Ce matin de l'or dans l'espace : 😎 1/2. Création des éléments lourds : de l'or et du platine ! 💥 🎱 Des observations associant détection d’ondes gravitationnelles et signaux électromagnétiques dans toutes les longueurs d’onde, effectuées par la collaboration internationale LIGO-Virgo, ont permis d’assister pour la première fois à la fusion d’étoiles à neutrons. 🌐 🌐 Selon les calculs, au sein de cet éjecta très riche en neutrons, de très nombreuses réactions nucléaires forment des éléments lourds selon un mécanisme de nucléosynthèse à nul autre pareil. ♨ ❄ D’un mot, les kilonovae sont la meilleure façon d’expliquer la synthèse des éléments plus lourds que le fer dans l’Univers. 📀 Source CNRS : onde du 17/08/2017.
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Systèmes dispersifs en spectrométrie gamma De nombreuses méthodes d’analyse élémentaire sont fondées sur l’utilisation de spectres de raies atomiques. On peut citer la spectrométrie d’émission atomique avec comme sources de radiation possibles la flamme, l’arc, l’étincelle, la décharge luminescente et les plasmas (en particulier les plasmas à couplage inductif ou ICP), la spectrométrie d’absorption atomique avec comme sources d’atomisation la flamme et le four, et la spectrométrie de fluorescence atomique. Pour pouvoir utiliser une raie d’un spectre, il est nécessaire de pouvoir l’isoler à l’aide d’un système qui va disperser la lumière en fonction de la longueur d’onde. Si les deux derniers types de spectrométrie permettent de s’affranchir presque totalement des interférences spectrales, il n’en est pas de même pour la spectrométrie d’émission. Il faut alors que la raie sélectionnée pour l’analyse soit séparée des autres raies présentes dans le spectre d’émission. Le rôle du système dispersif devient alors crucial, en particulier au niveau de la versatilité de la sélection de la raie suivant le problème analytique, de la résolution permettant de séparer la raie et du domaine de longueurs d’onde accessible par le système.
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« RSS-NMR SEVSU-Poisk » © Copyright Groupe SEVSU-Poisk La technologie RSS/RMN est une approche innovante pour l'identification et les études à distance et terrestres de gisements d'hydrocarbures, de minéraux, de pierres précieuses (recherchées par substrat rocheux) et de sources d'eau douce récupérables en profondeur. La télédétection des zones et des réservoirs est assurée par RSS ( Resonance Spectral Survey ) utilisant le traitement spectral de résonance d'images spatiales analogiques. Aucune autorisation ou approbation n'est requise car des images provenant d'espaces en libre accès sont utilisées. RMN (Nucléaire Magnétique La Résonance ) ou RMN (Résonance Magnétique Nucléaire), permet d'étudier point par point les dépôts du sol grâce à la méthode de résonance magnétique.
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Dans la perspective d'un stockage d'informations à haute densité et sobre en énergie, des chercheurs de l'Iramis et leurs partenaires sont parvenus à commuter, à l'aide d'un couplage magnétoélectrique, des « bulles magnétiques » ou skyrmions, dans des nanostructures multiferroïques de ferrite de bismuth (BiFeO3). https://lnkd.in/efE_2Vpu
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🔎 #entrehieretaujourdhui Avez-vous entendu parler du nouveau record de durée en matière de fusion réalisé par des chercheurs du Laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du ministère américain de l’énergie (DOE) (source : Le Monde) ? L'équipe Canal-U vous propose d'approfondir le sujet de la #fusionnucléaire avec la vidéo « La fusion nucléaire et les secrets du laser Mégajoule » réalisée en 2016 par l'Université de Bordeaux. 👉 Pour en savoir plus, c'est par ici : https://lnkd.in/eRM6EY-P #CanalU #lasermegajoule #nucléaire
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Le Journal du CNRS "Il y a cinquante ans, une équipe française était à l’origine d’une découverte qui conduira à l’élaboration du modèle standard de la physique des particules. En 1973, grâce à la chambre à bulles Gargamelle, l’équipe d’André Lagarrigue au Cern démontrait l’existence de courants neutres dans l’interaction faible. Un résultat qui permettait d’unifier en une seule théorie deux interactions fondamentales qu’on pensait jusqu’ici distinctes : la force électromagnétique, responsable de l’attraction/répulsion entre particules chargées électriquement, et la force faible, responsable de la radioactivité bêta. Le développement de cette théorie, dite « électrofaible », aboutira quelques années plus tard à l’édification du modèle standard, parachevé en 2012 par la découverte du boson de Higgs, et qui décrit l’ensemble des particules et des forces qui composent et régissent la matière connue." https://lnkd.in/g5fYupTt
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#Grenoble Polygone Scientifique : le #RHF (Réacteur à Haut Flux) de l'ILL - Institut Laue Langevin. L'ILL - Institut Laue Langevin est un organisme de recherche international situé sur le polygone scientifique de Grenoble. Créé en 1967 à la suite du traité d'amitié franco-allemand dit « traité de l'Élysée », et nommé ainsi en l'honneur des physiciens Max von Laue 🇩🇪 et Paul Langevin 🇨🇵 il est l'un des symbole de la réconciliation franco-allemande. Cet institut spécialisé en sciences et technologies neutroniques exploite un réacteur à Haut Flux de neutrons pour la recherche qui accueille chaque année 1 500 scientifiques en provenance de quarante pays, offrant les faisceaux de neutrons les plus intenses au monde ainsi qu'une quarantaine d'instruments scientifiques de haute technologie. Cette installation ne sera égalée que par la future source de l'European Spallation Source ERIC en cours de construction en Suède dont les premiers résultats d'essais sont espérés pour 2025. Le #RHF est un réacteur de recherche situé à l'Institut Laue-Langevin à Grenoble, qui a divergé pour la première fois en 1971. Il forme, avec l'ESRF - The European Synchrotron voisin, un complexe unique au monde pour l'exploration de la matière. D'une puissance de 58 MW, il est constitué d'un cœur de 10 kg d’uranium très enrichi, modéré et refroidi à l'eau lourde. Il est utilisé pour produire des faisceaux de neutrons ; c'est l'une des sources de neutrons les plus intenses du monde. Chaque faisceau a un spectre en énergie particulier, qui va des neutrons chauds aux neutrons froids et ultra-froids. Les faisceaux de neutrons sont utilisés pour élucider la structure de la matière inerte et vivante (protéines, membranes biologiques), pour la physique fondamentale, ou pour fabriquer des radioéléments à usage médical. #SourceVidéo : https://lnkd.in/evYckyBi
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Cette semaine, nous nous penchons sur la spectroscopie dans le domaine temporel THz par Zurich Instruments ᯤ ➡️ La spectroscopie dans le domaine temporel THz est utilisée pour caractériser les propriétés des matériaux en mesurant la réponse en fréquence complexe. ↪ Diverses résonances fondamentales sont observées, telles que des excitations électroniques et photoniques dans les matériaux solides. ↪ Un transitoire THz est généré par une impulsion de pompe ultracourte dans un processus non linéaire. ↪ L'interaction avec l'échantillon modifie le transitoire. La forme d'onde résultante est détectée par une impulsion de sonde ultracourte à l'aide d'une technique non linéaire basée par exemple sur un échantillonnage électro-optique ou des antennes photoconductrices. ↪Le délai entre l'impulsion de la sonde et le champ THz varie pour permettre la reconstruction complète de la forme d'onde en amplitude et en phase du champ électromagnétique. ↪ Le changement de signal induit par le champ THz sur les impulsions de la sonde étant infime, un rapport signal/bruit (SNR) élevé, une électronique sensible et une moyenne sont nécessaires. Pour plus d'informations 👉 Jean-Paul GASTON🌐 https://lnkd.in/eTT6vW23 Et pour ne jamais rien louper de nos news, de nos actus partenaires ou de celles d'Oli, activez la 🔔et suivez-nous ⤴️
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La résonance magnétique nucléaire (RMN) est une technique d'analyse basée sur la mesure de l'absorption de radiations électromagnétiques de radiofréquence (Rf) par les noyaux atomiques dans un champ magnétique externe. Elle est fondée sur le comportement de certains noyaux, comme ceux de l'hydrogène (^{1}H) et du carbone 13 (^{13}C), qui possèdent des moments magnétiques et se mettent à tourner lorsqu'ils sont exposés à un champ magnétique 3 . Lorsqu'un échantillon contenant ces noyaux est placé dans un champ magnétique, les moments magnétiques s'alignent soit dans la même direction soit dans la direction opposée au champ. Ces deux types d'alignement sont caractérisés par des énergies différentes, et l'application d'un champ magnétique facilite la levée de dégénérescence des spins nucléaires. Un noyau atomique dont le spin est aligné avec le champ aura une moindre énergie que lorsque son spin est aligné dans la direction opposée du champ 4 . L'énergie d'une transition de RMN dépend de la force de champ magnétique ainsi que d'un facteur de proportionnalité s'appliquant à chaque noyau appelé rapport gyromagnétique. L'environnement local autour d'un noyau donné dans une molécule a tendance à légèrement perturber le champ magnétique local exercé sur ce noyau et à affecter son énergie de transition exacte. Cette dépendance de l'énergie de transition vis-à-vis de la position d'un atome particulier dans une molécule rend la RMN extrêmement utile pour la détermination de la structure des molécules 4 . La spectroscopie par RMN constitue l'un des plus puissants instruments de détermination de la structure des espèces organiques aussi bien qu'inorganiques. Cette technique s'est également montrée utile dans la détermination quantitative des espèces absorbantes 4 . En RMN, l'ensemble de l'aimantation est excité de manière cohérente par un champ radiofréquence B1. Après perturbation, on détecte l'aimantation qui tourne autour de B0 par la précession de Larmor, créant un courant dans une bobine. Le signal détecté est une sinusoïde. Une opération mathématique permet de passer du domaine des temps au domaine des fréquences (vitesse de rotation). On obtient ainsi le spectre, qui permet de déduire les différents groupes dans une molécule et déterminer sa structure globale 5 . La RMN est un outil précieux pour le chimiste et peut le renseigner sur la structure, les mouvements et les réactions chimiques des molécules. Elle consiste à irradier les noyaux A et à observer les noyaux X. L'irradiation du noyau A consiste à appliquer un champ de radiofréquence B2, perpendiculairement à B0, de sorte que les populations de spin de A passent rapidement entre leurs différents états d'énergie. Le découplage peut être sélectif (sur une fréquence spécifique) ou non (gamme de fréquence), homonucléaire (par exemple, 1H-1H) ou hétéronucléaire (par exemple, 1H-13C)
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Chapitre 2 : La science derrière HAARP L'une des raisons pour lesquelles HAARP suscite autant d'intérêt est son utilisation d'une technologie complexe pour interagir avec l'ionosphère. Ce chapitre explore les principes scientifiques derrière HAARP : la transmission d'ondes radio haute fréquence, l'effet sur les électrons de l'ionosphère, et les recherches sur le phénomène de l'aurore boréale. Il présente également des expériences menées sur la météo, les communications et la détection de sous-marins.
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Je décris dans cette note sur HAL Science une partie de mes travaux de thèse concernant l’introduction d’une équation en énergie cinétique turbulente dans un modèle numérique d’écoulements atmosphériques à mésoéchelle pour décrire les transferts verticaux dans la couche limite planétaire. Je me suis appuyé sur les travaux de Therry et Lacarrère (1983) qui seront ultérieurement généralisés par Bougeault et Lacarrère (1989) pour la formulation des longueurs de mélange et de dissipation.
Paramétrisation de la turbulence dans la couche limite planétaire par un modèle en énergie cinétique turbulente. Application à un modèle tridimensionnel de mésoéchelle
hal.science
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