Post de Rabii E.

🔈 A l’heure où la réindustrialisation s’essouffle mais fait l’objet d’une union politique transpartisane ( 👉 https://lnkd.in/evAszhKU), deux amendements adoptés en commission des Finances du Sénat menacent le lancement du mécanisme de soutien à la production d’#hydrogène par électrolyse (comme rappelé par La Croix👉 lien en commentaire) Ce dispositif est pourtant fait spécifiquement pour la décarbonation et le maintien en France et en Europe des industries de base (acier, engrais, polyamides, chimie méthanol …) – ces industries peu visibles mais essentielles à l’ensemble de l’économie, et notre souveraineté. Union des industries utilisatrices d'énergie - UNIDEN A3M - Alliance des Minerais, Minéraux et Métaux En cela, le lancement dans les temps de ce dispositif est indissociable de notre trajectoire d’#électrification. A 2035, deviendra-t-on un simple exportateur d’une « commodité électrique » pour nos voisins européens, car largement excédentaire du fait d’une trop faible électrification directe et indirecte des usages ? Ou crée-t-on maintenant les conditions pour capitaliser sur notre mix décarboné et transformer une partie de cet atout électrique en valeur ajoutée industrielle et en emplois durables sur notre territoire ? Union Française de l'Electricité (UFE) Syndicat des énergies renouvelables (SER) Alors que des gigafactories d’électrolyseurs ont ouvert leurs portes sur le territoire, le mécanisme de soutien à la production est clé pour sécuriser les premières commandes de ces usines et qu’elles deviennent durablement compétitives.   🍃 La chaîne de valeur hydrogène peut devenir une nouvelle filière industrielle d’excellence française. Le cabinet BDO a démontré qu’à 2035 la filière pourrait contribuer à hauteur de 8% à la réduction du déficit commercial français. Le lancement du mécanisme de soutien à la production par électrolyse, au plus vite et à hauteur des besoins, est pivot pour concrétiser ce potentiel. 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚 𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐫 𝐥𝐞 𝐛𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝐢𝐧𝐢𝐭𝐢𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐮 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐦𝐞́𝐜𝐚𝐧𝐢𝐬𝐦𝐞. ➡️ Pourquoi il est impératif de lancer le mécanisme de soutien à la production d’hydrogène décarboné 👇 : https://lnkd.in/e8_dvu6U Olga Givernet Marc Ferracci Pierre-Elie Belouard Marie CAMBOURNAC Benjamin Carantino Christine Lavarde Jean-Francois Husson Daniel GREMILLET Martine Berthet Nadège HAVET Vincent Delahaye Devinaz Gilbert-Luc Laurent Somon Jean Pierre CORBISEZ Vincent Louault Didier Mandelli Jean-Luc FUGIT Roland Lescure Valérie Pécresse Yannick Jadot Marie-Guite Dufay Laurent Wauquiez #MSP #Industrie #Décarbonation

Ce projet transfrontalier MozaHyc illustre parfaitement l'innovation et la coopération européenne en action, marquant un tournant décisif dans la transition énergétique. C'est un exemple remarquable d'engagement en faveur d'une économie plus verte, valorisant à la fois le savoir-faire technique et la vision stratégique à long terme.

La France déjà en retard dans la course à l’hydrogène DÉCRYPTAGE - Alors que ses voisins appuient sur l’accélérateur, le pays tergiverse, accumulant un retard qui menace la compétitivité de cette filière émergente. Tout avait pourtant bien commencé. Dès septembre 2020, la stratégie hydrogène fléchait 7,2 milliards d’euros de financement publics vers la filière. Un an plus tard, le plan France 2030 ajoutait 1,9 milliard, destiné à la décarbonation de l’industrie, du transport lourd et à la construction d’une filière d’électrolyse, brique indispensable pour produire localement de l’hydrogène bas carbone. Puis… plus grand-chose. Les budgets peinent à être débloqués. La récente vacance de l’exécutif n’est pas la seule explication. La France hésite, les budgets sont débloqués au compte-gouttes, les décrets d’application tardent. 

🌍 Une #Europe compétitive sur l’hydrogène n’est pas qu’une utopie / Importer deviendra moins pertinent au fil des années La construction d’une filière hydrogène en Europe ne se fera pas en un jour et c'est avec le temps que son importance deviendrait notable. L’analyse par France Hydrogène des différents scénarios sur le commerce de cette énergie propre laisse entrevoir une compétitivité de l’Hexagone et du Vieux continent à l’horizon 2050. Une date à laquelle les importations resteraient néanmoins compétitives dans certains cas, la montée en puissance de la production domestique permettant d’envisager le recours à un approvisionnement extérieur non plus comme une obligation mais comme une opportunité de diversification. ➡ https://lnkd.in/ewgVrES6

_ L'Union européenne modifie ses règles de subvention pour l'hydrogène, ciblant les chaînes d'approvisionnement locales et la sécurité des données face aux #importationschinoises moins chères. L’article L’UE révise ses #subventions hydrogène pour réduire ses dépendances est apparu en premier sur energynews.

En visite au Maroc, le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire, a confirmé sa volonté de tisser des relations « très étroites » avec les autorités marocaines dans plusieurs secteurs industriels, dont celui de l’hydrogène vert. Longtemps opposée aux importations d’hydrogène vert, la France assouplie sa politique. En visite de travail à Rabat le 26 avril, le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire, a convenu avec Ryad Mezzour, ministre marocain de l’économie et du commerce, « d’accélérer la cadence des projets communs » dans plusieurs secteurs stratégiques. « Il faut impérativement clarifier un certain nombre de choses pour que nous puissions accélérer la coopération entre la France et le Maroc dans des sujets aussi concrets que l’industrie automobile, l’hydrogène et l’énergie décarbonée de manière générale » a indiqué Bruno Le Maire. « Sur tous ces marchés, il y a de la place pour une collaboration très étroite entre nos deux pays. Je suis ici pour ouvrir la voie à la renaissance des relations économiques entre la France et le Maroc. Nous entrons dans une nouvelle ère géopolitique où il faut redéfinir les partenariats » a-t-il ajouté. https://lnkd.in/e3-shhRi

L'INCERTITUDE POLITIQUE EN FRANCE VA T’ELLE PLOMBER LE DÉVELOPPEMENT DE LA FILIÈRE HYDROGÈNE VERT ? #danielkern Belfort jeudi, après une autre à Bordeaux fin mai: une filière industrielle naissante de l'hydrogène vert prend forme en France malgré des ratés au démarrage et dans un contexte d'incertitude sur les choix énergétiques du pays après la dissolution surprise de l'Assemblée nationale. Avec 9 milliards d'euros d'argent public mis sur la table via les plans France Relance et France 2030, la France affiche l'ambition de devenir un «leader de l'hydrogène décarboné», clé pour permettre la décarbonation de l'industrie des engrais, de la pétrochimie, de la sidérurgie ou des transports lourds. #FRANCE #gouvernement #hydrogen #hydrogène #energy #energie #greenenergy #decarbonisation #developpementdurable #transitionenergetique #investissements #infrastructures #économie #stratégie #strategy #avenir https://lnkd.in/eV2nQgrV

La transition énergétique de l’UE accumule les échecs. Elle met en danger la compétitivité industrielle, [la souveraineté alimentaire] et appauvrit la population par des objectifs de décarbonation totalement irréalistes https://lnkd.in/eWnCDTaA

Alors que la demande mondiale en hydrogène a atteint 97 millions de tonnes en 2023, et que les projets #H2 dépassent les 600 milliards d'euros, la France ralentit face à une nette domination de la Chine et des États-Unis. Pour rattraper ce retard, nous devons avancer sur les réseaux clés, comme #H2Med et #HySoW, pour établir des interconnexions entre les zones les plus compétitives en énergies vertes : Espagne, Scandinavie, Afrique du Nord, etc. Avec 43 projets dans le Sud-Ouest, nous sommes convaincus chez Teréga que la région a le potentiel d'être une zone exportatrice d'hydrogène en 2030 et un hub stratégique pour les nouvelles énergies. Les Echos Pierre-Etienne Franc

👏 "𝑱𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒏'𝒂𝒗𝒐𝒏𝒔 𝒂𝒄𝒄𝒐𝒎𝒑𝒂𝒈𝒏𝒆́ 𝒖𝒏 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒕 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒕𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒂𝒎𝒑𝒍𝒆𝒖𝒓", Baptiste Perrissin Fabert, directeur général délégué de l’ADEME, commente ainsi la visite de Roland Lescure à Dunkerque qui a signé lundi la première convention ZIBaC (zones industrielles bas-carbone). Ce dispositif, par le biais de l’Amdeme vise à financer une série d'études pour parvenir à des solutions pour décarboner la région de Dunkerque, une des zones les plus émettrices de CO2 en Europe. Des études doivent aboutir sur la possibilité de produire de "d'électricité décarbonée pas chère, issue des éoliennes et des réacteurs nucléaires en projet EPR2, les réseaux de récupération de chaleur auprès des grands industriels (ArcelorMittal et Aluminium Dunkerque) ou encore "la capture de carbone". Avec 16 millions de tonnes de CO2 émises par an, Dunkerque représente "5% des émissions de la France. D’autres ZIBaC sont programmées en France, notamment au Havre, à Saint-Nazaire et Fos-sur-Mer, a confié Roland Lescure. « On a signé des contrats de décarbonation avec les 50 sites les plus émetteurs qui représentent 60% des émissions de l’industrie. Dont sept icià Dunkerque. Nos objectifs : obtenir entre 45% et 50% des réductions émissions d'ici à 2030 ». 🔬 Le ministre délégué à l’industrie et de l’énergie a eu cette petite phrase : « 𝑱𝒆 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒂𝒔 𝒍𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍’𝑬́𝒕𝒂𝒕 𝒂 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒂𝒃𝒔𝒆𝒏𝒕 (…) 𝑱𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒉𝒂𝒊𝒕𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆 𝒔𝒆 𝒅𝒆́𝒗𝒆𝒍𝒐𝒑𝒑𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒐𝒖𝒕." Bruno Le Maire,Christophe Béchu, Bpifrance, Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, Renaissance industrielle, Mouvement Impact France,  France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, La French Fab, FEDENE