🚀 La startup franco-allemande The Exploration Company a annoncé lundi le 18 novembre 2024 avoir levé 150 millions d'euros. Fondée en 2021, elle développe un vaisseau spatial qui devrait voler en 2028. L'Europe va (enfin) se doter d'un taxi spatial pour éviter à ses astronautes de faire de l'auto-stop. l'objectif est de construire son vaisseau spatial Nyx. "Ce financement porte le total des fonds levés par TEC à plus de 216 millions d'euros […]. Ils serviront à développer et à tester le vaisseau Nyx, à renforcer l'équipe qui compte déjà 200 personnes et à augmenter la capacité de production de l’entreprise", a déclaré l’entreprise dans un communiqué. La jeune pousse franco-allemande a été sélectionnée en mai dernier par l'Agence spatiale européenne (ESA) pour développer un service de transport cargo vers la Station spatiale internationale d'ici à 2028, un premier pas pour que l'Europe soit un jour capable d'envoyer elle-même des humains dans l'espace.
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"Space oddity" 👨🎤 Qui aurait cru que l'Europe 🇪🇺 pourrait un jour rivaliser avec les géants américains du spatial ? C'est pourtant le pari audacieux que vient de remporter The Exploration Company, start-up franco-allemande, avec une levée de fonds record de 150 M€. Cette performance marque un tournant : ⑴ Ambition stellaire : se positionner dans le New Space, rien de moins ! 🦾 ⑵ Confiance des investisseurs : 800 M€ de contrats signés 🔝 ⑶ Innovation de rupture : une capsule spatiale moyenne prévue pour 2025 🤩 🎨 C'est toute une vision qui se dessine. The Exploration Company incarne l'esprit pionnier européen (et oui, cela existe 🚀), prouvant que notre continent peut être à la pointe de l'innovation, y compris dans des domaines pointus... et qui font rêver. Alors, chers décideurs, n'est-il pas temps de revoir nos ambitions à la hausse ? 🔭 L'espace n'est plus le terrain de jeu exclusif de quelques noms surmédiatisés. C'est une opportunité pour chaque entreprise visionnaire de repenser son impact à l'échelle globale. Donc, chers amis de l'espace, accrochez-vous à vos combinaisons spatiales ! Voici quelques préconisations utiles pour les aventuriers du New Space : ➡️ Assurance "Oups, j'ai perdu mon satellite" Il y a actuellement 7500 satellites en orbite autour de la terre., dont 4 500 actifs. Petit calcul : 🧮 Les nanosatellites peuvent coûter entre 30 000 et 500 000 $, les satellites de taille moyenne, ceux qui font le gros du travail en orbite, se situent généralement entre 50M et 300M $. Les gros satellites de télécommunications ou d'observation peuvent atteindre le milliard de dollars. ➡️ Police "Collision avec des débris spatiaux" Parce que l'espace est aussi encombré et dangereux, sachez que l'on estime à plus de 36 500 le nombre de débris de plus de 10 cm, à environ 1 M le nombre de débris entre 1 cm et 10 cm, et à plus de 330 M le nombre de débris de taille inférieure à 1 cm. ➡️ Option "Panne de moteur en plein vol" Parce que même les meilleures fusées peuvent avoir un coup de mou. Or, une fusée comme "Starship" a coûté plus de 3Mds $. Si la bonne question est : "comment comptez-vous saisir les étoiles à portée de main ?", n'oubliez que "dans l'espace, personne ne vous entendra crier" 😉... #NewSpaceEurope #InnovationSpatiale #LeadershipTech https://lnkd.in/e-EJuxTm
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Horizons Infinis Vaisseau-cargo spatial réutilisable : 800 millions d'euros de contrats et 150 millions d'euros de fonds pour la start-up franco-allemande TEC Le premier vol de ce véhicule, développé par l’entreprise The Exploration Company, est prévu pour 2028 afin de transporter du fret dans l’espace. Publié le 18/11/2024 15:14 Mis à jour le 18/11/2024 17:38 Temps de lecture : 2min Des employés de l’entreprise The Exploration Company travaillent sur un prototype de la capsule Nyx Earth, le 20 novembre 2023. (MATTHIAS BALK / DPA) La start-up aérospatiale franco-allemande The Exploration Company (TEC) a déclaré, lundi 18 novembre, avoir levé 150 millions d’euros pour développer et construire son vaisseau-cargo réutilisable, Nyx, soutenu par l’Agence spatiale européenne (ESA). “Ce financement porte le total des fonds levés par TEC à plus de 216 millions d’euros”, a-t-elle affirmé. Cette somme servira également “à renforcer l’équipe qui compte déjà 200 personnes et à augmenter la capacité de production de l’entreprise”. Par ailleurs, la directrice générale de l’entreprise, Hélène Huby, a annoncé lundi sur franceinfo avoir “signé 800 millions d’euros de contrats”. “On a montré qu’il y avait une appétence réelle pour notre capsule, y compris aux Etats-Unis. Cinq contrats ont été signés avec des stations spatiales américaines qui veulent déjà utiliser nos services”, a-t-elle expliqué. The Exploration Company, aux côtés de l’industriel franco-italien Thales Alenia Space, avait été sélectionné en mai par l’ESA pour développer un service de transport cargo vers la Station spatiale internationale d’ici à 2028. Nyx doit “emporter du cargo, et bientôt des hommes, on l’espère, aux stations spatiales, autour de la Lune. Et puis elle revient et elle est réutilisée. C’est une capacité spatiale que l’Europe ne maîtrise pas encore, ne possède pas”, détaille Hélène Huby. Selon l’entreprise, il sera capable de rapporter sur Terre “jusqu’à 3 000 kg de fret”. Après un premier échec, le deuxième vol prototype est prévu pour juin 2025. Il y aura “à bord 17 clients cargos“, souligne Hélène Huby. Le premier vol de Nyx Earth est attendu pour 2028, afin de transporter du fret pour l’ESA vers la Station spatiale internationale”, selon l’entreprise. Confrontée à une concurrence internationale de plus en plus féroce, l’ESA souhaite acheter des services spatiaux à des industriels sur le modèle de la Nasa, plutôt que de développer elle-même des programmes. “C’est un très gros marché, de 300 milliards de dollars sur les dix prochaines années”, précise Hélène Huby. TEC promet un coût “inférieur de 25 à 50% à celui des autres véhicules”. L’entreprise dit avoir notamment recueilli des fonds auprès
Vaisseau-cargo spatial réutilisable : 800 millions d'euros de contrats et 150 millions d'euros de fonds pour la start-up franco-allemande TEC
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Horizons Infinis Vaisseau-cargo spatial réutilisable : 800 millions d'euros de contrats et 150 millions d'euros de fonds pour la start-up franco-allemande TEC Le premier vol de ce véhicule, développé par l’entreprise The Exploration Company, est prévu pour 2028 afin de transporter du fret dans l’espace. Publié le 18/11/2024 15:14 Mis à jour le 18/11/2024 17:38 Temps de lecture : 2min Des employés de l’entreprise The Exploration Company travaillent sur un prototype de la capsule Nyx Earth, le 20 novembre 2023. (MATTHIAS BALK / DPA) La start-up aérospatiale franco-allemande The Exploration Company (TEC) a déclaré, lundi 18 novembre, avoir levé 150 millions d’euros pour développer et construire son vaisseau-cargo réutilisable, Nyx, soutenu par l’Agence spatiale européenne (ESA). “Ce financement porte le total des fonds levés par TEC à plus de 216 millions d’euros”, a-t-elle affirmé. Cette somme servira également “à renforcer l’équipe qui compte déjà 200 personnes et à augmenter la capacité de production de l’entreprise”. Par ailleurs, la directrice générale de l’entreprise, Hélène Huby, a annoncé lundi sur franceinfo avoir “signé 800 millions d’euros de contrats”. “On a montré qu’il y avait une appétence réelle pour notre capsule, y compris aux Etats-Unis. Cinq contrats ont été signés avec des stations spatiales américaines qui veulent déjà utiliser nos services”, a-t-elle expliqué. The Exploration Company, aux côtés de l’industriel franco-italien Thales Alenia Space, avait été sélectionné en mai par l’ESA pour développer un service de transport cargo vers la Station spatiale internationale d’ici à 2028. Nyx doit “emporter du cargo, et bientôt des hommes, on l’espère, aux stations spatiales, autour de la Lune. Et puis elle revient et elle est réutilisée. C’est une capacité spatiale que l’Europe ne maîtrise pas encore, ne possède pas”, détaille Hélène Huby. Selon l’entreprise, il sera capable de rapporter sur Terre “jusqu’à 3 000 kg de fret”. Après un premier échec, le deuxième vol prototype est prévu pour juin 2025. Il y aura “à bord 17 clients cargos“, souligne Hélène Huby. Le premier vol de Nyx Earth est attendu pour 2028, afin de transporter du fret pour l’ESA vers la Station spatiale internationale”, selon l’entreprise. Confrontée à une concurrence internationale de plus en plus féroce, l’ESA souhaite acheter des services spatiaux à des industriels sur le modèle de la Nasa, plutôt que de développer elle-même des programmes. “C’est un très gros marché, de 300 milliards de dollars sur les dix prochaines années”, précise Hélène Huby. TEC promet un coût “inférieur de 25 à 50% à celui des autres véhicules”. L’entreprise dit avoir notamment recueilli des fonds auprès
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#espace #aéronautique #fretspatial 🚀🛰🚠 la société spatiale basée à Toulouse, The Exploration Company, a signé il y a quelques mois un joli contrat avec l’Agence spatiale européenne pour développer un service de fret pour la Station spatiale internationale (ISS). Un beau succès pour cette #spacetech ambitieux dans un marché des véhicules spatiaux réutilisables, où les États-Unis dominent largement. Avant de viser la Lune et de proposer des vols habités ! 🏆 La #startup franco-allemande vient d'être récompensée du prix de l'innovation industrielle de l'année dans le cadre des trophées des industriels 2024 de L'Usine Nouvelle. Le Nyx est le nom de leur petite capsule spatiale réutilisable qui a séduit l’ #ASE à l’issue d’un appel d’offre international ouvert pour développer un service de transport de fret à destination et en provenance de la Station spatiale internationale (ISS) d’ici 2028, et vers d’autres stations commerciales après la fermeture de l’ISS en 2030. 🛰 L'entreprise a déjà signé un contrat avec une société spatiale américaine privée basée à Houston, Axiom Space, pour laquelle elle livrera et rapportera des marchandises de ces stations qui utilise la gravité zéro pour réaliser des expérimentations dans les domaines pharmaceutique ou agronomique, par exemple, et qu'il faut approvisionner en matériel, carburant, eau, pièces de rechange, nourriture … A ce jour, trois cargos sont en mesure de ravitailler une station occidentale, le nippo-américain HTV, le Cygnus de l'américain Northrop Grumman, mais aussi son compatriote le Dragon de Space X, le seul des trois à pouvoir revenir sur Terre sans se désintégrer au contact de l'atmosphère, et même repartir pour une nouvelle mission. De leur côté, les Russes ont Progress et les Chinois, Tianzhou, alors que l'Europe, depuis le cinquième et dernier vol de l'ATV (Automated Transfer Vehicle), en 2014, ne dispose plus de cargo spatial. Source Le Moci 🚀 https://lnkd.in/ejHgBcfC
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Horizons Infinis Espace : Ariane 6 approche de son premier lancement Le Lanceur européen Ariane 6 se prépare à faire son vol inaugural cet été. La fusée lancera jusqu’à 12 fois par an des satellites et à terme des astronautes européens. PUBLICITÉ Cela fait déjà 4 ans que l’Europe attend ce moment : l’assemblage de la nouvelle fusée Ariane 6 est désormais dans sa phase finale dans la zone de lancement. Son vol inaugural est prévu cet été. “Je suis extrêmement enthousiaste, car c’est le fruit de plus ou moins dix ans de travail et c’est aujourd’hui un jour historique. Donc, on se sent dans une ambiance historique et, c’est plus d’enthousiasme et de fierté pour l’Europe, car, c’est la première fois qu’on va voir le noyau central d’une Ariane 6 qui va voler” s’enthousiasme Jens Franzeck, COO et directeur général d’ArianeGroup. Ariane 6 devait remplacer son prédécesseur dès 2020, mais le projet a pris du retard. Sans sa propre zone de lancement, le secteur spatial européen s’est tourné vers des sociétés extérieures comme SpaceX. Certains estiment que le manque d’accès direct à l’espace constitue une crise européenne. “Je voudrais d’abord qualifier la crise en Europe. C’est vrai que depuis le dernier lancement d’Ariane 5 en juillet dernier, nous n’avons pas eu de moyens propres pour accéder à l’espace. Ariane 6 devait le remplacer, mais il y avait une guerre. Malheureusement, personne ne s’y attendait. Et du jour au lendemain, Soyouz n’était plus là. Ariane 6 est un enjeu majeur pour l’Europe, car elle répondra à tous les besoins ; des besoins institutionnels de la défense, des télécommunications, des satellites scientifiques aux besoins commerciaux de l’Europe et bien sûr au-delà” explique Lucie Linares, responsable de la stratégie et des lancements institutionnels de l’ESA. Aussi haute que le premier étage de la Tour Eiffel, la nouvelle fusée sera propulsée par un mélange d’oxygène liquide et d’hydrogène. Ariane 6 lancera jusqu’à 12 fois par an des satellites dans le but de devenir suffisamment compétitive pour affronter des géants du marché comme SpaceX. Les scientifiques espèrent également que la fusée transportera des astronautes européens vers des missions habitées depuis le territoire de l’Union européenne. “C’est d’abord une ambition politique. C’est aux États européens de décider s’ils souhaitent acquérir cette capacité. Nous pouvons donc simplement dire que nous sommes prêts à contribuer” affirme Frank Huiban, responsable des programmes civils d’ArianeGroup. Après des années de retard, Ariane 6 fera son premier lancement d’essai crucial cet été, lorsque tous les regards seront tournés vers la rampe de lancement, alors que l’Europe cherche à réaffirmer son indépendance dans l’espace. Aller à la source Pour accéder à l'article, cliquez ici :
Espace : Ariane 6 approche de son premier lancement
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Horizons Infinis Espace : Ariane 6 approche de son premier lancement Le Lanceur européen Ariane 6 se prépare à faire son vol inaugural cet été. La fusée lancera jusqu’à 12 fois par an des satellites et à terme des astronautes européens. PUBLICITÉ Cela fait déjà 4 ans que l’Europe attend ce moment : l’assemblage de la nouvelle fusée Ariane 6 est désormais dans sa phase finale dans la zone de lancement. Son vol inaugural est prévu cet été. “Je suis extrêmement enthousiaste, car c’est le fruit de plus ou moins dix ans de travail et c’est aujourd’hui un jour historique. Donc, on se sent dans une ambiance historique et, c’est plus d’enthousiasme et de fierté pour l’Europe, car, c’est la première fois qu’on va voir le noyau central d’une Ariane 6 qui va voler” s’enthousiasme Jens Franzeck, COO et directeur général d’ArianeGroup. Ariane 6 devait remplacer son prédécesseur dès 2020, mais le projet a pris du retard. Sans sa propre zone de lancement, le secteur spatial européen s’est tourné vers des sociétés extérieures comme SpaceX. Certains estiment que le manque d’accès direct à l’espace constitue une crise européenne. “Je voudrais d’abord qualifier la crise en Europe. C’est vrai que depuis le dernier lancement d’Ariane 5 en juillet dernier, nous n’avons pas eu de moyens propres pour accéder à l’espace. Ariane 6 devait le remplacer, mais il y avait une guerre. Malheureusement, personne ne s’y attendait. Et du jour au lendemain, Soyouz n’était plus là. Ariane 6 est un enjeu majeur pour l’Europe, car elle répondra à tous les besoins ; des besoins institutionnels de la défense, des télécommunications, des satellites scientifiques aux besoins commerciaux de l’Europe et bien sûr au-delà” explique Lucie Linares, responsable de la stratégie et des lancements institutionnels de l’ESA. Aussi haute que le premier étage de la Tour Eiffel, la nouvelle fusée sera propulsée par un mélange d’oxygène liquide et d’hydrogène. Ariane 6 lancera jusqu’à 12 fois par an des satellites dans le but de devenir suffisamment compétitive pour affronter des géants du marché comme SpaceX. Les scientifiques espèrent également que la fusée transportera des astronautes européens vers des missions habitées depuis le territoire de l’Union européenne. “C’est d’abord une ambition politique. C’est aux États européens de décider s’ils souhaitent acquérir cette capacité. Nous pouvons donc simplement dire que nous sommes prêts à contribuer” affirme Frank Huiban, responsable des programmes civils d’ArianeGroup. Après des années de retard, Ariane 6 fera son premier lancement d’essai crucial cet été, lorsque tous les regards seront tournés vers la rampe de lancement, alors que l’Europe cherche à réaffirmer son indépendance dans l’espace. Aller à la source Pour accéder à l'article, cliquez ici :
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The Exploration Company (TEC) révolutionne la logistique spatiale avec une levée de 150 M€ ! En seulement trois ans, Hélène Huby et son équipe ont réussi un pari audacieux : lever 150 M€, soit la plus grosse série B du secteur en Europe. Leur objectif ? Développer un cargo spatial réutilisable et ravitaillable, conçu pour être 5 à 10 fois moins cher et 3 fois plus rapide à produire que les modèles existants. Leur plan en trois étapes : - Bikini, un premier prototype fonctionnel lancé en 2022. - Mission Possible, une capsule capable de transporter jusqu’à 300 kg, prévue pour juin 2024. - Nyx Earth, la grande étape : une capsule de 13 tonnes qui pourra acheminer 4 tonnes de fret et se diriger vers l’ISS en 2028. L’ambition ? Devenir le DHL de l’espace et surpasser les géants comme SpaceX, Soyouz ou Shenzhou. TEC s’inscrit dans un marché en pleine expansion, estimé à 284 milliards d’euros d’ici 2030. Avec déjà 800 M€ de contrats signés, leur vision prend forme. Et ça ne s’arrête pas là : pour obtenir la certification NASA, l’équipe a ouvert des bureaux à Houston. Avec une approche basée sur l’apprentissage rapide, où chaque échec sert de tremplin, TEC montre qu’en Europe aussi, on sait viser loin et viser juste. Le futur de la logistique spatiale commence ici, et TEC est prêt à l’écrire ! Peut-être une collab à venir dans l’affrètement spatial 👀
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🚀 𝗕𝗹𝘂𝗲 𝗢𝗿𝗶𝗴𝗶𝗻 : 𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗽𝗼𝗶𝗱𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝘀𝗽𝗮𝘁𝗶𝗮𝗹𝗲 ? Blue Origin, l’entreprise aérospatiale fondée par Jeff Bezos, a franchi une étape majeure avec le lancement de sa fusée 𝗡𝗲𝘄 𝗚𝗹𝗲𝗻𝗻 ce jeudi matin. Après un report dû à des problèmes techniques, la fusée a atteint l’orbite avec succès malgré des conditions météorologiques compliquées. 🔎 𝗟𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗷𝗲𝘂𝘅 : 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝘂𝗿𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗲́𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗦𝗽𝗮𝗰𝗲𝗫 ? 👉 𝗗𝗲𝘀 𝗰𝗼𝘂̂𝘁𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗲́𝘁𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 : Avec un coût estimé à 1 500 $/kg contre 4 000 $/kg pour la Falcon 9, Blue Origin pourrait redistribuer les cartes dans un marché dominé par SpaceX. 👉 𝗗𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀 : La mission a permis le déploiement du prototype 𝗕𝗹𝘂𝗲 𝗥𝗶𝗻𝗴, un “Uber de l’espace” capable de manœuvrer sur différentes orbites pour allonger et faciliter les missions spatiales. ⚠️ 𝗨𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 : - Objectif principal atteint : la fusée a réussi à se placer en orbite dès sa première tentative. - Cependant, le premier étage, prévu pour être récupéré et réutilisé, a atterri dans l’océan Atlantique. Un revers pour l’entreprise, qui vise à rivaliser avec SpaceX sur le plan de la réutilisation. 💡 𝗕𝗹𝘂𝗲 𝗢𝗿𝗶𝗴𝗶𝗻 𝗽𝗲𝘂𝘁-𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗿𝗶𝘃𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗦𝗽𝗮𝗰𝗲𝗫 ? Pour l’heure, SpaceX reste largement en tête avec ses 𝟭𝟯𝟰 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰 contre seulement 10 prévus par Blue Origin en 2025. De plus, SpaceX compte marquer l’histoire avec le 𝗦𝘁𝗮𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽, la plus grande fusée jamais construite, entièrement réutilisable et destinée à des missions ambitieuses comme l’exploration de Mars. 👉 Malgré ces écarts, le lancement du New Glenn marque un progrès significatif pour Blue Origin, qui commence à s’imposer comme un acteur sérieux dans la course à l’espace. 📲 𝘌𝘯𝘷𝘪𝘦 𝘥’𝘦𝘯 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘱𝘭𝘶𝘴 ? 𝘋𝘦́𝘤𝘰𝘶𝘷𝘳𝘦𝘻 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘢𝘯𝘢𝘭𝘺𝘴𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘦̀𝘵𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘐𝘯𝘴𝘵𝘢𝘨𝘳𝘢𝘮 : @𝘪𝘧𝘤𝘯𝘢𝘯𝘵𝘦𝘴 𝘰𝘶 https://lnkd.in/e4A7U-EJ #BlueOrigin #NewGlenn #JeffBezos #SpaceX #ConquêteSpatiale #Espace #Innovation
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🌌 L'Europe se Prépare à un Changement de Paradigme dans le Spatial En cette période de transformation rapide, l'Agence spatiale européenne (ESA) fait un pas audacieux vers l'avenir en annonçant le développement d'un véhicule cargo réutilisable pour l'orbite basse. Ce projet, dirigé par l'astronaute Samantha Cristoforetti, marque le début d'une nouvelle ère post-ISS où l'Europe cherche à renforcer sa position dans l'écosystème spatial global. 🚀 Un Nouvel Horizon pour le Transport Spatial La guerre en Ukraine, les tensions avec la Chine et les perturbations causées par le Covid ont montré à quel point il est crucial de sécuriser nos capacités de production et de logistique. L'ESA, en partenariat avec Thales Alenia Space et The Exploration Company, s'engage à créer un service de transport de fret opérationnel d'ici la fin de la décennie. Cette initiative n'est pas seulement un défi technique, mais aussi une déclaration de notre engagement à rester compétitifs et innovants dans un monde en constante évolution. 🌍 Soutenir les Futures Stations Spatiales La flexibilité et l'évolutivité de ces nouveaux véhicules cargo permettront de soutenir non seulement l'ISS, mais aussi les futures stations spatiales privées. Imaginez des capsules capables de transporter jusqu'à quatre tonnes de fret vers l'orbite terrestre basse et de ramener deux tonnes sur Terre, tout en étant compatibles avec le lanceur Ariane 6. Cette vision ambitieuse pourrait transformer la manière dont nous envisageons le transport spatial et ouvrir de nouvelles opportunités pour l'Europe. 🌌 Vers de Nouveaux Horizons Mais l'ESA ne s'arrête pas là. Avec des concepts de capsules évolutives, capables d'accomplir des missions cislunaires et même de transporter des équipages, nous nous rapprochons d'une réalité où l'Europe joue un rôle clé dans l'exploration lunaire et martienne. Cette capacité d'adaptation et de réinvention est essentielle pour maintenir notre avance et répondre aux défis futurs. 🤝 Une Collaboration Essentielle En tant que chasseur de têtes spécialisé dans le secteur aéronautique et spatial, je suis convaincu que ces développements ouvriront la voie à des innovations majeures et à des opportunités d'emploi significatives. Travailler ensemble pour recruter les meilleurs talents et soutenir ces initiatives est crucial pour notre succès collectif. 📅 Organisons une Rencontre Si vous êtes intéressé par ces perspectives passionnantes et souhaitez en discuter plus en détail, n'hésitez pas à me contacter. Ensemble, nous pouvons contribuer à façonner l'avenir du spatial en Europe. https://lnkd.in/dkjDq9w3 #ESA #Spatial #Innovation #Europe #Technologie #Futur #humanresources #creativity
Cargos spatiaux : l’Agence spatiale européenne se prépare à l'ère post-ISS, voici ce que ça signifie
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🚀🌟 #Ariane6 : Une Nouvelle Ère pour l'Espace Européen ! 🌟🚀 Nous y sommes ! Ariane 6 a réussi son vol inaugural le 9 juillet 2024, ouvrant une nouvelle page de l'exploration spatiale européenne. Cette fusée, symbole de la souveraineté et de l'innovation, démontre la capacité de l'Europe à rivaliser sur la scène mondiale. 🔧 Modularité et Agilité : Grâce à son étage supérieur ré-allumable, Ariane 6 peut lancer plusieurs missions sur différentes orbites en un seul vol. Une avancée technologique majeure pour répondre aux besoins variés de nos missions spatiales. 🇫🇷 Filière Toulousaine : Un immense bravo aux équipes toulousaines et à tous les partenaires industriels qui ont travaillé sans relâche pour faire de ce rêve une réalité. Toulouse, épicentre de l'aérospatiale, brille une fois de plus sur la scène internationale. 🌍 Impact Stratégique : Ce lancement renforce l'indépendance et la compétitivité de l'Europe dans le secteur spatial, crucial pour notre sécurité et notre autonomie. 🛰️ Diversité des Missions : Du déploiement de CubeSats universitaires à des prototypes de capsules de retour, Ariane 6 ouvre la voie à des innovations passionnantes et à des collaborations prometteuses. Un grand merci à l'ESA, ArianeGroup, le CNES et à tous les acteurs impliqués. Ensemble, nous ouvrons une nouvelle ère de découvertes et de succès dans l'espace ! #Innovation #Espace #Technologie #Ariane6 #ESA #ArianeGroup #Toulouse #EuropeDansLEspace Matthieu Landon Massis Sirapian Amandine REIX Carole Vachet Maud PAWLOWSKI
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