Post de Synergie Économique Laurentides

Pour tout savoir sur l’approche de l’économie régénératrice, rendez-vous Soissons !

📅 Les Journées de l’Économie Autrement arrivent à Dijon ! 🌍 Du 28 au 30 novembre 2024, ne manquez pas cet événement phare organisé par Alternatives Economiques pour valoriser les initiatives qui œuvrent à une économie plus juste. 🙌 💡 L’objectif ? Mettre en lumière celles et ceux qui, à travers des pratiques innovantes et concrètes, changent le monde à leur échelle. Un moment pour croiser les regards entre citoyens, militants, économistes et décideurs politiques, tout en abordant les défis à relever pour vivre ces utopies concrètes. 🔍 Retrouvez toutes les informations sur le programme et les alternatives mises en valeur sur https://lnkd.in/eCSadRag #ÉconomieAutrement #AlternativesÉconomiques #ESS

🔔📯 Réindustrialisation : l’ESS comme levier de croissance responsable Quelles relations entre l’industrie et le secteur de l’ESS ? Comment les structures de l’ESS passent à l’échelle industrielle ? Quels sont les freins et les leviers au développement de coopérations industrielles et à l’augmentation de l’activité de ces structures ? La Banque des Territoires a souhaité étudier les leviers et les freins du passage à l’échelle industrielle des entreprises de l’ESS et les relations de celles-ci avec le secteur industriel dans l’optique d’accompagner de nouveaux projets de développement d’acteurs de l’économie sociale et solidaire et de renforcer son action globale sur l’industrie. 🎯 Restitution de l’étude menée par Les Petites Rivières - ESS et innovation sociale, Vertone et FINETIC sur les freins et leviers rencontrés par les structures opérant dans l’industrie 🎯 Table-ronde inspirante de structures ESS qui changent d’échelle en innovant Inscriptions en ligne > https://lnkd.in/enKDBfEr Hélène Sananikone Camille SIMOES Camille Etévé François Wohrer Linda Reboux Rémy Granger Julie Sengmany Patrig Pesret Sébastien Lévrier Axelle ORLANDO Omar Bendjelloun Aya INANE ESS France Intercommunalités de France Régions de France

Bifurquer ? De cette rencontre féconde entre économie et sociologie (C.Durand et R.Keucheyan, ed. Zones, 2024), on retiendra le constat implacable d’investissements anarchiques à la recherche de profits qui empêchent toute hiérarchisation et priorisation du système productif malgré la « frénésie institutionnelle » pour tenter la transition. Les exemples des économies de guerre, ou plus récemment, de celles de la période Covid, nous rappellent pourtant qu’une économie politique des besoins a été possible. Les auteurs nous invitent à passer « derrière le voile de la marchandise » pour envisager un calcul en nature des besoins essentiels (comme la Cour des comptes vient de le rappeler sur l'hébergement social). La relocalisation sociale de l’#alimentation est donnée en exemple à maintes reprise ; des Jardins de Cocagne aux AMAP et autres circuits courts #bio, on socialise la production et la consommation comme une mise en commun hors marché. La planification devient le maitre mot aux échelles locales d’abord, pour une maitrise collective des interdépendances socioéconomiques. La planification des besoins alimentaires (et donc des cultures) devrait relever d’une délibération démocratique qui procède elle-même d’une nouvelle socialisation cognitive (pourquoi en fait des légumes et fruits bio ? S’agit-il d’une nécessité de consommation saine ou d’un projet d’une vie meilleure ?). Si la croissance verte est un mirage, comment passer du micro au macro ? L’autonomie du local peut devenir un « bocal » sans être articulée à une « colonne vertébrale publique ». Déjà avec les lunettes refaites d’une comptabilité écologique visant la sobriété des modes de productions (CARE), laquelle doit réorienter les investissements publics et privés, ainsi il faut « socialiser l’investissement pour émanciper le travail ». On pense ici au « plan serres » du réseau Cocagne qui a permis entre 20 et 23 de doubler les surfaces couvertes avec comme objectifs réussis la modernisation des conditions de production (volumes, compétences, emplois créés…). Les auteurs considèrent que cette économie des besoins réels permet « de prendre les chômeurs tels qu’ils sont » et d’adapter ainsi les emplois « publics » (en dernier ressort) à leurs compétences. Ce « big push » ne suffit cependant pas (on imagine ce qu’il serait possible de faire avec la réorientation des subventions à la pollution). Cette « économie de la demande anticipée » s’appuie sur une filière inversée, où le consommateur citoyen contribue à la définition des besoins et systèmes de production. Une dynamique communautaire que les auteurs verrait bien être déployée à l’aide des outils et réseaux numériques « où la vie sociale prend le pas sur le commerce ». Partout, ces « expériences sous hiérarchie » permettraient de passer à l’échelle sans se fragmenter les unes par rapport aux autres, reléguées à la périphérie d’un système insoutenable. La justice environnementale et la démocratie économique ont partie liée.

🤝 L'économie sociale et solidaire est un véritable levier pour la réindustrialisation de notre territoire ! 💪🏼 En soutenant les entreprises à impact social et en encourageant l'entrepreneuriat responsable, nous pouvons créer une économie plus durable et solidaire. 🌍 Alors, si comme moi vous croyez en l'importance de ces valeurs, n'hésitez pas à liker et à partager cet article pour sensibiliser plus de personnes ! Ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur pour tous. 😉 #économiesocialesolidaire #réindustrialisation #entrepreneuriatresponsable #impactsocial #solidarité #développementdurable

La Banque des Territoires organise un webinaire sur le thème : 🏭 Réindustrialisation : l’ESS comme levier de croissance responsable Quelles relations entre l’industrie et le secteur de l’ESS ? Comment les structures de l’ESS passent à l’échelle industrielle ? 👉 Inscriptions en ligne > https://lnkd.in/enKDBfEr Territoires d'industrie Plus d’info 🔽

DÉFI EN COURS | Le 15ème défi dans le cadre des Défis Innovation Québec en économie sociale est lancé ! Le CISSS de la Montérégie-Centre vise à renforcer la gestion des matières résiduelles pour minimiser son impact environnemental. Ce projet mettra en avant l'inclusion de personnes en rétablissement de problèmes de santé mentale, leur offrant ainsi l'opportunité de contribuer à des initiatives de recyclage et de récupération, tout en renforçant la cohésion sociale et le développement durable. Les entreprises d'économie sociale prêtes à relever ce défi ont jusqu'au 21 septembre 2024 pour proposer leur solution > https://lnkd.in/gKeFnw8b En collaboration avec Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie du Québec (MEIE) et les 22 pôles d'économie sociale du Québec. #défisinnovationquébec #économiesociale #innovationsociale #Québec #innovations

Hier journée palpitante au congrès RIODD ( réseau international de recherche sur les organisations de développement durable) 2024 - organisé par l'ICHEC. Participation aux ateliers avec les doctorants fin de matinée et le soir.... Conférence d'ouverture par Kate Raworth présentant son modèle doghnut economy ou modèle régénératif des économies Et Isabelle Ferreras qui a elle présenté ses travaux menant à une proposition de gestion des entreprises, telles deux chambres démocratiques qui gèrent l'organisation comme un bien commun. Les travailleurs étant mieux représentés, de manière plus équilibrée au sein des CA. Une source d'inspiration forte pour le cas Audi à Forest ( ma commune de cœur et d'enfance). Une petite bombe RSE- ESG placée dans une école de commerce qui n'a pas brûlé pour autant ** Un fil rouge néanmoins du congrès... "Imaginer, expérimenter et pérenniser la soutenabilité forte" Et on y retourne aujourd'hui 🔨 Au boulot, le travail de régénération ne manque pas dans le monde... Mes amis du Club of Brussels ne me démentiront pas ** référence - Philippe de Woot -Professeur émérite UCL - inspirateur de la RSE en 🇧🇪 " Il faut brûler les écoles de commerce" #doghnut #economy #sustainability #neweconomy #redistributive #regenerative

[𝐕𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐧°𝟒𝟗] 📌 [Travail] L’Institut du sondage Ipsos a mené une enquête pour le compte une école d’ingénieurs (CESI) sur le rapport qu’entretien la gen Z avec l’entreprise. Selon cette étude, le débat actuel sur le fait que les personnes de la gen Z sont de moins en moins attachées à l’entreprise est un « malentendu ». 📌 [ZAN] La Groupe Caisse des Dépôts publie un livre blanc proposant douze pistes de travail pour rendre opérationnel les objectifs de la Loi Zéro Artificialisation Nette (ZAN) : 4 pour les collectivités territoriales, 4 pour les aménageurs et les opérateurs publics et 4 pour les professionnels privés et industriels. 📌 [Innovation territoriale] La Banque des Territoires publie un guide sur les Etablissements Publics Locaux. Organisé en 4 parties, le guide propose de montrer comment l’innovation territoriale est un levier de transformation des territoires, comment les EPL structurent leur approche, propose des retours d’expérience. La Banque des territoires lance des parcours d’accompagnement à l’innovation des EPL pour l’adaptation des territoires au changement climatique. Christel GRENTE Julie Beugin Marianne Sytchkov Jules Plasencia #travail #génération #genZ #entreprises #ZAN #Pisteaction #Recommandation #Innovationterritoriale #EPL #transformation #territoires #retoursexperiences #changementclimatique

L’ESS...késako ? Economie sociale et solidaire. Ah !!! il y a « sociale » dedans. Alors vous vous dites : « c’est un beau projet ! » ou  « c’est le monde des Bisounours ». Vous imaginez son fonctionnement comme... genre une association de macramé, quoi ! 😊 Et bien tout faux ! On oublie souvent qu’en premier il y a le mot Economie. La vraie ! Alors, comme Envie est dedans depuis 40 ans et que c’est à Strasbourg que tout ça est né, nous sommes les mieux placés pour vous expliquer ce que c’est vraiment ! Petite définition pour commencer : L’ESS c’est 3 principes : -      la gouvernance démocratique -      le partage de la valeur -      l’utilité sociale, c’est à dire la capacité à répondre aux grands enjeux sociétaux En clair, ça veut dire que notre fonctionnement interne et nos activités sont fondées sur un principe de solidarité et d'utilité pour tout le monde. Oui, et donc, me direz-vous : ça reste social, association, et en plus ..... INSERTION !!!! oh la la...mais QUEL BEAU PROJET ! Mais attendez un peu .. qui donc : -      est retenu sur appels d’offres par des éco-organismes ? -      travaille en sous-traitance pour un autre leader du déchet ? -      emploie plus de 230 personnes ? -      investit massivement dans un nouveau site et des outils de production à la pointe ? -      dégage de la valeur qui est redistribuée à ses collaborateurs ? -      bref, fait tout comme n’importe quelle ENTREPRISE ? Ben oui, c’est ENVIE ! Chez nous, tous ces principes aujourd’hui « à la mode » du type RSE, impact social et environnemental,  ça fait 40 ans que nous les déployons, chaque jour avec et pour nos salariés et la préservation des ressources. Espérons que cette petite explication de texte vous fasse comprendre ce qu’est vraiment une structure de l’ESS: une VRAIE ENTREPRISE, qui a des VRAIES VALEURS.