Post de Stephanie Soquet

25 % de la population mondiale africaine d’ici 2050 : pourquoi l’Afrique devient incontournable pour les entreprises Françaises Le forum Ambition Africa, qui a débuté aujourd'hui à Bercy, rassemble une mosaïque d’acteurs économiques venus de France et d’Afrique. Avec plus de 1 800 participants confirmés, cet événement dépasse le cadre d’une simple rencontre : il se positionne comme un levier stratégique pour rapprocher deux continents autour d’intérêts communs. L’enjeu principal reste de mettre en lumière les opportunités et de renforcer des partenariats économiques durables. https://lnkd.in/e33EvR3d

25 % de la population mondiale africaine d’ici 2050 : pourquoi l’Afrique devient incontournable pour les entreprises Françaises Le forum Ambition Africa, qui a débuté aujourd'hui à Bercy, rassemble une mosaïque d’acteurs économiques venus de France et d’Afrique. Avec plus de 1 800 participants confirmés, cet événement dépasse le cadre d’une simple rencontre : il se positionne comme un levier stratégique pour rapprocher deux continents autour d’intérêts communs. L’enjeu principal reste de mettre en lumière les opportunités et de renforcer des partenariats économiques durables. https://lnkd.in/eMS_C7Dt

😊intéressant de considérer l’avis de quelque 300 hauts dirigeants économiques connaisseurs des économies africaines. Digest : « L’ambition est là. L’Afrique de 2050 se dessine. Il s’agit désormais, pour les décideurs du continent, de concrétiser les projets qu’ils portent pour leur continent et son rayonnement. » « Nombreux sont les dirigeants à citer le potentiel que représente la jeunesse africaine. Pour rappel, la population africaine est la plus jeune au monde, avec quelque 60 % des Africains âgés de moins de 24 ans en 2020, selon les statistiques des Nations unies. ». Imput : Une représentation plus importante en compétence et en nombre de celles et ceux  qui devront administrer l’Afrique de 2050, serait fort utile pour réussir à relever les challenges de ce continent (ils ont entre 25 et 30 ans aujourd’hui et sont peu aux affaires). https://lnkd.in/eYRGyA5i

À l’aube de 2050, où elle est destinée à devenir le #géantdémographique du monde, l’#Afrique se dessine comme un #pivotstratégique dans le paysage #mondial des #investissements. Une récente #enquête intitulée « #Afrique2050 », menée par l’Institut Choiseul, a sondé près de 300 #dirigeantsafricains et révèle des #perspectives nuancées sur les #partenariatséconomiques d’un continent qui #favorise les #investissementsdirectsétrangers (#IDE) internationaux (62%). L’#Europe dispose d’une #imagefavorable * En 2022, l’#afflux d’#IDE en Afrique a subi un net #ralentissement, captant 45 milliards de dollars, * contre 80 milliards l’année précédente. Cette #diminution traduit les #ajustements du #marchéinternational dans le contexte d’une #reprise #postpandémique. Dans cette #atmosphère d’#incertitudeéconomique, l’#Europe a #maintenu, et continue de maintenir, sa #position d’#investisseur de #premierplan en Afrique. L’enquête révèle que 53% des #dirigeantsafricains placent l’#UnionEuropéenne au sommet de leurs #choix comme #partenairecommercial de #prédilection pour les futures décennies. L’intérêt se porte notamment sur des #acteursclés tels que * l’#Allemagne (pour 69% des répondants) et * la #France (61%), qui se distinguent comme les #partenairescommerciaux de #prédilection.  Cette préférence est particulièrement prononcée parmi les #paysfrancophones, bien que la bataille pour l’influence économique se durcisse, opposant l’Europe à des #puissances comme  * la #Chine (16%) et * les #ÉtatsUnis (11%). L’influence #chinoise #recalibrée Le programme « #GlobalGateway » de l’UE, envisagé comme un #contrepoids au #projet chinois des « #Nouvellesroutesdelasoie », reçoit un accueil positif, avec plus de la moitié des répondants le percevant comme une #initiative « #prometteuse ». Ce plan, qui prévoit d’#injecter 150 milliards d’euros en Afrique, vise à renforcer les #infrastructures essentielles. Voila pourquoi je suis content d’établir des fondements et des diagnostics, afin de contribuer à l'identification et à la formulation de la partie Afrique centrale de l'initiative "Mesures de facilitation du commerce et du transport sur les corridors" le long des axes stratégiques "Libreville-Douala/Kribi-N’Djamena" et "Douala/Kribi-Kampala". ll s’agit donc de l’identification et de la formulation les actions soft sur les corridors stratégiques ciblés, ce qui commence la semaine prochaîne... Ce projet est financé par l'Union Europeenne European Commission

𝐐𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥’𝐞́𝐜𝐨𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞... Avant de décider de la direction de son avenir, il est important de faire un état des lieux de son environnement immédiat car c’est de là que ressort votre véritable succès! 🔹 L’Afrique compte désormais 1,500,000,000 habitants après la mise à jour des derniers statistiques et pourrait triplés d’ici 2050. 🔹 Soit : - 138 000 millionnaires en dollars - 328 centi-millionnaire en dollars - 23 milliardaires en dollars 🔹 Les activités majeurs créants le plus de millionnaires : - Les industries du secteur secondaire. - La finance et les banques. - La prestations services regroupant l’import export, la distribution, le BTP, le transport, la manufacture.... - La tech et la fintech - Le commerce et l’immobilier. 🔹 L’Afrique du Sud, Le Nigeria, l’Égypte, le Kenya et le Maroc concentrent 56% des millionnaires et 90% des milliardaires. 🔹 Le tissus économiques est composé de 80% de PME ayant un chiffre d’affaire en dessous des 10 millions de dollars annuel, 15% d’entreprise moyenne au revenus dépassant les 100 millions annuel, 3% allant au delà de 500 millions annuel et 2% près du milliard de dollars annuel. 🔹 Le schéma politique reste encore biaisé pour 70% des pays mettant le secteur privé local annexe vis à vis des multinationales dominant le marché. 🔹 La distraction majeur des pays africains se constitue en plusieurs lots: - Le football et les pari sportif, - La musique et la bière, - La p0rn0gr@phie et la danse, - La comédie et le cinéma. 🔹 Le tissus démographique est constitué majoritairement des femmes mais qui contribuent à moins de 30% des richesses créées. 🔹 Les grandes universités compatibles a l’avenir économique répondant aux standards internationaux sont dans les pays suivants: - L’Afrique du Sud - L’Égypte - Le Kenya - Le Rwanda 🔹 Les métiers d’avenirs qui correspondent aux besoins présents et futurs sont entres autres : - Le développement agricoles - Le digital marketing et l’E commerce - La robotique et la data - La fintech - Le droit des affaires. - La filière MMOP (Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie) - L’ingénierie - Le management option projet. - L’étude des langues. Voici un ensemble d’élément qui orienteront vos choix en tant que jeune conscient des enjeux économiques et politiques de nos états. À votre grandeur 🥂 💚 ✨ 💛 #Akwewo #MrAlkebulanGreen #PanafricanHoldingGroupLimited #African_Development_Growth

La déconnexion du système mondial capitaliste est-elle un préalable au développement de l'Afrique ? Les auteurs (africains & caribéen) de l'ouvrage "Contribution à la déconstruction des théories conventionnelles sur le développement de l’Afrique" soutiennent que la déconnexion du système mondial capitaliste est une condition préalable au développement de l’Afrique pour plusieurs raisons principales : ● Lien intrinsèque entre développement et sous-développement : Les auteurs affirment que le "sous-développement" de l'Afrique n'est pas un état inhérent, mais une conséquence directe de son intégration forcée dans le système capitaliste mondial. Le développement de l'Occident et le sous-développement de l'Afrique sont deux faces d'une même pièce, inextricablement liés par l'histoire de l'exploitation coloniale et du pillage des ressources. ● Polarisation inhérente au capitalisme : Selon les auteurs, le capitalisme est intrinsèquement polarisant. Le "rattrapage" économique dans ce système est donc illusoire pour les pays de la périphérie comme ceux de l'Afrique. Le libre-échange, dans ce contexte, se traduit par un échange inégal, perpétuant le transfert de ressources du Sud vers le Nord. ● Contrôle des relations extérieures : La déconnexion permettrait aux pays africains de contrôler leurs relations économiques extérieures, notamment les mouvements de capitaux et le commerce extérieur. Ce contrôle est essentiel pour mettre en place des politiques de développement autonomes et autocentrées, favorisant l'industrialisation et la transformation structurelle de leurs économies. ● L'échec des modèles imposés : L'expérience des programmes d'ajustement structurel (PAS), imposés par la BM et le FMI, illustre l'échec des modèles de développement imposés à l'Afrique. Ces programmes, basés sur une foi aveugle dans les mécanismes du marché, ont eu des conséquences désastreuses sur les économies et les sociétés africaines. ● La nécessité d'un État développementiste : Les auteurs, notamment Mkandawire, insistent sur le rôle crucial de l'État dans le développement. Contrairement aux idées néolibérales prônant un État minimal, ils plaident pour un État développementiste fort, capable de mener des politiques économiques actives et de résister aux diktats du capital international. En somme, la déconnexion n'est pas synonyme d'autarcie ou d'isolement. Il s'agit plutôt d'une inversion stratégique, d'une rupture avec la logique du système capitaliste mondial pour créer les conditions d'un développement endogène, basé sur les besoins et les aspirations des peuples africains. Il est important de noter que les auteurs reconnaissent que la déconnexion est une démarche complexe qui nécessite une planification minutieuse, une forte unité nationale et régionale, et une volonté politique inébranlable pour résister aux pressions extérieures...

𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐞𝐮𝐭-𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥´𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 🇲🇦 ? Hier j'ai assisté à l'événement Africa Political Outlook 2024 « L’Afrique à la croisée des Chemins », un #rassemblement exceptionnel d'esprits brillants et de #leaders visionnaires dédiés à forger l'avenir de l'#Afrique et de ses #relationsinternationales et j’étais très surpris par l’absence du Maroc dans les pays représentés (pdf ci-dessous). Des personnalités comme André Flahaut le #Ministre d’Etat, Président honoraire de la chambre des représentants, Ahmat Sakine AWAD représentant permanent de l’#Unionafricaine à Bruxelles et Emanuela Claudia Del Re Représentante spéciale de l’UE pour le #Sahel, des ex-ministres africains et je vous laisse découvrir le reste 👇🏻 les 3 idées que je vais citer ici: ➩𝐋𝐞𝐬 𝐛𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐮𝐱: 𝐏𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐞𝐧𝐭𝐬 Les citoyens #binationaux, tels que les Franco-Marocains (c’est mon propre exemple), sont des passerelles naturelles entre pays et continents. Ils représentent une #opportunité unique pour des bénéfices mutuels et renforcent les liens #internationaux. ➩𝐋´𝐔𝐧𝐢𝐨𝐧 𝐀𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 : 𝐔𝐧 𝐨𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧 La #coopération est essentielle pour l'avenir de l'#Afrique : "Ce que vous faites sans moi, vous le faites contre moi." 🇲🇦 Unissons nos #efforts pour une #union forte et inclusive. 𝐎𝐧 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐞𝐩𝐚𝐫𝐞𝐫 𝐥´𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐩𝐞𝐫𝐞 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫. ➩𝐋𝐞𝐬 𝐏𝐫𝐢𝐧𝐜𝐢𝐩𝐬 𝐝𝐞 𝐂𝐨𝐨𝐩𝐞𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧: 𝟑 𝐂, 𝟒 𝐏, 𝟑 𝐢 Pour réussir, adoptons les 3 C: #Conversation, #Cocréation, Concret - et les 4 P: Prospérité, Peuple, Planète, (et le quatrième P à découvrir). Ensemble, avançons avec #intégrité, investissement, et #imagination. 𝐄𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧, j’ai beaucoup de choses à dire par rapport au sujet mais je m’arrête là. ➬Le débat était constructif, avec différentes #perspectives pour avoir une vue 360 du sujet, mais comment peut-on espérer construire un pont Africo-Européen sans #intégrer L’Afrique du Nord?

“Si l’Afrique venait à se réveiller, l’Occident tremblera” L’Afrique est immensément riche en ressources naturelles, notamment en minéraux, métaux et pétrole. Si ces ressources étaient pleinement exploitées et gérées de manière durable et équitable, l’Afrique pourrait devenir une superpuissance économique. Cela modifierait significativement l’équilibre géopolitique et économique mondial, déplaçant une partie du pouvoir et de l’influence de l’Occident vers l’Afrique. Avec sa population jeune et en croissance, l’Afrique dispose d’un immense potentiel en termes de capital humain. Si ces jeunes étaient bien éduqués et formés, ils pourraient transformer le continent en un hub d’innovation et de main-d’œuvre qualifiée, attirant des investissements mondiaux et stimulant la croissance économique. L’Afrique a montré sa capacité à “sauter” des étapes technologiques, comme en témoigne le succès de la téléphonie mobile et des services financiers mobiles sur le continent. Un réveil africain pourrait signifier un bond en avant dans les domaines de la technologie et de l’innovation, remettant en question la domination occidentale dans ces secteurs. Un leadership africain fort et uni pourrait remodeler les dynamiques politiques mondiales. Cela inclurait une voix plus forte dans les organisations internationales et une capacité accrue à influencer les politiques mondiales sur des questions telles que le changement climatique, le commerce et les droits de l’homme. Le “réveil” de l’Afrique pourrait aussi signifier un rayonnement culturel plus important, avec la diffusion mondiale de ses arts, de sa musique, de sa littérature et de son cinéma. Cela pourrait enrichir le paysage culturel mondial et défier l’hégémonie culturelle occidentale. Cependant, il est important de noter que cette idée implique nécessairement un affrontement ou une confrontation avec l’Occident. Au mieux, elle peut être perçue comme une rééquilibration des pouvoirs et des influences à l’échelle mondiale, menant à un monde plus multipolaire où l’Afrique joue un rôle plus central et actif.