Post de Progressio

Indochine, Un Trésor de Diversité à Explorer Un mot aux sonorités exotiques qui évoque mystère, spiritualité et une richesse culturelle fascinante. Cette région d’Asie du Sud-Est, véritablement paradisiaque pour les voyageurs en quête d’aventures, regroupe trois destinations phares : le Vietnam, le Cambodge et le Laos. Un tryptique terre-ciel-eau où chaque pays révèle des facettes insoupçonnées, comblant les globe-trotteurs avides d’émerveillement. https://lnkd.in/eiScK-wv

🚨 𝐋𝐞𝐬 𝐈𝐥𝐞𝐬 𝐌𝐚𝐫𝐪𝐮𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐛𝐢𝐞𝐧𝐭𝐨̂𝐭 𝐜𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐏𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐔𝐧𝐞𝐬𝐜𝐨 🚨 📌 L'une des 5 archipels de la Polynésie française 🇫🇷 va être consacrée par l'𝐔𝐧𝐞𝐬𝐜𝐨 🌎, ce qui sera une 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 💪 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬. Ce classement concernerait une vaste superficie, englobant des zones maritimes et terrestres réparties sur plusieurs îles de l'archipel et couvrirait à la fois les 𝐚𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐬 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐢̂𝐥𝐞𝐬. 👏👏👏 📌 « Ce qui est le plus important à protéger, ce sont nos 𝐬𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞́𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 », estime pour sa part le maire de Nuku Hiva, Benoît Kautai. « On a aussi une 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝'𝐨𝐢𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 comme le upe de Nuku Hiva, le pihiti de Ua Huka ou le monarque de Fatu Hiva qui ne vivent plus que sur ces îles. » Les Marquises disposent d'un 𝐟𝐨𝐫𝐭 𝐭𝐚𝐮𝐱 𝐝'𝐞𝐧𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐬𝐦𝐞 que 𝐥𝐞 𝐜𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐞𝐬𝐜𝐨 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫. 👉 𝐔𝐧𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐫𝐞́𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐣𝐨𝐲𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐮𝐥𝐭𝐫𝐚𝐦𝐚𝐫𝐢𝐧𝐞 🇫🇷 ! #polynésie #marquises #hemispheresud #tahiti #unesco #patrimoine #humanité #beauté #endemique #pacifique #iles

Le mot θάλασσα (thálassa) pour nommer la mer est une pure invention du grec. Il n'y avait probablement aucun mot en indo-européen, ancêtre du grec et des autres langues indo-européennes parmi lesquelles le français, pour désigner la mer. Vraisemblablement parce que le besoin n'existait pas : pourquoi et comment parler de ce qu'on ne connaît pas ? Cela conforte la thèse que les premiers peuples indo-européens, dont nous ne savons toujours rien, venaient certainement de régions montagneuses très éloignées des côtes, peut-être les steppes de la Haute-Asie, vers l'actuelle Mongolie. Des linguistes ont pourtant reconstitué la racine de l'indo-européen comme *mori, que l'on reconnaît facilement en français mais aussi en allemand (Meer) et même en russe et dans d'autres langues slaves avec море (moré). Sauf que différents mots désignent différentes réalités. Le latin mare, et ses dérivés dans les langues romanes modernes, désigne une étendue d'eau non délimitée, par opposition au lac. À l'inverse, les Allemands, sans doute moins portés sur les subtilités du grand large, ont le même mot See pour le lac et la mer (en plus de Meer). C'est une confusion qui peut être rapprochée de river en anglais et fiume en italien, mots uniques qui renvoient au fleuve comme à la rivière. La dénomination de l'eau est décidément bien fuyante. Ce qui laisse penser que l'appellation de la mer est née avec la dispersion de peuples qui n'avaient jamais été à son contact, c'est que les langues indo-européennes n'ont pas de racine commune pour la mer : det en albanais, hav en danois, fairge en gaélique écossais, jūra en letton, θάλασσα en grec... Lorsqu'une partie du peuple indo-européen, devenue peuple grec, rencontre la Méditerranée, elle fut donc obligée de lui trouver des noms nouveaux, différents — de la même manière que leur civilisation était devenue nouvelle et différente au contact de la mer. Il y a donc eu une époque où le grec, sans mot pour la mer, a choisi θάλασσα, d'après ἅλς (háls), le sel. Le grec ancien semble être la seule langue indo-européenne à faire référence au goût de la mer pour en parler. Il existait dans l'Antiquité grecque d'autres mots, tous aussi différents que fascinants, pour nommer la mer : πόντος (póntos), le passage, le chemin, ce qui a donné pons en latin puis pont en français, ou πέλαγος (pélagos) à l'origine de l'archipel. Ces mots n'étaient pas interchangeables pour autant. Ainsi, θάλασσα s’emploie plutôt pour la mer Méditerranée, tandis que πέλαγος qualifie la mer Adriatique, la mer Égée ou encore la mer Ionienne. Dès lors, le grec ancien s'est trouvé devant une double nécessité linguistique : trouver un mot pour désigner la mer, trouver des mots pour différencier les mers. — La Mer de glace (Das Eismeer), tableau de Caspar David Friedrich (1824)

Et c'est parti! Sa forme lui valut le surnom de « larme de l’Inde ». Une larme perdue dans l’océan Indien. Aujourd'hui, Sri Lanka a retrouvé son sourire, le Nord-est de tradition tamoule en était l'ultime chagrin. Pacifié depuis 2009, il se révèle enchanteur, complétant la palette cinghalaise à la faune sauvage abondante, aux paysages lumineux et au riche patrimoine. Le temps est maintenant venu de découvrir “l’île resplendissante” sous tous ses aspects, cinghalais et tamouls. Sri Lanka appartient au monde indien par sa morphologie et ses climats, par son peuplement, ses structures sociales et sa culture. Cependant, l'île a acquis une physionomie originale au cours de deux millénaires d'une évolution autonome, durant lesquels le bouddhisme est devenu identitaire, tandis que plus de quatre siècles de colonisation laissaient une empreinte profonde sur l’architecture, l'économie et la société. L’île est maillée de sites archéologiques d'exception dont six font partie de la liste de l’UNESCO. Les mythiques cités royales sont incontournables – “le triangle d’Or” de Kandy, Polonnaruwa et Anuradhapura, le Rocher de Sigiriya ou encore les grottes de Dambulla - mais d’autres sites plus confidentiels nous séduiront : Mulkirigala, Buduruwagala, Dambegoda, Maligawila et Kataragama. Les autres noms de Sri Lanka sont “l’île aux parfums”, “la perle de l’Orient”, “l’émeraude”... et pourquoi pas tous ? www.clio.fr

Que vous soyez amateur d’histoire, de nature, ou simplement à la recherche d’une nouvelle destination authentique, la Lituanie mérite toute votre attention. Ce pays balte, autrefois l’un des plus grands royaumes d’Europe, abrite aujourd’hui une culture riche, une nature préservée et des habitants au caractère chaleureux. Si la Lituanie ne figure pas encore sur votre liste de voyages, voici cinq raisons qui vous feront sûrement changer d’avis : Patrimoine historique : Explorez des sites historiques fascinants, des châteaux médiévaux aux églises baroques. Beauté naturelle : Découvrez des paysages variés, des forêts denses aux plages de sable fin. Culture vivante : Immergez-vous dans une culture vibrante avec des festivals, des musées et des traditions locales. Gastronomie unique : Savourez des plats traditionnels lituaniens, riches en saveurs et en histoire. Accueil chaleureux : Rencontrez des habitants accueillants et chaleureux, prêts à partager leur amour pour leur pays. La Lituanie vous attend !

Afrique

Parmi les nombreuses merveilles dont regorge l’île de Bali, les rites traditionnels tiennent une place de choix. Recouvrir les arbres et les statues de la péninsule en fait partie. Dans ce nouvel article pour Geo, je vous explique pourquoi.

Découvrez Moanda : Joyau Méconnu de la République Démocratique du Congo Moanda, une localité pittoresque située dans le territoire du même nom de la province du Kongo-Central en République Démocratique du Congo, est une destination à ne pas manquer pour les voyageurs en quête d'aventure, d'histoire et de détente. S'étendant sur une superficie évaluée à 4 265 km², Moanda est la seule agglomération maritime du pays, offrant ainsi un accès privilégié à l'océan Atlantique. Son littoral de 38 kilomètres est un véritable paradis pour les amateurs de paysages marins, avec des couchers de soleil inoubliables sur la ligne d’horizon. L'histoire riche de Moanda remonte au début du 19ème siècle, lorsque le port était un actif marché d'esclaves. Aujourd'hui, les vestiges de cette époque, tels que les maisons en ruines, les bracelets de chevilles et les petits canons rouillés, témoignent du passé colonial de la région. Le cœur de la localité, appelé la « cité », est un mélange pittoresque de maisons rectangulaires entourées de haies vives et de palmiers. Les visiteurs peuvent également découvrir le vieux phare et d'autres bâtiments historiques rappelant l'ère où Moanda était une station balnéaire prisée. Outre son patrimoine historique, Moanda offre également une nature préservée. Le Parc marin des Mangroves, véritable joyau naturel, est un lieu incontournable pour les amoureux de la biodiversité marine. Pour les voyageurs souhaitant explorer Moanda, une journée peut suffire pour en apprécier les principaux attraits. Cependant, une planification minutieuse est essentielle. Il est recommandé de dresser une liste d'activités à l'avance et de consulter régulièrement la météo locale pour s'adapter aux conditions climatiques. En termes d'hébergement, il est conseillé de choisir un hôtel situé au centre de Moanda pour faciliter les déplacements. Les transports locaux sont également disponibles, mais se déplacer à pied ou à vélo est souvent le meilleur moyen de découvrir tous les trésors cachés de la ville. En somme, Moanda est une destination captivante qui allie histoire, culture et nature. Que ce soit pour une escapade d'une journée ou un séjour prolongé, cette charmante localité promet une expérience mémorable au cœur de la République Démocratique du Congo. À la suite, KINO CONGO

Savez-vous que les Antesaka n'ont pas toujours habité le sud-est de Madagascar ? Leur implantation initiale ne se trouve effectivement pas à Vangaindrano. Les Antesaka sont originaires des Sakalava, qui eux-mêmes descendent des Masikoro. Selon GRANDIDIER, le terme « Antesaka » signifie « ceux qui ont traversé une rive », avec « saka » qui se réfère a « l'eau. » Au 16e siècle, les Antesaka ont migré du sud-ouest vers le sud-est de Madagascar en traversant les rivières Onilahy et Mangoky. Ce déplacement a marqué une direction permanente vers leur emplacement actuel. Aujourd'hui, la région Atsimo Atsinanana et la région Diana sont étroitement liées, notamment grâce à une ligne de taxibrousse directe qui relie Diego Suarez à Vangaindrano. Cette connexion marque un lien historique et contemporain fort. A Antsiranana, ce sont des acteurs incontournables dans l'arene politique. Photo : The voyages made by the sieur D.B. to the islands Dauphine or Madagascar and Bourbon or Mascarenne in the years, 1669, 70, 71 and 72 (1897)