Post de Saint-Louis

Tic-Tac Tic-Tac ⏰ Essais pour la mise en valeur de la Basilique et du Sanctuaire Saint-Joseph à Espaly-Saint-Marcel. Faire des essais d'éclairage de nuit est essentiel pour les mise en valeur. Ils permettent de voir comment la lumière souligne l'architecture, les détails et les textures des sujets à éclairer. C'est aussi l'occasion d'ajuster les angles, les températures de couleur et l'intensité des projecteurs.

Dans "Rythme des Strates", Sophie Dumont explore la notion de profondeur et de texture à travers une composition harmonieuse qui capte l'œil et l'esprit. Cette toile de 60x60 cm, réalisée à l'huile, présente un jeu fascinant de couleurs et de formes qui semblent s'entrelacer et se superposer, évoquant des strates géologiques ou des paysages naturels vus du ciel. Les choix chromatiques, oscillant entre des teintes chaudes et froides, créent un équilibre délicat, tandis que les coups de couteau à peindre apportent une richesse tactile et une matière qui donnent vie à l'œuvre. Chaque couche semble raconter une histoire, et l'interaction entre les couleurs évoque des sensations de mouvement et de rythme. Dumont réussit à évoquer la dualité de la nature, où la stabilité des strates se heurte à la fluidité des couleurs. Le regard est naturellement guidé à travers la toile, permettant au spectateur de plonger dans un monde où la sérénité et le dynamisme coexistent. Cette œuvre n'est pas seulement une représentation visuelle, mais une expérience sensorielle qui invite à la contemplation. En tant qu'historien de l'art, il est important de noter que l'utilisation du couteau à peindre, technique moins conventionnelle, permet à Dumont de se démarquer dans le paysage contemporain. "Rythme des Strates" est une invitation à redécouvrir la beauté des éléments naturels tout en offrant une réflexion sur la manière dont les artistes contemporains peuvent réinterpréter et redéfinir notre perception de la réalité.

Suspension TURNER Turner est une nouvelle suspension dynamique, composée avec un minimalisme silencieux et une précision sculpturale. Une sphère est découpée en une série d'orbites qui créent une apparence en constante évolution. La conception de Turner est le résultat direct de l'expérimentation du matériau cocon pulvérisé de polymère et de la construction en fil. Combinant une lueur douce avec une forme stricte, Turner est une lampe omnidirectionnelle qui bannit les ombres indésirables pour créer une surface blanche magnifiquement pure sur laquelle la lumière peut danser. Dimensions : Ø 50 cm / Ø 65 cm  Garantie 2 ans  LED E27 3000K 1x15W Max (non-inclus) IP20 Câble 300 cm  Délais : 3-4 semaines  Design : Pholc

https://lnkd.in/eUBKuGZ5 Depuis peu, les techniques de la numérisation sont au service du vitrail. Le résultat est une mise en abyme de l'archive par la reproduction d'une toile de Maître au sein d'une oeuvre d'art englobante, originale et unique.

La lampe la plus copiée au monde. Ça c’est de l’intro ! Un arc, un bloc en marbre et un diffuseur en forme de demi globe… c’est hyper simple et plus c’est simple plus c’est facile à copier surtout quand l’original a du succès ARCO = ARC, c’est de l’italien ! En plus d’être copiée elle a également inspiré de nombreux modèles mais toutes les lampes en arc ne sont pas des ARCO. Pour reconnaitre les vraies : Base parallélépipède en marbre de Carrare aux coins biseautés et perforés sur toute la profondeur par un tunnel qui n’est pas qu’esthétique, puisqu’il permet d’y faire passer un mache à balai pour déplacer le socle de 63 kg quand même ! Elle a été crée en 1962 par 2 des Frères CASTIGLIONI ; Pier Giacomo et Achille, respectivement né à Milan en 1913 et 1918 et ils se seraient inspirés entre autre des réverbères de rue, notamment pour la forme arrondie de la tige. Le 3ème frère Livio, l’aîné né en 1911 et décédé en 1979, est aussi architecte. Les 3 milanais sont les fils du sculpteur Gianinno Castiglioni et ils évoluent assez logiquement au contact des beaux art depuis leur naissance. Ils deviendront également tous 3 designers. Même si Livio préfèrera se concentrer sur son domaine de prédilection : la radio, en rejoignant notamment l’entreprise Phonola puis Brionvega. Là où le benjamin et le cadet préfèreront poursuivre leurs recherches appliquées à l’éclairage d’espace. Et comme par hasard il travailleront sur la mise en lumière de la Triennale de Milan, le rdv du design italien. Les deux designers ont toujours eu l’habitude de détourner des pièces détachées du matériel industriel. Comme le siège de tracteur de leur tabouret Mezzadro ou le phare de voiture pour une autre de leur lampe, la lampe TOIO. Avec leur sens aigue et génial du fonctionnel, ils vont livrer durant leur carrière de nombreuses icones du design à partir de trois fois rien. Dont une grande majorité étaient et sont encore aujourd’hui éditées par FLOS, un fabricant historique de luminaires italiens. Depuis sa création, plus de 200.000 ARCO ont été vendues dans le monde… des vraies bien sûr ! C’est ce que l’on appelle un « best-seller ». Mais contrairement à d’autres, ce succès critique, esthétique et commercial n’est pas vraiment dû au hasard. Les frères Castiglioni sont des designers particuliers avec une recette particulière. Tout d’abord ils aiment créer des objets malins mais néanmoins très étudiés et avec, chaque fois une petite dose d’ironie. Pour Arco, la recette a posteriori est vraiment simple sauf que personne d’autre ne l’a eu avant eux. Pour commencer, vous prenez donc un bloc de marbre… mais pas n’importe lequel, du marbre italien de Carrare sélectionné avec soin pour le tailler en forme de parallélépipède, vous y plantez un arc d’un peu plus de 2m d’acier inoxydable auquel vous suspendez un diffuseur/réflecteur en aluminium poli. La suite est à écouter ici : https://lnkd.in/g7NtkXkH

La lampe la plus copiée au monde. Ça c’est de l’intro ! Un arc, un bloc en marbre et un diffuseur en forme de demi globe… c’est hyper simple et plus c’est simple plus c’est facile à copier surtout quand l’original a du succès ARCO = ARC, c’est de l’italien ! En plus d’être copiée elle a également inspiré de nombreux modèles mais toutes les lampes en arc ne sont pas des ARCO. Pour reconnaitre les vraies : Base parallélépipède en marbre de Carrare aux coins biseautés et perforés sur toute la profondeur par un tunnel qui n’est pas qu’esthétique, puisqu’il permet d’y faire passer un mache à balai pour déplacer le socle de 63 kg quand même ! Elle a été crée en 1962 par 2 des Frères CASTIGLIONI ; Pier Giacomo et Achille, respectivement né à Milan en 1913 et 1918 et ils se seraient inspirés entre autre des réverbères de rue, notamment pour la forme arrondie de la tige. Le 3ème frère Livio, l’aîné né en 1911 et décédé en 1979, est aussi architecte. Les 3 milanais sont les fils du sculpteur Gianinno Castiglioni et ils évoluent assez logiquement au contact des beaux art depuis leur naissance. Ils deviendront également tous 3 designers. Même si Livio préfèrera se concentrer sur son domaine de prédilection : la radio, en rejoignant notamment l’entreprise Phonola puis Brionvega. Là où le benjamin et le cadet préfèreront poursuivre leurs recherches appliquées à l’éclairage d’espace. Et comme par hasard il travailleront sur la mise en lumière de la Triennale de Milan, le rdv du design italien. Les deux designers ont toujours eu l’habitude de détourner des pièces détachées du matériel industriel. Comme le siège de tracteur de leur tabouret Mezzadro ou le phare de voiture pour une autre de leur lampe, la lampe TOIO. Avec leur sens aigue et génial du fonctionnel, ils vont livrer durant leur carrière de nombreuses icones du design à partir de trois fois rien. Dont une grande majorité étaient et sont encore aujourd’hui éditées par FLOS, un fabricant historique de luminaires italiens. Depuis sa création, plus de 200.000 ARCO ont été vendues dans le monde… des vraies bien sûr ! C’est ce que l’on appelle un « best-seller ». Mais contrairement à d’autres, ce succès critique, esthétique et commercial n’est pas vraiment dû au hasard. Les frères Castiglioni sont des designers particuliers avec une recette particulière. Tout d’abord ils aiment créer des objets malins mais néanmoins très étudiés et avec, chaque fois une petite dose d’ironie. Pour Arco, la recette a posteriori est vraiment simple sauf que personne d’autre ne l’a eu avant eux. Pour commencer, vous prenez donc un bloc de marbre… mais pas n’importe lequel, du marbre italien de Carrare sélectionné avec soin pour le tailler en forme de parallélépipède, vous y plantez un arc d’un peu plus de 2m d’acier inoxydable auquel vous suspendez un diffuseur/réflecteur en aluminium poli. La suite est à écouter ici: https://lnkd.in/gJXYjgtr

Petit zoom sur deux baies à remplages vues côté Est du transept Sud de la Basilique Notre-Dame de l'Épine. Pour un rendu à l'échelle 1/50ème il est important (selon moi) de respecter le plus possible les profils qu'on peut récupérer sur la vue en plan des meneaux de la baie ou bien grâce aux informations tirées de la bonne lecture du reportage photos. L'idée est d'avoir un maximum d'indices outre la simple vue en élévation de l'orthoimage ou orthophoto pour proposer une retranscription sensée qui se rapproche toujours un peu plus de l'état existant du sujet. Mais ce n'est pas tout. Quand nous nous sommes dépatouillé du "méli mélo" de la moitié des réseaux en espérant appliquer un miroir par rapport à un axe de symétrie, il arrive parfois que l'on constate des écarts assez conséquents dûs aux pathologies de la baie. De plus, on peut trouver aussi des affaissements, des cassures, des deformations bref, il faut à ce moment là trouver une solution pour respecter l'asymétrie de la baie afin de livrer un résultat cohérent propre à la bonne compréhension du sujet. Dans le cas présent, ça s'est bien passé ! #architecture #patrimoine #dessinateur #plan #monument #étude #diagnostic #architecte #basilique #scanner3d #photogrammetrie #drone #illustration #relevé #restauration

L’exposition de Vidà Davide Vinattieri est visible à la Feng Shang Galerie/尚锋画廊 6, allée des pervenches 51100 Reims Du mercredi au samedi ( 10h-17h) fenghatat@gmail.com #Jaune Couleur primaire et donc base d’innombrables nuances de couleurs, le jaune était l’une des couleurs préférées des impressionnistes, de Matisse à Gauguin, en passant par Van Gogh et les représentants de l’art abstrait comme Mirò, qui recherchaient généralement des couleurs vives et contrastées dans les bons milieux. Une partie des mélanges de couleurs ont trouvé dans le jaune les deux caractéristiques recherchées, couleur chaude et primaire. Associé à la lumière, notamment solaire, le jaune fait référence à la notion d’éclairage rayonnant et donc au soleil, à l’or, à la joie, au bonheur et à la créativité. Avec les progrès de la science moderne, cette couleur est devenue le centre d’un débat de plus en plus passionné qui a même touché la très prestigieuse Académie Royale des Sciences de Paris, où des réunions encyclopédiques lui sont encore consacrées aujourd’hui, mêlant la passion pour les secteurs culturels des savo- irs naturels avec l’attention portée à d’autres plus impliqués dans les intérêts économiques de l’industrie, comme en témoignent les domaines d’études les plus développés de l’Académie, allant de la biologie à la biophysique, de la métrologie à la géodésie. L’orpiment est un minéral sulfure d’arsenic de couleur jaune doré très brillant. L’extraction du pigment dans ce cas est très simple car il suffit de broyer et de broyer le minéral lui-même. L’ocre jaune, quant à elle, présente une large gamme de nuances qui varient du jaune doré au brun clair. Il est extrait de la terre ocre, lavé plusieurs fois et laissé à décanter jusqu’à ce que tous les résidus et impuretés soient expul- sés ; le résidu est à nouveau broyé jusqu’à devenir une poudre très fine

🔨Vente Moderne, Mobilier et objets d’art Le 19 mars 2024, 13h30 À Drouot, Paris 🔨 Lot 106 Lizzie Alba Tictac, 2022 Pastels à l’huile et acrylique sur toile signée en bas à droite 120 x 80 cm 🔨Exposition : 18 mars 2024 de 11h à 18h Lien vers le lot 106 : https://lnkd.in/eruiQTsm #moa #auction #encheres #drouot #design #lizziealba #contemporaryart Le tableau représente une scène intrigante mettant en scène une panthère bleue, un vautour et des vanités. L’apparence mystérieuse et exotique de cette panthère bleue symbolise la force intérieure. La juxtaposition du vautour et de la panthère, crée un contraste intéressant, ce dernier étant un symbole de mort et de décadence. En somme, ce tableau nous invite à réfléchir sur les dualités de la nature et sur les cycles de la vie et de la mort. Les vanités renforcent ce questionnement, et remettent en question la quête incessante des plaisirs terrestres. Ce tableau traduit une véritable angoisse du temps qui passe chez l’artiste. La fleur de Lys, élément récurrent dans son travail, est encore un élément qui contraste le tableau dans son thème de vie et de mort, puisqu’elle l’associe à la pureté d’esprit et à la beauté intemporelle.

L’exposition de #VidàDavideVinattieri est visible à la Feng Shang #Galerie/尚锋画廊 6, allée des pervenches 51100 Reims Du mercredi au samedi ( 10h-17h) fenghatat@gmail.com #Jaune Couleur primaire et donc base d’innombrables nuances de couleurs, le jaune était l’une des couleurs préférées des impressionnistes, de Matisse à Gauguin, en passant par Van Gogh et les représentants de l’art abstrait comme Mirò, qui recherchaient généralement des couleurs vives et contrastées dans les bons milieux. Une partie des mélanges de couleurs ont trouvé dans le jaune les deux caractéristiques recherchées, couleur chaude et primaire. Associé à la lumière, notamment solaire, le jaune fait référence à la notion d’éclairage rayonnant et donc au soleil, à l’or, à la joie, au bonheur et à la créativité. Avec les progrès de la science moderne, cette couleur est devenue le centre d’un débat de plus en plus passionné qui a même touché la très prestigieuse Académie Royale des Sciences de Paris, où des réunions encyclopédiques lui sont encore consacrées aujourd’hui, mêlant la passion pour les secteurs culturels des savo- irs naturels avec l’attention portée à d’autres plus impliqués dans les intérêts économiques de l’industrie, comme en témoignent les domaines d’études les plus développés de l’Académie, allant de la biologie à la biophysique, de la métrologie à la géodésie. L’orpiment est un minéral sulfure d’arsenic de couleur jaune doré très brillant. L’extraction du pigment dans ce cas est très simple car il suffit de broyer et de broyer le minéral lui-même. L’ocre jaune, quant à elle, présente une large gamme de nuances qui varient du jaune doré au brun clair. Il est extrait de la terre ocre, lavé plusieurs fois et laissé à décanter jusqu’à ce que tous les résidus et impuretés soient expul- sés ; le résidu est à nouveau broyé jusqu’à devenir une poudre très fine.