Post de Sylvain Thuret

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Content manager - Créateur de contenus web & print bilingue - Médias, culture et technologie (mais pas que...)

Vous avez tous vu passer ces vidéos de type "Matrix façon Panavision années 50". A ce rythme, l'IA générative va permettre de créer à la volée du contenu cinéma et gaming, comme le laisse à penser cet article du HR : https://lnkd.in/eTgFT73s. (relayé par Isabelle Lindberg Pechou). Nous en voyons les débuts, médusés. Si tous les agents conversationnels sont potentiellement un agrégat des connaissances et requests qui ont précédé, pourquoi ne pas envisager des plateformes ludiques intégrées à nos écrans, ayant en mémoire toute l'histoire du jeu vidéo ou du cinéma. "CinémAI, ce soir je veux regarder un film croisant "Max Pécas" et "Matrix" / "Cyrano contre les Tortues Ninja" et en 1 min, l'outil vous génère un film, qui ne remportera peut-être pas d'Oscars, mais vous permettra de passer une soirée rigolote entre amis. Idem pour le gaming. "gAIming, je veux jouer à un "Pac Man" dans l'univers des films Ghibli". Les oeuvres originales seront vénérées pour l'ossature qu'elles auront apporté à ce melting pop. Elles continueront de nourrir de nouvelles oeuvres, croisées avec ces outils. Car il faut le voir comme un outil, ni plus ni moins. Au même titre que le sampling pour la musique, voici venir les cadavres exquis du 21ème siècle.

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Isabelle Lindberg Pechou

Impact Creative Producer, Co-productions Consultant and Pitch coach

5 mois

Vénérées mais comment rémunérer tous les artistes des œuvres sur lesquels ces AI sont entraînées ? Sur la base de quel business modèle ? En respectant qui/quoi?

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