🍷 Qui sont les travailleurs derrière les vendanges de nos grands vins en France ? Métiers en tension, difficultés de recrutement, les vignerons Français et d’autres secteurs de l’agriculture font appel à des travailleurs saisonniers qui viennent pour certains d’Europe de l’Est. Depuis 2021, SocialCOBizz apporte un appui à la DIHAL | Délégation interministérielle à l'hébergement et à l'accès au logement sur les actions lancées au niveau des #territoires dans le cadre de la politique de résorption des #bidonvilles et plus spécifiquement sur le volet emploi. Cette année nous travaillons sur un sujet brûlant : le #travailsaisonnier des personnes vivant en bidonville. Dans le but de renforcer les démarches en cours, nous intervenons pour : 👉 Diagnostiquer ce sujet systémique en rencontrant tous les acteurs qui travaillent avec ces publics sur le terrain. 👉 Identifier des pistes de réponses à mettre en place sur différentes échelles, du local au national. 👉 Aligner les parties prenantes (acteurs associatifs, employeurs, acteurs publics et institutionnels) et faciliter la #coconstruction de solutions concrètes. ⬇️ Un article éclairant que nous partageons en fin de ce post livre une partie de l'envers du décor des travailleurs saisonniers et les alertes que lancent Médecins du Monde. Merci aussi à Claire Dugleux de Médecins du Monde qui était intervenue lors d’un de nos ateliers de travail pour nous expliquer la situation en Gironde. https://shorturl.at/obycB Groupe Ares (Association pour la Réinsertion Economique et Sociale)Groupe VITAMINE T #coopération
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Un guide de bonnes pratiques pour les travailleurs saisonniers récoltants ! Pour faire face aux fortes chaleurs… un document dont les entreprises pourraient s’inspirer en général dans leur Document Unique ? A méditer ! Êtes-vous confrontés dans votre métier à de fortes chaleurs ? Qu’en pensez-vous ? Commentaires bienvenus !
Vendanges et canicule : comment mieux protéger la santé des travailleurs face au réchauffement climatique ?
francetvinfo.fr
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“L’un des événements les plus importants de l’histoire du travail des femmes en Europe”, selon le quotidien britannique The Times. Fin novembre 1924, 2 100 employés des conserveries de Douarnenez, dont 1 600 femmes, se mettent en grève pour réclamer de meilleures conditions de travail. “À la fin du XIXe siècle, la baie est devenue la capitale mondiale de la conserve de sardine – les sardines évidées sont trempées dans la saumure, puis frites avant d’être mises en boîte. Les conserves de Douarnenez s’exportent dans le monde entier. La demande en main-d’œuvre fait exploser le nombre d’habitants de la ville et sa densité de population devient l’une des plus élevées d’Europe. Les conditions de travail ne tardent pas à empirer.” Les ouvrières, “vêtues de longues jupes épaisses et de sabots […] travaillent jusqu’à dix-huit heures par jour sans interruption, rentrent chez elles à minuit pour être rappelée à 4 heures du matin. Les sols étaient couverts de boue et de viscères de poisson, les mains des femmes détruites par l’eau salée, les toilettes inexistantes… Le tout pour 80 centimes de l’heure”, décrit The Times. La contestation sociale gagne tout le port breton, avec pour mot d’ordre : “Pemp real a vo !” (“Ce sera 1,25 franc”). Menée par les Penn Sardin (têtes de sardine), la grève gagne toutes les conserveries de la ville. Le 6 janvier 1925, après près d’un mois et demi de grève, les patrons accèdent aux demandes des ouvrières. Un franc par jour pour les femmes, 1,50 franc pour les hommes et une majoration de 50 % après dix heures de travail. Une victoire historique qui fera date et “qui nourrit encore aujourd’hui les combats féministes”.
Histoire. La grève des sardinières de 1924 à Douarnenez “nourrit encore les combats féministes”
courrierinternational.com
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𝗣𝗿𝗶𝗼𝗿𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗼𝗶, une vision partagée par les éleveurs laitiers et par Aptimiz. L’article de Web-agri, reprenant l'Observatoire de l'élevage d'INNOVAL, met en avant une réalité importante pour les éleveurs laitiers : la gestion du temps personnel est essentielle pour le bien-être et la performance de l’exploitation. Les éleveurs reconnaissent de plus en plus l’importance de trouver un équilibre entre travail et vie personnelle pour éviter l’épuisement et améliorer leur qualité de vie. Chez APTIMIZ, nous partageons cette vision. Nous croyons que chaque agriculteur mérite de pouvoir optimiser son temps de travail pour se concentrer sur ce qui compte vraiment. En optimisant leur gestion du temps, nous aidons les agriculteurs à atteindre cet équilibre précieux. 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘪𝘳𝘦 𝘭’𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘦𝘵, 𝘤𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦𝘻 𝘤𝘪-𝘥𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘴 ⤵️ #elevage #agriculture #aptimiz
Du temps pour soi : « une priorité stratégique » des éleveurs laitiers
web-agri.fr
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#Lesouvrièresagricoles en #Tunisie , majoritairement issues des zones rurales, jouent un rôle essentiel dans l’#économie #agricole du pays, notamment dans la production d’olives, de fruits, et de légumes. Cependant, elles se trouvent souvent dans des conditions précaires sur plusieurs plans. Elles sont fréquemment employées dans des conditions informelles, sans contrats de travail, ni couverture sociale, ni assurance maladie. Elles travaillent de longues heures pour des salaires très bas, souvent en dessous du salaire minimum agricole garanti (#SMAG), et sans aucune garantie de stabilité de l’emploi. Un autre enjeu majeur est celui du transport. Les ouvrières sont souvent transportées dans des conditions dangereuses, à bord de véhicules surchargés et inappropriés. Cela a conduit à de nombreux accidents tragiques, où des ouvrières ont perdu la vie ou ont été gravement blessées. Ces accidents ont attiré l'attention sur l'absence de régulation et de sécurité dans leur transport. De plus,elles subissent des formes multiples de discrimination liées à leur genre. Elles ont rarement accès aux mêmes opportunités que les hommes, que ce soit en termes de salaires, de protection sociale ou de reconnaissance de leurs droits. Elles sont également exposées à diverses formes de violences, y compris l’exploitation économique et les abus verbaux ou physiques. Bien que plusieurs organisations de la société civile et syndicats en Tunisie travaillent pour défendre les #droits des #ouvrières #agricoles, en réclamant de meilleures conditions de travail, une protection sociale, et des #salaires #équitables et en dépit des initiatives prises pour sensibiliser l’opinion publique et pousser les autorités à adopter des réformes, notamment sur les questions de sécurité dans le transport des travailleuses ,la mobilisation de la société civile et la prise de conscience politique restent insuffisantes pour améliorer leur situation et garantir leur #dignité. #VFF #GBV
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Ca gagne quoi un agriculteur ? Une émission télé du matin (celle que regarde les éleveurs laitiers en cassant la croûte entre la traite et l affouragement des animaux) posait la question cette semaine à propos des salariés parisiens « C’ est quoi un salaire décent à Paris ? » Verdict, entre logement, transport, nourriture et petits loisirs rien de possible en dessous de 3000 ! Hé! Ho ! S’écriât le paternel! « Ils s’emmerdent pas à Paris ! » dit il en en avalant un morceau de jambon Cette brillante analyse me fit réfléchir à combien cette génération a pu gagner 🤔 Vu qu il ne le sait pas lui même, j’ai pris le problème par un traitement qualitatif. ✅ Mon frère et moi n’avons jamais manqué de rien. ✅ Nous avons fait des études et avons été logés pour l’occasion dans des apparts plutôt sympas ✅ Nous avons eu tous les loisirs de l’époque sans vraiment de restrictions ✅ du vélo à la voiture, nous avons eu toutes les libertés. ✅ pas besoin d’emprunt pour acheter une parcelle à vendre Un petit tour sur les avantages en nature ? Les bagnoles et le carburant sur la société Un peu de fuel du tracteur pour se chauffer … La possibilité de s’organiser les journées Les assurances, les matériaux et les outils qui servent en pro comme en perso … Un jardin généreux Une basse court nourrie avec les issus de triage Quelques champignons croisés en allant aux bêtes Etc etc Ça vaut combien par mois tout ça ? Tout l’or du monde probablement Tout comme lui, je ne sais pas combien l’on gagne Et c’est précieux D’avoir le luxe de ne jamais avoir à compter pour nourrir sa famille. « Dans ce métier, tu ne seras jamais riche, tu ne seras jamais pauvre (si tu es vaillant) mais tu ne manqueras jamais de rien » L’agriculture gagne à être vécue Tout simplement Bon dimanche ⭐️ Clémence Coline Célia Philippe Sébastien Romuald
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🥬 𝗤𝘂𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝘂𝗹𝘁𝗶𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗱𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 ? 🇫🇷 La France est le 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗶𝗮𝗹 𝗱’𝗲𝗻𝗱𝗶𝘃𝗲𝘀 (avec 60%), mais sa filière est aujourd’hui en danger. Pierre VARLET, directeur des Les Producteurs d'Endives de France, nous a alertés sur les risques qui pèsent sur l'avenir de cette culture. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : ➡️ L’augmentation des coûts de l’énergie depuis le début de la guerre en Ukraine, ➡️ Le manque de solutions techniques adaptées, ➡️ La pénurie de main-d'œuvre, alors que la culture de l’endive emploie 4 000 salariés. ❗ 𝗟𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗮𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 : de nombreux producteurs vont devoir céder leur exploitation dans les prochaines années, et peu de jeunes agriculteurs sont prêts à reprendre le flambeau. Bien que 98 % des endives en rayon soient encore françaises, cette proportion pourrait bien diminuer au fil du temps ou pire le produit pourrait disparaître des rayons… 💬 C’est pourquoi nous, Paysans Résistants, avons répondu à l’appel des Les Producteurs d'Endives de France et nous nous mettons en contact avec ses producteurs pour échanger sur l’avenir de leurs fermes et réfléchir ensemble aux solutions pour préserver cette filière essentielle à notre agriculture française. 🤝 #PaysansRésistants #Endives #AgricultureFrançaise #FilièreEnDanger #SauvonsNosFermes
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Face au changement climatique, la santé et la sécurité des travailleurs de la vigne devient un enjeu crucial pour le secteur. Retrouvez notre analyse dans le numéro spécial dans la #Revudesœnologues Grant Thornton Société d’Avocats Maïlys TIXIER
📢 Santé et sécurité au travail dans le secteur viticole🍇 La santé et la sécurité des travailleurs de la vigne sont devenues une priorité cruciale pour l'industrie vitivinicole. Avec des conditions de travail exigeantes, de la culture de la vigne à la commercialisation, il est essentiel d'adopter une approche préventive pour protéger les saisonniers et les employés permanents. 🔍 Selon l'étude CLISEVE 2024, l'impact du changement climatique sur la santé des travailleurs est préoccupant, soulignant la nécessité de renforcer les mesures préventives et protectrices. 📈 La réforme de la santé au travail de 2021 introduit de nouvelles mesures pour une meilleure gestion des risques professionnels, notamment à travers l'évaluation des risques et la formation des salariés. Nos expertes en droit social et ingénierie RH Caroline Luche-Rocchia et Maïlys TIXIER ont eu le plaisir de rédiger un article pour la Revue des Œnologues dans lequel elles abordent les problématiques de la sécurité des travailleurs dans le secteur du vin. 👉 Lire l’article : https://lnkd.in/e5zdZW3c #RevuedesOenologues #Vigne #DroitSocial #Vinicole #Travail #Prévention
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80 % des vignerons considèrent que l’augmentation des températures génère des risques pour leur santé physique et 37,5 % pour leur santé mentale. Au-delà des risques, des effets délétères sont déjà constatés chez ceux qui travaillent entre les rangs de vigne.
La santé des vignerons mise à mal par le réchauffement climatique
vitisphere.com
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Au petit matin, dans les faubourgs de Nantes, un spectacle peu reluisant s’offre à la vue. Là où la ville laisse place à la campagne, s’étend un des plus grands bidonvilles de France. Plus de 700 personnes y survivent tant bien que mal, dans des cabanes de fortune. Un campement précaire qui cristallise aujourd’hui tensions et polémiques, à l’heure où la métropole s’apprête à le démanteler. La maire de Nantes interpelle les maraîchers Face à l’ampleur de ce bidonville, Johanna Rolland, maire PS de Nantes et présidente de Nantes Métropole, a choisi de monter au créneau. Interrogée sur la situation, elle n’a pas hésité à pointer du doigt la responsabilité des maraîchers locaux : Si on compare par rapport à la moyenne des départements français, oui il y a une situation importante, et qui est notamment liée à l’activité de maraîchage. Johanna Rolland, maire de Nantes Un constat qui fait bondir les principaux intéressés. Régis Chevallier, président de la Fédération des Maraîchers Nantais, a vivement réagi dans une lettre ouverte : Ras le bol d’être le bouc émissaire de politiques ratées dont nous ne sommes pas responsables, le logement ne fait pas partie de nos attributions. Nous n’avons pas l’obligation de fournir un logement à nos salariés et stagiaires, qu’ils soient de nationalité française ou non. Régis Chevallier, président de la Fédération des Maraîchers Nantais Une filière maraîchère dépendante d’une main d’œuvre étrangère Selon les chiffres avancés par Régis Chevallier, la filière maraîchère locale emploie environ 2500 CDI et entre 2500 et 3000 CDD. Un chiffre qui peut grimper jusqu’à 6000 contrats au moment de la récolte du muguet. Une activité saisonnière, nécessitant une main d’œuvre flexible, souvent étrangère. Beaucoup de ces travailleurs, majoritairement originaires d’Europe de l’Est, se retrouvent ainsi à vivre dans des conditions très précaires aux abords de Nantes. Les élus locaux divisés sur la question Face à cette situation, les élus locaux apparaissent divisés. Rodolphe Amailland, maire de Vertou et président de l’Association des maires du Vignoble Nantais, a lui aussi fustigé les critiques visant les employeurs agricoles : J’en ai un peu assez d’entendre que c’est de la faute des employeurs, des maraîchers, des viticulteurs dans le vignoble nantais parce qu’ils emploient les Roms sur des travaux pour lesquels ils rémunèrent d’ailleurs parfaitement légalement, et que c’est de leur faute s’il y a des bidonvilles. Rodolphe Amailland, maire de Vertou Vers des solutions pérennes pour le logement des travailleurs migrants ? Alors que la polémique enfle, la question du logement décent des travailleurs migrants saisonniers reste entière. Si les maraîchers se défendent de toute responsabilité, force est de constater que l’offre actuelle ne permet pas de répondre aux besoins. Dans ce contexte, le démantèlement du bidonville de Nantes, s’il paraît inéluctable, ne saurait suffire. Des solutions pérennes doivent ...
Au petit matin, dans les faubourgs de Nantes, un spectacle peu reluisant s’offre à la vue. Là où la ville laisse place à la campagne, s’étend un des plus grands bidonvilles de France. Plus de 700 personnes y survivent tant bien que mal, dans des cabanes de fortune. Un campement précaire qui cristallise aujourd’hui tensions et polémiques, à l’heure où la métropole s’apprête à le démanteler. ...
https://viralmag.fr
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LE REGARD DU JOURNALISTE 👀 « 𝘼𝙡𝙤𝙧𝙨 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙖 𝙛𝙞𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙩𝙚́ 𝙖𝙥𝙥𝙧𝙤𝙘𝙝𝙚, 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙞𝙨𝙤𝙣 𝙙𝙚𝙨 𝙫𝙚𝙣𝙙𝙖𝙣𝙜𝙚𝙨 𝙥𝙤𝙞𝙣𝙩𝙚 𝙡𝙚 𝙗𝙤𝙪𝙩 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙣 𝙣𝙚𝙯. 𝘾’𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙘𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙚𝙭𝙩𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙟’𝙖𝙞 𝙚́𝙩𝙚́ 𝙞𝙣𝙫𝙞𝙩𝙚́ 𝙥𝙖𝙧 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙠 𝙍𝙤𝙗𝙞𝙣𝙚 – 𝙥𝙧𝙚́𝙛𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙤𝙣 𝘽𝙁𝘾 -, 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙚𝙣 𝙨𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙦𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙖𝙪𝙭 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙚𝙨𝙪𝙧𝙚𝙨 𝙢𝙞𝙨𝙚𝙨 𝙚𝙣 𝙥𝙡𝙖𝙘𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙡’𝙀́𝙩𝙖𝙩 𝙚𝙩 𝙡𝙖 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣, 𝙚𝙣 𝙛𝙖𝙫𝙚𝙪𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙨𝙖𝙞𝙨𝙤𝙣𝙣𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙖𝙧𝙥𝙚𝙣𝙩𝙚𝙧𝙤𝙣𝙩 𝙣𝙤𝙨 𝙫𝙞𝙜𝙣𝙚𝙨. 𝙀́𝙩𝙖𝙣𝙩, 𝙟𝙚 𝙡’𝙖𝙙𝙢𝙚𝙩𝙨, 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙚́𝙡𝙤𝙞𝙜𝙣𝙚́ 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙗𝙡𝙚́𝙢𝙖𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙩𝙤𝙪𝙘𝙝𝙚𝙣𝙩 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙪𝙣 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙣𝙨 𝙢𝙖𝙟𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙚 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡𝙚, 𝙟’𝙖𝙞 𝙚́𝙩𝙚́ 𝙨𝙪𝙧𝙥𝙧𝙞𝙨 𝙙𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙛𝙞𝙡𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙡’𝙤𝙣 𝙘𝙧𝙤𝙞𝙩 𝙚𝙣𝙙𝙤𝙧𝙢𝙞𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙚𝙣 𝙥𝙡𝙚𝙞𝙣𝙚 𝙧𝙚́𝙞𝙣𝙫𝙚𝙣𝙩𝙞𝙤𝙣. » - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - La majorité des vendangeurs sont confrontés à une réalité : 𝗜𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝘀. 🍇 L’État, les collectivités et la profession viticole l'ont bien compris. 𝗜𝗹𝘀 𝘀'𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝘀. 𝗟𝗲𝘂𝗿 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳 ? 𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝘀𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻𝗻𝗶𝗲𝗿𝘀 🛡️ 𝗘𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯, près de 𝟰𝟱 𝟬𝟬𝟬 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀 ont été employés dans la région. Un chiffre impressionnant qui souligne l'importance de cette activité. Et pour s'assurer que tout se passe bien, deux documents essentiels seront désormais distribués aux vignerons : 𝘂𝗻 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲𝘁 𝗱'𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹 𝗱𝘂 𝘀𝗮𝗹𝗮𝗿𝗶𝗲́ et 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗾𝘂𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗱'𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗲́𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗼𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀.☀️ Mais ce n'est pas tout. 𝗨𝗻 𝗽𝗼𝘀𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗶𝘁𝗶𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗻𝘁 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝗱𝗲́𝗽𝗹𝗼𝘆𝗲́ pour prévenir les accidents et améliorer le bien-être des travailleurs. Et pour ceux qui viennent de loin, des solutions d'hébergement sont proposées. En effet, un "𝘃𝗶𝗹𝗹𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀" accueillera ceux qui ont besoin d'un toit pendant cette période très importante. Oui, il est encore trop tôt pour dire si les vendanges 2024 seront bonnes... Mais une chose est sûre : 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗶𝘀 𝗲𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗾𝘂'𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗶𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲. Retrouvez l’article complet en commentaire 👇🏻 #Agriculture #Vendange #Vignerons #Vendangeurs Région Bourgogne-Franche-Comté Franck Robine Département de la Côte-d'Or Département de l'Yonne Département de Saône-et-Loire MSA - Mutualité Sociale Agricole Ville de Dijon BICHOT Alberic
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Directrice SocialCOBizz
4 moisTrès fiers chez SocialCOBizz d'accompagner la DIHAL | Délégation interministérielle à l'hébergement et à l'accès au logement sur ces thématiques de l'emploi autour du #travailsaisonnier, merci pour votre confiance ! Alexandre Viscontini Astrid Tanguy Mélanie LABORDE