Post de Segame & Maalmi

/ Les chiffres clés de la Musique et de l’Image / 20% : c’est la part des titres certifiés à l’international en 2023 affichant une présence féminine. Selon l’étude publiée par le Centre national de la musique portant sur les chiffres de l’export de la production musicale française en 2023, seulement 20% des nouveautés certifiées à l’étranger affichent une présence féminine (4 % en solo et 16 % en mixte). À noter que plusieurs artistes féminines françaises se démarquent toutefois et participent activement aux performances de la musique « made in France » à l’international, avec parmi elles Aya Nakamura, La Zarra, Nej ou encore Mayra Andrade.

[DISPOSITIF DE COMPOSITEUR·RICE ASSOCIÉ·E DANS LES SCÈNES PLURIDISCIPLINAIRES] Plus que quelques jours pour déposer un dossier pour ce dispositif, la date limite de dépôt étant fixée au 29 février. Déclinaison de la résidence d'artiste associé·e, le dispositif d'association d'un·e compositeur·rice à une scène pluridisciplinaire renforce la présence durable d'artistes et de créateur·rice·s au sein des établissements culturels. Le Ministère de la Culture et la Sacem attribuent une subvention aux porteurs de tels projets. Le dispositif permet d’améliorer la place de la création musicale dans les réseaux des scènes pluridisciplinaires et facilite l’accès des compositeur·rice·s aux outils et aux moyens de production et de diffusion. Il permet de donner une place structurante de la musique à moyen et long terme, pour la diffusion mais aussi la production et les actions d’éducation artistiques et culturelles. Il vise à favoriser la rencontre entre les artistes, les œuvres et le public. Date limite de dépôt des dossiers : 29 février 2024 https://lnkd.in/dwAVvztB

🎶 Clauses des Contrats de Musique : Ce que Chaque Artiste Doit Savoir pour Éviter les Pièges ! 🎶 Naviguer dans le monde des contrats de musique peut être complexe et intimidant, mais comprendre les clauses essentielles peut faire toute la différence pour protéger les droits et les intérêts d'un artiste. Voici quelques-unes des clauses les plus importantes et les pièges courants à éviter : 1. Durée du contrat 🕒 Terme Initial et Renouvellement : L'artiste doit comprendre la durée initiale du contrat et les conditions de renouvellement. Il doit se méfier des contrats à long terme sans clauses de sortie. 2. Enregistrement et production 🎤 Obligations d'Enregistrement : L'artiste doit vérifier le nombre d'albums ou de chansons à produire et s'assurer que le budget de production alloué est suffisant pour réaliser sa vision artistique. 3. Avances et paiements 💰 Avance : Une avance peut sembler attractive, mais elle est souvent récupérable sur les futurs revenus. L'artiste doit comprendre les termes de remboursement. 📈 Royalties : L'artiste doit connaître le pourcentage de royalties et les méthodes de calcul, en étant attentif aux déductions et frais qui peuvent réduire les revenus nets. 4. Droits d'auteur et propriété 📝 Droits d'Auteur : L'artiste doit déterminer qui détient les droits d'auteur sur ses compositions et enregistrements, et éviter de céder ses droits sans une compensation équitable. 🔒 Licence : Il doit comprendre les droits accordés au label ou à la maison de disques pour utiliser, distribuer et vendre sa musique. 5. Touring et performances 🎸 Tour Support : L'artiste doit vérifier si le contrat inclut un soutien financier pour les tournées, car les coûts de tournée peuvent s'accumuler rapidement. 🎟️ Obligations de Performance : Il doit être clair sur les exigences concernant ses performances en direct pour éviter les surcharges de travail. 6. Distribution 🌍 Territoires : L'artiste doit comprendre où sa musique sera distribuée et s'assurer que les territoires inclus sont en ligne avec ses objectifs de carrière. 💿 Formats de Distribution : Il doit confirmer les formats de distribution (numérique, physique) et s'assurer qu'ils correspondent à son public cible. Avant de signer tout contrat, il est essentiel que l'artiste consulte un avocat spécialisé en droit de la musique pour s'assurer que ses intérêts sont protégés et qu'il comprend toutes les implications.

🎶 Les défis croissants des musiciens indépendants face à un marché saturé 🎶 Une étude récente menée par Right Chord Music, Musosoup, et Major Labl Artist Club souligne les difficultés auxquelles font face les artistes indépendants. Rémunération incertaine (62% ne perçoivent pas leurs revenus), concurrence accrue, essor de la musique générée par l'IA… tout complique leur visibilité. L'enquête, menée auprès de 300 artistes de 64 pays, met en lumière plusieurs enjeux majeurs, notamment une rémunération équitable difficile à obtenir, avec 62 % des participants incertains ou affirmant ne pas recevoir l'argent dû. De plus, la saturation du marché musical et l'essor de la musique générée par l'IA compliquent la visibilité des artistes, tandis que la construction d'une base de fans fidèles via les réseaux sociaux, en particulier Instagram, reste un défi majeur. Enfin, les musiciens utilisent divers services pour promouvoir leur musique, DistroKid étant à la fois le plus utilisé et controversé. Pour accéder à l’étude complète :  https://lnkd.in/eciEE2ZB

Quelles sont les implications légales de l'adaptation d'une œuvre musicale à des fins publicitaires ? 🤔 Lorsqu'un compositeur consent à l'utilisation de sa musique pour des publicités, cela soulève des questions importantes sur le respect du droit moral et l'intégrité de l'œuvre. Voici quelques points clés à considérer : 🎵 L'accord de l'auteur est essentiel pour toute adaptation musicale, surtout dans un contexte publicitaire. ✉️ Un consentement réitéré par simple mail peut être suffisant pour valider la cession du droit d'adaptation. 📜 La rédaction précise des clauses de cession est nécessaire pour éviter toute ambiguïté sur les droits cédés. Pour les créateurs et les agences, il est primordial de veiller à ce que les accords respectent les droits moraux des auteurs tout en permettant une utilisation créative de leurs œuvres. Pour en savoir plus, contactez nous @MarieAndréNivet @DelphineBrunetStoclet #DroitDAuteur #PublicitéMusicale #Droit dalloz.businesscomm.fr Adaptation non dénaturante d’une œuvre musicale à des fins publicitaires, « reprise de l’univers de l’auteur »

👉 Les artistes solo (accompagnés de leurs musiciens), ou les groupes musicaux ⌛️⏳ Inscription jusqu'au 20 novembre 2024 📣 Appel ouvert : Inscriptions au Prix Découvertes RFI 2025 Dans le cadre de l'inscription, il est demandé de fournir différents éléments à préparer en avance tels que : - 1 lien vers votre page principale sur un réseau social. - 6 titres en écoute sur une plateforme en ligne : 1 lien par titre. - 1 lien vers une de vos prestations live en public d'au moins 20 minutes. - 1 lien vers une courte vidéo de présentation où vous vous présenterez et nous raconterez vos motivations pour participer au concours. - 1 photo promotionnelle. Déroulement En début d’année 2025, après une pré-sélection, 10 candidats finalistes seront retenus et présentés au public qui, en ligne, pourra voter pour son ou sa candidat(te) favori(te). Le candidat désigné par le public obtiendra "la voix du public", qui comptera pour une voix dans le vote du jury final, composé de professionnels du monde de la musique, lequel désignera le lauréat du concours. Pour cette édition, la marraine et présidente du jury du Prix Découvertes RFI n’est autre qu’Angélique Kidjo, la star aux quatre Grammy Awards. Certains se souviennent encore qu’elle a reçu le Prix RFI/Sacem en 1991. Prix Le lauréat ou la lauréate bénéficiera d'une aide à la création de 10.000 euros, un grand concert retransmis sur RFI et une tournée de concerts en Afrique organisée par l’Institut français. Critères d’éligibilité Il est nécessaire d’avoir déjà à son actif au moins un album ou deux EPs, ou huit titres disponibles sur les plateformes d'écoute. Cette année, un accent particulier est mis sur la performance live - il sera demandé aux candidates et candidats d'envoyer une vidéo d'eux en concert pour évaluer, au-delà de la qualité et de l'originalité de leurs créations, leurs aptitudes sur scène. Lien d'inscription : https://lnkd.in/djRPtE8A

En quelques mots, l’éditrice musicale est la gardienne de l’œuvre musicale. De la même manière que le gérant investira son énergie au développement de la carrière de l’artiste, l’éditrice investira le sien à celui de l’œuvre musicale. Étant titulaire de tout ou partie des droits sur l’œuvre musicale, son objectif est d’assurer la pérennité de l’œuvre… et évidemment de lui faire générer des revenus! L’éditrice peut donc fournir un apport… 🎵 créatif Par exemple, l’éditrice cible des associations pertinentes entre un auteur (paroles) et un compositeur (musique) ou entre un auteur et un interprète ; fournit des avances à l’auteur afin que ce dernier puisse se concentrer à créer ; ou participe tout simplement à la création de l’œuvre ; 🎵 promotionnel Par exemple, l’éditrice promeut l’œuvre au sein de l’industrie pour générer de l’intérêt d’artistes interprètes à la recherche d’œuvres musicales ; ou d’entreprises à la recherche d’œuvres musicales pour leurs projets (films, publicités, jeux vidéo, etc.) ; 🎵 administratif Par exemple, l’éditrice assure l’administration de l’œuvre auprès des sociétés de gestion collective ; établit le prix des licences d’utilisation ; en assure la protection et la défend contre toute atteinte à ses droits ; et collecte les revenus générés par l’exploitation de l’œuvre. Bref, l’importance de l’éditrice est indéniable. Mais comme toujours, il faut bien la choisir… et s’assurer de comprendre la portée du mandat qui lui est confié! ____________ Pour des trucs, conseils et clins d’œil quotidiens aux artistes et intervenants de l’industrie musicale, joignez mon infolettre (rendez-vous sur mon profil pour le lien!) Oui, c'est à tous les jours. Et oui, les abonnés... restent abonnés! Vous avez aimé cette publication? N'hésitez pas à 👍 ou à me laisser un commentaire ✍️ Vous croyez que d'autres pourraient en bénéficier ? Partagez! ♻️

La Fête de la Musique du 21 juin est depuis 1982 un grand moment d’expression musicale. Mais, les droits d'auteur conférant aux créateurs des droits exclusifs sur l'utilisation et la diffusion de leurs œuvres musicales originales, pourraient limiter cette liberté s'exprimant aux coins des rues. Il apparait donc essentiel en théorie de s'assurer que les prestations musicales individuelles ou collectives respectent les droits d’auteur (ce qui impliquerait de demander des autorisations préalables, notamment à la SACEM, de payer des redevances…). Cependant, il existe heureusement une certaine flexibilité dans l'application des droits d'auteur ce jour-là. En France, les participants à la Fête de la Musique bénéficient d'une tolérance particulière, mais celle-ci est limitée (en résumé) à des concerts exceptionnels et gratuits, sans parrainage commercial, avec un budget artistique (salaires des interprètes, techniciens, charges sociales) très limité (650€), dans un lieu public et en respectant le droit moral des auteurs/compositeurs. Il est également possible d’obtenir une autorisation préalable gratuite auprès de la SACEM. A défaut de remplir ces conditions, il faut déclarer son concert auprès de la SACEM. Au surplus, cette tolérance de libre interprétation est plus grande pour les amateurs que pour les professionnels. En conclusion, bien que la Fête de la Musique soit une célébration de la diversité d’expression musicale, elle est néanmoins organisée et tient compte des droits de propriété intellectuelle. Cela assure non seulement la protection des œuvres et des artistes, mais aussi la pérennité de cet événement. #propriétéintellectuelle #Droitdauteur #marque #brevet #propriétéindustrielle #meyeretpartenaires #Innovation

Être un éditeur dans l'arène musicale implique généralement de travailler avec des artistes pour gérer leurs droits d'auteur, leurs contrats d'enregistrement et leurs accords de licence. Cela peut également inclure la recherche de nouveaux talents, la promotion de la musique et la supervision de la production d'albums. C'est un rôle crucial pour aider les artistes à atteindre leur plein potentiel et à réussir dans l'industrie musicale. Les éditeurs dans l'industrie musicale jouent un rôle essentiel dans la gestion des droits d'auteur des compositions musicales. Ils travaillent avec les auteurs-compositeurs pour protéger leurs œuvres, négocier des accords de publication et percevoir les redevances. Cela peut inclure la promotion de la musique auprès d'artistes enregistrés, de labels et d'autres médias. De plus, les éditeurs peuvent aider à placer la musique dans des films, des publicités, des jeux vidéo et d'autres médias, en veillant à ce que les créateurs soient justement rémunérés pour l'utilisation de leurs œuvres. En résumé, les éditeurs jouent un rôle crucial dans la monétisation et la protection des droits des œuvres musicales. #Charles AHOVI #LinkedInTop30DaysChallenge

Diffuser de la musique dans votre entreprise, c'est bien plus que créer une ambiance agréable. Saviez-vous que cela implique aussi des obligations légales ? 🔍 La SACEM, Société des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique, joue un rôle crucial dans ce domaine. Mais de quoi s'agit-il exactement ? 🤔 En résumé, la SACEM assure la protection des droits de propriété d’une œuvre. Elle veille à ce que les artistes soient rémunérés lorsque leurs œuvres sont jouées publiquement. Un vrai coup de pouce pour les créateurs musicaux ! 👍 👉 Alors, si votre entreprise diffuse de la musique en public, sachez que vous avez l'obligation légale de cotiser auprès de la SACEM. Eh oui vous ne pourrez pas y échapper ! PS. Vous êtes prêt à donner une nouvelle dimension sonore à votre relation client ? Discutons-en ensemble !