Post de Stop Ecocide en Français

Lors de la COP29, les « Actions centrées sur la Terre Mère » – des approches écocentriques et orientées vers la nature – ont été reconnues comme essentielles pour lutter contre le changement climatique. 🌍 Le Subsidiary Body for Technical and Scientific Advice (SBTSA) a approuvé un programme soulignant l’importance de ces actions pour préserver la biodiversité et réduire les risques de catastrophes climatiques. La loi sur l’#ecocide vise à criminaliser les destructions massives de la nature, en accordant une protection juridique aux écosystèmes et, par conséquent, à toutes les personnes qui en dépendent pour leur survie et leur bien-être. En protégeant les biomes essentiels à la régulation du climat, comme les forêts et les océans qui absorbent le carbone, cette loi devient un outil crucial pour prévenir l’effondrement climatique. Consultez l’article complet ici : https://lnkd.in/dB_Xgbyf En savoir plus sur la loi sur l’écocide : https://lnkd.in/dc9rp5Vy #StopEcocide

🌍 Quelle couverture de l'ouverture de la COP29 sur Groupe TF1 ? 🌍 JT20h de TF1 du 11 novembre : le financement de la lutte contre le réchauffement climatique Le reportage parle de l'indemnisation des pays en développement face aux conséquences du RC : Qui pollue ? La Chine, suivie des USA, Inde, UE et Russie. Où est la France ? 🇫🇷 Ne dédouanons pas les citoyens français de leur responsabilité! Si la Chine émet du carbone c'est bcp pour la fabrication des biens consommés par les Occidentaux... Selon TF1, l'UE finance 27% mais n'émet que 7% des GES. Soit, mais pourquoi ne pas avoir parlé des émissions historiques ? Avec les émissions historiques, l'Europe est responsable de plus de 15% des GES actuellement accumulés dans l'atmosphère. Est ce encore pour dédouaner les européens? 📉  Face aux conséquences mondiales du RC, tout le monde, doit faire un effort ! Laissons faire les négociateurs pour les comptes d'apothicaires... Et convainquons les français.e.s de l'enjeu de la solidarité internationale ! #Climat #Responsabilité #AideInternationale Attention, 2ème jour de la COP29 et @tf1 dégaine un "Notre Planète" efficace. Un grand cru ! Yani Khezzar, Evelyne Dheliat et @François Lenglet se mettent au diapason pour parler des limites planétaires. Les atouts des écosystèmes et les conséquences de leurs dépassement sont expliquées à travers la notion de limites planétaires Parmi les constats :  - 40% des forêts de la planète ont été déboisées pour notre agriculture et l’étalement urbain - notre agriculture sous engrais responsable du dépassement du cycle de l’azote et de l’asphyxie des milieux aquatiques. - notre océan régulateur du climat s’acidifie, affectant toute la vie marine. - 73% d'animaux sauvages ont disparu en 50 ans (pollution, CC et destruction des habitats). A ce rythme d'ici 2050 la moitié des espèces connues pourraient encore disparaître. Rappel salutaire : la cause de tout cela est réaffirmée (La météorite c'est nous !) « 8 milliards d’habitants, nos modes de vie font pression sur la planète ». « Sur les 9 limites, 6 sont dépassées ». Puis le chapitre des ressources est abordé : « Chaque coup de pelleteuse nous rapproche d'un épuisement inéluctable ». Eh oui, les stocks ne sont pas infinis. Il est rappelé que c'est la même chose pour les énergies fossiles. "Ainsi même si on résolvait le CC il faudra à terme s'en passer car à terme il n'y en aura plus". C’est une petite révolution pour un médias privé qui parle bien souvent de pouvoir d’achat et qui incite à la consommation. Une indication est donnée « il est possible de ralentir voir d'inverser ».  « Nous pouvons agir réduire la pression pour préserver la planète son avenir et donc le notre ». Les solutions ne sont pas abordées nous laissant présager un nouvel épisode à venir sur le sujet ? Nous l’espérons car laisser les citoyens face à ce constat peut être contre productif ! En attendant la suite, MERCI TF1 pour ce reportage haut en couleur et fort en message !

🌍 COP16 : Une opportunité cruciale pour renforcer le lien entre climat, biodiversité et terres dégradées La 16e Conférence des Parties de la CNULCD (#COP16Riyadh) marque une étape historique dans la lutte contre la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse. Ce rassemblement, organisé pour la première fois dans la région MENA, met en lumière des solutions essentielles pour répondre aux défis globaux que sont le changement climatique et la perte de biodiversité. Pourquoi ce lien est-il central ? ✔️ La biodiversité, un rempart contre la désertification : Les écosystèmes riches en biodiversité jouent un rôle clé dans la régénération des sols, la régulation des cycles de l’eau et la résilience des terres face aux sécheresses. ✔️ Le climat, un moteur des solutions : Une gestion durable des terres peut capter le carbone, limiter le réchauffement global et atténuer les impacts du changement climatique, tout en soutenant des habitats critiques. Les priorités de la COP16 : - Accélérer la restauration des terres d’ici 2030.  - Intégrer des solutions basées sur la nature pour conjuguer action climatique et conservation de la biodiversité.  - Renforcer la préparation à la sécheresse et améliorer les mécanismes de réponse.  - Promouvoir les droits des femmes et impliquer la jeunesse pour un impact durable.  #UNCCDCOP16  #BiodiversityForClimate #OurLandOurFuture #SustainableLandManagement 

"Business as usual" ⚠️🌍⚠️ La moitié de l'humanité subira des risques de danger de mort d'ici 2100 à cause des cataclysmes lier au réchauffement climatique. ⚠️ L'argent qu'il aurait fallu investir pour ralentir le réchauffement climatique sera dépensé pour réparer les dégâts, sans pour autant résoudre le problème du réchauffement climatique... 🔥⚠️🔥 La 6ème extinction de masse de la biosphère est en cours 🌍 ! L’être humain est la pire espèce invasive de la planète Terre, elle est la cause de la 6ème extinction massive de la biosphère (c’est à dire tout ce qui vie sur terre), avec massacre des animaux par la chasse et la pêche, la destruction des forêts et des fonds marins, la pollution etc. ⚠️⛔️⚠️ Nombre d'animaux tués dans le monde en 2014 selon la FAO. 62,010,000,000 (62 milliards) de poulets 1,470,000,000 (1.47 milliard) de porcs 648,740,000 (648 millions) de dindes 545,080,000 (545 millions) de moutons 444,170,000 (444 millions) de chèvres 300,070,000 (300 millions) de vaches et veaux Et l’aquaculture, 106 millions de tonnes de poissons par an, en plus des 93,74 millions de tonnes de poissons pêchés en mer.

Alors qu’il ne reste que six ans pour mettre un terme à la perte de la #biodiversité, les négociations de la #COP16 qui ont débuté cette semaine se concentreront sur la mise en œuvre. La COP16 sur la biodiversité est aussi cruciale que les COP sur le climat. Des écosystèmes sains régulent le climat, stockent le carbone et renforcent la résilience aux conditions météorologiques extrêmes.

📉 Une gouvernance climatique mondiale en crise : où allons-nous ? Malgré des attentes élevées, les récentes COP16 et COP29 ont marqué des échecs significatifs pour la gouvernance climatique mondiale. Entre l’incapacité à financer des mesures concrètes de protection de la biodiversité et des désaccords profonds sur l’aide climatique, les objectifs restent hors de portée. 🔴 Les chiffres alarmants : 🌍 30 % des terres et mers protégées d’ici 2030 ? Toujours un objectif, mais sans cadre, ni suivi précis. 💰 300 milliards $ pour la transition climatique d’ici 2035 ? Un chiffre largement contesté par les pays du Sud. Et pendant ce temps, 2024 s’annonce comme l’année la plus chaude jamais enregistrée. Face à cette inertie, il est temps pour les acteurs publics et privés d’accélérer la transition écologique et solidaire. 📢 A la Fondation Terre Solidaire, nous croyons que le changement passe aussi par l’action locale et le soutien aux initiatives concrètes. Ensemble, mobilisons-nous pour une planète durable et juste. 🌱 Retrouvez notre article complet sur notre site internet : https://lnkd.in/d2jqYnpd Merci à Aurélien Dufour pour la rédaction de cet article #COP16 #COP29 #changementclimatique #biodiversite #transitionecologique

Horizon Durable : Préparer un Avenir Équitable pour Nos Enfants et notre Planète! Au cours des derniers jours, la ville de Givors a été frappée par d'importantes inondations, un triste rappel des effets du changement climatique qui se manifestent de plus en plus souvent. Alors que Givors met tout en œuvre pour se relever, un événement crucial se déroule : la COP 16 sur la biodiversité accueillie par la Colombie jusqu'au 1er novembre. Ce contexte appelle à une réflexion sur l'action collective et les défis qui nous attendent. Malgré l'urgence d'agir, la COP 16 est critiquée pour ses objectifs vagues et ses promesses difficilement mesurables. Bien que la France, avec 31 autres pays, soit l'un des rares à avoir soumis sa stratégie sur le sujet, cela souligne une réalité préoccupante. Sur 196 pays, seuls certains s'engagent réellement à établir des lignes directrices claires et des actions concrètes. Cette situation soulève des questions sur l'efficacité de la coopération internationale dans la protection de notre biodiversité et la volonté de sauver la planète plutôt qu’accroître les profits des pollueurs. Les inondations à Givors ne sont pas un incident isolé. Elles font partie d'une tendance alarmante liée aux changements climatiques, exacerbés par la perte de biodiversité et l’altération des écosystèmes. Les événements de Givors pourrait être une alerte de plus pour les dirigeants mondiaux lors de la COP 16, leur rappelant que sans un engagement fort et des objectifs clairs, nous risquons de voir davantage de catastrophes écologiques et humaines à l’avenir. Parallèlement, l’affaire Paul Watson, accusé par le Japon d'activités illégales de protection des baleines, met en lumière le conflit entre les droits des militants écologiques et les lois des nations. Cette situation complique davantage la lutte pour la biodiversité, alors que les actions de ceux qui défendent les océans doivent être soutenues par une cohésion internationale. Si la COP 16 se doit de produire des résultats concrets, les rapports avec les défenseurs de l'environnement sont tout aussi cruciaux. Ces trois événements, bien que distincts, illustrent les défis interconnectés liés à la durabilité, à la gestion des risques climatiques et à la responsabilité sociale des entreprises. Il est impératif que les acteurs économiques, les gouvernements et les citoyens collaborent pour créer un avenir résilient, durable et respectueux pour les générations futures.🌍

Témoin des feux en Amazonie, un sursaut pour notre survie. Alors que la COP 29 a débuté hier, il est essentiel de mettre en lumière les défis écologiques qui nous concernent tous. Ma prise de conscience de la crise écologique s’est cristallisée le jour où j’ai vu la forêt de la Mata Atlantica se consumer au Brésil, un lieu que je connais intimement et où chaque recoin respire habituellement l’humidité et la vie.  Voir ces flammes ravager un écosystème réputé pour sa résilience naturelle a été un choc profond et immédiat.  Depuis cet instant, j’ai ressenti une responsabilité nouvelle en tant que paysagiste : concevoir des espaces qui ne se contentent pas d’être beaux, mais qui renforcent la résilience de la nature face aux dérèglements climatiques. Chaque projet est devenu une occasion de contribuer, modestement, à la multiplication de surfaces naturelles et vivantes, propices aux équilibres essentiels de la biodiversité. À l’approche de la COP 29, unissons nos voix et nos actions pour un avenir plus durable. #COP29 #climatechangeconference #climat #amazonie #biodivertity COP29 Azerbaijan

Gaspard Koenig déplore que le dérèglement climatique, bien que largement reconnu par la population française, soit absent des débats publics malgré ses effets déjà visibles. Alors que les catastrophes climatiques s’intensifient, les pouvoirs publics anticipent un réchauffement de quatre degrés avant la fin du siècle, une perspective qui transformerait en profondeur nos modes de vie. Pourtant, le climat reste une question secondaire, même dans des pays comme les États-Unis où les ouragans récents n’ont pas suffi à placer ce sujet au cœur de la campagne présidentielle. La montée en puissance des partis « climatocyniques », qui traitent la crise climatique comme un enjeu résoluble grâce à la technologie, souligne cette déconnexion collective. Pendant que la COP16 sur la biodiversité s’achève sans plan de financement concret, les modes de consommation semblent ignorer l’urgence écologique. Cette dissonance est analysée par Gaspard Koenig, qui avance plusieurs hypothèses pour expliquer cette inertie globale : le déni de la menace, la lente adaptation à une « catastrophe lente » ou même une lassitude face à un sujet maintes fois discuté. Gaspard Koenig s’appuie sur l’ouvrage du biologiste Marc-André SELOSSE, Nature et préjugés, pour apporter une explication plus radicale. Selon l’auteur, notre difficulté à agir face à une menace future provient d’un trait biologique ancré dans l’évolution naturelle. Cette incapacité à anticiper le long terme ne résulte pas d’un défaut moral, mais d’une caractéristique de l’évolution. Il la compare à des comportements dans la nature : des insectes prélèvent le nectar sans polliniser, réduisant ainsi les ressources pour leurs descendants ; des cellules cancéreuses détruisent leur hôte, signant leur propre fin. Marc-André Selosse conclut que la sélection naturelle ne privilégie pas les comportements qui assurent la pérennité de l’espèce dans le futur. Cette vision rejoint l’idée que l’accumulation de déchets produits par des organismes, sans régulation, finit par les affecter eux-mêmes, comme lors de la « grande oxydation » causée par les premières plantes, qui modifia le taux d’oxygène de manière drastique sur Terre pendant un milliard d’années. Aujourd’hui, le carbone pourrait un jour devenir une ressource pour des organismes adaptés, mais en attendant, l’humanité s’adapte à une « ruine des lendemains », comme le formule Marc-André Selosse. Pour lui, il n’existe pas de mécanismes autorégulateurs dans notre espèce ou à l’échelle planétaire. Contrairement aux discours politiques, l’avenir des générations futures reste négligé. Toutefois, Marc-André Selosse suggère que la prise de conscience de cette tragédie pourrait pousser l’humanité à s’élever au-dessus de cette condition biologique pour gérer collectivement son avenir.

🌍 Trois sommets mondiaux pour sauver la planète : pourquoi la COP16 sur la biodiversité est cruciale 🌿 Cette année, trois conférences internationales majeures vont se tenir : #COP16Colombia sur la biodiversité, la #COP29 sur le climat et la COP16 sur la lutte contre la désertification. Ces sommets sont des étapes décisives pour répondre aux crises environnementales interconnectées qui menacent la planète : la perte de biodiversité, le changement climatique et la pollution. Parmi ces trois conférences, la COP16 sur la biodiversité joue un rôle central. Elle met en lumière l’urgence d’agir pour freiner la dégradation des écosystèmes, un enjeu qui impacte directement la lutte contre le réchauffement climatique et la protection des sols. 🌱 Comment ces COP sont-elles liées, et pourquoi cette COP sur la biodiversité est-elle à l'avant-garde des solutions mondiales ? 👉 À lire sur https://lnkd.in/exYnj5_3 #KMGBF #PeaceWithNature #SBI5 #ForNature