Quand la transparence devient une force motrice de mobilisation Cette semaine, un de mes clients a fait preuve de grand courage en partageant les chiffres de l'entreprise avec son équipe de direction. Bien que de plus en plus d'entreprises communiquent leurs résultats financiers, la transparence totale (beau temps, mauvais temps) peut encore sembler déroutante, car la personne qui présente anticipe les réactions et les conséquences d'un tel dévoilement. Pourtant, la réaction fut magnifique : l'équipe a accueilli cette initiative comme un incroyable signe de confiance, entraînant une mobilisation exemplaire. Cela m'a fait réfléchir... Si nous souhaitons que nos équipes travaillent comme si elles étaient propriétaires de l'entreprise, devons-nous aller au-delà du simple partage d'information et instaurer une transparence et une confiance aussi fortes que celles accordées aux actionnaires? Pas toujours facile, ni même possible à faire, me direz-vous? 😬 Toutefois, cette approche invite à considérer les employés comme de véritables partenaires stratégiques, pas seulement en leur partageant des données, mais en les intégrant activement dans l'analyse et les décisions qui en découlent. Les entreprises qui encouragent cette transparence avancée observent une augmentation de l'engagement et de la performance. En discutant avec plusieurs gestionnaires issus de la relève, une remarque m’a vraiment marqué : beaucoup d’entre eux, avouent ne pas être à l’aise avec les données financières, les EFS, les KPI, etc. Ils m’ont confié que cela représente un vrai défi pour eux. Cela m'a fait réaliser qu'il y a un besoin croissant de coaching et de formation pour les aider à non seulement comprendre et maîtriser ces outils, mais aussi à les utiliser comme des leviers essentiels pour la performance, la surveillance et la croissance. Et vous, allez-vous plus loin que le partage de certains chiffres? Comment intégrez-vous ces éléments dans vos pratiques de gestion?
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S'adapter ou se réinventer ? Dans un monde en perpétuelle évolution, rester à la page est un exercice de haute voltige pour les dirigeants ! 🏋 C'est pour cette raison que, 3 ans après la dernière édition, les équipes AmazingContent ont de nouveau analysé l'influence des plus grandes directions du secteur Banque et Assurance 💸 : 799 dirigeants 48 entreprises 111 caisses régionales Qui sera au sommet du classement ? Quels sujets ont captivé l'attention ? Quelles stratégies ont fait la différence ? On a hâte de vous dévoiler ce panorama inédit du secteur, à découvrir dès mardi 1er octobre ! Stay tuned pour connaître la place de votre direction dans ce classement 😉 #LeaderAdvocacy #AmazingContent
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Je suis fan des sujets qui réunissent les DAF et les DRH. Hier soir, la table ronde sur le thème du partage de la valeur en entreprise organisée par DFCG Bretagne Pays de la Loire, ANDRH Loire Atlantique 🤗, APITEAM et FONDACT m'a donc bien plu. Les témoignages étaient unanimes : les dispositifs de partage de la valeur sont des leviers puissants de performance et même de fidélisation à condition qu'ils soient compris de tous et surtout que chaque collaborateur puisse faire le lien entre ses efforts et la performance qui déclenchera son partage. Encore un sujet de démocratisation de la finance !
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Après une "vague" sur la raison d'être liée à la loi #PACTE, on a pu constater un certain essoufflement, soit que ces raisons d'être aient été mal communiquées, soit qu'elle soient des retranscriptions peu fidèles de la mission de l'entreprise, bref! Pourtant le potentiel est là! L' Institut du Capitalisme Responsable avec son Observatoire de la Raison d’Être, crée en 2021 avec Nicole Notat, co-auteure du rapport « Entreprise et intérêt collectif » a pris le temps de s'y repencher. La raison d’être est un dispositif au service de la transformation des organisations pour une intégration plus juste dans la société et un impact durable pour tous. C’est un outil de pilotage pour la gouvernance et les managers de l’entreprise et aussi d’engagement et de cohésion pour les collaborateurs. Ce livre blanc est un outil pratique au service des acteurs économiques qui souhaitent ou qui ont mis en oeuvre une démarche autour de la raison d’être. To #read and #share https://lnkd.in/dG-hm6Hi
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Seulement 27 % des entreprises impliquent leurs parties prenantes dans leur analyse de double matérialité. L’AA1000 Stakeholder Engagement Standard pose une vérité simple Vos parties prenantes sont la clé d’un engagement durable et crédible. Mais beaucoup d’entreprises, même parmi les plus ambitieuses, passent à côté de ce levier stratégique. Pourtant, ce standard va bien au-delà d’une simple recommandation. Voici ce qu’il dit, et pourquoi il est devenu incontournable avec la CSRD. 👉Inclusivité. Chaque partie prenante affectée ou ayant un impact sur votre organisation mérite d’avoir une voix. Cela inclut vos employés Vos clients Vos partenaires Vos régulateurs Bref, tout votre écosystème. 👉Analyse de double matérialité. Vous devez identifier les enjeux qui comptent vraiment, pour vous et pour vos parties prenantes. Ce sont ces sujets – stratégiques ou opérationnels – qui doivent guider vos priorités. 👉Réactivité. Une fois les attentes exprimées, la vraie question est : que faites-vous ? L’engagement ne s’arrête pas au dialogue. Il doit produire des actions, des plans concrets et des résultats mesurables. 👉Pourquoi cela vous concerne avec la CSRD : La directive impose une analyse de double matérialité La CSRD ne se contente pas d’exiger une analyse théorique. Vous devez prouver que vos priorités stratégiques et vos réponses opérationnelles sont le résultat d’un engagement clair et rigoureux avec vos parties prenantes. Ce qu’il faut donc faire : 👉Formalisez vos engagements. L’AA1000 insiste sur la nécessité d’intégrer l’engagement des parties prenantes dans votre gouvernance, vos processus stratégiques et opérationnels. Faites-en un pilier, pas une option. 👉Mesurez et montrez l’impact. Documentez chaque étape : les parties consultées, leurs attentes, vos réponses. Cela ne prouve pas seulement votre conformité à la CSRD, mais aussi votre crédibilité auprès de vos parties prenantes. 👉Pensez long terme. Utilisez l’engagement pour anticiper les risques, co-créer des solutions et renforcer vos bases stratégiques. L'identification des parties prenantes est l'un des 13 outils partagés lors la formation déployer la CSRD au même titre Qu’un fichier d'analyse de double matérialité Qu’un fichier de gap analysis Qu’un fichier chaîne de valeur etc.. Et ça se passe ici 👉https://lnkd.in/dSvQ22Cn Sinon pour toujours resté informé et en veille sur la CRSD tu peux t'inscrire à ma newsletter juste ici et recevoir tous les mercredis mes dernières ressources sur la CSRD 👉https://lnkd.in/dhehdB86
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#CSRD – A quelle sauce allons-nous être mangé ? Un déjeuner thématique (et sympathique) entre adhérents de l'Union des Entreprises du Loiret pour échanger enjeux et bonnes pratiques autour de la question de la CSRD : sa mise en place dans les #entreprises concernées et l’impact indirect pour les autres entreprises 🍃 💪 Un grand merci aux entreprises présentes et particulièrement Laurence GENDRY de Partnaire France, et Aurélien Dutertre pour Thélem assurances pour leurs témoignages très concrets. Merci aux participants pour leurs remarques, questions et suggestions pour enrichir le #débat. Les 6 bonnes pratiques relevées au cours de cet échange : ✅ impliquer la #gouvernance et le top-management via un groupe de travail / un comité RSE ; ✅ avoir de la ressource temps/homme dédiée en interne (voire … recruter spécifiquement pour) ; ✅ s’assurer le concours d’un cabinet #expert sur le sujet ; ✅ aller chercher au fur-et-à-mesure les services concernés ; ✅ faire œuvre de pédagogie auprès des #collaborateurs qui vont tous être contributeurs à un moment ou à un autre ; ✅ s’appuyer d’abord sur l’existant (mapping des risques, DPEF, premiers indicateurs mis en place, etc.) 💡Quelques conseils à partager autour de vous : Parce que présentes dans leurs chaînes de valeur (et donc chaîne de données) les plus petites entreprises vont être mécaniquement aspirées par les grandes entreprises dans la logique CSRD : anticipez en structurant une première démarche #RSE dès maintenant. ♻️ Ne pas chercher la perfection d’un premier rapport, mais se placer dans une trajectoire d’amélioration, de la qualité de la donnée, de la collecte de la donnée, de sa mise en perspective par rapport à ses propres objectifs ↗️
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Le respect. Valeur hyper importante dans nos organisations. Personne ne va venir contredire ça. Par ailleurs, parfois on perd un peu de cette notion quand on laisse une situation client venir nous gêner dans nos impératifs logistiques ou autres. 🎬 Petit extrait d'une formation en ligne ou une participante amenait justement un bel exemple pour traiter de ce sujet. ______________________________________________ Vous aimeriez en apprendre davantage sur les meilleures façons de respecter les clients tout en respectant nos propres impératifs, nos limites, nos valeurs, nos agendas, etc. ? 📱 maudedupuis.com 💻 info@maudedupuis.com 📱 418 350.2165
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L'impact de la CSRD sur les "boards" "« L'agenda des administrateurs en matière de #RSE s'épaissit. Travail d'analyse des directives, indicateurs ad hoc à suivre... 17 % des entreprises du SBF 120 organisent des formations spécifiques sur la #CSRD pour leurs administrateurs, preuve que le sujet gagne progressivement en importance dans les boards et qu'ils se sentent responsabilisés par les enjeux et la mise en œuvre de la RSE », observe Julie Rullier, directrice générale de Russell Reynolds Associates en France. ✨ Un éclairage complémentaire à l'article intitulé "La RSE, nouvelle priorité stratégique des conseils d'administration" (https://lnkd.in/eD4ec_tG), publié quelques jours plus tôt par Les Echos. ✨ "Indicateurs à suivre" : serait-ce à dire que nous assistons, enfin, à des remontées d'indicateurs plus fréquents qu'auparavant, que nous assistons à la fin du reporting rétroviseur avec une collecte annuelle de données ? La réponse à découvrir avec les résultats de l'étude que Tennaxia présentera à PRODURABLE ✨ "17 % des entreprises du SBF 120 organisent des formations spécifiques sur la CSRD pour leurs administrateurs". C'est un pourcentage, certes encourageant, mais qui compte tenu des injonctions de la CSRD, devrait pourtant être largement plus conséquent. Verrons-nous une forte accélération de ces formations en 2024 ? Les auditeurs ne manqueront pas de le vérifier. (voir Atelier Tennaxia à Produrable sur ce sujet avec Patricia Savin, Emmanuel THIERRY et Olivier ARTHAUD). 👉🏻https://lnkd.in/ejbJPcj3 ✨ Comme je l'évoquais hier dans mon post, ce baromètre fort intéressant, publié par IFA administratrices et administrateurs engagés et Ethics & Boards ne concerne que le SBF 120. Autrement dit, les entreprises les plus expérimentées et les mieux structurées pour répondre aux obligations de la directive sur le reporting de #durabilité. Les entreprises qui répondaient précédemment à la #DPEF ont également une longueur d'avance sur les nouvelles entreprises soumises à la CSRD. L'étude que présentera Tennaxia en partenariat avec LCL et Bpifrance apportera un éclairage intéressant sur ce point. Solène Garcin-Charcosset Rodolphe BERNARD Thomas Guyot https://lnkd.in/ebAjSFkU
EXCLUSIF - Des « boards » bien décidés à davantage challenger les directions générales
lesechos.fr
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🗞️ En réponse à l’article de Muriel Jasor des Echos publié le 24 septembre 2024 « Des « boards » bien décidés à davantage challenger les directions générales ». Dommage de ne pas aborder cette problématique qui concerne aussi les #PME et #ETI. L’article vise les sociétés du CAC 40 et du SBF 120 avec une belle étude du cabinet Russel Reynolds Associates. Le monde des PME et des ETI est aussi pleinement concerné par ces sujets notamment de RSE. Le temps, la disponibilité, l’isolement des dirigeants de PME et ETI, peut être contrebalancé au sein des conseils d’administration, un peu superficiels pour certains, avec la mise en place d’une #gouvernance ouverte à l’instar des stars du CAC 40 ou du SBF 120. Déjà en SA, l’ouverture a un œil externe avisé permet de faire évoluer les choses plus que l’entre-soi familial ou amical qui ne challengera pas beaucoup. 80% des PME ETI créées ces dix dernières années sont des SAS n’imposant aucun processus juridique. Selon APIA Administrateurs Indépendants, seules 10% ont une gouvernance organisée. Difficile de démêler néanmoins les amis de famille ou la famille dans ces conseils, pas tous en challenge réel et d’opportunités de croissance, ou de maîtrise des risques avec leurs dirigeants. #Administrateur indépendant, c’est un vrai positionnement de non exécutif. Ces dirigeants, pourtant, ont toute liberté de créer un comité stratégique consultatif permettant de travailler collégialement avec les actionnaires, une petite partie du COMEX, des invités selon les sujets, et un ou deux Administrateurs indépendants. Des associations de dirigeants qui se forment à la gouvernance ouverte ont pour but de pouvoir permettre à des chefs d’entreprise de travailler et d’échanger en confidentialité et loyauté, avec des pairs sur ces sujets qu’ils ont souvent déjà rencontrés dans leurs expériences professionnelles. Pour les PME /ETI, les outils existent pour créer de l’intelligence collective face aux grands sujets auxquels ils sont déjà confrontés, tels la RSE et ses implications concrètes. https://lnkd.in/eQaJYpV2
EXCLUSIF - Des « boards » bien décidés à davantage challenger les directions générales
lesechos.fr
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"𝘓𝘦 𝘳𝘢𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵 𝘭𝘢𝘪𝘴𝘴𝘦 𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘭'𝘪𝘮𝘱𝘳𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘪𝘵é𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘥é𝘵𝘦𝘳𝘮𝘪𝘯𝘢𝘯𝘵𝘦𝘴, 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘪𝘭 𝘴𝘦 𝘳é𝘧𝘶𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘷𝘢𝘨𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘭'𝘪𝘮𝘱𝘳é𝘤𝘪𝘴 (...) 𝘐𝘭 𝘯'𝘺 𝘢 𝘳𝘪𝘦𝘯 𝘥𝘦 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘢𝘶." C'est le feedback d'#AirFrance dans les années 70 du livrable fourni par le cabinet de conseil en stratégie qui accompagnait le redressement de l'entreprise alors en difficulté (cité dans le #CashInvestigation d'hier soir :-) C'est un peu le problème quand on achète en réalité une marque et une "caution" plutôt qu'une vraie recommandation Il est pourtant possible de faire du Conseil autrement. Le talent, l'expérience et l'humilité de savoir se remettre en question ont je pense beaucoup plus de valeur pour un client confronté à sa problématique, plutôt que d'avoir tout vu, tout connu, une succursale dans chaque pays du monde et être copain avec tous les dirigeants... Privilégiez des cabinets de conseil qui ne reposent pas tout sur leur image de marque et un modèle qu'on sait tous pas très agile. Il existe des sociétés et des entrepreneurs qui, forts de leur expérience et agilité, s'engagent sur leurs recommandations, en participant à leur mise en œuvre, partageant ainsi risques, échecs, succès et accomplissements d'une route souvent (toujours) longue ! #leconseilautrement
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FONCTIONNEMENT DES INSTANCES - Quel rôle des comités et quel renforcement de la gouvernance pour anticiper les crises ? Animé par Lionel Garnier, rédacteur en chef adjoint à L'AGEFI. Marc Sanglé-Ferrière, Managing Director chez Russell Reynolds Associates : « Les conseils d’administration réfléchissent beaucoup à la façon dont les décisions sont préparées et ils attachent beaucoup d’importance aux comités qui ont lieu en amont des assemblées générales. Ces comités sont de mieux en mieux composés et travaillent de plus en plus. » Marc Sanglé-Ferrière : « 78% des entreprises du SBF120 ont indiqué faire réaliser des études triennales portant sur le fonctionnement du conseil d’administration. » Méka Brunel, Présidente, Fondation Palladio, Administratice Présidente, CAR d'ORPEA, Membre du Comité de Mission, Enedis : « Les comités (d’audit, de rémunération, RSE…) sont des lieux de travail important. Chacun des comités (thématiques) peut communiquer avec les autres. Leur efficacité dépend de leur capacité à communiquer entre eux. » Mercedes Erra, Fondatrice et Présidente du GROUPE BETC, Présidente, BETC FULLSIX et Havas 04 : « Les comités sont utiles car au moins le président (de l’entreprise) n’est pas là. » Denis Mercier, Directeur Général Adjoint, Fives Group, Membre du Conseil d'Administration, Helsing et FORVIA (ex : Faurecia) : « Le conseil d’administration et ses comités sont le reflet de la culture de l’entreprise. Dans le cas d’une entreprise à échelle internationale, il faut savoir gérer cette notion d’interculturalité. Nommer par exemple une personne de nationalité américaine à la tête d’un comité rémunération pour une entreprise française peut être compliqué car il peut y avoir un décalage culturel sur cette question. » Marc Sanglé-Ferrière : « Avec la CSRD et la double matérialité, la voix des parties prenantes de l’entreprise va de plus en plus se faire entendre. » Marc Sanglé-Ferrière : « Au sein d’un conseil d’administration il est important d’avoir des membres qui connaissent bien l’industrie, le marché de l’entreprise, qui connaissent le secteur géographique dans lequel opère l’entreprise. Il faut aussi regarder la profession des membres. De plus en plus de membres de conseils ont, à un moment, eu des fonctions dans la RSE ou la transition énergétique. » Mercedes Erra : « Les enjeux RSE doivent envahir la réflexion des entreprises et de leur conseil d’administration mais il ne faut pas oublier les questions propres à leur activité. » Mercedes Erra : « Il est évident qu’on veut bien de l’ESG tant que l’entreprise fait du profit. » Denis Mercier : « Les Say on Climate obligent à plus de pédagogie, c’est plus de travail pour les conseils d’administration mais c’est intéressant. » Denis Mercier : « Nous avons constaté depuis quelques années la constitution de comités ad hoc, pour se concentrer sur une problématique en particulier, sur une durée limitée et je trouve que c’est une bonne chose. »
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