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[#Webinar Phenix le 14 mai] Invendus non alimentaires : transformez vos obligations en opportunité business. Les industriels n’ont plus le droit de détruire leurs invendus non alimentaires neufs, et pourtant 4 milliards € de produits neufs sont encore jetés ! (chiffres ADEME) Cela concerne les produits culturels, la puériculture, les fournitures de bureau ou encore les produits d’hygiène… Des produits essentiels pour les plus démunis. En moyenne, ces invendus “pèsent” pour 3% du CA des entreprises concernées… 📢RDV le mardi 14 mai à 11h15 pour ce webinar où vous découvrirez : - Qui doit se conformer à la loi #AGEC et aux réglementations sur le don ? - Comment identifier les produits que vous pouvez légalement donner ? - Comment assurer la conformité réglementaire ? - Comment sécuriser les dons et leur traçabilité ? - Quelles associations privilégier et comment les choisir ? 👉Pour vous inscrire : https://bit.ly/3JCZRie #engagement #gaspillage #don #association #antigaspi #RSE

Depuis le 1er janvier 2024, la loi AGEC impose l'interdiction de détruire les invendus non alimentaires 🚫. Des milliers de produits tels que des couches, du dentifrice ou encore des gels douches sont encore détruits chaque année alors qu’ils sont parfaitement utilisables. Désormais, il devient obligatoire de donner ces invendus pour lutter contre le gaspillage et favoriser la solidarité. 🔍 Le saviez-vous ? La loi AGEC s'applique désormais à un large éventail de secteurs : hygiène, puériculture, textiles, etc. Ces produits doivent impérativement être donnés plutôt que jetés. Mais comment s’adapter à cette nouvelle réglementation et garantir une traçabilité exemplaire ? 👉 Phenix accompagne les entreprises pour valoriser leurs invendus en leur assurant non seulement une réduction des coûts liés à la destruction, mais aussi un ROI positif grâce à la défiscalisation. 📘 Téléchargez notre Guide du Don Non Alimentaire pour découvrir comment tirer parti de la loi AGEC et faire du don une composante clé de votre stratégie RSE (lien en commentaire). #LoiAGEC #AntiGaspi #ÉconomieCirculaire #Solidarité #RSE

🛑 Il y a 8 ans en France, une loi unique au monde posait les bases de la lutte contre le gaspillage alimentaire. 🔙 Petite rétrospective... Depuis 2016, cette loi : ⛔️ Interdit aux supermarchés de détruire ou “javelliser” des invendus encore consommables ⛔️ Oblige les magasins de +400m2 à nouer un partenariat avec une association d’aide alimentaire ⛔️ Etablit la hiérarchie des solutions anti-gaspi : prévention → don aux associations → don aux animaux → valorisation énergétique 👏 Selon Guillaume Garot, le député à l’origine de cette loi : « Plus de 95% des magasins de plus de 400 m2 donnent désormais leurs invendus à des associations de solidarité » 🥳 Bonne nouvelle, aujourd'hui cette loi s’étend aux invendus non-alimentaires. 🧼 Pour les produits de première nécessité, comme les produits d’hygiène et de soins, la loi oblige à privilégier le don aux associations caritatives aux autres solutions (destockage, recyclage...). 👉 Qui est concerné ? Toutes les marques de produits d’hygiène et de puériculture tels que les shampoings, gels douches, crèmes solaires, couches ou dentifrices etc… ❌ Le problème ? Selon une étude de Carenews, le média des acteurs de l'engagement 🌍📗, 70 % des entreprises concernées ne savent pas qu'il est interdit de détruire des invendus non alimentaires. 😱 Ce sont pourtant des produits pénuriques et très coûteux pour les associations caritatives. 💪 Alors, que faire en tant que citoyen ? 💬 En parler autour de soi et partager ce post ➕Taguer une marque d’hygiène et de cosmétique sur ce post pour lui passer le message ! #environnement #agroalimentaire #sustainability #thereisnoplanetb #zerodechet #antigaspi #agec #egalim

🌱🔄 Valorisons nos invendus non-alimentaires : obligation, solutions et avantages à saisir ! 🌟 Depuis le 1er janvier 2024, une nouvelle réglementation est en vigueur : les produits invendus non-alimentaires sont soumis à une interdiction de destruction et à l'obligation de réemploi, favorisant ainsi une économie plus circulaire et responsable. Pour se mettre en conformité, les entreprises disposent de plusieurs options, selon une hiérarchie de valorisation : 1️⃣ Le réemploi des produits : en les offrant à des associations caritatives ou des entreprises solidaires d'utilité sociale (ESUS), qui les redistribuent à des personnes dans le besoin. Des partenaires tels que Dons Solidaires ou l'Agence du Don en Nature sont des alliés précieux dans cette démarche. 2️⃣ La réutilisation des produits : après contrôle, nettoyage voire réparation si nécessaire. 3️⃣ Le recyclage : une option plus coûteuse sur le plan environnemental, humain et économique, mais néanmoins préférable à la mise en enfouissement ou en incinération. 💰 Quels avantages ? Sur le plan fiscal, le don des produits non-alimentaires peut être avantageux pour les entreprises, avec la possibilité d'obtenir une réduction d'impôt sous certaines conditions. Un décret rend même obligatoire la déclaration à l'administration fiscale des dons et versements dépassant 10 000 € au cours d'un exercice. Quelles solutions ? Pour accompagner les entreprises dans cette transition, plusieurs startups proposent des solutions innovantes : Urbyn : spécialisé dans la gestion des déchets COMERSO : expert en gestion des invendus alimentaires et non-alimentaires Et d'autres acteurs tels que CircularPlace, Stocklear, MyTroc et Umains offrent également des solutions pertinentes. #loiAGEC #EconomieCirculaire #ResponsabilitéSociale

📘 Nouvelle publication de la Fondation Jean-Jaurès "Faut-il en finir avec l’aide #alimentaire ?" rédigé par Louis Cantuel, responsable du pôle institutionnel et stratégique aux Les Restos du Coeur. Les pratiques d’aide alimentaire font l’objet d’un débat critique qui, s’il est utile parce qu’il permet de remettre la question des privations dans le débat public, repose souvent sur des approximations. Le rapport propose des pistes d’action et des mesures pour contribuer à faire reculer la #pauvreté et à renforcer l’accès de tous à l’#alimentation. ✔ Selon le rapport, plusieurs mesures pourraient être envisagées pour agir directement sur les trois sources d’approvisionnement principales des associations. – La pratique du don alimentaire doit être mieux contrôlée. Depuis des années, les associations réclament des contrôles sur site, pour s’assurer du respect de ces dispositions : l’État doit s’en donner les moyens, pour faire en sorte que les associations ne récupèrent que ce qui est réellement distribuable, et ainsi déconnecter plus fortement le don alimentaire de la lutte contre le gaspillage. – Le fonds dédié au soutien à l’aide alimentaire (FSE+) est aujourd’hui doté de moyens conséquents qu’il faudra maintenir. Néanmoins, il repose sur des marchés publics dont la réglementation ne permet pas aujourd’hui de faciliter le recours aux producteurs locaux et aux circuits courts. France urbaine propose à cet égard de lancer une réflexion sur la création d’une exception alimentaire et agricole, calquée sur le modèle de l’exception culturelle. La commande publique pourrait ainsi devenir un levier d’action essentiel de transformation du système alimentaire et de sa relocalisation. – Enfin, c’est par les achats en direct que les associations pourront piloter leur transition alimentaire et monter en gamme sur la qualité des produits proposés aux personnes, mais aussi pour leur assurer plus de choix et de diversité. Il est pour cela possible d’activer un levier fiscal : celui de la TVA. Le rapport évoque une TVA à 0% sur les achats alimentaires des associations de solidarité. https://lnkd.in/ez3uZfCx

Au Carrefour solidaire, nous nous mobilisons avec de nombreux partenaires pour revendiquer des mesures concrètes en sécurité alimentaire. Dans l’attente d’interventions des gouvernements, les services communautaires demeurent essentiels pour faire avancer les choses et soutenir nos communautés. Nous avons besoin de votre soutien. L'audace et le courage dépendent de tous pour être incarnés et répandus. Les besoins de notre communauté sont criants, découlant d’enjeux systémiques et d’un système déficient. Ensemble, nous y répondrons tout en travaillant sur le long terme pour reconstruire un système plus juste pour toutes et tous. Nous sommes investis à garder notre offre de programme stable, futée et diversifiée pour rejoindre les personnes là où elles sont pour que chacune en ressorte ce dont elle a besoin. Balancer la pression de l’inflation et la capacité de notre équipe sans diluer la qualité de nos services est une équation à laquelle nous répondons avec ingéniosité tous les jours face à la demande grandissante. Aujourd’hui, nous vous demandons de faire partie de cette équation en posant un geste concret pour contribuer à la sécurité alimentaire. Agissez avec nous et nourrissez des vies en faisant un don pour soutenir notre mission. 👉 Rendez-vous sur https://lnkd.in/gNemR4St pour faire un don aujourd’hui. 👉 Read this plea in English here: https://lnkd.in/gpQ4jp2v — Notre impact : 🔸Nous opérons 22 programmes pour plus de 2000 membres, incluant : un programme régional de coupons nourriciers, deux commerces alimentaires d’économie sociale, plus de 400 ateliers par année en agriculture urbaine et en cuisine pour tous les niveaux de capacités et de curiosité, plus de 12 000 repas communautaires par année et près de 10 000 portions de prêt à manger à prix abordable cuisinées mis sur les étals, un réseau actif de référencement et de soutien par les pairs. 🔸Une mission propulsée par la participation citoyenne : un Comité d’action et de réflexion pour l’autonomie alimentaire, 500 heures de bénévolat chaque mois effectuées par notre communauté, sondages et consultations de quartier sur nos programmes 🔸Et beaucoup plus ! Crédit 📸 Arielle De Pagter

🌞 Les vacances d'été et la collecte alimentaire : Un défi pour les hypermarchés 🌞 L'été est une période où beaucoup d'associations alimentaires prennent une pause bien méritée. Cependant, cela signifie aussi qu'il y a moins de permanents pour collecter les dons alimentaires. Pour les hypermarchés, cela pose un véritable défi. 🔄 Adaptation des hypermarchés : Réduction des dons : Avec moins d'associations disponibles, les hypermarchés doivent ajuster la quantité de dons alimentaires. Cela implique une gestion plus fine des stocks pour éviter le gaspillage. Optimisation des biodéchets : Moins de dons signifie que certains produits non distribués deviennent des biodéchets. Les hypermarchés doivent redoubler d'efforts pour trier et gérer ces déchets de manière responsable. Lafrane Environnement vous accompagne dans la gestion de vos déchets avec des solutions écologiques et responsables. www.lafrane.fr #biodéchets #associations #gaspillagealimentaire #tridesdéchets #hypermarchés

La démocratie (alimentaire), le droit à l'alimentation durable, et plus largement la transtion écologique et la justice sociale sont au bord du gouffre. Nous sommes nombreux.ses à nous questionner sur notre posture adéquate, entre notre déontologie professionnelle et notre engagement citoyen. Jai une pensée particulière pour toutes celles et ceux qui œuvrent au plus près des personnes et des territoires pour construire une société plus juste et équitable, et dont le travail est aujourd'hui mis en péril. J'espère que chacun et chacune saura trouver sa boussole et prendre ses responsabilités en ces temps de tempêtes.

La transformation RSE débute nécessairement par le volet « Social ». Pour l’agriculture et l’alimentation au sens large, la transparence sur la répartition de la valeur est certainement au cœur de la possibilité de transformation. Rien ne changera sans en donner les moyens à ceux qui produisent. Et pour donner les moyens il faut aussi rendre l’envie… et pour rendre l’envie, il faut indubitablement payer un prix juste (pas un prix décent, un prix juste) Je soutiens donc naturellement la nouvelle initiative de C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur au travers de ce picto (et de mes achats) Vous pouvez vous aussi vous inscrire et créer une émulation juste. Si on ne le fait pas pour eux, faisons le pour la résilience de notre système alimentaire qui ne tiendra pas sans agriculteurs (sans la multitude d’agriculteurs, multitude seule capable de faire basculer l’agriculture) J’aime aussi la démarche parce qu’elle porte la notion d’embarquement massif, et parce que les changements importants viennent de nos actions minuscules.

1 € = 17 repas ⚡️ C’est l’équivalence d’impact la plus iconique du catalogue Captain Cause. Mais…comment c’est possible ? 👀 🍋 Connaissez-vous HopHopFood ? HopHopFood, c’est une application créée par Michel Montagu & Jean-Claude Mizzi 🍋🍋🍋 qui permet aux commerçant·es solidaires de distribuer des paniers anti-gaspi gratuitement à des personnes précaires tout en leur permettant de valoriser leur don (un Too Good To Go associatif, en somme). 🌟 La bonne nouvelle ? Son modèle win-win-win combiné à la puissance d’une plateforme tech crée un effet de levier énorme ! Chaque nouveau commerçant embarqué, c’est la promesse de milliers de paniers distribués 🤩 Quand on sait qu’1/3 de la nourriture produite dans le monde est jetée - ce qui fait que, si le gaspillage alimentaire était un pays, il serait le 3e plus gros émetteur de gaz à effet de serre ! - alors même que 35 % des Français·es déclarent ne plus faire trois repas par jour*, de telles innovations sociales et écologiques sont indispensables. 🎯 En 2023, l’association a atteint son objectif de distribuer l’équivalent de 6 millions de repas (dont 760 798 grâce à Captain Cause 😇) : on les aide à exploser le compteur en 2024 ? 🤝 Si vous souhaitez vous engager pour l’anti-gaspi solidaire, vous pouvez : - parler d’HopHopFood à vos commerçants, - devenir bénévole pour l’association, - télécharger l’application (il y a également une plateforme de don entre particuliers 😉), - utiliser vos restes de citron (je vous offre une petite astuce 🎁), - ou, bien sûr, les soutenir financièrement ! Restez à l’affût : il paraît que pour 2024, HopHopFood vise encore plus haut et prépare un service hyper-innovant de solidarité… 🤫 (indice : si je vous dis “suspendus” ?) *Baromètre de la pauvreté IPSOS / Secours Populaire 2023 #1mois1asso Ilhana CHIKH 🍋 Martin Riehl