Post de Stephane DEVULDER

𝗩𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗹𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲́𝘁𝗼𝗶𝗹𝗲𝘀 ⭐ Au-delà des objectifs quantitatifs que l’on intègre dans nos différents BP, il y a déjà et surtout les objectifs #aspirationnels. Quelles sont les étoiles que l’on vise? Malgré le brouillard 🌫du moment, nous souhaitions revenir sur ces 4 objectifs qui nous guident. 1️⃣ 𝗜𝗻𝗰𝗶𝘁𝗲𝗿 à la #transparence sur l'origine des produits (non-alimentaires) Le marquage d’origine étant facultatif pour les produits non-alimentaires au sein de l’UE, rien n’oblige les producteurs à apposer la mention « Made in » sur leurs produits (contrairement au Canada, aux USA, au Japon, à la Suisse, où c’est totalement ou partiellement obligatoire). Beaucoup le font malgré tout (>70% sur le textile selon nos tests), par souci de simplicité ou de transparence. Nous souhaitons accentuer cette tendance en faisant remonter via l’app' la demande croissante des consommateurs sur le sujet🕵️♀️ 2️⃣ 𝗜𝗻𝘁𝗲́𝗴𝗿𝗲𝗿 aussi le #social et l'#écologie dans nos #décisions 🏭Les marques décident de localiser leur production dans un pays à bas coût, pas pour leur amour de ce pays. Plus cyniquement, la faiblesse des normes de protection de l’environnement et la faible protection sociale se retrouvent dans les prix de revient et permettent d’obtenir une meilleure marge💲. Simple arbitrage économique que nous sommes priés d’accepter. Ce différentiel de prix de revient représente un #écart de #compétitivité, souvent #insurmontable pour les producteurs locaux. Pour rétablir une comparaison qui ne soit pas que sur le prix, nous avons décidé de "factualiser" ces autres écarts en intégrant aussi le contexte écologique et social dans le #scoring produit de l’app'. 3️⃣ 𝗘𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝗿 un #dialogue entre #consommateurs et #marques 📣 Les consommateurs ont envie de s’exprimer, les marques ont besoin d’écouter. Et bien, créons un canal de com' (via l’app') autour de ces thèmes (transparence sur l’origine et aspirations pour une conso' plus durable). Nous souhaitons que le dialogue sur le sujet soit constructif et tourné vers un futur que les marques et consommateurs doivent inventer ensemble 🌞 4️⃣ 𝗥𝗲́𝗱𝘂𝗶𝗿𝗲 l’empreinte écologique et sociale de notre conso' C’est le but ultime de ce projet et il y a du boulot 👣 Ex: Le chiffre donne le vertige : #Shein, l’enseigne d’« ultra fast fashion » propose jusqu’à 10 000 nouveaux produits par jour. Et cela vient alimenter les cent milliards de vêtements vendus chaque année dans le monde. Dont beaucoup terminent sur des plages du golfe de Guinée. Des dérives de ce type sont possibles car les signaux « captés » par cette entreprise sont ceux d’une demande soutenue. Il est surement temps d’envoyer d’autres signaux en s’informant et en s’exprimant via Better Things, l'application. Notre belle (et unique) planète en a grand besoin 🌍 SKEMA Entrepreneurs La French Tech Alpes - Annecy Agence WACAN UNIMAGE COMMUNICATION 🌟 FIMIF - Fédération Indépendante du Made in France

Tout plaquer pour gravir l’Everest ? 🏔️ De mon côté, je vais attendre un peu. Si vous aussi, vous avez décidé de remettre ce projet à demain (par conviction environnementale 🌱, politique 🗳️, pour des questions budgétaires 💸, parce que vous n’avez pas un mental de vainqueur 🧘 ou pour toute autre raison), peut-être aurez-vous le temps de lire ce post. Mais plutôt que de revenir sur toutes les critiques (légitimes) qui peuvent être faites au YouTubeur, je m’interroge, suite à ces deux longues heures de visionnage, surtout sur les partenariats influence à l’heure des grosses productions. 🎬 Si les influenceurs ont depuis longtemps quitté leur chambre pour s’inviter sur les plateaux télés 📺, tous ne proposent pas encore de super-productions du niveau de cette dernière, comme c’est le cas pour Kaizen ou encore Merci Internet. En tant qu’annonceur, évidemment, ces projets peuvent être enthousiasmants. Mais alors que la confiance envers les créateurs de contenus “macro” s'effrite, les placements de produits à la Jurassic World 🦖 ont-ils vraiment un impact positif sur votre marque ? (si vous les avez manqués, rdv à 1h13 et 1h24 de Kaizen, et environ toutes les 5 minutes de la saga de dinosaures 🦕). 🧑💻 Bien que l’internaute soit captif, quelle est vraiment la valeur d’une “brève” apparition à l’écran dans un contenu de 2h? Et quelle marge de manœuvre avons-nous, communicants, pour nous assurer que cette apparition soit en notre faveur ? (coucou les produits laitiers, partenaire qui a l’immense privilège de placer son fromage moche 🧀 ) ? 💧 Il est d’ailleurs surprenant de voir une marque de gourdes responsables s’intégrer dans ce voyage hyper polluant (à base d’avions et d’hélicoptères), et poursuivre le partenariat jusqu’à la création d’une édition limitée aux couleurs de l’influenceur et de ce sommet dépeint (notamment) comme une déchetterie à ciel ouvert. ⛓️ Et si votre marque de sport qui prône le dépassement de soi fait déjà l’objet de controverses quant aux conditions de travail de vos sites de production, quel peut être l’impact sur sa réputation d’une association à un tourisme peu regardant sur les conditions de travail de ceux qui le permettent ? En bref, n’oublions pas : - l’importance d’une réelle co-création même avec les macro macro-influenceurs, 🤝 - que la notoriété n’est pas toujours synonyme d’authenticité ou d’affinité. 🤯 Et dans le meilleur des mondes, n’oublions pas non plus de questionner la responsabilité des marques, tant au niveau de leur contribution environnementale à ce type de productions, qu’au niveau des messages qu’elles véhiculent auprès de leurs spectateurs. ✊ Un avis sur la question Delphine Winicki, Fabian Kastl, Krystel Maquet, Cécile Ducrocq, Eva Van Ruymbeke, Pauline Her, karine sentenac ?

C’était mieux avant ? 73 % des Français s’accordent pour dire que oui. Et les plus jeunes ne sont pas épargnés ! Ils sont même 70 % chez les moins de 35 ans à partager ce sentiment nostalgique. On peut comprendre la résurgence de cette « promesse d’évasion hors d’un présent décevant (ou d’un avenir inquiétant) ». C’est peu dire que la situation globale n’invite pas à l’optimisme, qu’il s’agisse du climat économique morose, de la réapparition de la guerre en Europe et au Moyen-Orient ou de la menace du réchauffement climatique. La tentation est forte de trouver du réconfort dans la vision idéalisée d’un monde passé plus serein et qui allait moins vite. Cette tendance massive à la nostalgie fait le miel des marques. La renaissance des Merveilles du Monde en 2023 après 17 ans d’absence, la collection Kreuzberg de Monoprix, inspirée des années 60 et de l'héritage de Prisunic, ou encore le retour en 2024 de la très attendue Renault 5 E-Tech, sont autant d'exemples récents qui font florès. Passéiste, le marketing de la nostalgie ? Pas nécessairement. C’est lorsqu’il parvient à articuler le passé et le présent, à faire dialoguer les temporalités et à réinscrire le mythe de la marque dans une nouvelle modernité qu’il est le plus inspirant. En réinventant un temps pour la marque qui conjugue de manière inédite le passé, le présent et le futur dans un continuum culturel infini. C’est ce qu’a très bien réussi la marque Air France dans sa campagne des 90 ans : 90 ans de voyages, de gastronomie, de design, de haute couture, d'art et d'architecture. Un voyage dans sa légende, en puisant dans les référents du passé pour nourrir l’ethos actuel de la marque et son positionnement autour de l’élégance. Ici, les différentes temporalités ne sont plus segmentées, elles communiquent et font rayonner la marque mythique. Projeter des imaginaires futurs désirables, n’est-ce pas ce que l’on attend des marques aujourd’hui ? Activer le passé peut en être un moyen. #NOSTALGIE SGK Paris Source : 1. Fractures françaises 2023, Ipsos x Sopra Steria 2. Ipsos. (2023). Global Trends. 3. Thomas Dodman, Nostalgie. Histoire d’une émotion mortelle, trad. A. Pateau, M. Saint-Upéry, J. Blayac, Éditions du Seuil, 2022

ET SI ON S'INTÉRESSAIT UN PEU PLUS AUX IMAGINAIRES SPORTIFS DES VIEUX ? C'est une vilaine habitude, mais elle est très commune et elle brouille tout. Dès que l'on parle des rapports entre sport et senior, le premier thème abordé est toujours celui de la capacité physique des vieux. Et c'est normal, tant le sport est encore associé à la seule notion d'effort physique. Mais si on acceptait de sortir un peu du seul enjeu physiologique pour s'intéresser aux imaginaires qui vont construire le sport demain, on verrait quoi ? Et bien on verrait tout simplement qu'aujourd'hui les nouveaux grands récits du sports en phase avec les grands défis écologiques et climatiques, sont très souvent portés et associés à des vieux !!! Quand aujourd'hui, on parle de frugalité et de déconnexion, on pense à qui ? à Bernard Moitessier ! Quand aujourd'hui, on évoque la nécessaire révolution écologique de l'industrie du sport, on pense à qui ? à Yvon Chouinard, l'emblématique fondateur de Patagonia ! À la grande et urgente question « comment faire du sport sans détruire la planète ? », ils furent parmi les premiers à répondre. Alors une question : et si on s'intéressait un peu plus aux imaginaires portés par les seniors dans la construction des grands récits sportifs du XXI° siècle ? C'est en tout cas ce que nous ferons le 6 juin prochain. https://lnkd.in/eP7R8NqQ

📣 Vous l’avez peut-être manquée : début juillet, Patte Blanche sortait la toute première édition de sa newsletter, Complice, qui vous propose de plonger dans une thématique liée aux transitions. Pour ce 1er numéro - et parce que nous n’avons pas peur d’un challenge - nous avons voulu décrypter la notion de #renoncement. Comment donner un nouvel éclairage à cette idée a priori négative ? Peut-elle nous aider à repenser nos modèles, et ouvrir la voie à de nouveaux imaginaires et actions pour accélérer les transitions ? 🧐 Pour cette exploration, nous nous sommes appuyés sur des exemples concrets et inspirants d’entreprises qui ont intégré cette notion dans leur vision stratégique : la célèbre liqueur Chartreuse, les labos Expanscience et leur marque Mustela ou encore Patagonia… 📑 Mais parce que le renoncement se pense aussi à l’échelle individuelle, nous y examinons également les pratiques et les représentations des Français sur le sujet, à la lumière de l’enquête Sobriété et Modes de vie de l’ADEME . 🏅Et pour compléter ce tour d’horizon du renoncement, nous étudions les relations entre culture, sport et responsabilité… Particulièrement d’actualité après cette clôture olympique : jusqu’où sommes-nous vraiment prêts à renoncer ? Vous souhaitez recevoir ce premier numéro et ne pas manquer les prochains ? ➡️ Inscrivez-vous dès maintenant à notre newsletter : https://lnkd.in/eDUMf6U5

Le nouveau snobisme intellectuel : comprendre les 'croyances de luxe' pour décoder notre société. 🧠 Avez-vous remarqué ce paradoxe fascinant ? Nos élites prônent l'écologie tout en sillonnant le ciel en jet privé, ou vantent le multiculturalisme depuis leurs quartiers huppés. Bienvenue dans l'ère des "croyances de luxe" ! Ce concept, théorisé par Rob Henderson, désigne ces convictions affichées par les plus aisés, souvent déconnectées de leur réalité quotidienne. Un nouveau marqueur social, en somme. Prenons l'exemple de l'écologie. Certaines célébrités s'indignent du réchauffement climatique... tout en émettant des tonnes de CO2 avec leurs vols privés. Un luxe que le citoyen moyen ne peut se permettre. Ou encore, pensons à ces discours pro-immigration tenus par ceux qui vivent loin des quartiers populaires. Une forme de vertu ostentatoire ? Ces "croyances de luxe" révèlent un fossé grandissant : d'un côté, une élite qui peut se permettre d'adopter des postures idéologiques sans en subir les conséquences. De l'autre, une majorité confrontée aux réalités du quotidien. Attention, il ne s'agit pas de discréditer ces causes. Mais plutôt de questionner la sincérité et l'impact réel de ces prises de position. Alors, comment réconcilier discours et actions ? Comment construire une société où l'engagement ne serait pas un luxe, mais une responsabilité partagée ? Et vous, avez-vous déjà observé ce phénomène ? Pensez-vous que vos propres convictions pourraient être influencées par votre position sociale ?

Cet atelier 2030 Glorieuses fait partie de l’offre OPENBIOZ. Il permet de déclencher l’action collective pour construire des #futurs positifs, solidaires, durables où la #prospérité va de paire avec le prendre soin des humains et de la biosphère. Rien de mieux pour faire durer son #business dans une époque de plus en plus complexe et incertaine. Et embarquer ses collaborateurs dans une vraie dynamique constructive pour relever les défis, et anticiper les règlementations comme la #CSRD pour en faire des opportunités de nouvelles #croissances.

[FIGURE DE STYLE💡]    🧐 Saviez-vous qu'en moyenne chaque jour nous scrollons 141 mètres ? Rapportés à l’année, nous parcourons avec notre pouce l’équivalent de 171 Tour Eiffel. OUI, c’est beaucoup, et c’est surtout largement suffisant pour bousculer notre quotidien.     Que ce soit pour apprendre ou se divertir, que nous soyons accros ou non, une chose est sûre, beaucoup de choses se passent juste au bout de notre doigt.     👉 Alors, pour vous éclairer sur ce sujet, l'équipe du planning stratégique vous décrypte ce mois-ci les #néologismes qui reflètent notre relation avec les réseaux sociaux. ✨ Les connaissiez-vous tous ? Alvina Tissandier Florine Escolivet Sirine Jade Boukennat Julie Blondel Gwenaëlle Chablain Aurélia Luchini

Qu’est qui est pire qu’un verre jetable ? Un « beau » verre consigné et c’est pourquoi Mosh en a fait des « moches » !   Vous les voyez ces verres consignés qui s’entassent dans votre placard ? Celui-ci c’était un oubli. Celui-là c’était la flemme. Et tous les autres c’était un souvenir.   Le problème c’est que vous avez beaucoup trop de souvenirs. Ils s’entassent… Même si en même temps, c’est vrai que c’est bien pratique quand on est 30 à la maison 😅   Et ça certains gérants de festivals l’ont bien compris : Déjà, un verre consigné ça donne bonne conscience et plus il est joli et moins il est retourné 🤑 !   Mais le problème c’est que l’impact environnemental de fabrication de ce genre de verre est loin d’être neutre. Même pas sûr que l’on ait véritablement réduit l’empreinte matière ou les émissions de GES par rapport à des gobelets jetables (on utilisait vraiment ça avant ? 😅). En tout cas, on le réduirait beaucoup plus à faire vivre nos verres consignés plus longtemps.   D’une année sur l’autre. D’un événement à l’autre.   Et c’est là que Mosh intervient ! En faisant des verres consignés moches.
 Et c’est la clef !   Car un verre « Mosh » : ⁃ On a envie de le rendre ⁃ On peut le réutiliser d’une année sur l’autre ⁃ On peut le changer de client   Comme quoi, les idées les plus moches sont parfois les meilleures ! Crédit photo : Le MOSH - WOBZ