Rendez-vous ce lundi 25 novembre à 16h pour tout savoir sur notre nouvel accord avec Radioplayer France pour faciliter l'accès aux radios associatives à cette application. Toutes les informations : https://lnkd.in/dVc2rGu7
Post de CNRA Confédération Nationale des Radios Associatives
Plus de posts pertinents
-
Parler et faire parler de la Télévision Numérique Terrestre au travers du lanchement de France 2 et France 3 en TNT 4K Pour les professionnels de la TNT Les gestionnaires d'HLM Et les syndics de copropriété https://lnkd.in/eWjxixm2
Conférence Tour de France du Futur de la TNT 4K, 10 étapes de mars à juin 2024
news.dayfr.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
EAR Insights janvier-mars 2024 Chaque semaine, les Indés Radios couvrent plus de 19 millions de Français dont 1 935 000 exclusivement à leur écoute ! Les dernières données de l’étude comportementale Médiamétrie #EARInsights janvier-mars 2024 complémentaire aux mesures d’audience EAR National et basée sur le protocole de mesure semi-automatique des expositions aux stations (AIP) confortent les Indés Radios dans leur leadership des offres Radio nationales avec une couverture moyenne hebdomadaire et mensuelle respectivement à 19 642 000 et 30 499 000 individus de 13 ans et plus. A ce titre, les Indés Radios touchent chaque semaine plus d’un Français sur trois (35,0%) et chaque mois plus d’un Français sur deux (54,4%) (1). Le contrat d’écoute entre les 128 stations locales, régionales et thématiques fédérées au sein du Groupement Les Indés Radios et leurs auditeurs est particulièrement fort : parmi les 19,6 millions à leur écoute chaque semaine, 1 935 000 n’ont écouté que des stations des Indés Radios. Aussi, parmi ces 1 935 000 auditeurs exclusifs aux Indés Radios, 978 000 sont des femmes de référence au sein de leur foyer et 1 431 000 sont des RDA-Responsables des Achats au sein du Foyer, des profils que les annonceurs pouvaient toucher en radio sur la période uniquement par le prisme des Indés Radios (2). Ces derniers résultats EAR Insights soulignent enfin le leadership des Indés Radios sur le terrain de la mobilité avec la meilleure couverture « hors domicile » des offres radio nationales. Sur une semaine moyenne, les Indés Radios touchent 28,6% des Français de 13 ans et plus en dehors de leur domicile soit plus de 16 millions de personnes et près de deux fois la performance du premier réseau national sur ces indicateur et période (3). #radio #proximité #independance #puissance Jean-Eric VALLI Géraldine Béguin https://lnkd.in/eb9FQzQz
Les Indés Radios: découvrez le mur du son, visualisez et écoutez en live + de 130 radios indépendantes
lesindesradios.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Rodolphe Belmer, PDG de TF1, a récemment officialisé la création de LaFA (La Filière audiovisuelle), une association visant à unir le secteur audiovisuel français pour défendre et promouvoir son « exception culturelle ». Cette initiative regroupe des acteurs majeurs tels que France Télévisions, M6 et TF1, ainsi que des organisations d’artistes (Adami, SACD, Sacem, Scam) et des syndicats de producteurs (AnimFrance, SPI, Uspa). LaFA, sous la présidence de Rodolphe Belmer pour deux ans, vise à accueillir de nouveaux membres, bien que Canal+ et certains autres grands groupes n’en fassent pas partie pour l’instant. L’association répond à un contexte difficile pour l’audiovisuel français, soumis à des bouleversements technologiques et concurrentiels : démocratisation des téléviseurs connectés, globalisation avec l’essor de plateformes comme Netflix ou YouTube, et impact croissant de l’intelligence artificielle. Face à ces « mouvements tectoniques », Rodolphe Belmer appelle à une mobilisation générale pour protéger les fondements du secteur. Delphine Ernotte Cunci, présidente de France Télévisions, souligne la nécessité de « parler d’une seule voix » pour contrer le puissant lobbying des GAFAM à Bruxelles. En 2023, par exemple, Google et Meta ont consacré respectivement jusqu’à 6,5 millions et 10 millions d’euros au lobbying européen. L’enjeu est de taille : obtenir un financement pérenne pour l’audiovisuel public, garantir que l’intelligence artificielle respecte les droits d’auteur, préserver les crédits d’impôt pour l’audiovisuel et le cinéma, et équilibrer la concurrence avec les plateformes numériques. Samuel Kaminka, président d’AnimFrance, considère YouTube comme un « perturbateur de marché » qui ne respecte pas les mêmes règles que les diffuseurs traditionnels en matière de contributions à la création et de responsabilités sociales. Guillaume CHARLES, directeur des programmes de M6, propose deux solutions : réguler davantage les plateformes et alléger certaines restrictions pour les diffuseurs nationaux, notamment en matière de publicité, afin d’aligner les règles entre acteurs nationaux et mondiaux. Rodolphe Belmer rappelle que l’audiovisuel n’est pas une dépense mais un « investissement » pour la France, employant plus de 300 000 personnes, soit davantage que le secteur automobile. Ce domaine représente non seulement une force économique, mais aussi un pilier essentiel de la culture, de la démocratie et de la souveraineté du pays. LaFA marque une rupture avec les divisions historiques au sein du secteur audiovisuel français. Delphine Ernotte insiste sur le fait que le véritable défi réside dans le rapport de force inégal entre les « médias mondiaux » et les « médias nationaux ».
«L’éléphant dans la pièce s’appelle YouTube» : l’audiovisuel français resserre les rangs pour peser face aux Gafa
lefigaro.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Surtout pas de coup d'abonnement pour l'auditeur, un coup de diffusion maitrisé et stable pour le diffuseur. Voila pourquoi même en ayant touché, plus de 8 millions de visiteurs uniques avec une webradio, le service s'est arrêté, car avec en streaming, le cout de diffusion est proportionnel à l'audience. Vous avez un auditeur cela vous coute 1 unité vous en 100 000 cela coute potentiellement 100 000 unité comme une consommation électrique en fait. En radio hertzienne vous avez un auditeur cela vous coute 1 unité vous en avez 100 000 cela vous coute toujours 1 unité La solution hertzienne permet de voir venir et monnayer l'audience, celle du Stream augmente les dépenses, même quand les rentrées n'augmentent pas.
AirZen Radio diffusée en DAB+ à Barcelone
lalettre.pro
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🎤 Retrouvez-moi dans Limoges Infos 87 et découvrez la nouvelle révolution de la radio en Limousin ! 🎧 🚗 📻 Dans cet article, je vous explique ce qu'est le DAB+, une technologie qui transforme notre manière d'écouter la radio ! 📡 Avec une qualité sonore impeccable et plus de stations disponibles, le DAB+ est déjà en place dans notre région et promet de devenir LA référence pour tous les auditeurs. C'est ça, le futur de la radio ! 📣 Vous êtes curieux de comprendre comment cette technologie fonctionne et ce qu’elle peut vous offrir ? 👉 Retrouvez l'article en 1er commentaire pour tout savoir sur cette révolution et sur ce que cela signifie pour Flash FM ! #DABPlus #Radio #Limousin #FlashFM
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📻 Les Radios et l'Audio de la RTBF à l'honneur dans le journal ! 🔥 🇧🇪 A l'occasion du passage du #RadioTour à Bruxelles le 20 juin dernier, le numéro 163 de La Lettre Pro de la Radio / Podcast Magazine (Editions HF) consacre un focus particulier aux activités #audio belges francophones en donnant la parole à quelques professionnels du marché, dont j'ai eu la chance de faire partie. 🤔❓Au micro et sous la plume d'Olivier MALCURAT, j'y évoque pourquoi et comment les radios de la RTBF se transforment pour être plus efficientes et créatrices d'expériences #transmédia, au travers d’une organisation en amélioration continue et, dans une perspective proche, grâce à de nouveaux outils technologiques et de nouveaux studios "Audio First" pour optimiser l’efficacité, l’agilité et la qualité de production de leurs contenus. ⚫️ 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 Les radios de la RTBF (mais aussi l’ensemble de ses médias) poursuivent leur transformation digitale dans le cadre du contrat de gestion 2023-2026, visant à produire plus avec un budget constant et à être plus efficientes, tout en mettant l'accent sur le sens et la performance de leurs actions. 🟡 𝗖𝗿𝗲́𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱'𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 Dans une économie où l’attention est devenue une ressource rare et précieuse, la RTBF ambitionne de créer des expériences transmédia, distinctes et engageantes, en intégrant différents médias et plateformes pour offrir des contenus éditoriaux adaptés à chaque canal et à chaque public, plutôt que de simplement décliner une émission en différents formats. Car si l’offre de contenus audiovisuels est devenue illimitée, la demande n’a jamais été aussi fragmentée. 🔴 𝗔𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗼𝗺𝗻𝗶𝗰𝗮𝗻𝗮𝗹𝗲 Une omnicanalité réfléchie est mise en place pour toucher un public plus large, diversifié et lui-même fragmenté en utilisant de manière stratégique les différentes plateformes (propriétaires et tierces) et réseaux sociaux, tout en assurant une qualité supérieure des contenus. 🔵 𝗔𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗶𝗻𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲 Depuis 2018, la RTBF s'est réorganisée autour de quatre types de publics, en croisant les offres éditoriales entre les différentes marques médias pour optimiser les audiences et encourager la collaboration entre les responsables éditoriaux. 🟢 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝘀𝘁𝘂𝗱𝗶𝗼𝘀 "𝗔𝘂𝗱𝗶𝗼 𝗙𝗶𝗿𝘀𝘁" Dans son futur siège social, #Médiasquare, la RTBF investit dans dix nouveaux studios "Audio First" équipés pour des productions #multimédia et transmédia. Ces studios modulaires et mutualisés visent à améliorer l'efficience, en permettant une production plus intégrée et de meilleure qualité, tout en réduisant les redondances et les coûts. 😏 Curieux d'en savoir plus ? L'article complet est 👇
Le MAG 163 - La RTBF affine une stratégie omnicanale, transmédia et mutualisée
lalettre.pro
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’INFORMATION : LE SIRTI FAIT 4 PROPOSITIONS AUX PARLEMENTAIRES Le SIRTI a répondu aujourd’hui à la consultation organisée par le groupe MIMP en vue de la rédaction du livre blanc à destination du comité de pilotage des États généraux de l’information (EGI). Le SIRTI a réitéré aux députés les 4 propositions présentées au groupe de travail « Avenir des médias d’information et du journalisme » fin janvier. Le SIRTI a rappelé à la fois le rôle majeur des radios dans les territoires mais aussi les évolutions qui entravent les radios indépendantes. Alors que le modèle économique de la radio est mis en danger par l’arrivée de nouveaux acteurs du numérique et le lobbying des télévisions pour mettre fin à la régulation sur les secteurs interdits de publicité télévisée, les radios indépendantes doivent être plus que jamais soutenues et préservées, l’information dans les médias privés de proximité doit être au cœur des travaux des EGI. Le SIRTI avance donc 4 grandes propositions : - La protection du modèle économique des radios indépendantes face à un marché publicitaire sous tension. Elle passe par le maintien de la régulation sur les secteurs interdits de publicité en télévision et l’extension de l’encadrement de la publicité locale aux plateformes numériques. Le SIRTI pointe également l’importance de la limitation de l’accès du service public de l’audiovisuel au financement publicitaire ainsi que l’importance de la réduction des mentions légales en radio, qui discriminent la radio vs les autres médias, particulièrement numériques. - La labellisation des acteurs de l’audiovisuel local privé, elle pourrait permettre la mise en place d’une fiscalité incitative avec un crédit d’impôt sur les investissements publicitaires sur les médias audiovisuels locaux. - Un accès facilité du média radio à la reconnaissance de Service de Presse en Ligne (SPEL) de leurs sites internet. Si le SIRTI a déjà mis en place de nombreuses négociations sur le sujet, notamment autour des droits voisins, il demande d’engager une réforme concernant les critères de qualification SPEL. - Une garantie de compétitivité du média radio comme acteur essentiel de la diffusion de l’information. Pour cela, 2 mesures sont essentielles, d’abord la garantie de l’accessibilité du média radio dans tous les objets connectés. Le SIRTI demande donc le maintien de la réception hertzienne en voiture tout comme la garantie d’accessibilité sur l’ensemble des supports numériques. Il rappelle aussi que des obligations comme les quotas de musique francophone ne s’appliquent pas à tous les acteurs. La législation sur les quotas doit donc être adaptée à l’ère du temps. Pour Christophe Schalk : « Nous vivons une époque à la croisée des chemins où de grandes décisions doivent être prises pour préserver la substance du média radio, un média gratuit, qui ne cesse d’évoluer et qui est aujourd’hui garant du pluralisme de l’information dans les #territoires. »
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’INFORMATION : LE SIRTI FAIT 4 PROPOSITIONS AUX PARLEMENTAIRES Le SIRTI a répondu aujourd’hui à la consultation organisée par le groupe MIMP en vue de la rédaction du livre blanc à destination du comité de pilotage des États généraux de l’information (EGI). Le SIRTI a réitéré aux députés les 4 propositions présentées au groupe de travail « Avenir des médias d’information et du journalisme » fin janvier. Le SIRTI a rappelé à la fois le rôle majeur des radios dans les territoires mais aussi les évolutions qui entravent les radios indépendantes. Alors que le modèle économique de la radio est mis en danger par l’arrivée de nouveaux acteurs du numérique et le lobbying des télévisions pour mettre fin à la régulation sur les secteurs interdits de publicité télévisée, les radios indépendantes doivent être plus que jamais soutenues et préservées, l’information dans les médias privés de proximité doit être au cœur des travaux des EGI. Le SIRTI avance donc 4 grandes propositions : - La protection du modèle économique des radios indépendantes face à un marché publicitaire sous tension. Elle passe par le maintien de la régulation sur les secteurs interdits de publicité en télévision et l’extension de l’encadrement de la publicité locale aux plateformes numériques. Le SIRTI pointe également l’importance de la limitation de l’accès du service public de l’audiovisuel au financement publicitaire ainsi que l’importance de la réduction des mentions légales en radio, qui discriminent la radio vs les autres médias, particulièrement numériques. - La labellisation des acteurs de l’audiovisuel local privé, elle pourrait permettre la mise en place d’une fiscalité incitative avec un crédit d’impôt sur les investissements publicitaires sur les médias audiovisuels locaux. - Un accès facilité du média radio à la reconnaissance de Service de Presse en Ligne (SPEL) de leurs sites internet. Si le SIRTI a déjà mis en place de nombreuses négociations sur le sujet, notamment autour des droits voisins, il demande d’engager une réforme concernant les critères de qualification SPEL. - Une garantie de compétitivité du média radio comme acteur essentiel de la diffusion de l’information. Pour cela, 2 mesures sont essentielles, d’abord la garantie de l’accessibilité du média radio dans tous les objets connectés. Le SIRTI demande donc le maintien de la réception hertzienne en voiture tout comme la garantie d’accessibilité sur l’ensemble des supports numériques. Il rappelle aussi que des obligations comme les quotas de musique francophone ne s’appliquent pas à tous les acteurs. La législation sur les quotas doit donc être adaptée à l’ère du temps. Pour Christophe Schalk : « Nous vivons une époque à la croisée des chemins où de grandes décisions doivent être prises pour préserver la substance du média radio, un média gratuit, qui ne cesse d’évoluer et qui est aujourd’hui garant du pluralisme de l’information dans les #territoires. »
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
LE SIRTI SE FÉLICITE DES CONCLUSIONS DU LIVRE BLANC DE L’ARCOM Le SIRTI se félicite du contenu du livre blanc sur la radio proposé par l’Arcom publié aujourd’hui dans le cadre des #AssisesDeLaRadio. L’analyse faite par le régulateur de l’audiovisuel et ses propositions reprennent en grande partie les demandes des radios indépendantes, notamment autour du soutien au déploiement du #DAB+ et de l’ajustement de la planification locale afin de préserver une offre de proximité pour les auditeurs. Le SIRTI, initiateur de l’association #EnsemblePourLeDAB+ aux côtés de Radio France et des groupes nationaux privés (NRJ GROUP, GROUPE M6, Lagardère, Altice Media) approuve la proposition de faire de cette structure le pilote de la transition et de la gouvernance de la filière. Nous espérons une prise en considération dès la rentrée par les pouvoirs publics des propositions formulées sur les enjeux financiers, en matière d’aide à l’équipement, à la diffusion et à la promotion afin assurer le succès de ce mode de diffusion et conforter le modèle économique de la radio. Il convient également d’aborder des sujets cruciaux pour notre média comme la problématique des mentions légales ou un réexamen des contraintes musicales. Le SIRTI émet enfin une réserve concernant la suggestion d’une évolution des règles relatives à la #concentration dans le secteur. Si des évolutions doivent avoir lieu, elles doivent aller dans le sens du renforcement du plafond anti-concentration qui garantit le pluralisme de notre média, en retranscrivant notamment dans le DAB+ les règles actuelles en FM. Christophe Schalk, Président du SIRTI, commente : « Ce livre-blanc met en avant l’ensemble des constats et des mesures partagées par le secteur et son autorité de régulation. Nous attendons que le Gouvernement et le Parlement puissent se saisir de ces problématiques si essentielles pour le média du quotidien de 70% des Français. » #radio #proximité
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Il y a quelques années plusieurs études interministérielles et étrangères montraient que pour chaque euro d'argent public investi dans la culture, 6 euros de gains pour le reste de la société française étaient générés ! Pensez par exemple à tout l'argent gagné par l'hôtellerie, la restauration et le tourisme lors des festivals d'Avignon ou d'Annecy (17 000 accrédités rien que cette année !), de l'activité commerciale de tous les jours autour des multiplexes et salles de spectacle, etc. Et cela atteignait des sommes 7 fois supérieures à l'industrie de l'automobile ! ("1 culture = 7 voitures" pouvait-on scander dans les manifs du moment pour defendre l'intermittence du spectacle, elle aussi visée, contre toute logique économique et sociologique, par la droite dure). Et bien sûr, est-il nécessaire de souligner que le déploiement d'une offre culturelle n'est pas bonne que pour l'économie mais aussi pour les esprits ? Sans même parler du soft power généré à l'international. Bref, les programmes anti-culturels, classiques et sans surprise, de l'extrême droite, sont non seulement désastreux pour tout un chacun mais pour l'économie entière du pays, et son rayonnement, sans doute parce qu'ils sont baignés dans une "inculture" (surprise !) et une ignorance flagrante de ce dont est fait notre nation (ce qui est un comble pour des nationalistes, mais c'est ce qui arrive quand on se nourrit de fantasme ou de cynisme). "Le service public est le patrimoine de ceux qui n'en ont pas".
Les télévisions et radios publiques ne sont pas seulement des diffuseurs de contenu; elles sont des gardiens de notre culture, de notre société et de notre démocratie. L’audiovisuel public est un pilier de notre démocratie, de notre culture et génère des milliers d'emplois. Fortiche se joint à l'ensemble de la filière animation pour assurer la continuité de ce service pour les générations à venir. Protégeons notre service public !
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
591 abonnés
Président
1 sem.Oui on aimerai bien tout savoir mais comment ?