facilitons le quotidien de chacun de nos clients, de la prise de commande à la livraison en restaurant, en leur apportant une solution adaptée à chaque enseigne de restauration (en France et en Europe). Une façon de répondre de manière agile à leurs attentes et besoins spécifiques. 🎯 Notre objectif à travers ce changement de nom : devenir la référence européenne des solutions supply chain clés en main pour les métiers de la restauration commerciale et collective. #foodservice #RHD #business #supplychain BURGER KING® France

🍽 Qui mettra la main sur les restaurants JOUR ? La petite chaîne de bars à salade a été placée en redressement judiciaire en juillet. Plusieurs candidats sont sur la ligne de départ. Comme le dévoile Vincent Lepercq en exclusivité, on trouve la famille Mulliez, le groupe COJEAN ou encore VERONA PARTNERS. Pour découvrir la liste des candidats et les différentes offres, découvrez notre article complet ⤵ #conso #restauration #investissement

Ils abandonnent le poker pour se lancer dans la restauration avec un food truck et sans aucune expérience. 12 ans plus tard, leur groupe réalise 15M€ de CA pour 9 points de vente et ils se lancent à la conquête de la France. C’est en 2012 que Tristan Clemençon et Edouard K. se rencontrent lors d'un tournoi de poker à Deauville. Edouard est directeur marketing chez Eurosport Poker et Tristan est l'une des stars montantes de Winamax. Ce qui aurait pu rester une simple rencontre autour d'une table de jeu devient le point de départ d'une belle aventure entrepreneuriale. Le déclic arrive lors d'une partie de foot urbain. Edouard parle à Tristan d'un documentaire sur les food trucks aux États-Unis. Une conversation anodine qui plante une graine dans l'esprit de Tristan. Leur idée ? Réinventer le bistrot français version street food. Pas de burger, mais un vrai steak-frites version nomade. Un pari audacieux dans le marché naissant des burgers gourmets en France à l’époque. Le destin leur donne un coup de pouce : deux tournois de poker gagnés suffisent à financer leur premier camion. La Brigade est née. Les défis ne manquent pas. Aucune expérience en restauration. Un marché émergent avec peu d’historique. Des emplacements à trouver sans garantie d'ouverture. Un rythme de vie à réinventer, passant des nuits de poker aux levés à l'aube. Ils recrutent un chef pour apporter l'expertise culinaire, optimisent chaque centimètre de leur camion, et surtout, gardent leur objectif en tête : faire plaisir aux clients. La Brigade grandit avec un second food truck en 2015, puis le premier restaurant à Paris en 2017. Tristan et Edouard développent progressivement un vrai concept : le premier bistro sur mesure revisité à la mode street food avec une consommation sur place, à emporter ou à livrer. Les restaurants colorés avec une ambiance décontractée et des prix accessibles font le bonheur des familles, groupes d’amis ou de collègues. Les produits proposés sont frais et respectueux de la planète en privilégiant les ingrédients locaux. Aujourd'hui, La Brigade, c’est :  - une note de 4,6 sur Google avec 10 000+ avis,  - une communauté engagée de 140 000+ abonnés sur les réseaux,  - 9 points de vente à Paris et à Reims,  - 2 millions de repas servis depuis leur création,  - 11,3M€ de CA en 2023, - 35 % de croissance en 2024. Et l’aventure ne fait que commencer, puisque l’entreprise compte se développer en franchise en France pour la suite !

2 évènements bien distincts qui mettent autant la cuisine au service du produit. Ces producteurs passionnés ouvrent les portes de chez eux. 🫶 ▪️ Découvrez ici ces 2 rdvs à ne pas manquer de ce début juin ↘️ #gastronomiefrançaise #cheffefrançaise #bretagne

🚨Communiqué de presse🚨 Les restaurateurs disent non à la domination de la grande distribution sur le titre-restaurant. ❌ L'UMIH appelle à la fin de la dérogation permettant l'utilisation des titres-restaurant pour tous les produits alimentaires, un dispositif qui fragilise le secteur de la #restauration. Alors qu'à peine 40% des titres-restaurant sont aujourd'hui dépensés dans les restaurants, les restaurateurs subissent une perte de 576 millions d'euros en un an au profit des grandes surfaces. L'UMIH réclame la fin de cette dérive avant la date butoir du 31 décembre 2024. Pour Franck Chaumes, il est crucial de préserver l'objectif initial du titre-restaurant pour soutenir les restaurateurs et l'économie locale. #umih #restaurateur #titrerestaurant #grandedistribution #alimentation #economielocale

Et si le ticket restaurant allait tuer la restauration? - Les commissions qui dépassent les 5% pour les non syndiqués. Sauf que pour certains de nos confrères, ces 5 à 6% de commissions représentent leur rentabilité. Sans parler: - Gestion interne chronophage et épuisante (découpage, tamponnage, tri, comptage, vérification avant et après envoie des titres….) - Tickets allant de 3,50€ à 15€, avec des 5,73€, 8,56€, des 9,23€, 11,25…, j’en passe et des meilleurs. - Thésaurisation des titres sur plusieurs jours voir mois (défauts de trésorerie) - Durées des règlements (remboursement 1 mois après l’envoi) - Frais d’envois à notre charge - Recrudescences des FAUX TITRES. - Retour client, pas content quand on accepte pas leur carnet entier Source de conflit quand on n’accepte pas les tickets pour boire un café le matin… - Avec les tickets restaurants, je dis bien RESTAURANT, on peut aller faire ses courses en grande distribution ( il serait intéressant de savoir si les commissions sont aussi importantes pour eux) -Les tickets restaurants sont également dépensés en boulangerie et boucherie charcuterie pour le snacking. Papa m’avait toujours dit que le ticket restaurant avait été créé pour les salariés ne disposant pas de cantine ou réfectoire et permettait donc aux salariés d’être attablés avec un plat chaud dans un RESTAURANT. - ET ENFIN LE POMPON : Avec les centaines de millions d’euros collectés grâce à ces commissions digne d’un CARTEL, ces grands groupes investissent dans des restaurants collectifs entreprises qui vont faire concurrence aux petits restaurateurs du coin. C’est peut-être pour cela que ces grands groupes sont entrés en Bourse et introduit au CAC40. Ah oui, au fait, les commissions sur les cartes dématérialisées sont les même que le papier, pourquoi se priver…. UMIH UMIH Loire-Atlantique Franck Chaumes Hélène CLAUTOUR