Lorsque nous tentons de combler nos manques grâce à l’amour d’un homme nous nous fourvoyons, nous nous éloignons du sujet et pire nous éloignons par ce même cheminement de ce que nous pourrions obtenir. Ce qui nous rend encore plus malheureuse, dépendantes, coincée dans un étau qui nous fait croire que tout ceci ne correspond à rien, que l’amour n’existe pas ou du moins qu’il n’est pas pour nous Le souci c’est que l’on ne lâche pas prise, que l’on s’accroche à ce pseudo potentiel amour Car le vrai amour doit vous libérez et vous rendre heureuse Lorsque l’on aime un homme pour être aimée ce n’est pas de l’amour c’est une recherche incessante destinée à nous permettre de nous sentir validée, aimée et appréciez Mais comment un élément extérieur de « vous » pourrait vous le donner ? De quelle manière un homme pourrait voir ce que vous n’êtes pas capable de voir en tout premier lieu Vous ne vous faite pas confiance mais vous voudriez qu’il vous apporte la confiance Vous ne vous aimez pas mais vous aimeriez qu’il vous aime Vous vous rejetez mais vous voudriez qu’il ne vous rejette pas. Comment cela pourrait-il être possible ? Le travail que nous faisons avec mes étudiantes est la reconquête d’elles-mêmes pour les rendre plus fortes, plus grandes, plus puissantes, capables de se magnifier et de s’expandre dans leur vie, de briller comme il se doit. Parce qu’être heureuse est un droit divin, se sentir libre est une chose qui devrait etre naturelle, obtenir l’amour d’un homme surement pas un cassement de tête. Aussi, lorsque vous pensez que ne pas être heureuse en amour n’est pas une fatalité ce n’est pas vrai Vous pouvez changer les choses en allant vers vous-même, en faisaient amis amis avec vos potentialités pour enfin que cet homme vous découvre ou vous redécouvre comme cette femme merveilleuses que vous êtes.
Post de Samantha Love coach
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Lorsque nous tentons de combler nos manques grâce à l’amour d’un homme, nous nous fourvoyons, nous nous éloignons du sujet et, pire encore, nous nous éloignons de ce que nous pourrions obtenir. Cela nous rend encore plus malheureuses, dépendantes, coincées dans un étau qui nous fait croire que tout cela ne correspond à rien, que l’amour n’existe pas ou, du moins, qu’il n’est pas fait pour nous. Le problème, c’est que nous ne lâchons pas prise, que nous nous accrochons à ce pseudo-amour potentiel. Car le vrai amour doit vous libérer et vous rendre heureuse. Lorsque l’on aime un homme pour être aimée, ce n’est pas de l’amour. C’est une recherche incessante destinée à nous permettre de nous sentir validées, aimées et appréciées. Mais comment un élément extérieur à vous pourrait-il vous le donner ? De quelle manière un homme pourrait-il voir ce que vous n’êtes pas capable de voir en tout premier lieu ? Vous ne vous faites pas confiance, mais vous voudriez qu’il vous apporte la confiance. Vous ne vous aimez pas, mais vous aimeriez qu’il vous aime. Vous vous rejetez, mais vous voudriez qu’il ne vous rejette pas. Comment cela pourrait-il être possible ? Le travail que nous faisons avec mes étudiantes est la reconquête d’elles-mêmes pour les rendre plus fortes, plus grandes, plus puissantes, capables de se magnifier et de s’épanouir dans leur vie, de briller comme il se doit. Parce qu’être heureuse est un droit divin, se sentir libre est une chose qui devrait être naturelle, obtenir l’amour d’un homme ne devrait sûrement pas être un casse-tête. Aussi, lorsque vous pensez que ne pas être heureuse en amour est une fatalité, ce n’est pas vrai. Vous pouvez changer les choses en allant vers vous-même, en faisant ami-ami avec vos potentialités pour que cet homme vous découvre ou vous redécouvre enfin comme la femme merveilleuse que vous êtes. ☎🚀Candidatez à un diagnostic amoureux offert : https://lnkd.in/eW9g6R9d #samanthaporpiglialovecoach#reussirsarelationamoureuse#femmeheureuse#dependanceaffective
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Comment savoir si un homme éprouve de l'amour ou seulement du désir envers vous ? Imaginons un instant que la distinction entre amour et désir soit aussi illusoire que le fil d'Ariane dans le labyrinthe du Minotaure. Et si, contrairement à ce que nous avons toujours cru, l'amour et le désir n'étaient que les deux faces d'une même pièce, indissociables et complémentaires ? Considérons l'hypothèse audacieuse que l'amour, tel que nous le concevons traditionnellement, n'est qu'une construction sociale, un mythe moderne aussi puissant que celui de Pygmalion et Galatée. Le désir, quant à lui, serait la seule réalité tangible, mesurable par nos neurosciences modernes. Mais allons plus loin ! Et si la quête même de cette distinction entre amour et désir était notre véritable Odyssée personnelle ? Comme Ulysse cherchant à rentrer à Ithaque, nous errons dans le chaos de nos émotions, cherchant un signe, une preuve d'un amour "véritable". Osons l'hypothèse révolutionnaire : l'amour n'existerait pas en soi, mais serait plutôt une forme évoluée de désir, modelée par notre cortex préfrontal pour s'adapter aux exigences de la vie en société. Tout comme Zeus se métamorphosait pour séduire les mortelles, le désir se transformerait en "amour" pour être accepté par notre conscience morale. Prenons l'exemple d'Héra, déesse du mariage, constamment trompée par Zeus. Son attachement obstiné à son époux volage ne serait-il pas la preuve que l'amour n'est qu'une forme de désir socialement acceptée, une illusion nécessaire pour maintenir l'ordre social ? Dans cette perspective, chercher à savoir si un homme éprouve de l'amour ou seulement du désir reviendrait à vouloir séparer l'eau de l'océan. Ce qui compte vraiment, c'est l'intensité et la qualité de l'interaction, pas sa catégorisation arbitraire. Plutôt que de chercher des signes d'amour, ne devrions-nous pas nous concentrer sur la manière dont cette relation nous transforme ? Comme Apollon poursuivant Daphné, c'est peut-être dans la quête elle-même que réside la véritable valeur de l'expérience amoureuse. En définitive, la question "amour ou désir ?" est peut-être aussi stérile que le lit de Procuste. Au lieu de chercher à faire entrer nos expériences dans des cases prédéfinies, nous devrions peut-être embrasser la complexité et l'ambiguïté de nos relations, accepter qu'elles puissent être à la fois désir brûlant et tendresse profonde, passion dévorante et compagnonnage paisible. Comme Orphée descendant aux Enfers pour retrouver Eurydice, nous devrions peut-être avoir le courage de plonger dans l'inconnu de nos relations, sans chercher à les définir ou à les contrôler, mais en les vivant pleinement, avec toute leur intensité et leur mystère. Vous pouvez retrouver sur notre chaîne YouTube @brunomarchal sur laquelle nous parlons de relations humaines chaque jour et de relations de couple en particulier pour vous aider.
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Chère Femme Sacrée, Ne te laisse pas impressionner parce que les autres peuvent dire sur Toi... Ils ne parlent que d'eux-mêmes et de ce qu'ils ont à se reprocher... Ce que tu vis souvent les dérange et ils t'en veulent de ne pas y arriver aussi bien que toi.... N'oublies pas : "le Juge-ment" Fais confiance en ton intuition et oses enfin être celle que tu as toujours rêvé d'être ! Sers-toi de tes épreuves pour affûter et affiner ton but et sors-en encore plus forte et grandie qu'auparavant !! Prends le temps et ralentis ta quête, la précipitation et le stress empêchent de poser les bonnes actions et de prendre soin des détails... Prends conscience des gens qui t'aiment vraiment et rappelles-toi que rien n'est éternel sauf l'amour... Tout le reste ne compte pas et ne comptera jamais. Alors fais de la place au nouveau, enlèves de ta vie les gens et les situations qui te font barrage et avance vers ta plus belle réalisation !! Pour terminer, pense à cette phrase de Lise Bourbeau "Il n'y a pas de gens méchants, il y a que des gens souffrants qui ont des comportements de méchants". Cette phrase s'applique à tout le monde car lorsqu'on est en réaction et qu'on se venge par des actions et des paroles dures, c'est tout simplement qu'on a peur de ne pas être aimé, rejeté, contrôlé ou humilié... C'est un amour déçu qui cherche à exprimer sa douleur, sa déception et son amertume... Prends bien soin d'éviter de citer aux autres leurs défauts ou ce qu'ils devraient faire d'après toi sans qu'ils te l'aient préalablement demandé. Chacun doit faire ses expériences et le bien/mal n'existant pas, il n'y a en réalité aucun problème.., il n'y a que des situations/expériences à vivre. Alors sachant qu'en réalité TOUT EST AMOUR, laisse briller de Sa toute puissance ton Âme et avances conquérante et gagnante au Centre de Toi-Même !!
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Il est tout aussi important de savoir quitter les projections et projets des autres que d’être amoureux. Si l’amour nous pousse souvent à nous ouvrir aux autres, il existe un amour plus profond et plus calme qui exige rigoureusement que nous nous ouvrions d’abord à nous-mêmes. C’est un amour qui reconnaît notre valeur et refuse d’accepter quoi que ce soit de moins que ce qui honore notre valeur. Lorsque les gens croient que vous tolérerez n’importe quelle circonstance – irrespect, négligence ou maltraitance – ils commencent à tester ces croyances et critères limitants, consciemment et inconsciemment. Ils commencent à voir ce qu’ils peuvent faire, jusqu’où ils peuvent aller et ce que vous allez endurer dans ce territoire et terrain. C’est pourquoi apprendre à partir et comprendre à quel moment agir est un acte de respect et protection de soi. Il ne s’agit pas d’abandonner facilement ; il s’agit de comprendre, quand rester n’est plus un reflet d’amour, mais un compromis de votre dignité. Être un partant ne signifie pas que vous ne vous en souciez pas. En fait, cela signifie souvent que vous vous souciez profondément – si profondément de la relation que vous refusez de laisser quelqu’un diminuer cet amour propre. Il s’agit de se saisir soi-même dans les moments où les autres choisissent de vous prendre pour acquis. Partir n’est pas facile, surtout quand votre cœur est investi, c’est un acte nécessaire d’auto-préservation lorsque la situation ne vous sert plus. Partir n’est pas un signe de lâcheté, c’est une déclaration de force. Cela signifie : « Je sais ce que j’apporte à la table et refuse ce contentement insignifiant que du respect mutuel, et de l’amour . ». Il s’agit de maîtriser l’art de l’amour de soi si profondément que vous vous faites confiance pour laisser derrière vous ce qui ne correspond pas à votre paix, votre croissance et votre bonheur. Partir est une forme décisive d'exigence et une fidélité rigoureuse. Cela demande d’honorer l’amour que vous avez ressenti en reconnaissant simultanément que certaines connexions ne sont pas destinées à durer. Cela demande le deuil de la perte tout en célébrant le courage qu’il a fallu pour partir. Il ne s’agit pas d’amertume ou de ressentiment, mais de libérer ce qui ne nourrit plus et faire de la place pour ce qui le fera. Le pouvoir de partir réside dans sa capacité à donner le ton à la façon dont les autres vous traitent. Lorsque vous montrez que vous ne tolérez pas le l'irrespect, la manipulation ou l’indifférence, vous apprenez aux gens à apprécier votre présence. Vous montrez que votre amour est un privilège, pas quelque chose à prendre à la légère. Et aussi difficile que cela puisse être, partir est souvent un cadeau que vous vous faites. C’est une chance de récupérer votre énergie, de redécouvrir votre valeur et de vous réaligner avec la version de vous-même qui mérite d’être chérie. Parce que parfois, cet acte d’amour propre est de partir vous honorer. Page : Coach Mantas
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L’amour non réciproque L’amour non réciproque est la forme d’amour impossible la plus répandue. Amour à sens unique ou amour non partagé, la personne que vous aimez n’éprouve pas la même chose à votre égard. Vous pensez d’abord que votre prétendant à tout du comportement d’un homme qui cache ses sentiments, qu’il est probablement timide et n’ose se révéler avant d’être certain d’avoir une chance avec vous. Vous décidez donc de le conquérir… mais au fur et à mesure que vous dévoilez vos sentiments, vous commencez à déceler les signes d’un amour non réciproque : il refuse vos invitations à dîner, vous parle de ses nouvelles conquêtes, vous relègue dans la “friendzone”, vous vous demandez même pourquoi il prend ses distances. Tout aussi douloureux soit-il, il faut se rendre à l’évidence. L’homme que vous aimez n’est pas du tout intéressé par une relation plus intime que celle qui vous lie. Et bien qu’il vous apprécie sincèrement, il ne vous aime pas en retour... coach Elansari Nezha
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En cette fin d'année et début d'une nouvelle, une petite réflexion pour ceux et celles pour qui la relation est peut être compliquée...😉🤔 On se dispute, parfois, pour des choses insignifiantes, un mot de trop. Mais la vérité, c’est que le véritable amour n’est pas le conte de fées dont on nous a parlé en grandissant. C’est brut, imparfait, parfois chaotique et épuisant. Pourtant, on choisit de rester. Pas parce que c’est facile, mais parce que partir n’est pas une option quand ce que l’on a construit est sincère et réel. C’est dire : « J’aime même les parties les plus difficiles de toi, et je suis toujours là. » C’est là que la maturité entre en jeu. Comprendre que l’amour, ce n’est pas juste la passion ou l’excitation des débuts. C’est aussi de la patience, de l’engagement, et parfois du compromis. C’est affronter l’autre, même quand on préférerait fuir, avec la certitude que chaque conflit est une occasion d’apprendre, de grandir et de se rapprocher. On reste, non pas parce que tout est toujours rose ou par peur de la solitude, mais parce que l’amour est un choix. Ce choix d’être là, non seulement dans les moments faciles, mais aussi dans les périodes difficiles. C’est reconnaître que les relations ne reposent pas sur la perfection, mais sur l’amélioration mutuelle. L’amour, c’est tenir bon quand il serait plus simple de lâcher prise. C’est comprendre que la véritable beauté de l’amour ne réside pas dans l’évitement des obstacles, mais dans la capacité à les surmonter et à guérir ensemble. Alors oui, on se dispute, on répare, on aime, et on reste. Pas parce qu’on y est obligé, mais parce qu’on le choisit. Chaque jour. C’est ça, le véritable amour. 🙏🙏🙏💑🌹
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Il est bon aussi d’aimer ; car l’amour est difficile. L’amour d’un être humain pour un autre, c’est peut-être l’épreuve la plus difficile pour chacun de nous, c’est le plus haut témoignage de nous-même ; l’œuvre suprême dont toutes les autres ne sont que les préparations. C’est pour cela que les êtres jeunes, neufs en toutes choses, ne savent pas encore aimer ; ils doivent apprendre. De toutes les forces de leur être, concentrées dans leur cœur qui bat anxieux et solitaire, ils apprennent à aimer. Tout apprentissage est un temps de clôture. Ainsi pour celui qui aime, l’amour n’est longtemps, et jusqu’au large de la vie, que solitude, solitude toujours plus intense et plus profonde. L’amour ce n’est pas dès l’abord se donner, s’unir à un autre. (Que serait l’union de deux êtres encore imprécis, inachevés, dépendants ?) L’amour, c’est l’occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde pour l’amour de l’être aimé. C’est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime un élu qu’appelle le large. Dans l’amour, quand il se présente, ce n’est que l’obligation de travailler à eux-mêmes que les êtres jeunes devraient voir (zu horchen und zu hämmern Tag und Nacht). Se perdre dans un autre, se donner à un autre, toutes les façons de s’unir ne sont pas encore pour eux. Il leur faut d’abord thésauriser longtemps, accumuler beaucoup. Le don de soi-même est un achèvement : l’homme en est peut-être encore incapable. Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke. @Passion des mots, passion de la vie !
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« On se dispute, parfois pour des choses insignifiantes : des factures, des horaires ou un mot de trop. Mais la vérité, c’est que le véritable amour n’est pas le conte de fées dont on nous a parlé en grandissant. C’est brut, imparfait, parfois chaotique et épuisant. Pourtant, on choisit de rester. Pas parce que c’est facile, mais parce que partir n’est pas une option quand ce que l’on a construit est sincère et réel. C’est dire : « J’aime même les parties les plus difficiles de toi, et je suis toujours là. » C’est là que la maturité entre en jeu. Comprendre que l’amour, ce n’est pas juste la passion ou l’excitation des débuts. C’est aussi de la patience, de l’engagement, et parfois du compromis. C’est affronter l’autre, même quand on préférerait fuir, avec la certitude que chaque conflit est une occasion d’apprendre, de grandir et de se rapprocher. On reste, non pas parce que tout est toujours rose ou par peur de la solitude, mais parce que l’amour est un choix. Ce choix d’être là, non seulement dans les moments faciles, mais aussi dans les périodes difficiles. C’est reconnaître que les relations ne reposent pas sur la perfection, mais sur l’amélioration mutuelle. L’amour, c’est tenir bon quand il serait plus simple de lâcher prise. C’est comprendre que la véritable beauté de l’amour ne réside pas dans l’évitement des obstacles, mais dans la capacité à les surmonter et à guérir ensemble. Alors oui, on se dispute, on répare, on aime, et on reste. Pas parce qu’on y est obligé, mais parce qu’on le choisit. Chaque jour. C’est ça, le véritable amour. ❤️ » Texte de Laurent Martel
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| NOS PREMIÈRES RELATIONS COLORENT LES AUTRES | Quand on a vécu enfant un amour conditionnel, un amour exigent ou maltraitant, sacrificiel ou inconstant, une fois adulte on va tout naturellement se tourner vers ce que l'on connaît et ce à quoi on s'est adapté. Même quand on a connu des environnements aimants, des dysfonctionnements, des déséquilibres peuvent exister qui ont impacté durablement et en profondeur notre vision de l'amour. Cela donnera dans notre vie d'adulte une capacité, une "préférence" à s'engager dans des relations plus ou moins saines demandant de déployer beaucoup d'énergie pour des résultats décevants, toujours blessants. C'est ce climat énergétique intense qui nous attire. On voudrait la paix, pourtant les personnes qui nous l'offrent nous ennuient... En mettant ensemble du sens sur vos expériences vous allez pouvoir remettre de la justesse, déployer le pouvoir guérisseur de votre coeur aimant pour vous-même et vivre cet amour profond, bon, paisible, riche AVEC les autres. L'amour ne fait pas souffrir. L'amour rime avec paix et sécurité 🙏❣️ Et si vous mettiez de cet amour-là dans votre vie ? Qu'est-ce qui changerait ? Je vous lis en commentaire ou en mp avec plaisir et intérêt. Anne Cizaire Psycho-praticienne en Gestalt Thérapie 🌿 #croissancepersonnelle #écoutersoncoeur #philosophiedevie #thérapiehumaniste #thérapieintégrative #thérapieholistique #lamour #lebon #lapaix #vousaussi #vousdabord #vivreaveclesautres
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Aimer l'impossible, l'interdit et le vivre.« L'amour, cette énigme transcendantale, se dévoile souvent comme une quête déchirante vers l’inaccessible. Lorsque l'objet de notre affection se révèle hors de portée, il devient un symbole d'un idéal platoniquement irréalisable, une abstraction à laquelle nous nous accrochons avec une ferveur presque religieuse. En ce sens, l'amour pour une femme impossible est une métaphore de la condition humaine elle-même : une aspiration perpétuelle vers ce qui ne peut jamais entièrement se concrétiser dans notre réalité empirique.L’impossibilité de cet amour est le miroir d’une vérité plus profonde sur la nature du désir. Le désir, en tant que force motrice, ne se contente jamais de l’atteinte de son but, mais se nourrit des obstacles qui se dressent entre l'amant et l'objet de son affection. Cet amour impossible devient ainsi une forme pure de l’idéalisation, où le manque et l’inaccessibilité amplifient l’intensité du sentiment, créant un espace où la passion s’épanouit dans la privation.Dans cette configuration, la femme impossible n’est pas simplement un être individuel, mais une projection de nos propres aspirations inassouvies et de nos contradictions internes. Elle incarne les limites de notre compréhension et les contours flous de nos rêves, une figure idéale que nous poursuivons en dépit de sa nature inévitablement insaisissable. C'est dans cette quête que l'amour, en tant que concept philosophique, trouve son essence : non pas dans la réalisation matérielle, mais dans la persistance du désir et la sublimation de notre quête vers l’inaccessible.Ainsi, aimer une femme impossible devient une exploration de l'infini et une réflexion sur la nature du bonheur. C'est une invitation à embrasser la contradiction, à trouver une forme de complétude dans la quête elle-même plutôt que dans l'atteinte du but. L’amour impossible, alors, n'est pas un échec, mais une ode à la beauté de ce qui demeure toujours à l'horizon de notre compréhension.Avec cette perspective, nous apprenons que l’amour n’est pas une possession, mais une expérience transcendante, une danse éternelle entre l'aspiration et la réalisation, entre le tangible et l’éternel. »Sam Kalifi pour Sab Mer.
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