C'est avec beaucoup de fierté que le Sénégal fête ce jour le 64e anniversaire de son indépendance.
Honneur et Gloire à notre armée mais surtout au peuple sénégalais qui, durant toutes ces décennies, n'a cessé de se battre pour la prospérité de notre chère nation, et ce en posant les bases d'une société tant valeureuse, que solidaire, unie et harmonieuse.
Nous prions également pour le nouveau régime en place pour la réussite de leur mission à travers la conduite de notre cher pays vers les plus hauts sommets et ce, sur tous les plans. Pour notre volet pétrolier, les défis sont nombreux mais grand est l'espoir !
Bonne fête de l'indépendance à tous chers compatriotes !
Dans le cadre de promouvoir une bonne qualité des matériels d’installations , une sécurité assurée des techniciens ,un environnement sain de travail et une bonne hygiène dans le monde industriel (QHSE)
Chef service études et planification des programmes et projets du fonds de développement agricole (FODA)/ Consultant chercheur en gestion de projet et de politique de développement.
En ce jour mémorable, nous célébrons avec fierté l’indépendance de la Guinée, rendant hommage aux martyrs qui ont permis l’émancipation de la nation. Alors que la Guinée marque son 66e anniversaire d’indépendance, il est crucial de reconnaître les progrès accomplis tout en se rappelant des défis persistants. Aujourd’hui, plus que jamais, la responsabilité citoyenne et collective est nécessaire pour relever les défis économiques et sociaux qui se présentent. L’émergence économique et le bien-être social doivent être les priorités des politiques publiques, avec des réformes audacieuses et innovantes. En cette fête nationale, un appel à l’unité, à la solidarité et à l’innovation est lancé, pour que la Guinée s’affirme comme un modèle de réussite, en Afrique et dans le monde.
Depuis l’indépendance du Maroc en 1956, la qualité des relations entre l’ancienne puissance coloniale et le royaume chérifien a toujours été influencée par les liens plus ou moins étroits entre le roi et le président. Bien avant Mohammed VI et Emmanuel Macron, c’est dans les années 1960 que la proximité, sans doute, a été la plus proche.
Célébration du 22 septembre : L'unité, notre force oubliée
En ce jour du 22 septembre, nous célébrons la naissance de notre chère République du Mali, un symbole d'indépendance, de fierté et de liberté. Pourtant, au-delà des festivités, nous devons prendre un moment pour réfléchir à ce qui nous manque aujourd'hui : l'unité.
Nos ancêtres ont bâti cette nation sur des valeurs de solidarité et d'union, comprenant que seule une communauté unie peut avancer. Aujourd'hui, plus que jamais, il est crucial de raviver cet esprit d'unité. Le Mali fait face à des défis importants, et ce n’est qu’en nous tenant la main, en dépassant nos différences, que nous pourrons surmonter les obstacles qui se dressent devant nous.
Le chemin vers la paix, la prospérité et le progrès passe par la cohésion. Nous sommes tous Maliens, et c’est ensemble que nous devons relever les défis pour bâtir un avenir meilleur.
En ce 22 septembre, rappelons-nous que notre plus grande force réside dans notre unité. Un Mali uni est un Mali fort !
Vive le Mali, vive l'unité nationale !
Gaoussou Doumbia
Citoyen Malien
#22Septembre#SolidariteUnite
LA DIVISION DE LA GUINÉE, PARLONS-EN !
Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, la quadripartition de notre pays la Guinée et surtout sa division simpliste en quatre grands blocs ethniques ne sont pas un fait "naturel" et procèdent plutôt de la sempiternelle volonté de balkanisation coloniale dans un esprit machiavélique de "diviser notre peuple pour mieux l'assujettir".
Tenez-vous bien, la Guinée à sa naissance en 1899, après l'annexion du canton de Faranah en 1895, la défaite militaire du Fouta à la bataille de Porédaka en novembre 1896 et surtout l'arrestation de l'Almamy Samory Touré en septembre 1898, n'a pas toujours été divisée en quatre régions.
Le premier découpage esquissé se présentait ainsi : la région maritime, comprenant quatre cercles (Rio Nunez, Rio Pongo, Dubréka, Mellacorée), les "cercles intermédiaires" (Kindia et Ouassou), le Fouta Djalon (cercles de Timbo, Labé et Kadé) et le bassin du Niger (cercle de Faranah).
Le reste du pays était connu sous l'appellation de "régions nouvellement annexées". Il s'agissait du haut-Niger et des cercles de Kissidougou et Beyla.
Quant à l'extrême-Sud du pays (correspondant à peu près à notre Guinée Forestière d'aujourd'hui), il était appelé la "région militaire spéciale" et constituait une sorte de zone tempon entre les possessions françaises, le Liberia et les possessions anglaises de la Sierra-Leone.
Le premier arrêté officiel portant organisation de la Guinée fut signé le 18 mai 1905. Il divise le pays désormais en 6 régions : la Basse Guinée (Mellacorée, Dubréka, Rio Pongo, Rio Nunez); la région de Labé (ancien royaume d'alpha Yaya Diallo); le Fouta-Djalon (fraîchement confisqué à l'Almamy Bocar Biro Barry) ; la Haute-Guinée, le Haut-Niger (Beyla et Kissidougou) et «les cercles indépendants ».
Le premier decoupage territorial d'inspiration géographique remonte à André Arcin en 1907.
Toutefois il faudra attendre jusqu'en 1922 pour qu'une notice officielle consacre la division de la Guinée en "Trois grandes régions naturelles" (la région côtière ou Basse-Guinée, la région centrale ou Moyenne-Guinée, la région nigérienne ou Haute-Guinée". On rattachait alors à cette dernière, la région militaire du sud du pays.
La division actuelle de la Guinée en "quatre régions naturelles" (Basse, Moyenne, Haute et Guinée Forestière) fut définitivement actée lors de l’Exposition coloniale internationale de Paris en 1931. Ce découpage devint alors la norme jusqu'aujourd'hui.
Malheureusement ce lourd héritage colonial devient de plus en plus source de tribalisme et un obstacle dans l'édification de notre unité nationale.
Alors chers compatriotes guinéens, notre division n'est ni une fatalité ni dictée par des facteurs "naturels", elle nous fut simplement imposée dans un dessein de domination coloniale et perpetuée par la bêtise de nos politiciens en manque de projets viables et unificateurs.
Le duel entre les frères ennemis au sein du PDCI, la guerre de la tomate entre le Maroc et l’Algérie, le rapprochement entre le Tchad et la Russie, l’étrange décès de l’ancien chef d’état-major en Guinée et les liens familiaux de Jordan Bardella avec le Maghreb : voici votre Brief de la semaine.
Parler avec nuance et pragmatisme de la situation économique du Mali et plus généralement du Sahel : pari réussi pour Mossadeck Bally, président du Conseil National du Patronat du Mali et fondateur du GROUPE AZALAÏ HÔTELS invité dans Eco d'ici Eco d'ailleurs sur Radio France Internationale.
Avec mon camarade Julien Clémençot, nous l'avons interrogé sur la croissance malienne, les attentes du secteur privé, les investissements étrangers, la présence des entreprises françaises, mais aussi les difficultés comme l’accès à l’énergie des populations dans un contexte de crise économique et politique.
Dans cet entretien riche en enseignements, le patron des patrons maliens s’exprime également sur les enjeux qui pèsent sur l’intégration régionale ouest-africaine : les tensions entre les pays sahéliens et côtiers, les conséquences d’une sortie des États de l’Alliance des États du Sahel de la CEDEAO, les risques de l’abandon rapide du franc CFA , l'instabilité au Sénégal…
https://lnkd.in/g_SmCTfy
🔴 Burkina Faso : La Coordination régionale du Centre de la veille citoyenne patriotique note « une avancée significative de la gouvernance actuelle »
La Coordination régionale du Centre de la veille citoyenne patriotique, dans sa mission de suivi des actions, dit noter avec grande satisfaction une avancée significative de la gouvernance actuelle sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré, et ce, au regard des innombrables acquis engrangés dans tous les domaines de la vie de la nation...
👉🏿https://lnkd.in/d8TbcTU9.
La date du 28 septembre occupe une place singulière dans la mémoire collective de la République de Guinée🇬🇳
Deux événements majeurs, séparés par plus de cinq décennies, rappellent les hauts et les bas de l’histoire politique de notre pays. Le référendum du 28 septembre 1958, qui a marqué l’indépendance de la Guinée vis-à-vis de la France, et le massacre tragique du 28 septembre 2009, symbole de la répression brutale sous le régime militaire de Capitaine Moussa Dadis Camara CNDD. Ces deux moments ont façonné le destin et l’évolution de notre la nation.
Le contraste entre ces deux événements du 28 septembre est saisissant. D’un côté, le 28 septembre 1958 représente la détermination d’un peuple à choisir la liberté et l’indépendance, une date qui inspire encore l’espoir et la fierté. De l’autre, le 28 septembre 2009 rappelle les heures sombres de la répression, la brutalité d'un pouvoir militaire face à des aspirations démocratiques, et le besoin constant de vigilance pour protéger les acquis démocratiques.
La célébration de cette double commémoration invite à la fois à la réflexion et à l’action. Elle souligne l’importance de l’indépendance politique, tout en rappelant les dangers qui guettent toute société lorsqu’elle s’écarte des principes de la justice, de la démocratie et du respect des droits humains. Pour les Guinéens, le 28 septembre est désormais est un couteau à double tranchant, un rappel poignant de notre histoire, et une incitation à construire un avenir plus juste et pacifique.
Abdoulaye Kallo
https://lnkd.in/eP-VMXUU
UNE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE COMME LES AUTRES : LE THÉÂTRE INFERNAL AFRICAIN !
"La voie est désormais tracée et l'on sait quelle sera l'issue du coup d'État de Idriss Deby fils". Ainsi concluais-je l'interview accordée ( https://lnkd.in/e6R29WD6 ) au lendemain immédiat de la mort brutale par balle, le 20/04/2021 officiellement, du maréchal-président du Tchad Idriss Deby Ithno, et où le fils, général de l'armée et jusque-là patron de la garde présidentielle, s'était empressé de faire main basse sur le pouvoir, après avoir dissous unilatéralement toutes les institutions du pays ! Un classique en Afrique où, la mort du chef de l'État va souvent de pair avec la carbonisation de toutes les institutions, au nom de l'intérieur supérieur de la nation !
Désinvolte à ce flagrant délit de coup d'État, un énième de la longue série dans ce pays et dans la quasi majorité des États de la sous-région d'Afrique centrale francophone (Congo-Brazzaville, RCA, RDC, Gabon), le président français, Emmanuel Macron, s'était empressé d'aller soutenir sur place, à l'occasion des obsèques du disparu, le pouvoir putschiste, "au nom de la stabilité", non sans avoir précisé auparavant que "La France n'a pas de projet... dynastique" dans ce pays. Cela, au regard de plusieurs critiques et précédents dans le continent ! De quoi se demander alors pourquoi n'avoir pas respecté la dévolution constitutionnelle du pouvoir prévue, et qui n'était aucunement incompatible avec les mesures quelles qu'elles soient de sauvegarde de la stabilité et de la sécurité !
Au regard de ce qui était déjà observé au Togo (2005), en RDC (2001), au Gabon (2009) notamment, point n'était besoin d'être fin observateur pour comprendre que les dés étaient jetés à travers cet adoubement. De même que l'on peut se demander de quoi se plaint le Premier ministre Succès MASRA, principal opposant au régime, nommé tout juste en début d'année et candidat à la présidentielle, tout juste pour crédibiliser l'élection, alors que pour presque tous les observateurs 'les jeux étaient depuis faits' ! On attend plutôt son plan B, et non les plaintes classiques, dans un système où le général putschiste contrôlait de bout en bout toute l'organisation de l'élection. De telle sorte que, contrairement aux usages locaux et à l'attente préalablement annoncée de deux semaines, la proclamation a même été anticipée à quelques cinq jours, avec le résultat toujours d'avance connu et expérimenté ici et ailleurs : "KO au premier tour" !
Sacrés politiques africains...
Le 1er novembre 1954, une étincelle de révolte a embrasé l'Algérie, marquant le début d'une lutte acharnée pour l'indépendance.
Cette date est devenue un symbole puissant de la résistance et de la détermination du peuple algérien face à la colonisation.
Environ 1,5 million d'Algériens ont perdu la vie durant la guerre d'indépendance, qui a duré près de 8 années.
Les pertes humaines et les souffrances infligées par la guerre ont laissé des cicatrices profondes dans la mémoire collective du pays.
En 1962, l'Algérie a finalement obtenu son indépendance après des négociations difficiles, marquant la fin d'une période de colonisation qui avait duré plus de 132 ans.
Malgré les sacrifices énormes, la guerre d'indépendance a également révélé des divisions internes au sein du mouvement nationaliste, avec des tensions entre le FLN et d'autres groupes politiques.
Ces conflits internes ont parfois compliqué la lutte pour l'indépendance, soulignant que même dans la quête de liberté, des désaccords peuvent émerger.
Le 1er novembre reste une date de commémoration et de réflexion pour les Algériens.
Elle rappelle non seulement les luttes passées, mais aussi les défis à relever pour construire un avenir uni et prospère.
Alors que l'Algérie célèbre son histoire, il est essentiel de se souvenir des leçons du passé pour éviter de répéter les erreurs.
En quoi l’héritage de la guerre d’indépendance influence-t-il encore la société algérienne d’aujourd’hui, d'après vous ?
Dans le cadre de promouvoir une bonne qualité des matériels d’installations , une sécurité assurée des techniciens ,un environnement sain de travail et une bonne hygiène dans le monde industriel (QHSE)
8 moisBonne fête a la senstock