Post de Association Canadienne de Normalisation

Votre communauté est-elle exposée aux risques d'inondation côtière? L'élévation du niveau de la mer, la diminution de la couverture de glace de mer, les ondes de tempête et les changements climatiques peuvent accroître les risques d'inondation des bâtiments et des infrastructures du littoral maritime et des côtes de grands lacs au Canada. Votre communauté est-elle exposée à ce risque? La nouvelle norme nationale du Canada, CSA W224:24, Évaluation des risques d'inondation côtière pour les bâtiments et les infrastructures, peut contribuer à évaluer les vulnérabilités des bâtiments et des infrastructures de votre communauté aux inondations côtières dans les conditions actuelles et futures. Ces informations peuvent servir de base à la planification municipale, la conception de nouveaux bâtiments et d’infrastructures ainsi que les mesures de modernisation des structures existantes dans le but de protéger des vies, des biens et l'environnement. En savoir plus à propos de la norme CSA W244:24 : https://bit.ly/3MuHvkS #ProtectionDesCommunautésCôtières

Bonne réflexion!

Une digue devrait être une construction temporaire pour se donner le temps de réfléchir l'occupation du territoire et trouver des solutions durables pour la population. Il faut arrêter d'essayer de contrôler les aléas, nous n'y parvenons pas et ce n'est pas durable. On doit arrêter de seulement demander aux citoyens d'être résilient et commencer à travailler sur la résilience du territoire. Les initiatives (changement de la loi sur la sécurité civile, nouvelle définition de zone inondable, etc.) se font sans réflexion et sans réel changement. À quand des initiatives structurantes et surtout systémique pour mieux habiter notre territoire ? https://lnkd.in/esWFtkrY

L'élévation du niveau de la mer, la diminution de la couverture de glace de mer, les ondes de tempête et les changements climatiques peuvent accroître les risques d'inondation des bâtiments et des infrastructures du littoral maritime et des côtes de grands lacs au Canada. Votre communauté est-elle exposée à ce risque? La nouvelle norme nationale du Canada, CSA W224:24, Évaluation des risques d'inondation côtière pour les bâtiments et les infrastructures, peut contribuer à évaluer les vulnérabilités des bâtiments et des infrastructures de votre communauté aux inondations côtières dans les conditions actuelles et futures. Ces informations peuvent servir de base à la planification municipale, la conception de nouveaux bâtiments et d’infrastructures ainsi que les mesures de modernisation des structures existantes dans le but de protéger des vies, des biens et l'environnement. En savoir plus à propos de la norme CSA W244:24 : https://bit.ly/3Z98PNc #ProtectionDesCommunautésCôtières

La résilience aux inondations : et si on parlait plutôt de réagencement des rapports entre la ville et l’eau?   À l’approche du 12e anniversaire de l’ouragan Sandy, de talentueux professionnels et universitaires se sont réunis pour réfléchir au chemin parcouru et au chemin qui reste à parcourir pour rendre le front d’eau de New York apte à s’adapter à l’invasion graduelle ou soudaine de l’eau. À l’occasion de l’évènement tenu au New York City Center for Architecture, les panélistes ont tenu des discours enflammés sur la nécessité de dépasser le « tout protection », en faveur d’une meilleure articulation entre la ville et l’eau. Les échanges auxquels j’ai assisté donne matière à réflexion, à l’heure où le Québec est à la croisée des chemins en matière de gestion des risques d’inondation. Les panélistes militent, je cite, pour « a fundamental transformation in understanding how cities might relate to the water around them ». Mais qu’est-ce qu’on doit ré-imaginer, au juste, pour insuffler cette transformation et rendre les fronts d’eau résilients aux inondations? C’est notre conception même de ces territoires qui est ici interpelée. Qu’il s’agisse des zones côtières new-yorkaises ou des zones inondables au Québec, ces territoires ont, jusqu’à présent, été considérés comme des frontières de développement, parfois contestées par une nature qui cherche à reprendre ses droits. Pour concilier ce qui semble inconciliable, il s’agit dorénavant de repenser les fronts d’eau comme des interfaces négociées. C’est d’ailleurs une partie des réflexions menées dans le cadre de ma thèse – réflexions qui, je l’espère, permettront de dépasser le discours parfois vide de la résilience, ce « buzz word » devenu insignifiant à force d’être brandi.

𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟 𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘 : Cayman Island: Les problèmes d’inondation ont été identifiés comme “prioritaires” il y a plus de vingt ans - https://lnkd.in/eWgRFsgb Par James Whittaker – 9 octobre 2024 L’élaboration d’une stratégie nationale visant à prévenir le type d’inondations majeures qui ont frappé les quartiers de Grand Cayman ces dernières semaines a été considérée comme une priorité urgente dès 2003. La nécessité d’un plan national de gestion des eaux pluviales pour atténuer l’impact des fortes précipitations a été soulignée dans un rapport qui avertissait que “ne rien faire” n’était pas une option. Un jeune fait du vélo pendant les inondations du mois dernier. – Photo : Taneos Ramsay : Taneos Ramsay Dans son rapport, le comité gouvernemental de gestion des eaux pluviales ANTILLA MARTINIQUE

𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟 𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘 : Cayman Island: Les problèmes d’inondation ont été identifiés comme “prioritaires” il y a plus de vingt ans - https://lnkd.in/edzat46Z Par James Whittaker – 9 octobre 2024 L’élaboration d’une stratégie nationale visant à prévenir le type d’inondations majeures qui ont frappé les quartiers de Grand Cayman ces dernières semaines a été considérée comme une priorité urgente dès 2003. La nécessité d’un plan national de gestion des eaux pluviales pour atténuer l’impact des fortes précipitations a été soulignée dans un rapport qui avertissait que “ne rien faire” n’était pas une option. Un jeune fait du vélo pendant les inondations du mois dernier. – Photo : Taneos Ramsay : Taneos Ramsay Dans son rapport, le comité gouvernemental de gestion des eaux pluviales ANTILLA MARTINIQUE

LE PLAN DE PRÉVENTION DU RISQUE D’INONDATION (PPRI ). Il est difficile de trouver des #communes_africaines disposées d’un #PPRI, alors que les #villes_africaines sont victimes des grandes inondations répétitives. Le #PPRI est outil officiel et règlementaire de prévention des risques d’inondation. Il permet de mieux canaliser l’urbanisation. Il lutte contre la spéculation immobilière et l’occupation anarchique des zones exposées aux risques naturels d’inondation. Selon la hauteur de submersion et la vitesse d’écoulement des eaux, le PPRI classe un territoire souvent en 5 zones : -      zone ROUGE, très exposée où les inondations sont redoutables, donc totalement inconstructibles. -      zone BLEU FONCÉ/ORANGE, soumise à des aléas importants, sur laquelle le développement de l’urbanisation est à proscrire. -      zone BLEUE CLAIRE/JAUNE, de nouvelles implantations peuvent être admises sous certaines conditions. -      zone VERTE n’est pas urbanisée et participe au stockage des eaux débordantes des crues. -      zone BLANCHE n’est pas soumise au risque d’inondation. Les communes africaines sont dotées des documents stratégiques de développement économique et de gouvernance (#PDC, #PDL), ainsi que des Plans et Schémas d’urbanisme (#SDU, #PDU...). Ces documents ne traitent pas de façon TRES PRÉCISE, DÉTAILLÉE ET NE DELIMITENT PAS AVEC EXACTITUDE les zones sujettes aux éventuels risques d’inondation: lits des cours d’eau, bas-fonds, cuvettes humides, plages, berges de rivière et de fleuve... Le PPRI est un document de prise de décision, où le pouvoir publique (maires, préfets...) doit utiliser pour délivrer les #permis_de_construire ou d’aménager (lotissements, opérations immobilières ...). Cependant, il ne remplace pas un document d’urbanisme, il vient en amont d’un document d’urbanisme et facilite l’élaboration des document et règlements d’urbanisme. Son élaboration requiert des compétences aigues d’un GÉOMATICIEN SPÉCIALISTE EN AMÉNAGEMENT URBAIN. Il demande des connaissances avancées en analyse spatiale, d’interprétation des données météorologiques et de compréhension des relevés des laisses des crues passées. Aux vues des effets du #changement_climatique, les risques d’inondation s’élargissent d’année en année, c’est pourquoi un PPRI doit être révisé à des périodes précises et redéfinir des nouvelles prescriptions : les bâtiments qui sont déjà sur des zones inondables, il faut les adapter et interdire les nouvelles constructions. Le PPRI et son application (sans #corruption) sont indispensables, il faut anticiper ! Il est indispensable de doter chaque commune d’un PPRI ! MORBÉ Benjamin, Ing. Géomaticien, spécialiste de l’aménagement et de gestion des ressources. #Géomatique #Cartographie #SIG #Urbanisme #Villes_africaines

Une zone inondable est-elle forcément risquée? À l’aube de l’adoption d’une nouvelle cartographie des zones inondables et des contraintes règlementaires afférentes, des voix s’élèvent pour dénoncer les effets potentiellement délétères de ces changements et revendiquer le droit d’habiter les territoires exposés aux aléas des cours d’eau. Le dossier de La Presse met d’ailleurs en évidence les nouveaux enjeux que le chantier de refonte cartographique et règlementaire peine à saisir et, à plus forte raison, à affronter; du moins pour l’instant. Saluons d’abord l’effort déployé pour refléter un niveau de risque plus « réel » et prendre en compte les impacts des changements climatiques. Cette innovation méthodologique marque une évolution dans la manière de penser le risque comme un objet complexe. Cela étant dit, ce niveau de risque se confine-t-il pour autant aux modélisations hydrauliques et aux métriques topographiques? Quel est le rôle des stratégies d’adaptation du cadre bâti et de la forme urbaine dans cette équation? Voilà précisément ce qui m’embête : les limites objectivement établies pour mieux délimiter des périmètres règlementaires masquent la pertinence de ces stratégies dans la réduction du risque. Tout se déroule comme si les zones inondables étaient des objets désincarnés et insensibles aux manières spécifiques d’habiter les territoires exposés développées par certaines collectivités pour s’adapter à la présence de l’eau et ainsi rendre les plaines inondables habitables. À ce sujet, je vous partagerai sous peu les résultats d’un projet de recherche mené avec Daniel Germain dans une municipalité du Québec. Faire fi de l’expérience humaine du territoire conduit à nier la complexité des risques et peut conduire à l’établissement de politiques d’aménagement mésadaptées au territoire. Un basculement de nos savoir-faire et savoir-penser me semble nécessaire pour planifier et aménager le territoire exposé de manière plus cohérente, pérenne et recevable. À cet égard, le mécanisme de flexibilité régionale sur lequel planchent les autorités gouvernementales pourrait susciter des réponses territorialisées à des enjeux complexes. Dans l’attente des critères et modalités applicables (qui restent encore à définir), ne serait-il pas pertinent de passer de l’appellation de « zones inondables » à celle de « territoires inondables »? Ne s’agirait-il pas d’un premier pas pour dépasser la lecture cartésienne du risque?

Le Risque Inondation en Urbanisme : Comment informer l'acquéreur ? ✅ Informer sur le PPR Inondation et ses prescriptions est central mais incomplet. ✅Les porters à connaissances PAC n'ont pas de prescriptions mais sont fondamentaux et à connaître : Catastrophes précédentes, pluies diluviennes etc ✅ Les catastrophes naturelles se multiplient et le risque Inondation dans sa globalité devient partie prenante en urbanisme : droit de préemption littoral, intégration de recul, constructibilité ... ✅ Cartographies complètes des risques inondation dans nos états des risques et NRU : etudurba.fr https://lnkd.in/dwG55Jpz