Post de SSTRN - Prévention et santé au travail 🫀🚀

Addictions : les bonnes pratiques à adopter en entreprise 😟 Ces addictions peuvent avoir différentes origines, mais leurs résultats sont les mêmes : ▶ Baisse de la productivité ▶ Dégradation de la santé ▶ Isolement 🚫 Parmi les sources d'addiction les plus fréquentes, on retrouve l'alcool et le cannabis. Ces 2 substances ont un impact immédiat sur la santé dès lors qu'elles sont consommées, une personne sous influence se met elle et ses collègues en danger. ⛑ Pour faire face à cela, la sensibilisation sur les risques liés à l’addiction reste la meilleure des solutions. Dans les cas d’addictions liés aux drogues, il est également possible de procéder à des tests salivaires dans le but de protéger les salariés pendant le travail. Voici une liste de bonnes pratiques qui peuvent être intéressante à adopter en entreprise pour lutter face aux addictions 👇 (Source : INRS) #Sécurité #Prévention #SantéAuTravail

Pourquoi organiser une rencontre sur les conduites addictives peut être bénéfique pour votre entreprise ? 🤔 Aborder la question des conduites addictives au sein de votre entreprise peut sembler délicat, mais c'est une démarche cruciale pour la santé et la performance de vos équipes. Organiser des rencontres dédiées à ce sujet présente de nombreux avantages : 🔸 Amélioration du bien-être au travail : En offrant un espace de dialogue et de soutien, vous montrez à vos salariés que leur santé mentale et physique est une priorité. ❤️ 🔸Réduction des risques et des coûts : Prévenir et traiter les addictions permet de diminuer les risques d'accidents, l'absentéisme et les coûts liés à la santé. 📉 🔸Renforcement de la cohésion d'équipe : Aborder ensemble des sujets sensibles crée un environnement de confiance et de solidarité au sein de votre équipe. 🤝 🔸Augmentation de la productivité : Un salarié soutenu et en bonne santé est plus engagé et performant. 💪 Avec mon expérience dans la prévention des conduites addictives et mon engagement auprès de l'association Les Amis de la Santé, je propose des interventions sur mesure pour accompagner vos équipes et instaurer un climat de travail serein et sécurisant. 🛡️🌿 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘃𝗼𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗺𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮̀ 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 ? Partagez vos réflexions en commentaire et contactez-moi pour en discuter davantage. 👇 #Addictions #Prévention #RH #Management #BienÊtreAuTravail #SantéMentale #CohésionDequipe

✋ Attention addictions Alcool, tabac, cannabis, mais aussi hyperconnexion ou workaholisme… Le champ des addictions est vaste et la dépendance peut prendre différentes formes. Au travail, les salariés se mettent en danger eux-mêmes et pénalisent le reste de l’équipe 🚨 Pour prévenir tout risque, il est nécessaire de mettre en place une politique de prévention à différents niveaux : 📄 Repréciser le règlement intérieur et le Document unique pour une meilleure évaluation des risques 👨🏫 Sensibilisation globale par le biais de formations 📅 Déployer des campagnes du type « mois sans tabac » 💡 Créer des groupes de travail Conseils et rappel des enjeux dans cet article à retrouver sur My Happy Job : https://lnkd.in/ee_BPz6k

L'employeur a une obligation générale de protection de la santé et de la sécurité de ses salariés(es) et doit justifier avoir pris les mesures suffisantes pour prévenir tout accident du travail et/ou maladie professionnelle. Les dangers propres à l’entreprise sont consignés dans le document unique d’évaluation des risques professionnels et en cas de non-respect de cette obligation, sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée. A cet effet, l'employeur doit évaluer les risques professionnels sur chaque poste de travail et mettre en place des actions de prévention, d'information et de formation et prendre les mesures nécessaires afin d’assurer la sécurité des travailleurs. A ce titre, il doit aussi prendre en compte le danger et les risques liés à la consommation d’alcool ou de substances psychoactives. Les articles R. 4228-20 et 4228-21 du Code du travail le rappelle et interdisent entre autre l’introduction, la distribution de boissons alcoolisées ou le fait de laisser entrer ou séjourner des personnes en état d’ivresse sur le lieu du travail. #addictionsautravail La consommation de substances psychoactives telles que l’alcool, le cannabis, la cocaïne etc., ou certains médicaments, peut mettre en danger la santé et la sécurité du consommateur, de son entourage professionnel ou de tiers et être à l’origine d’accidents du travail. Leur consommation peut dans certains cas engendrer des effets tels que: - Une perte d’attention ou de vigilance de la part du consommateur - Une modification de la perception du risque et/ou une prise de risque - La mise en danger de sa propre personne et/ou des autres Le risque principal en entreprise ou sur un chantier étant l’accident du travail, parfois mortel, la responsabilité de l'employeur, mais aussi celle des salariés(es), peut éventuellement être engagée en cas d'accident causé par un(e) salarié(e) en état d’ébriété ou sous l’influence d’une drogue ou de médicaments… Les signes qui peuvent vous alerter : Des absences répétées, des retards Une diminution de la qualité du travail et/ou de la productivité Des troubles du comportement (une démarche hésitante, trouble de l’équilibre, un trouble de l’élocution et du langage, un état anormal d’excitation...). Une dilatation aiguë des pupilles (dilatation anormale de la pupille - mydriase) Une augmentation des accidents du travail Quelles solutions ? 3 Phases dans la démarche de prévention : Identifier le risque lié aux SPA (substances psycho-actives) dans votre Duerp Mettre en place des actions de prévention et de sensibilisation pour les salariés(es) Faciliter l’aide et le soutien aux personnes dépendantes aux SPA Le règlement intérieur (Art. L.1321-1 du Code du travail) doit prévoir : L’interdiction des SPA dans l’entreprise Les sanctions afférentes Les moyens de dépistage https://lnkd.in/ezgjwW59

SUBSTANCES PSYCHOACTIVES pour tenir le coup au travail : comment réduire les risques ? La consommation de substances psychoactives, comme la cocaïne, l’alcool, le cannabis, les médicaments anti-douleurs ou encore les anxiolytiques, est une réalité au sein de la population active. Les effets recherchés sont multiples : performer au travail, atténuer le stress, trouver le sommeil, supprimer la douleur physique…   Pourtant la consommation de ces substances n’est pas sans danger pour la santé et peut entrainer des effets contraires à ceux escomptés comme « des difficultés à raisonner, anticiper, mémoriser » ou encore « altérer l’attention et la concentration » explique le Pr Laurence Lalanne, cheffe du service d'addictologie aux CHRU de Strasbourg - Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, à l’occasion du salon Préventica auquel participe Addict’AIDE du 18 au 20 juin 2024.   « Si le dépistage peut dissuader à consommer certaines substances, et donc participer à réduire les risques, il ne doit pas être une fin en soi » souligne laurent muraro, consultant formateur en addictologie pour Alassca Conseil, coordinateur général de la Fédération Entraid'Addict. « Il est important d’avoir une vision globale en matière de prévention » ajoute-il.   Quand une entreprise se lance dans une démarche de prévention des conduites addictives, elle va d’abord « identifier les facteurs de risque qui lui sont propres » précise Corinne Dano, médecin du travail addictologue au CHU d'Angers, qui cite notamment « la pénibilité, le stress chronique, les horaires décalés, le travail de nuit, la précarité… »   C’est au sein d’un comité de pilotage, qui réunira toutes les parties prenantes de l’entreprise (direction, service des ressources humaines, représentants du personnel, service de prévention et de santé au travail…) que ces facteurs de risque seront identifiés, afin de mettre en œuvre par la suite des actions visant à les atténuer.   En parallèle, « il est indispensable de sensibiliser l’ensemble des collaborateurs aux conduites addictives, aux effets des produits, et surtout d’expliquer qu’alerter, ce n’est pas faire de la délation, mais donner une chance à un collègue en difficulté de changer » conclut Laurent Muraro.   ➡️ Retrouvez la fiche pratique Addict’AIDE Pro « Les 7 étapes clés pour réussir votre politique de prévention des conduites addictives » : https://lnkd.in/ejhPVF-W    Amine Benyamina, Myriam Lortal, Patrick ISSARTELLE, Hervé martini, Orlane Reno, Séverine Sacco, AINF, Eric Monti, Valerie DUNAS, MILDECA - mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives , valerie lemaire

🔑 Et si la prévention des conduites addictives était une clé pour renforcer la santé et la productivité de vos équipes ? Les conduites addictives sont souvent perçues comme un problème de santé personnel relevant de la vie privée. En réalité, il existe des facteurs professionnels susceptibles d’initier, de favoriser ou de renforcer les usages de substances psychoactives : - les tensions physiques : bruits, odeur, chaleur, intensité des gestes, activité répétitive… - les tensions psychiques : conflits, stress, incivilités… - la disponibilité et offre de produits liés au milieu professionnel  - la précarité professionnelle et sociale : temps de travail, horaires, activité répétitive… - les pratiques culturelles et socialisantes : convivialité, réseau… Les bénéfices à mettre en place une démarche de prévention des conduites addictives dans votre entreprise sont nombreux : - améliorer la performance sociale : la qualité de vie et les conditions de travail des salariés, l’image de l’entreprise - favoriser la performance économique : augmenter la productivité de l’entreprise en améliorant la qualité du travail, agir contre l’absentéisme, réduire les coûts (dégâts, inaptitude, malfaçons, arrêts maladie, taux AT/MP), agir sur l’attractivité et baisser le turn-over - garantir la santé et la sécurité des salariés : réduire les accidents du travail, prévenir / réduire les risques professionnels des conduites addictives (RPS, TMS…), mettre en place des actions de prévention, suivre les actions dans le DUERP. Quelques idées d’actions à mettre en place : 🗣 ouvrir le dialogue avec les salariés et le CSE  👨⚕️ faire intervenir un professionnel extérieur  ⚡ aborder le sujet des addictions comme un risque professionnel  🏢 analyser les situations de travail pouvant favoriser des pratiques addictives  🚬 s’appuyer sur des campagnes de prévention nationale : Moi(s) sans tabac, Défi De Janvier, semaine de la QVT, journées mondiales sans smartphone… Vous êtes sensibles à ces sujets et souhaitez aller plus loin, contactez-moi📲   MAJORELLE AVOCATS

Pas d’alcool dans notre entreprise ❌ ➡️ 18 millions de personnes sont concernées par les addictions en France, soit un quart de la population. Les consommations ne s’arrêtent pas à la porte du domicile et surviennent également sur le lieu de travail. Elles ont un impact fort : - Mise en danger et augmentation du risque d’accident - Conséquences sur la santé : arrêt, inaptitude… - Conditions de travail : cohésion d’équipe, surcharge de travail… La prévention est un levier de la sécurité au travail nécessaire à mobiliser sur des actions de long terme.💡 Il existe plusieurs facteurs de risque au travail : - Risques psychosociaux - Conditions de travail - Stress - Horaires décalés Ces comportements touchent tous les secteurs d’activités confondus et toutes les catégories socio-professionnelles. Il est donc nécessaire de pouvoir mettre en place des actions de prévention et de sensibilisation pour tous.🤝 ➡️ Ethylot'HEALTH se consacre à sensibiliser et à prévenir ces problèmes en milieu professionnel, en offrant des solutions adaptées pour améliorer la sécurité, la santé et le bien-être des travailleurs. *Chiffre de Santé Publique France* Est-ce que vous avez déjà été confrontés à des situations à risques liés aux produits psychoactifs ? #santé #école #parismaville #entreprise #addiction #ministere #prévention

Le stress au travail est-il un moteur sain ? Nous ne sommes pas tous égaux devant le stress et le stress à haute dose peut rimer avec perte des eaux à l'audience, burn-out et idées noires.   Nous, Clarisse Surin et Thomas Baudesson, considérons que la santé de nos consœurs et confrères, dont on n'ose pas parler, est devenue un enjeu majeur pour notre profession. Pour répondre aux difficultés qui peuvent découler d'une charge mentale trop forte liée au travail, aux difficultés de la vie ou la maternité, nous défendons depuis plusieurs mois déjà la mise en œuvre d’un dispositif d’AvocatCare et de MaterLegal. Nous continuerons, inlassablement. Pour découvrir le détail de ces mesures, lisez notre interview dans Actu-Juridique.fr : https://lnkd.in/eTY3wzAu #FiersdêtreAvocats #Cobâtonnat

Qu’il s’agisse de communiquer sur la nature des principales addictions (alcool, tabac, cannabis, jeu…) ou de l’accompagnement individuel, la démarche des entreprises passe d’abord par la conscience que le travail lui-même peut favoriser les conduites addictives.

L'employeur a une obligation générale de protection de la santé et de la sécurité de ses salariés(es) et doit justifier avoir pris les mesures suffisantes pour prévenir tout accident du travail et/ou maladie professionnelle. Les dangers propres à l’entreprise sont consignés dans le document unique d’évaluation des risques professionnels et en cas de non-respect de cette obligation, sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée. A cet effet, l'employeur doit évaluer les risques professionnels sur chaque poste de travail et mettre en place des actions de prévention, d'information et de formation et prendre les mesures nécessaires afin d’assurer la sécurité des travailleurs. A ce titre, il doit aussi prendre en compte le danger et les risques liés à la consommation d’alcool ou de substances psychoactives. Les articles R. 4228-20 et 4228-21 du Code du travail le rappelle et interdisent entre autre l’introduction, la distribution de boissons alcoolisées ou le fait de laisser entrer ou séjourner des personnes en état d’ivresse sur le lieu du travail. La consommation de substances psychoactives telles que l’alcool, le cannabis, la cocaïne etc., ou certains médicaments, peut mettre en danger la santé et la sécurité du consommateur, de son entourage professionnel ou de tiers et être à l’origine d’accidents du travail. Leur consommation peut dans certains cas engendrer des effets tels que: - Une perte d’attention ou de vigilance de la part du consommateur - Une modification de la perception du risque et/ou une prise de risque - La mise en danger de sa propre personne et/ou des autres Le risque principal en entreprise ou sur un chantier étant l’accident du travail, parfois mortel, la responsabilité de l'employeur, mais aussi celle des salariés(es)... Les signes qui peuvent vous alerter : Des absences répétées, des retards Une diminution de la qualité du travail et/ou de la productivité Des troubles du comportement (une démarche hésitante, trouble de l’équilibre, un trouble de l’élocution et du langage, un état anormal d’excitation...). Une dilatation aiguë des pupilles (dilatation anormale de la pupille - mydriase) Une augmentation des accidents du travail Quelles solutions ? 3 Phases dans la démarche de prévention : Identifier le risque lié aux SPA (substances psycho-actives) dans votre Duerp Mettre en place des actions de prévention et de sensibilisation pour les salariés(es) Faciliter l’aide et le soutien aux personnes dépendantes aux SPA Le règlement intérieur (Art. L.1321-1 du Code du travail) doit prévoir : L’interdiction des SPA dans l’entreprise Les sanctions afférentes Les moyens de dépistage Attention car le dépistage systématique ne peut en aucun cas se justifier, sauf pour certains postes dits « à risque » comportant de grandes exigences de sécurité de maîtrise du comportement qui doivent être signalés dans le règlement intérieur. https://lnkd.in/e8FSt3z5