Saint-Gobain SEVA participe actuellement à la 8ᵉ édition des Rendez-vous de Nuclear Valley sur le thème sur « La supply chain au centre du jeu ». Après une intense série de rendez-vous BtoB en ligne ce mardi et ce mercredi, Florian BERNARD, Julien Goudard et Didier Thomas participent aujourd’hui à la réunion plénière à Lyon. Si vous souhaitez en savoir plus sur les solutions et la démarche de Saint-Gobain SEVA pour répondre aux enjeux de cette filière en pleine relance, n’hésitez pas à nous solliciter ! #RDVNV #Nucléaire #Ingénierie #Fonderie #Usinage #Mécanique
Post de Saint-Gobain SEVA
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La filière nucléaire : un atout pour la France
L’Université des Métiers du Nucléaire et le GIFEN sont présents à "Bercy fait son #industrie" pour promouvoir auprès de la jeunesse une industrie d’avenir : le #nucléaire. Un moment clef pour sensibiliser, inspirer et susciter des vocations dans la filière nucléaire. C’est également une occasion d’échanger avec Marc Ferracci, Ministre délégué chargé de l’Industrie. Olivier BARD I Helene Badia I Ministères Économiques et Financiers I France Industrie I Agnès Pannier-Runacher
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🔍 Découvrez le potentiel de la filière nucléaire en région Pays de la Loire ! Avec 14 115 emplois (directs et indirects) et 247 entreprises, la filière nucléaire joue un rôle clé dans l’industrie, la santé et l’innovation en région. Nous avons travaillé avec plusieurs partenaires dont Neopolia et SUBATECH, afin d'identifier pour vous les acteurs de l'écosystème et les formations en région. 📄 Pour en découvrir plus, consultez la fiche filière nucléaire et explorez les opportunités 👉 https://lnkd.in/eDGaFcWj #PaysDeLaLoire #Nucléaire #Industrie #Santé #TransitionEnergétique
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Une arme de fusion pure est un concept de bombe à hydrogène ki ne nécessiterait pas d'explosif à fission pour déclencher la fusion des isotopes lourds de l'hydrogène (deutérium et tritium). Sans besoin de matériau fissile, elle serait plus facile à développer secrètement que les armes actuelles. La production d'uranium ou de plutonium pour les armes nucléaires exigent des investissements industriels importants, difficiles à cacher, et c'est en contrôlant la vente de ces technologies ke la prolifération nucléaire est principalement limitée. Les armes thermonucléaires actuelles utilisent une bombe à fission pour initier la fusion du deutérium et du tritium. Les concepteurs d'armes ont exploré la possibilité de déclencher la fusion sans utiliser la fission, en générant des températures et pressions élevées dans un espace confiné. Les armes de fusion pure peuvent produire des rendements nucléaires très faibles sans nécessiter de masse critique de combustible fissile, contrairement aux armes à fission. Elles réduisent également les dommages collatéraux, car elles ne génèrent pas de sous-produits radioactifs comme les armes à fission. Ces armes seraient létales non seulement en raison de leur force explosive, ki pourrait être importante par rapport aux bombes à base d'explosifs chimiques, mais aussi à cause des neutrons k'elles généreraient. Bien que divers dispositifs sources de neutrons aient été développés, dont certains basés sur des réactions de fusion, aucun d'entre eux n'est capable de produire un rendement énergétique net, ke ce soit sous forme contrôlée pour la production d'énergie ou non contrôlée pour une arme. Entre 1952 et 1992, malgré des investissements importants des USA pour développer une arme de fusion pure, aucun succès concret n'a été atteint. En 1998, le Département de l'Énergie (DOE) a confirmé k'aucun concept crédible n'a émergé de ces efforts. Les conditions nécessaires pour déclencher une réaction de fusion semblent encore uniquement réalisables avec une explosion de fission ou des équipements sophistiqués comme de puissants lasers. En conséquence, cette arme ne semble pas faisable avec les technologies actuelles, et certains craignent ke ces recherches ne compromettent les objectifs des traités sur la non-prolifération nucléaire. Il é possible de concevoir une arme de fusion pure simple avec des technologies actuelles non classifiées. Pesant environ 3 tonnes, elle pourrait avoir une puissance ékivalente à 3 tonnes de TNT. Bien que ses dégâts explosifs ne soient pas supérieurs à ceux d'un explosif conventionnel, elle pourrait émettre un flux de neutrons suffisamment intense pour être létal dans un rayon de 500 mètres. Des recherches ont été menées sur l'utilisation de l'antimatière, de l'émission gamma induite, et des isomères nucléaires comme moyens de déclencher des armes de fusion pure. Bien ke prometteurs, ces concepts font face à d'importants obstacles techniques et restent au-delà des capacités actuelles. #fusion
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☣️" LES OUBLIÉS DE L'ATOME"☣️ En solidarité à HINAMOEURA, Mililani, Mahina, et pour celles qui viendront encore...🌺 Je repartage ici les observations finales du comité CEDEF 2023 sur l'application de la convention par la France: " Le comité note avec préoccupation: ⚠️L’absence de mesures prises par l’État partie pour faire face à l’impact des 30 années d’essais nucléaires français sur la santé des femmes et des filles en Polynésie française. Conformément à sa recommandation générale n° 24 (1999) sur les femmes et la santé, le Comité recommande à l'État partie de: 🚩Mener une évaluation d'impact rigoureuse, transparente et sensible au genre des essais nucléaires sur la santé des femmes en Polynésie française et accélérer le traitement des demandes d'indemnisation des victimes. " Le documentaire retrace le combat de polynésiennes pour la reconnaissance du fait nucléaire et de ces conséquences intergénérationnelles plus de 30 ans après le dernier essai. Ici le lien pour le replay, disponible jusqu'au 19 juin. Ce documentaire a été diffusé à l'assemblée nationale en fin 2023. https://lnkd.in/gHW2dyFs #UFFONC #JusticeVéritéRéparation #Moruroaetatou #dawnfeminist
Itinéraires Les oubliés de l'atome
france.tv
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Je très heureux de partager avec vous une trouvaille géniale : la Nuclear Marketplace Orano Réemploi. C'est une pépite dans le monde du nucléaire ! Dans ce secteur, on trouve souvent des outils et des équipements sous-utilisés ou conçus pour des applications spécifiques. Or, en explorant les CNPE et autres sites apparentés, on réalise qu’ils regorgent de ressources inexploitées. Orano Innovation a eu une brillante idée : créer une marketplace. Cette plateforme offre une opportunité unique de valoriser ces ressources et de les rendre accessibles à tous. Je vous invite à découvrir cette initiative et à réfléchir à la façon dont vous pourriez y contribuer. Faisons de la Nuclear Marketplace Orano un moteur d'innovation et de durabilité dans le nucléaire ! Je vous mets le lien en commentaire 👇 ----- 🔍 Les défis et les opportunités dans l'industrie, le nucléaire et la digitalisation sont mes sujets de prédilection. 🔔 N'hésitez pas à me suivre ou me connecter pour plus d’échanges passionnants !
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#Fukushima | Encore une fois, la tentative d'approche de pièces accidentées et contaminées a été un échec. Cela fait désormais 13 ans qu'on ne sait toujours pas à quel niveau se trouve le corium dans les 3 réacteurs accidentés de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon. Les apprentis sorciers du nucléaire ont beau essayé de nous rassurer sur la sécurité de leur technologie, mais dès qu'il y a un accident grave, impossible de réellement maîtriser cette fusion, et surtout pour combien de temps ? Rappelons que chaque jour, pour refroidir les 3 réacteurs accidentés, on injecte des centaines de tonnes d'eau (non salée) qui ensuite se trouvent contaminées et stockées sur site. Or, le stock d'eau étant trop élevé, on rejette, depuis 1 an maintenant, régulièrement des quantités d'eau tritées (le tritium n'étant pas décontaminable) au large dans l'océan Pacifique. Une catastrophe écologique, sociale et économique, sans commune mesure, qu'il ne faut pas oublier, malgré les bonimensonges des nucléopathes. https://lnkd.in/eFi48-GW
Japon : suspension de l’essai d’enlèvement d’un échantillon de débris nucléaires à Fukushima
lefigaro.fr
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LA RECETTE DE LA SÛRETÉ NUCLEAIRE ? DUALITÉ #IRSN #ASN MAINTENUE ! Sur une décision arbitraire du gouvernement, le projet de fusionner l’IRSN et l’ASN en un seul organisme, est remis au vote le 9 avril. D'ici là, nous pouvons agir. A une voix près, le projet peut être retoqué. PAS D'EXPLICATION TANGIBLE Pour notre sécurité à tous, ces 2 organismes fonctionnent depuis plus 20 ans avec une optimisation continuelle de la sûreté. La preuve : aucun accident déclaré sur l’échelle de 1 à 7 de l’AIEA. Seul argument proposé par Roland Lescure pour justifier cette fusion : « la fluidification du système ». PRO NUCLEAIRE OU ANTI, LA MÊME POSITION Que l’on soit favorable, comme la CFE CGC, à la relance de la production nucléaire, pour des raisons évidentes de souveraineté énergétique, ou contre cette relance, nous nous accordons tous sur le fait que ce n’est pas le moment d’entamer de telles transformations organisationnelles. RISQUE DE FUSION OU DE CONFUSION ? Dans les process de fusion/acquisition d’entreprises entre elles, il y a toujours des phénomènes de baisse de performance inhérents aux changements organisationnels. L’humain, la technique, tout le monde en pâtît. MÉTAPHORONS LE MAROILLES Quiconque voudrait changer la recette du Maroilles – ou d’un autre fromage AOC – commettrait un sacrilège de garantie sur le goût et la qualité. J’habite près de Gravelines – la région du Maroilles d’ailleurs – la plus grande centrale nucléaire d'Europe et nous bénéficions de la sûreté nucléaire depuis 25 ans déjà. Quand une recette est sûre, il ne faut pas la changer au risque d'avoir des désagréments. SI VOUS CONNAISSEZ UN DEPUTE …AGISSEZ Demandez-lui de voter contre ce projet pour qu'il adopte une approche scientifiquement appropriée. Dites-lui que depuis plus de 20 ans, cette dualité challengée entre l’IRSN et l’ASN nous offre le meilleur niveau mondial de sécurité nucléaire. Demandez-leur solennellement, pour les députés abstentionnistes, de revenir sur leur vote, et cette fois-ci de se prononcer contre ce projet. Merci #nucléaire #sûreté #centrale #IRSN #ASN #gouvernement
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On ne verra plus ces 2 tours depuis l’A7 : Les 2 grandes tours du site nucléaire de Tricastin dans la Drôme ne feront plus partie du paysage d'ici 2026. L'Autorité de Sûreté Nucléaire a donné son feu vert à leur démolition le 4 juillet. 👉 Pour rappel : Ces 2 tours font partie d'une usine d'enrichissement de l'uranium qui a fonctionné de 1978 à 2012, l'usine d'Orano, à l'époque AREVA. 👉 Fonctionnement : Cette usine, Eurodif, permettait d'enrichir de l'uranium, c'est-à-dire de fournir du carburant aux centrales nucléaires. Le procédé était très consommateur d'électricité. Il dégageait également énormément de chaleur et avait besoin d'être refroidi. C'est là que ces tours aéroréfrigérantes intervenaient : l'eau, en s'évaporant dans ces tours, permettait de refroidir le système. 👉 Innovation : Depuis 2012, un autre procédé d'enrichissement de l'uranium est en place. Il consomme 98% d'électricité de moins et émet beaucoup moins de chaleur. Son refroidissement est plus simple. A voir sur https://lnkd.in/e-UPXHSj #nucléaire
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olome a l'honneur de participer à la 8e édition des Rendez-vous de Nuclear Valley. En tant qu’acteur de la transformation numérique dans le secteur #industriel, c’est l’occasion pour olome d’échanger sur les enjeux majeurs de l’industrie #nucléaire en France. Centré sur la Supply chain, la nécessité d’inclure le numérique n’est plus à défendre. D’autant plus que, dans ce secteur, les normes et les réglementations sont très strictes en matière de traçabilité sécurisée. #olome #RDVNV #supplychain
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La salle des machines de Flamanville 3 ronronne [sound on sur la vidéo 🔊] Nous étions à Flamanville 3 aujourd’hui avec plusieurs journalistes, l’occasion pour Alain Morvan (directeur projet Fla 3) et Grégory Heinfling (directeur exploitation Fla 3) de faire le point sur les opérations de démarrage. Du chemin a été parcouru depuis l’obtention de l’autorisation de démarrage le 7 mai dernier. Entre autres : ✅ chargement du combustible et fermeture de la cuve ✅ vérification de centaines de paramètres ✅ essais de fonctionnement de nombreux matériels ✅ non-objection de passage à 110 degrés délivrée par l’ASN Le circuit primaire a atteint récemment les 303 degrés et 155 bars de pression, ses conditions « d’arrêt à chaud » (proches de celles de fonctionnement), permettant aux équipes de s’atteler à une nouvelle série d’essais dits « à chaud ». Prochaine étape majeure : la divergence, c’est-à-dire la première réaction nucléaire. #nucleaire #energie
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Un grand merci à l’équipe Saint-Gobain SEVA d’avoir répondu présent à cette nouvelle édition des Rendez-vous Nuclear Valley !