Le dump de l'Automne 🍁 qui est passé à toute vitesse chez Rush... 😃 avec au programme : 1- Des travaux qui se poursuivent...à Bordeaux ! 😃 2- Une visite de chantier 👷♀️ et des travaux qui avancent bien à Paris avec Renaud Galzy ! Le compte à rebours est lancé pour l'ouverture.. ⏱ 3- Le J-0 des travaux à Belfort...avec Fiona Labre (Ouverture le 20 Novembre du centre 👏 👍) 4- Et pour finir..encore et toujours des travaux...🛠️ à Angers avec Thierry Chesneau et Raphaël NICOUD. Ouverture Décembre 2024 pour une fin d’année au complet ;) 5- Les nouveaux sweats de la Team RUSH ⚡ 6- Une bonne dose de veille Parisienne pour s’inspirer des plus beaux décors pour nos salles 👀 7- L'arrivée surprise des 30 000 nouvelles balles de notre piscine 😅 🏊🏻♀️ 8- Nouvelle affichage pour nos scores live = Nouveaux paramétrages check 🥵
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L’article publié présente la fermeture de la station de Piquemiette comme une conséquence inévitable et réfléchie du changement climatique, des crises économiques et des choix rationnels pour le futur de la région. Toutefois, cette vision manque de perspectives alternatives et de solutions à long terme qui pourraient maintenir l’activité économique et touristique de la station tout en répondant aux préoccupations écologiques. 1. Une fermeture prématurée et évitable La fermeture de Piquemiette, initialement prévue pour 2030-2035, est annoncée pour 2024. On parle de décision anticipée, mais en réalité, c’est une stratégie de renoncement qui accélère la fin et acté en réalité depuis de nombreuses années. Au lieu de fermer complètement, la station pourrait adopter une ouverture partielle, en ne fonctionnant que pendant les périodes de forte affluence, comme les week-ends, les vacances et les jours fériés. Cela permettrait de maximiser les revenus aux moments où la demande est la plus forte, tout en réduisant les coûts d’exploitation. 2. Réduction des coûts et économie d’échelle Plutôt que de tout fermer, il existe des moyens de rendre l’exploitation plus rentable. Des solutions comme la mutualisation des infrastructures avec d’autres stations, la rationalisation des effectifs ou encore l’optimisation de l’entretien peuvent réduire significativement les coûts. Ce sont des stratégies d’économie d’échelle que des chefs d’entreprise appliqueraient pour rendre des opérations plus efficientes. Là la décision est une décision purement politique est c’est bien là le problème 3. Impact environnemental mal compris La décision de fermer la station est prise sous couvert d’une conscience écologique, mais en fermant, on force les habitants et les touristes à se déplacer en voiture vers d’autres stations plus éloignées, aggravant ainsi l’empreinte carbone. Plutôt que de fermer, il faudrait investir dans des infrastructures locales qui réduisent l’impact environnemental, comme l’utilisation d’énergies renouvelables. 4. La diversification : clé de la résilience La diversification des activités touristiques est une réponse logique aux défis climatiques. Cependant, l’article la présente comme un échec. Or, cette diversification n’a pas été explorée à son plein potentiel. Le développement d’activités hors-ski, pourrait maintenir une activité touristique toute l’année et compenser la perte due aux hivers peu enneigés. 5. Investir pour sauver un territoire vivant Comme les piscines, musées ou pistes cyclables, certaines infrastructures publiques ne sont pas rentables en soi, mais elles jouent un rôle crucial dans l’attractivité d’un territoire. En refusant d’investir dans la station de ski, on court le risque de transformer les villages environnants en « cités dortoirs ». Au lieu de renoncer, il serait préférable de développer un plan de soutien financier et d’investissements ciblés pour maintenir cette activité essentielle à la région.
Anatomie d'une fermeture. L'annonce est faite : le comité syndical Syndicat Mixte du Mont d'Or - Station de Métabief a décidé de "suspendre l'exploitation de Piquemiette". C'est symbolique, mais c'est logique ... et surtout anticipé... même si la dramaturgie habituelle des médias et des parties prenantes de la garde (cf. modèle d'Everett Rogers sur la diffusion de l'innovation) met en scène la brutalité et la soudaineté d'une décision responsable et courageuse. Cette "fermeture" est la suite logique d'un processus engagé en 2016 : Acte 1 : la fête est finie = en 2017, nous établissons entre professionnels de la station, un scénario climatique qui anticipe une fin potentielle du ski à l'horizon 2030-2035, avec les données économiques du moment (donc avant Covid et crise énergétique) Acte 2 : on innove pour durer un peu = en 2018, on déploie une méthode d'analyse sur les remontées mécaniques pour permettre de ne pas investir : 1er renoncement. Et passer de 15 M€ d'appareils neufs à 2 M€ de maintenance et d'extension neige (prévue en 2012) Acte 3 : la fin de l'illusion = on ne rêve pas, la diversification n'est pas la solution : 2ème renoncement. Pour survivre, on met en place en 2019 une ingénierie dédiée à l'émergence de solutions sur la station et surtout sur l'ensemble du territoire Acte 4 : le récit = des premières émergences (une grande réussite !!!), le comité syndical, les communes et le département approuvent le plan de transition en décembre 2020... et donc la fermeture potentielle de Piquemiette à un horizon alors estimé à 2030... mais c'était sans compter les 2 mauvais hivers 2021-2022 et 2022-2023, l'hiver catastrophique 2023-2024, la crise Covid (dont les effets sur la masse salariale ont été forts) et la crise énergétique . On vit vraiment dans l'INCERTITUDE Acte 5 : le déploiement sur le territoire = on devient lauréat Avenir Montagne en 2021 et on déploie une ingénierie qui portera ses fruits Acte 6 : on mobilise les parties prenantes, celles qui veulent, par une dynamique de terrain de fou en 2022. Là, on voit que la "garde" se crispe" (le commerçant de Piquemiette qui fait désormais les choux gras des médias, en fait partie) Acte 7 : la mécanique "planification - émergence" prend corps dans une dynamique de MASTERPLAN en 2023. Sur la station, ça commence à tirer mais on observe que les socio pros de Métabief s'en sortent bien Acte 8 : en 2024, le MASTERPLAN et les cellules d'émergence vivent sur le territoire. Les parties prenantes qui ont adhéré à la démarche (les pionniers), ne le regrettent pas et deviennent des soutiens précieux... mais attention, pas d'illusion sur la nature humaine, capable du pire comme du meilleure, cela reste difficile Et maintenant, un acte fort = 3ème renoncement. Tout savoir sur l'anatomie d'une fermeture : éditions inverse ///
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Pas facile ! Il n'y a sans doute pas de modèle pour aborder le difficile chemin de la transformation des stations de ski de moyenne altitude, profondément bousculées dans leur modèle... Mais il y a des territoires pionniers et Métabief-Mont d'Or en est un. Des décisions difficiles sont à prendre et elles sont prises. On arrive à cette échéance, dans de nombreux endroits. Ces décisions, elles ne seront jamais consensuelles, faut pas raconter d'histoire ! J'ai connu dans une vie antérieure, ces mutations territoriales douloureuses à accompagner, parce qu'elles touchent à la fois à des enjeux économiques, sociaux, humains et d'identité locale. Ils méritent d'être pris en compte avec un véritable accompagnement, avec des moyens dédiés : pour permettre de faire fonctionner ce qui peut et tant qu'on peut, préparer les conversions et redeveloppements, de manière réaliste et soutenable. C'est de cela dont ces territoires de montagne ont besoin, ici et maintenant.
Anatomie d'une fermeture. L'annonce est faite : le comité syndical Syndicat Mixte du Mont d'Or - Station de Métabief a décidé de "suspendre l'exploitation de Piquemiette". C'est symbolique, mais c'est logique ... et surtout anticipé... même si la dramaturgie habituelle des médias et des parties prenantes de la garde (cf. modèle d'Everett Rogers sur la diffusion de l'innovation) met en scène la brutalité et la soudaineté d'une décision responsable et courageuse. Cette "fermeture" est la suite logique d'un processus engagé en 2016 : Acte 1 : la fête est finie = en 2017, nous établissons entre professionnels de la station, un scénario climatique qui anticipe une fin potentielle du ski à l'horizon 2030-2035, avec les données économiques du moment (donc avant Covid et crise énergétique) Acte 2 : on innove pour durer un peu = en 2018, on déploie une méthode d'analyse sur les remontées mécaniques pour permettre de ne pas investir : 1er renoncement. Et passer de 15 M€ d'appareils neufs à 2 M€ de maintenance et d'extension neige (prévue en 2012) Acte 3 : la fin de l'illusion = on ne rêve pas, la diversification n'est pas la solution : 2ème renoncement. Pour survivre, on met en place en 2019 une ingénierie dédiée à l'émergence de solutions sur la station et surtout sur l'ensemble du territoire Acte 4 : le récit = des premières émergences (une grande réussite !!!), le comité syndical, les communes et le département approuvent le plan de transition en décembre 2020... et donc la fermeture potentielle de Piquemiette à un horizon alors estimé à 2030... mais c'était sans compter les 2 mauvais hivers 2021-2022 et 2022-2023, l'hiver catastrophique 2023-2024, la crise Covid (dont les effets sur la masse salariale ont été forts) et la crise énergétique . On vit vraiment dans l'INCERTITUDE Acte 5 : le déploiement sur le territoire = on devient lauréat Avenir Montagne en 2021 et on déploie une ingénierie qui portera ses fruits Acte 6 : on mobilise les parties prenantes, celles qui veulent, par une dynamique de terrain de fou en 2022. Là, on voit que la "garde" se crispe" (le commerçant de Piquemiette qui fait désormais les choux gras des médias, en fait partie) Acte 7 : la mécanique "planification - émergence" prend corps dans une dynamique de MASTERPLAN en 2023. Sur la station, ça commence à tirer mais on observe que les socio pros de Métabief s'en sortent bien Acte 8 : en 2024, le MASTERPLAN et les cellules d'émergence vivent sur le territoire. Les parties prenantes qui ont adhéré à la démarche (les pionniers), ne le regrettent pas et deviennent des soutiens précieux... mais attention, pas d'illusion sur la nature humaine, capable du pire comme du meilleure, cela reste difficile Et maintenant, un acte fort = 3ème renoncement. Tout savoir sur l'anatomie d'une fermeture : éditions inverse ///
Doubs. Station de ski à Métabief : la fermeture de Piquemiette, « un choix difficile mais responsable »
estrepublicain.fr
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Anatomie d'une fermeture. L'annonce est faite : le comité syndical Syndicat Mixte du Mont d'Or - Station de Métabief a décidé de "suspendre l'exploitation de Piquemiette". C'est symbolique, mais c'est logique ... et surtout anticipé... même si la dramaturgie habituelle des médias et des parties prenantes de la garde (cf. modèle d'Everett Rogers sur la diffusion de l'innovation) met en scène la brutalité et la soudaineté d'une décision responsable et courageuse. Cette "fermeture" est la suite logique d'un processus engagé en 2016 : Acte 1 : la fête est finie = en 2017, nous établissons entre professionnels de la station, un scénario climatique qui anticipe une fin potentielle du ski à l'horizon 2030-2035, avec les données économiques du moment (donc avant Covid et crise énergétique) Acte 2 : on innove pour durer un peu = en 2018, on déploie une méthode d'analyse sur les remontées mécaniques pour permettre de ne pas investir : 1er renoncement. Et passer de 15 M€ d'appareils neufs à 2 M€ de maintenance et d'extension neige (prévue en 2012) Acte 3 : la fin de l'illusion = on ne rêve pas, la diversification n'est pas la solution : 2ème renoncement. Pour survivre, on met en place en 2019 une ingénierie dédiée à l'émergence de solutions sur la station et surtout sur l'ensemble du territoire Acte 4 : le récit = des premières émergences (une grande réussite !!!), le comité syndical, les communes et le département approuvent le plan de transition en décembre 2020... et donc la fermeture potentielle de Piquemiette à un horizon alors estimé à 2030... mais c'était sans compter les 2 mauvais hivers 2021-2022 et 2022-2023, l'hiver catastrophique 2023-2024, la crise Covid (dont les effets sur la masse salariale ont été forts) et la crise énergétique . On vit vraiment dans l'INCERTITUDE Acte 5 : le déploiement sur le territoire = on devient lauréat Avenir Montagne en 2021 et on déploie une ingénierie qui portera ses fruits Acte 6 : on mobilise les parties prenantes, celles qui veulent, par une dynamique de terrain de fou en 2022. Là, on voit que la "garde" se crispe" (le commerçant de Piquemiette qui fait désormais les choux gras des médias, en fait partie) Acte 7 : la mécanique "planification - émergence" prend corps dans une dynamique de MASTERPLAN en 2023. Sur la station, ça commence à tirer mais on observe que les socio pros de Métabief s'en sortent bien Acte 8 : en 2024, le MASTERPLAN et les cellules d'émergence vivent sur le territoire. Les parties prenantes qui ont adhéré à la démarche (les pionniers), ne le regrettent pas et deviennent des soutiens précieux... mais attention, pas d'illusion sur la nature humaine, capable du pire comme du meilleure, cela reste difficile Et maintenant, un acte fort = 3ème renoncement. Tout savoir sur l'anatomie d'une fermeture : éditions inverse ///
Doubs. Station de ski à Métabief : la fermeture de Piquemiette, « un choix difficile mais responsable »
estrepublicain.fr
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L’Alpe du Grand Serre, Notre-Dame-de-Pré, Le Grand Puy, Le Tanet… Nombreuses sont les stations de ski à avoir annoncé ne pas rouvrir leurs portes cette saison. De véritables crève-cœurs pour les habitants fondamentalement attachés à ces lieux et très souvent laissés sur le carreau, sans véritable solution de repli. D’autres domaines skiables sont également sur la sellette, malheureusement. La faute à une mauvaise gestion, plus qu’au changement climatique. Un point mis en évidence dans un rapport publié par la Cour des comptes en février 2023, que nous avons patiemment décortiqué. Il en émerge une liste des stations considérées comme les plus vulnérables de l’Hexagone. Un document peu commenté à sa publication. Nous en avons extrait les 20 sites les plus exposés. Certes, rien n’est bien sûr acté, mais ce sont autant de stations qu’il faudra suivre de près. Certaines devront sans doute fermer leurs portes, mais d’autres pourront envisager une transition, à l’image de Métabief, Tignes, Saint-Pierre en Chartreuse ou encore à Saint-Hilaire, dans l’Isère.
Enquête : après la série de fermetures, quelles sont les 20 stations de ski les plus vulnérables ?
outside.fr
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Eté comme hiver, votre sécurité = notre priorité 🤝 Cet été encore, vous pouvez vivre des moments uniques et inoubliables en montagne grâce aux très nombreuses remontées mécaniques en exploitation, partout sur le territoire. Pour que votre expérience se passe en toute sécurité et en toute tranquillité, rappelons ensemble quelques règles essentielles : 1. Respectez les consignes de sécurité affichées à l’entrée et lors de l’embarquement 2. Gardez vos bras et jambes à l'intérieur de l'équipement tout au long du trajet pour éviter tout risque 3. Soyez attentifs au personnel en station et à leurs indications 4. Gardez une vigilance constante lors de l’utilisation des équipements, surtout pour les plus jeunes Nous souhaitons remercier chaleureusement les équipes en station qui veillent chaque jour à la sécurité des vacanciers, ainsi que la vigilance de chaque usager qui contribue à faire de la montagne un espace sécurisé et agréable pour tous. Ensemble, continuons de profiter de la montagne en toute sérénité ! 📸 : ALTISERVICE
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La France est le seul pays au monde où les stations de ski sont sous contrôle total de l'Etat et des pouvoirs publics - Et c'est un échec total à l'image des stations de ski de Cerdagne et du Capçir où en raison de la configuration du territoire et de sa petite taille tout se voit - Sur les 8 stations françaises que compte aujourd'hui cet ensemble territorial 3 sont complètement fermées sans aucune activité de remontées mécaniques et d'entretien des pistes - Ce système de gestion dans lequel Jean Castex a implanté son venin ayant des intérêts sur ce territoire est aujourd'hui à un niveau de corruption inégalable - C'est à la fois un échec total et un immense gâchis pour tous ceux qui veulent profiter à bon droit de cet espace d'outdoor d'exception que sont ces 2 altiplanos de Cerdagne et du Capçir - Des procédures pénales sont en cours lancées par des associations de citoyens pour mettre un terme définitif à ce système et sanctionner lourdement les responsables -
Fermeture de la station de ski de Puyvalador : autopsie d’un l’échec
leparisien.fr
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A écouter les deux parties, on sent bien qu'elles sont d'accord sur les bases : -Il n'existe pas de substitution au modèle d'affaire du ski (à chiffre d'affaire égal), - Des solutions d'adaptation doivent être mises en œuvre - Qu'il faille faire avec ce qui existe, car ce serait du gâchis de démanteler des infrastructures qui fonctionnent encore. On sent aussi des divergences de posture entre les stations qui n'ont plus les moyens de continuer comme avant comme Metabief et celle qui vont bénéficier de la fermeture de stations plus basses comme La Plagne. On peut ainsi "mieux comprendre" (j'ai pas dit cautionner) cette posture "arrogante" et de "déni" des représentants de la filière ski. N'est-ce pas cela s'engager vers la transition : accepter que toutes les stations n'aurons pas le même avenir ? Que chacune auront des solutions différentes ?
Dérèglement climatique : le ski sur une mauvaise pente
radiofrance.fr
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L'été laisse place aux équipes de maintenance Les équipes de maintenance des domaines skiables restent actives pour préparer la saison hivernale. L'entretien des remontées mécaniques est une tâche complexe et essentielle pour garantir la sécurité et la performance des installations. Découvrez les étapes clés de ce processus : Première étape :démontage et inspection minutieuse. Les télécabines et les télésièges sont démontés. Chaque composant, du câble aux poulies, fait l'objet d'une inspection détaillée pour détecter toute usure ou défaillance potentielle. Deuxième étape : nettoyage et réparation. Chaque pièce est soigneusement nettoyée et, si nécessaire, réparée ou remplacée. Cela inclut les composants mécaniques et électroniques des cabines et des sièges. Troisième étape : tests de sécurité rigoureux. Une fois le remontage terminé, des tests de charge et de sécurité sont effectués pour s'assurer que tous les systèmes fonctionnent correctement et en toute sécurité. Enfin, l'entretien des pistes : les pistes de ski ne sont pas oubliées. Elles sont nettoyées et préparées pour assurer une utilisation optimale pendant la saison hivernale. Ce processus méticuleux garantit que tout est prêt pour offrir une expérience de ski sûre et agréable dès les premières neiges. #MaintenanceRM #Sécurité 📸 : Domaine skiable de Val Cenis Grand Massif Domaines Skiables Anna CANTU @Ancelle
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⛷️❄️🏔️ alors que la saison de ski va commencer, je recommande cet article extrêmement intéressant sur l’économie des stations de ski en 🇫🇷 France, en lien avec le changement climatique mais aussi avec les modèles économiques dépassés. L’article met aussi en avant des reconversions intéressantes (comme à Metabief juste de l’autre côté de la frontière suisse 🇨🇭) ou des initiatives citoyennes pour faire vivre des petits domaines skiables même à basse altitude!
L’Alpe du Grand Serre, Notre-Dame-de-Pré, Le Grand Puy, Le Tanet… Nombreuses sont les stations de ski à avoir annoncé ne pas rouvrir leurs portes cette saison. De véritables crève-cœurs pour les habitants fondamentalement attachés à ces lieux et très souvent laissés sur le carreau, sans véritable solution de repli. D’autres domaines skiables sont également sur la sellette, malheureusement. La faute à une mauvaise gestion, plus qu’au changement climatique. Un point mis en évidence dans un rapport publié par la Cour des comptes en février 2023, que nous avons patiemment décortiqué. Il en émerge une liste des stations considérées comme les plus vulnérables de l’Hexagone. Un document peu commenté à sa publication. Nous en avons extrait les 20 sites les plus exposés. Certes, rien n’est bien sûr acté, mais ce sont autant de stations qu’il faudra suivre de près. Certaines devront sans doute fermer leurs portes, mais d’autres pourront envisager une transition, à l’image de Métabief, Tignes, Saint-Pierre en Chartreuse ou encore à Saint-Hilaire, dans l’Isère.
Enquête : après la série de fermetures, quelles sont les 20 stations de ski les plus vulnérables ?
outside.fr
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Plus que 140 jours avant d’accueillir les JOP où la France a pour ambition d’avoir ses sites accessibles à tous avec un soin particulier entre ses sites et le transport en commun le plus proche, soit environ le dernier kilomètre. Pour être sûr d’atteindre cet objectif, le Préfet de Région avait demandé en 2020 au Centre d'études et d'expertise sur les risques, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) de réaliser un état des lieux de l’accessibilité des cheminements piétons entre certains sites olympiques et les principales stations de transport les desservant et ceci afin de proposer des préconisations visant à assurer l’accessibilité réelle des cheminements de tous les sites à l’horizon de 2024. Cet état des lieux avait concerné le Parc des expositions à Paris, le Vélodrome national à Saint-Quentin en Yvelines et le Stade de France à Saint-Denis, avec des recommandations pour la mise en accessibilité de ces sites en particulier. L'association avait déjà alerté à -400 jours des JO ( https://lnkd.in/eeDfhwma ). Force est de constater, à 150 jours avant l’ouverture des jeux, que les recommandations sur les trois sites ne sont toujours pas mises en œuvre, et qu’il en est probablement de même sur les autres sites. L’association par son antenne sur Saint-Quentin en Yvelines a pu, en particulier, le constater à l’occasion de la mise aux normes de la gare de Saint-Quentin en Yvelines ce mois-ci. L’accès au vélodrome depuis cette gare est particulièrement difficile, même pour le piéton « mobile ». L’association vient d’alerter le Préfet de Région que rien n’a véritablement été fait depuis la communication des recommandations du CEREMA, notamment pour l’accès au Vélodrome de Saint-Quentin en Yvelines. Il est maintenant plus qu’urgent de demander aux gestionnaires de voirie concernés de faire les travaux d’accessibilité.
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