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📊 Quelle évolution de la production d’aliments composés à horizon 2030 ? Cette 2ème édition de l’étude prospective réalisée par La Coopération Agricole Nutrition animale a pour objectif de fournir des #tendances d’évolutions de la production d’aliments composés. 📅 Retrouvez dans cette note les principaux résultats obtenus, les facteurs d’évolutions et les volumes anticipés pour les prochaines années, avec des focus en bovins, porcs et volailles. 🐄 🐖 🐔 👉 Les opérateurs prévoient un léger sursaut de la production en 2024 puis une baisse ↘ les années suivantes pour atteindre une production d’aliments un peu au-dessus de 18 millions de tonnes en 2030. 🏭👨🌾 Cc : Valérie Bris - La Coopération Agricole Pôle Animal - La Coopération Agricole - Métiers du Grain - Gaëlle DUPAS VAISSET - Yann Nédélec - Anne RICHARD - SNIA - Les entreprises de la Nutrition Animale - AFCA-CIAL - Christelle Houdard - Interprofession ANVOL - Philippe Bizien - Francois Ryckebusch - François BLOC - Jean-Marc LE FRANC - Johan Marcon - sebastien blot - Gabriel Pecoul - Simon Siles - Dominique Charge - INTERBEV

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📢📢📢 𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 Confiants et ambitieux pour l'avenir de l'élevage en France : les professionnels de la nutrition animale visent 20 millions de tonnes dès 2025 Le Syndicat National de l’Industrie de l’Alimentation Animale (SNIA) vise 20 millions de tonnes d’aliments produits dès 2025, en s’inscrivant dans une trajectoire ambitieuse de réduction des Gaz à Effet de Serre sur 10 ans, fixée à -20 % d’ici 2030. Pour relever le défi, le SNIA vient d’actualiser sa démarche de Responsabilité sociétale initiée pour le secteur dès 2020. « Respons » devient « Respons 2.0 » en 2024, en écho à la volonté du Syndicat de renforcer sa collaboration avec les filières végétales et animales. Les entreprises de nutrition animale sont ainsi en ordre de marche pour soutenir les éleveurs français, déterminés à regagner des parts de marché sur les importations, tout en les accompagnant vers la décarbonation, en agissant sur la valeur carbone des aliments proposés et la quantité nécessaire. Les entreprises proposent en effet des solutions techniques adaptées et une gestion maîtrisée des volumes d’aliments requis, grâce à l’amélioration des performances des rations, en lien avec la sélection des animaux et les différentes conduites d’élevages. 📍 SNIA - Les entreprises de la Nutrition Animale, Stéphane Radet, Philippe MANRY, European Commission, European Parliament, FEFAC, Plateforme Duralim, Interprofession CNPO, Interprofession ANVOL, Interprofession CIFOG, Inaporc, INTERCEREALES, Terres Univia, Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, ANFM Meunerie Française 𝗟𝗜𝗥𝗘 𝗟𝗘 𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 ⬇️⬇️⬇️ #nutritionanimale #elevage #alimentation #madeinfrance

Chers professionnels de l'élevage belge, Le bilan de février met en évidence une constance dans la qualité du lait au sein des exploitations utilisant notre système SALVE. Une légère diminution des germes totaux a été notée, reflétant l'efficacité des protocoles en place. 🔎 Points essentiels : ➡ Une moyenne des cellules somatiques à 237,22 x1000/mL ➡ Un taux de butyreux (TB) optimal à 4,27 g/100L ➡ Un taux de protéines (TP) stable à 3,50 g/100L Il est crucial de maintenir une surveillance et une maintenance rigoureuses des installations pour assurer la pérennité de ces résultats. Nous encourageons le dialogue entre techniciens et comités du lait pour des stratégies d'amélioration continue. 📈  Pour une analyse détaillée et des recommandations sur mesure, visitez notre site www.rumexperts.vet et nos outils www.salve.vet. #Agroalimentaire #InnovationÉlevage #RumeXperts #SALVE

𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 Confiants et ambitieux pour l'avenir de l'élevage en France : les professionnels de la nutrition animale visent 20 millions de tonnes dès 2025 Le Syndicat National de l’Industrie de l’Alimentation Animale (SNIA) vise 20 millions de tonnes d’aliments produits dès 2025, en s’inscrivant dans une trajectoire ambitieuse de réduction des Gaz à Effet de Serre sur 10 ans, fixée à -20 % d’ici 2030. Pour relever le défi, le SNIA vient d’actualiser sa démarche de Responsabilité sociétale initiée pour le secteur dès 2020. « Respons » devient « Respons 2.0 » en 2024, en écho à la volonté du Syndicat de renforcer sa collaboration avec les filières végétales et animales. Les entreprises de nutrition animale sont ainsi en ordre de marche pour soutenir les éleveurs français, déterminés à regagner des parts de marché sur les importations, tout en les accompagnant vers la décarbonation, en agissant sur la valeur carbone des aliments proposés et la quantité nécessaire. Les entreprises proposent en effet des solutions techniques adaptées et une gestion maîtrisée des volumes d’aliments requis, grâce à l’amélioration des performances des rations, en lien avec la sélection des animaux et les différentes conduites d’élevages. 📍 SNIA - Les entreprises de la Nutrition Animale, Stéphane Radet, Philippe MANRY, European Commission, European Parliament, FEFAC, Plateforme Duralim, Interprofession CNPO, Interprofession ANVOL, Interprofession CIFOG, Inaporc, INTERCEREALES, Terres Univia, Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, ANFM Meunerie Française Sophie Gilbert Arnault Narcy Sandra FERHAT 𝗟𝗜𝗥𝗘 𝗟𝗘 𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 ⬇️⬇️⬇️ #nutritionanimale #elevage #alimentation #madeinfrance

𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 Confiants et ambitieux pour l'avenir de l'élevage en France : les professionnels de la nutrition animale visent 20 millions de tonnes dès 2025 Le Syndicat National de l’Industrie de l’Alimentation Animale (SNIA) vise 20 millions de tonnes d’aliments produits dès 2025, en s’inscrivant dans une trajectoire ambitieuse de réduction des Gaz à Effet de Serre sur 10 ans, fixée à -20 % d’ici 2030. Pour relever le défi, le SNIA vient d’actualiser sa démarche de Responsabilité sociétale initiée pour le secteur dès 2020. « Respons » devient « Respons 2.0 » en 2024, en écho à la volonté du Syndicat de renforcer sa collaboration avec les filières végétales et animales. Les entreprises de nutrition animale sont ainsi en ordre de marche pour soutenir les éleveurs français, déterminés à regagner des parts de marché sur les importations, tout en les accompagnant vers la décarbonation, en agissant sur la valeur carbone des aliments proposés et la quantité nécessaire. Les entreprises proposent en effet des solutions techniques adaptées et une gestion maîtrisée des volumes d’aliments requis, grâce à l’amélioration des performances des rations, en lien avec la sélection des animaux et les différentes conduites d’élevages. 📍 SNIA - Les entreprises de la Nutrition Animale, Stéphane Radet, Philippe MANRY, European Commission, European Parliament, FEFAC, Plateforme Duralim, Interprofession CNPO, Interprofession ANVOL, Interprofession CIFOG, Inaporc, INTERCEREALES, Terres Univia, Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, ANFM Meunerie Française Agence Adocom-RP Sophie Gilbert Sandra FERHAT 𝗟𝗜𝗥𝗘 𝗟𝗘 𝗗𝗢𝗦𝗦𝗜𝗘𝗥 𝗗𝗘 𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗘 ⬇️⬇️⬇️ #nutritionanimale #elevage #alimentation #madeinfrance

L’AFCA-CIAL, le SNIA - Les entreprises de la Nutrition Animale et La Coopération Agricole Nutrition animale ont établi un plan sectoriel “Nutrition Animale” pour contribuer à la souveraineté et à la compétitivité de l'élevage français, sous l’impulsion du Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. 🐄 👩🌾 🎯 Ce plan sectoriel pour une nutrition animale décarbonée et compétitive se décline en 5 axes : 1. Gagner en efficience par la nutrition de précision 2. Œuvrer pour la compétitivité des filières d’élevage 3. Décarboner et réduire les impacts environnementaux 4. Contribuer à la santé et au bien-être animal 5. Nourrir les animaux pour nourrir la population en diversité et en qualité Il a pour ambition d'être intégré dans les plans “filières” interprofessionnels. 📢 Nous vous invitons à lire le communiqué de presse joint. CNIEL Inaporc INTERBEV Interprofession ANVOL ANICAP FBL FNO FEDERATION NATIONALE OVINE Interprofession CNPO CLIPP - Interprofession du lapin Fédération Nationale Bovine Fédération Nationale des Éleveurs de Chèvres - FNEC Fédération Nationale des Producteurs de Lait (FNPL) Comité Interprofessionnel du Foie Gras (CIFOG) FNSEA La Coopération Agricole Coordination Rurale

Nous sommes tous consommateur. Souhaitons-nous consommer des OGM (organismes génétiquement modifiés) ou des produits d'origine animale issus d'animaux qui ont consommé des OGM? Souhaitons-nous consommer des aliments contaminés aux pesticides. Souhaitons-nous consommer des produits d'origine animale contaminés aux antibiotiques? ou avec des hormones? L'alimentation est très surveillée en France, tant sur la qualité (inspection vétérinaire), que sur la sincérité (contrôle des fraudes). Si nous exigeons que nos agriculteurs lavent plus blanc que blanc, il faut être aussi exigeants avec les produits importés. Le sommes nous?

🐮🌽 Echange de bons procédés En ce moment, la campagne Echange céréales-Aliments (ECA) bat son plein pour l'équipe Nutrition Animale Bellanné. Forts de nos deux activités : Productions Végétales & Nutrition Animale, nous sommes en mesure de proposer à nos clients de valoriser leurs céréales en aliment. 🌽 Concrètement, la part de céréale contractualisée en ECA et incorporée dans l’aliment, est déduite du prix de ce dernier. 🐮 Et les animaux bénéficient d’un aliment aux qualités physiques, techniques et nutritionnelles, qui leur permet de mieux valoriser l’énergie et l’amidon de la ration. 👨🌾 Simple, efficace et pratique pour l’éleveur.

La demande pour les protéines d'insectes est appelée à grandir par 4900% d'ici la fin de la décennie pour atteindre 500 000 tonnes annuellement en 2030 et ce, seulement pour l'alimentation animale. L'article mentionne qu'à ce jour, seulement 25% de la population américaine est ouverte à intégrer ses insectes à son alimentation. À ce stade, je trouve que c'est déjà très bon! L'acceptabilité va venir avec le temps, tout comme ça s'est passé avec plein d'autres aliments dans le passé (crustacés, sushis, protéines végétales, etc). Fait intéressant, ce taux était à 30%+ à l'automne 2022 selon un sondage de Léger Marketing. Par contre, ce taux d'acceptabilité est beaucoup plus élevé lorsqu'on parle de manger de la viande qui a été nourrie à partir d'insectes (poules, poisson, etc.) Ce taux est encore plus élevé lorsque c'est pour nourrir ses animaux de compagnie avec des aliments à base d'insectes. L'avenir immédiat des fermes d'insectes passe inévitablement par l'alimentation animale car c'est ce qui nous fait vivre et avancer actuellement. Lorsque nos élevage seront automatisés, que nos prix de production auront chutés, l'industrie va être en mesure de fournir un aliment sain, durable et très abordable et c'est ce qui va provoquer le changement de cap pour l'alimentation humaine. https://lnkd.in/evJbzc9S