🌊🤝🎣 2 millions de sénégalais pourraient basculer dans la pauvreté d’ici 2050 en cas d’inaction face au changement climatique, selon le dernier rapport national sur le changement climatique (CCDR) de la Banque mondiale. Retrouvez notre brève sur le sujet dans l'édition n°561 des Brèves économiques d'Afrique de l'Ouest, mais également : - Régional : la CEDEAO adopte une feuille de route pour réduire le coût du transport aérien - Bénin : lancement du projet de supplémentation nutritionnelle des 1000 premiers jours - Burkina Faso : inflation à 6,3 % en g.a en octobre 2024 - Côte d'Ivoire : 150 M EUR de la BEI pour la préservation des zones forestières - Guinée : inauguration de la 1ère unité d’assemblage d’ordinateurs portables - Guinée-Bissau : en l’absence de mesures d’adaptation au changement climatique, le PIB réel par tête pourrait baisser de plus de 7 p.p - Libéria : don de 114,5 M USD de l’USAID - Mali : accélération de l’inflation à 6,6 % en g.a en octobre 2024 - Mauritanie : signature d’un accord de coopération avec l’Allemagne dans le secteur de la pêche - Niger : accord avec les services du FMI pour la 6ème revue du programme FEC et la 2ème revue de la FRD - Sénégal : l’UE annonce le non renouvellement de l’accord de pêche - Togo : lancement du programme de financement de l’ambassade des Etats-Unis Direction générale du Trésor (French Treasury) - Service Economique Régional d'Abidjan - Service Economique de Dakar Florent Danion - Claude K. - Clara Delmotte - Grégoire FAUQUIER - Franck Abraham ANGLOW - Marilou Siano - Marc LEGOUY - Thomas Pauly - Clara VARCHON - Ndeye Moussou Ndaw - Gauthier Moinet - Roland Chappé - Jérôme Frouté
Post de Service Economique Régional d'Abidjan
Plus de posts pertinents
-
Alors que certaines économies africaines affichent des taux de croissance relativement stables, de graves incohérences entre les statistiques économiques et la réalité de l'insécurité alimentaire suscitent des questions essentielles. Selon le Programme Alimentaire Mondial (PAM), les crises alimentaires sévissent dans des pays du Sahel et de la Corne de l'Afrique, touchant des millions de personnes. Par exemple, le Niger et le Tchad font face à une insécurité alimentaire chronique due aux conflits, aux chocs climatiques et à des déplacements massifs, malgré des investissements économiques soutenus dans divers secteurs. En Somalie, au Kenya et en Éthiopie, les chocs climatiques — sécheresses prolongées suivies de graves inondations — ont provoqué une crise alimentaire affectant plus de 23 millions de personnes. La flambée des prix alimentaires et des biens de première nécessité met en péril les moyens de subsistance, rendant les denrées de base inaccessibles à des millions de personnes malgré une production agricole importante dans certaines régions. La situation au Soudan complique davantage les efforts d'assistance, forçant des milliers de réfugiés à se déplacer vers des zones déjà vulnérables. En conséquence, le PAM et d'autres organisations humanitaires alertent sur la nécessité urgente de soutien financier pour renforcer la résilience de ces populations, notamment par des programmes de sécurité alimentaire durable. Cette incohérence appelle à une réflexion: comment des pays aux ressources naturelles abondantes et à une croissance économique parfois forte peuvent-ils être aussi vulnérables face à la faim? Les questions de gouvernance, de gestion des ressources et d'investissements dans des infrastructures résilientes sont-elles suffisamment prises en compte dans ces contextes? En prenant en compte les inégalités structurelles et les impacts des crises climatiques, il devient crucial de s’interroger sur la manière de bâtir une résilience durable. @PAM @Africa
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
𝟭𝟬𝟬 𝟬𝟬𝟬 𝗕𝗮𝗿𝗶𝗹𝘀/𝗷𝗼𝘂𝗿, $𝟴𝟬 𝗹𝗲 𝗯𝗮𝗿𝗶𝗹 𝟴 $𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀/𝗷𝗼𝘂𝗿 , 𝗟𝗲 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 (𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗣𝗘𝗧𝗥𝗢𝗦𝗘𝗡) 🇸🇳𝗴𝗮𝗴𝗻𝗲 𝟭𝟴% 𝗱𝗲 𝟴 𝗺$/𝗷 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝟭 𝟰𝟰𝟬 𝟬𝟬𝟬 $/𝗷𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝟴𝟲𝟰 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻/𝗷. Trop facile et simpliste comme raisonnement sur la répartition des parts du pétrole et du gaz. On pense déjà que le pétrole va venir régler tous nos problèmes. Déjà, il faut savoir que de nombreuses études récentes et beaucoup d'études menées par la banque mondiale ont confirmé que les pays qui se reposent essentiellement sur les industries extractives souffrent souvent de niveaux de pauvreté, de morbidité et de mortalité infantile supérieurs, de plus de guerres civiles, de corruption et de totalitarisme que des pays aux économies plus diversifiées. 𝘾𝙚𝙡𝙖 𝙨𝙞𝙜𝙣𝙞𝙛𝙞𝙚-𝙩-𝙞𝙡 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙙𝙪𝙨𝙩𝙧𝙞𝙚𝙨 𝙚𝙭𝙩𝙧𝙖𝙘𝙩𝙞𝙫𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙥𝙚𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙟𝙤𝙪𝙚𝙧 𝙪𝙣 𝙧𝙤̂𝙡𝙚 𝙥𝙤𝙨𝙞𝙩𝙞𝙛 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡'𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙚 𝙙'𝙪𝙣𝙚 𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 ? Non, cela signifie simplement que le seul cas d'un rôle positif que nous ayons pu trouver concerne des pays dont le 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗺𝗲 𝗱𝗲́𝗺𝗼𝗰𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 s'était à ce point développé que même les plus pauvres pouvaient en tirer certains bénéfices. Mais tant que les 𝗲́𝗹𝗲́𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗻𝗱𝗮𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱'𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 - presse libre, système judiciaire opérationnel, respect des droits de l'homme, élections libres et justes - ne sont pas mis en place, le développement de ces industries ne fait qu'aggraver la situation des plus pauvres. Voici quelques préalables: - Transparence : Le gouvernement doit rendre publics les contrats et les accords conclus avec les sociétés extractives, ainsi que les paiements effectués par ces entreprises au gouvernement. Ex, le gouvernement norvégien publie chaque année un rapport détaillé sur les revenus provenant de l'exploitation pétrolière. - Redistribution équitable des revenus : Le gouvernement doit utiliser les revenus du O&G pour investir dans des programmes sociaux et des infrastructures qui bénéficient à toute la population, en particulier aux communautés locales affectées par l'exploitation des ressources. Le Botswana a utilisé les revenus du diamant pour financer des programmes d'éducation et de santé qui ont considérablement amélioré la qualité de vie de sa population. - Participation des communautés locales : Les populations locales doivent être consultées et avoir leur mot à dire dans les décisions concernant l'exploitation des ressources naturelles sur leurs terres. Au Canada, les Premières Nations ont le droit de participer aux processus de consultation et de négociation avec les sociétés minières opérant sur leurs territoires. Pour vos informations sur le pétrole et le gaz visitez le site: https://itie.sn Pour le local content: https://cnscl.sn 📸Le Saoudisenegalais🇸🇳🔥🦁 #petrole #gaz #sangomar #woodside
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
L'Afrique centrale, une région sous le joug des importations L'Afrique centrale, bien que riche en ressources naturelles, est confrontée à un paradoxe déchirant. Des pays comme la République Démocratique du Congo, le Tchad, la Centrafrique ou encore le Gabon, voient leurs populations souffrir de malnutrition et de pauvreté, malgré l'abondance de leurs matières premières. Ces richesses, plutôt que de profiter aux populations locales, sont massivement exportées, laissant les habitants sans réel bénéfice. Imaginez un territoire où les sols sont fertiles, les forêts luxuriantes, et les sous-sols regorgent de minerais précieux. Pourtant, dans ce même territoire, près d'un tiers des enfants souffrent de malnutrition. Cette situation dramatique est en grande partie due à une dépendance excessive aux importations alimentaires. Les denrées de base, au lieu d'être produites localement, sont achetées à l'étranger, soumettant ces pays aux aléas des prix mondiaux et privant les agriculteurs locaux de débouchés pour leurs produits. Simultanément, les matières premières, véritables trésors nationaux, quittent le pays sous forme brute, sans aucune transformation sur place. Les multinationales étrangères engrangent les bénéfices, tandis que les communautés locales restent dans la pauvreté. Ce modèle économique, vestige d'une époque coloniale, empêche le développement d'industries locales capables de créer de la valeur ajoutée et des emplois. Il est crucial de prendre conscience de ce drame silencieux. Pour garantir un avenir meilleur à ses populations, l'Afrique centrale doit impérativement rééquilibrer ses échanges commerciaux. Cela passe par la mise en place de politiques de souveraineté alimentaire et industrielle robustes. En valorisant leurs ressources localement, ces pays pourront lutter efficacement contre la malnutrition et tirer pleinement profit de leurs richesses. Le sort de millions de personnes en dépend. Ensemble, nous devons soutenir ces efforts pour que l'Afrique centrale puisse enfin récolter les fruits de ses propres terres et offrir un avenir prospère à ses enfants. #AfriqueCentrale #Importations #RessourcesNaturelles #Malnutrition #Pauvreté #Dépendance #PolitiquesSouveraineté #ValorisationLocale #Richesses #AvenirProspère
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le ministre zimbabwéen 🇿🇼 des finances et du développement économique Prof. Mthuli Ncube, déclare que son pays s'attend à un ralentissement de la croissance en raison des chocs climatiques dans la région. Les pays d'Afrique australe dépendent de l'agriculture pour leur croissance économique, il est donc essentiel de protéger l'agriculture contre les effets du climat. #AfricaMEO2024 #AfricaMEO2024 #AfricaMacroEcoOutlook24
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Chantal Massembo https://lnkd.in/es5cUwGP La République du Congo peut transformer la crise climatique en opportunité pour mettre fin à la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée. Un nouveau rapport de la Banque mondiale souligne que la République du Congo pourrait réduire la pauvreté de 40 % dans les zones rurales et de 20 % dans les zones urbaines d'ici 2050 par des réformes plus ambitieuses en faveur de la diversification économique et de la résilience climatique. https://lnkd.in/eF5TnEqy
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Chantal Massembo https://lnkd.in/es5cUwGP La République du Congo peut transformer la crise climatique en opportunité pour mettre fin à la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée. Un nouveau rapport de la Banque mondiale souligne que la République du Congo pourrait réduire la pauvreté de 40 % dans les zones rurales et de 20 % dans les zones urbaines d'ici 2050 par des réformes plus ambitieuses en faveur de la diversification économique et de la résilience climatique. https://lnkd.in/eF5TnEqy
La République du Congo peut transformer la crise climatique en opportunité pour mettre fin à la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée
banquemondiale.org
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
RDC en 2024 : 73,5 % sous le seuil de pauvreté, 8,4 % de croissance, mais 42 % des enfants malnutris – un paradoxe alarmant La République Démocratique du Congo (RDC), vaste territoire équivalent à celui de l’Europe occidentale, se distingue par ses richesses naturelles exceptionnelles. Ce pays d’Afrique subsaharienne possède des réserves en minerais stratégiques, notamment le cobalt et le cuivre, un potentiel hydroélectrique considérable, de vastes terres arables et la deuxième plus grande forêt tropicale au monde. https://lnkd.in/ePgX8MFy
RDC en 2024 : 73,5 % sous le seuil de pauvreté, 8,4 % de croissance, mais 42 % des enfants malnutris – un paradoxe alarmant
https://lepoint.cd
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
RDC en 2024 : 73,5 % sous le seuil de pauvreté, 8,4 % de croissance, mais 42 % des enfants malnutris – un paradoxe alarmant La République Démocratique du Congo (RDC), vaste territoire équivalent à celui de l’Europe occidentale, se distingue par ses richesses naturelles exceptionnelles. Ce pays d’Afrique subsaharienne possède des réserves en minerais stratégiques, notamment le cobalt et le cuivre, un potentiel hydroélectrique considérable, de vastes terres arables et la deuxième plus grande forêt tropicale au monde. https://lnkd.in/ejMyqgTq
RDC en 2024 : 73,5 % sous le seuil de pauvreté, 8,4 % de croissance, mais 42 % des enfants malnutris – un paradoxe alarmant
https://lepoint.cd
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Bon à savoir !
𝐋’𝐀𝐅𝐑𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐀𝐔 𝐂𝐄𝐍𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐄𝐍𝐉𝐄𝐔𝐗 𝐀𝐋𝐈𝐌𝐄𝐍𝐓𝐀𝐈𝐑𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐂𝐋𝐈𝐌𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒. Alors que les effets du changement climatique continuent de s'intensifier et que les chocs mondiaux bouleversent le cours normal des choses, l'Afrique subsaharienne subit de plein fouet une « tempête parfaite » où se conjuguent crise des denrées alimentaires, des carburants et des engrais exacerbée par la guerre en Ukraine, séquelles de la pandémie de COVID-19, inflation galopante, augmentation de la dette et évènements météorologiques extrêmes. S'il est urgent de maîtriser l'inflation et de rendre le fardeau de la dette plus supportable, il n'y a pas de plus grande priorité que de s'attaquer à l'insécurité alimentaire pour permettre au milliard d’habitants que compte l’Afrique de satisfaire leurs besoins. En effet, selon le rapport mondial sur les crises alimentaires 2022, 140 millions de personnes sont en insécurité alimentaire aigue. Aussi, la Corne de l'Afrique souffre d'une sécheresse persistante et les pays qui dépendent de la Russie et de l'Ukraine pour leurs importations de blé et d'huile de tournesol ont vu les prix s'envoler à des niveaux hors de portée des citoyens ordinaires. Face à ces défis, les pays d'Afrique s’emploient, avec l'aide de la Banque mondiale, à mettre en œuvre des mesures de court, moyen et long terme destinées à amortir ces chocs sur les ménages les plus pauvres, mais aussi à poser les bases d’un système alimentaire à travers de mesures de politique agricole adéquate. 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐀𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 ? 1- 𝑷𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒎é𝒏𝒂𝒈𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒑𝒂𝒖𝒗𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒓𝒓𝒊𝒓 𝒍𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒍𝒆𝒔 2- 𝑺𝒐𝒖𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆𝒔 (𝑷𝑴𝑬) 3- 𝑴𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒇𝒆𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒋𝒆𝒖𝒏𝒆𝒔 𝒂𝒖 𝒄œ𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒚𝒔𝒕è𝒎𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒔é𝒄𝒖𝒓𝒊𝒕é 𝒂𝒍𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 4- 𝑺𝒐𝒖𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒖𝒏𝒆 𝒂𝒈𝒓𝒊𝒄𝒖𝒍𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒓é𝒔𝒊𝒍𝒊𝒆𝒏𝒕𝒆 𝒂𝒖 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒈𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒍𝒊𝒎𝒂𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 6- 𝑷𝒓𝒐𝒎𝒐𝒖𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒍’𝒊𝒏𝒗𝒆𝒔𝒕𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒊𝒏𝒏𝒐𝒗𝒂𝒏𝒕 5- 𝑭𝒂𝒗𝒐𝒓𝒊𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒆 𝒍𝒊𝒃𝒓𝒆-é𝒄𝒉𝒂𝒏𝒈𝒆
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
FIDA : 300 millions d'africains en situation d'insécurité alimentaire, quel coût économique ? En 2023, l'Afrique fait face à une crise alimentaire majeure, touchant environ 300 millions de personnes, soit 20% de sa population. Ce constat alarmant est révélé par le dernier rapport du Fonds International de Développement Agricole pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre (FIDA). Les chiffres témoignent d'une situation critique qui soulève des questions économiques et financières essentielles pour le continent. https://lnkd.in/edrwcYCB
FIDA : 300 millions d'africains en situation d'insécurité alimentaire, quel coût économique ?
https://lepoint.cd
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
2 377 abonnés