Post de RENNES ETUDIANTS CLUB RUGBY

𝗟𝗲 𝗱𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁𝗶𝗳 𝗲𝘁 𝗹'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗶̂𝗻𝗲𝘂𝗿 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗯𝗮𝘁𝗲𝗮𝘂 ? L’entraîneur est un élément fondamental dans la réussite d'un club, mais elle s’associe au travail de planification et d’organisation de la direction sportive. D’une manière générale, le club réussit quand tous ces éléments sont connectés et que l’entraineur est compatible au modèle proposé par le club. Parfois, l'entraineur est très bon, mais ce qui fera la différence c’est sa compatibilité avec la nature du club. Un entraineur qui est sollicité pour rejoindre le club, même s’il est auréolé d’une très bonne saison, d’une accession à l’étage supérieur ou qu’il a remporté un trophée s’il n’a pas correctement analyser l’effectif au regard de la philosophie du club, il vaut mieux ne pas donner suite. L’entraîneur est le chef d’un orchestre composé de musiciens, qui sont les joueurs mis à disposition par le club. Le dialogue entre l’entraineur et le directeur sportif est essentiel au quotidien. Ce dernier doit être à ses côtés, l’aider et lui montrer qu’il peut s’appuyer sur lui. Le directeur sportif et l’entraineur sont dans le même bateau, c’est pourquoi, il est essentiel de construire une relation de confiance. ➡️ A lire : https://lnkd.in/dZqCVei4

Je crois en un travail en collaboration entre l'enseignant de golf et le fitteur. L'enseignant, grâce à son suivi global, connaît parfaitement les besoins et l'évolution de son élève, tandis que le fitteur apporte une expertise technique indispensable pour ajuster le matériel avec précision. Cependant, il est essentiel que cette démarche reste personnalisée et continue. Le modèle actuel des fitteurs en magasin ou lors de « démo days » manque souvent d'efficacité. Ces séances, ponctuelles et déconnectées du suivi régulier, mènent fréquemment à des erreurs dans le choix des clubs, causant ainsi des déceptions. Un équipement mal adapté peut freiner la progression du joueur, d'où l'importance d'un processus de fitting intégré à un suivi global, permettant une vraie cohérence entre l'évolution du swing et le matériel utilisé. Qu’en pensez- vous ?

Une session exceptionnelles avec des championnes exceptionnelles 🏆 Au menu , se découvrir à travers un nouveau angle, et partager ses émotions et son parcours 🎤 Du partage , de la bienveillance, de l’empathie, de la valeur ajouté 💯Un vrai moment de régal ❤️ Inscris toi à la prochaine session le 13 juillet 👉lien en commentaire #poweryourself #personalbranding

Chers amis Comme vous le savez la proximité avec les clubs et les licenciés est une priorité pour mon équipe. Il nous a semblé de la plus grande importance d’avoir une réflexion pour facilité les choses à nos amis des DOM TOM et de la Corse, qui ont contrairement à nous, ont de très grosses contraintes en termes de déplacements. Nous savons tous que les billets d’avions fluctuent suivant les périodes de l’année et des vacances scolaires et peu passer du simple au double. C’est pourquoi si je suis élu j’aimerai mettre un place un groupe de travail avec des représentants de la Corse et des DOM TOM pour travailler de façon judicieuse sur les dates du championnat de France et choisir une période qui permettrait de réduire les couts de transport, et ceci afin d’impacter le moins possible les clubs au niveau financier. Il est important de faciliter les choses à tous les licenciés de FFKMDA et la distance qui parfois peut-être très grande ne doit pas empêcher chaque pratiquant de pouvoir venir défendre ses chances aux championnats de France. Nabil MAZARI

Les valeurs communes entre la boxe et les pompes funèbres peuvent sembler surprenantes au premier abord, mais en y réfléchissant, on peut identifier plusieurs points de convergence. 1. **Discipline et respect** : Dans la boxe, comme dans les pompes funèbres, la discipline et le respect sont essentiels. Les boxeurs respectent leurs entraîneurs, leurs adversaires et les règles du sport, tandis que les professionnels des pompes funèbres respectent les familles en deuil, les défunts et les rites funéraires. 2. **Résilience et force mentale** : Les boxeurs doivent faire preuve de résilience face à l'adversité, que ce soit lors des combats ou des entraînements intensifs. De même, les professionnels des pompes funèbres doivent gérer des situations émotionnellement difficiles avec force mentale et compassion. 3. **Gestion du stress** : Les boxeurs apprennent à gérer le stress de la compétition et des attentes. Les professionnels des pompes funèbres, quant à eux, doivent gérer le stress lié à la gestion des funérailles et au soutien des familles en deuil. 4. **Travail d’équipe** : Dans les deux domaines, le travail d’équipe est crucial. Les boxeurs s'appuient sur leurs entraîneurs et leurs équipes pour se préparer et réussir, tandis que les pompes funèbres nécessitent une coordination entre différents professionnels pour organiser des funérailles respectueuses et dignes. 5. **Détermination et persévérance** : Les boxeurs doivent persévérer dans leurs entraînements et leurs combats, même face à la défaite. Les professionnels des pompes funèbres montrent une détermination similaire en veillant à offrir les meilleurs services possibles malgré les défis émotionnels et logistiques. #inclusion Denis Descamps 📹

Cette question est majeure

L objectif collectif 2024 continue à se décliner : activité physique et de bien être sous toutes ces formes avec deux objectifs clés : ✅ Prendre conscience et soin du corps dans le travail ✅ Renforcer la cohésion interne Et pendant ce temps la réflexion sur l’objectif 2025 se poursuit ……😇

Mei Kotake, athlète japonaise et médaillée d'or 2024 à la Coupe du Monde d'escalade de Briançon, a décidé de briser à son tour ce tabou. À travers une interview donnée à Vertige Media, elle partage son expérience personnelle sur les difficultés liées à la nutrition dans le sport de haut niveau, et offre un éclairage précieux sur les dangers de l'obsession du poids, tout en soulignant l'importance d'une approche équilibrée pour atteindre le véritable potentiel d'un athlète. 📸 David Pillet 🗞️ L’article complet à retrouver sur Vertige Media (Lien en commentaire)

En escalade, la lutte contre la gravité nous amène à rechercher le meilleur rapport poids/puissance. Cette quête de réussite ainsi que la valorisation de l’image du corps idéal léger et athlétique peuvent pousser à une restriction alimentaire dangereuse pour sa santé physique et mentale.   Le REDs (Relative Energy Deficiency in Sport) ou déficit énergétique relatif dans le sport, représente le déséquilibre entre les apports énergétiques alimentaires et les dépenses liées à une pratique sportive intensive. Ce déséquilibre impacte notamment la densité osseuse, le système hormonal, le niveau d’énergie, les capacités de concentration, la motivation. Il entraîne également une perte de performance et un risque de blessure accru.   En 2024, l’IFSC fait un premier pas pour protéger ses athlètes internationaux des conséquences de ce syndrome sur la santé en s’engageant dans une politique de détection des REDs, appliquée dès les sélections pour les JO de cette année. Un système imparfait mais qui représente le début encourageant d’une prise en compte du problème.   De leur côté, des athlètes comme Emily Harrington, Caroline Ciavaldini, Janja Garnbret, puis aujourd’hui Mei Kotake ont pris la parole pour témoigner des dangers de la sous-nutrition et diffuser leur message : pas besoin de s’affamer pour performer.   Cette situation ne touche pas que les athlètes professionnels. De nombreux grimpeurs et grimpeuses que j’accompagne ne mangent pas assez pour soutenir leur charge d’entraînement, alors même qu’ils venaient avec un objectif de perte de poids !   Informer, lutter contre les idées reçues et les mauvais conseils bien intentionnés, briser les tabous et libérer la parole, c’est l’engagement des entraîneurs, nutritionnistes, médecins, parents, médias et de toute la communauté de la grimpe qui fera bouger les choses 💚 Merci Vertige Media d’y contribuer avec cet article !