Post de Synergie Québec

Véronique Lécullée et Vincent Roche Lecca réélus à la présidence du SNSP. (...) Dans la continuité du Bureau sortant, les co-présidents souhaitent continuer à s’engager pleinement auprès des adhérents pour la reconnaissance et le développement du service public de la culture au plus près des territoires. Ils entendent poursuivre l’engagement actif du syndicat dans la réflexion et les actions collectives pour une mutation raisonnée du secteur. La nouvelle Présidence s’engage à poursuivre les chantiers mis en œuvre autour de 4 axes forts : . Engager la réflexion pour un service public de la culture de demain afin de mieux prendre en compte l’intérêt général ; . Maintenir un partenariat fort avec les Collectivités Territoriales ; . Travailler à la reconnaissance des arts de la représentation et leurs spécificités dans et auprès de la fonction publique territoriale ; . Développer la relation privilégiée aux adhérent.e.s et mettre en circulation les informations essentielles. Ils s’engagent à finaliser le rapprochement avec les autres syndicats d’employeurs dans le but de mutualiser les forces, les moyens et les enthousiasmes tout en veillant à une transition concertée respectueuse de l’identité de chacune des structures syndicales. https://lnkd.in/e8ZXq7gs

Au fil des siècles, le rôle et les pouvoirs du maire de Dijon ont connu une évolution remarquable, reflétant les transformations du paysage politique et social de la France. Cette métamorphose, depuis l'élection du premier maire en 1192 jusqu'à nos jours, témoigne de l'importance croissante de la participation citoyenne dans la gouvernance locale. Dès 1192, Dijon se dote d'un maire, élu par les contribuables de la ville, marquant le début d'une gouvernance locale participative. Les pouvoirs de ce dernier s'étendent alors de la justice à l'administration, affirmant son rôle central dans la vie dijonnaise. L'Hôtel de Ville, situé dans le Palais des ducs de Bourgogne, devient le cœur de cette institution municipale. Cependant, le rôle du maire évolue considérablement au fil des siècles, notamment avec la transformation de cette fonction en office héréditaire en 1692, sous le contrôle du roi. Cette période marque une étape clé, où le pouvoir royal influence directement la gouvernance locale, modifiant ainsi les prérogatives et l'autonomie du maire. À l'époque moderne, la fonction de maire connaît une nouvelle transformation avec le retour à une élection plus démocratique, soulignant l'évolution de la société française vers plus de participation citoyenne. Les maires de Dijon, de Hugues Aubriot à François Rebsamen, ont ainsi façonné la ville, chacun à leur époque, reflétant les changements politiques et sociaux de leur temps. #MaireDeDijon #Dijon #immobilier #syndic #location #gestion #transaction #segerad

Le GRIR est heureux de recevoir Yann Fournis, professeur au Département sociétés, territoires et développement de l'Université du Québec à Rimouski, pour une conférence qui aura lieu le 4 avril prochain. « Une autre politique? La part des élus municipaux dans la ruralité québécoise » Le jeudi 4 avril 2024, 14h00 au local P1-5060 de l'UQAC et sur Zoom : https://lnkd.in/er9tjRPa Au plaisir de vous y voir nombreux! Résumé : La réalité de l'activité politique des maires dans les petites municipalités rurales du Québec est peu connue : cette intervention vise à mettre en valeur le rôle du maire au cœur d'un espace politique particulier, la « communauté » territoriale qui relie l’histoire des habitants et la réalité quotidienne d’une petite municipalité. Loin d’être technique, apolitique ou amorphe, cet espace est minimal et imparfait mais il est, aussi, le lieu d’un débat communautaire informel que le maire doit animer, accompagner voire guider grâce à son métier politique. Ce travail politique territorial révèle ainsi les différentes facettes de l’activité d’un maire, qui doit simultanément être en représentation, en action et en fonction. Il doit d'abord être en représentation afin d'incarner sa communauté territoriale ; il doit ensuite être en action afin de mener une action municipale (souvent modeste) conforme aux attentes de la population ; il doit enfin être en fonction, pour réaliser au quotidien l'occupation du territoire à l'échelle des MRC. À rebours des analystes hâtives du pouvoir local, le pari ici est qu’il existe une vie politique municipale discrète, informelle et communautaire, dont les maires sont le pivot par leur maîtrise des deux mécanismes principaux du travail mayoral : le mécanisme du municipalisme pragmatique, qui vise à activer la communauté par une action municipale circonscrite, et le mécanisme d’agrégation territoriale des communautés, qui vise à une articulation intermunicipale des actions locales afin de réaliser l’occupation du territoire.

Une conférence à suivre!

Dans un contexte politique sans précédent dans l’histoire de la Vème République, Ecologica souhaite réaffirmer des valeurs qui lui sont chères d’écologie et de justice sociale.

En tant que directeur du cabinet de l'opposition à la Ville de Lévis, je suis d’avis que l’année 2023 a été une démonstration éloquente de l'importance critique de notre équipe dans la vie municipale. En tant qu'opposition, nous assumons la responsabilité de gardiens de la démocratie. Notre rôle transcende la simple critique des politiques en place. Nous représentons les voix ignorées, nous questionnons avec fermeté et nous sommes les porte-paroles des enjeux souvent sous-représentés à l'Hôtel de Ville. Malgré les hauts et les bas de la politique, notre détermination à faire de Lévis une ville plus ambitieuse et axée sur la participation citoyenne ne faiblit pas. Notre objectif pour 2024 est de préparer notre organisation à former la prochaine administration municipale en 2025, rien de moins. Nous intensifierons nos efforts pour encourager un dialogue ouvert, proposer des alternatives constructives et nous engager dans des politiques qui reflètent les aspirations diverses de la population lévisienne. Le rôle de l'opposition ne se limite pas à contester, mais à préparer un leadership fort et compétent pour l'avenir de Lévis. Notre engagement envers cette mission cruciale demeurera la pierre angulaire de nos actions afin de bâtir une ville meilleure pour toutes et tous. Pour consulter le rapport annuel 2023 du cabinet de l'opposition à Lévis, c'est ici 👉 https://lnkd.in/e6f_Mfs5

UNION ET RESPONSABILITÉ POUR BOULOGNE-BILLANCOURT "Dans notre précédente tribune, nous vous annoncions qu’après quatre années d’un mandat constructif et responsable, nous avions choisi, en accord avec le Maire, d’intégrer sa Majorité municipale. Cette nouvelle tribune est l'occasion de préciser les grands principes qui ont motivé cet accord : la responsabilité dans la gestion de notre commune, la complémentarité des projets, et l'union politique de la droite et du centre face à la montée des extrêmes. LA RESPONSABILITÉ, pour bâtir la ville de demain et préserver la qualité de nos services publics dans un contexte économique qui menace nos finances publiques. Les défis à relever sont nombreux et l’action de concorde s’impose à la division des forces. Avec le Maire et les élus, nous travaillerons en bonne intelligence pour l’attractivité de notre ville. Mieux vaut une prise de responsabilité dans l’exigence plutôt qu’une absence de responsabilité dans l’impuissance. Ce sens des responsabilités pour faciliter la gestion saine de notre ville est le premier fondement de notre accord. Mais il s'accompagne d'une vision et d'une dynamique de projets pour Boulogne-Billancourt. C'est cette complémentarité nouvelle des projets et des personnes au sein de la majorité élargie, qui renforcera encore davantage l’attractivité de notre ville pour les années à venir. L’UNION politique nous guide face à ceux qui promeuvent la radicalité ou qui fracturent notre société en autant de minorités. La démocratie n’est pas une affaire de clans et de tendances, elle est notre bien commun et nous sommes engagés pour la défendre. Fondée sur le projet du rassemblement d’élus issus de la droite, du centre et de la société civile, notre équipe se retrouve dans le pluralisme et l’ouverture de la Majorité municipale. Nous croyons à l’action publique comme moteur de l’amélioration de la qualité de vie, là où les besoins, les choix, les projets et les aspirations des citoyens seront accomplis par le talent et le mérite de chacun, sans aucune entrave à leurs libertés fondamentales. Nous rejoignons donc la Majorité municipale du Maire, Pierre-Christophe BAGUET, avec nos valeurs et nos projets, convaincus que l’unité et le sens des responsabilités seront reconnus par les Boulonnaises et les Boulonnais." Hilaire Multon Clemence MAZEAUD Denys Alapetite #BoulogneBillancourt

En cette période de consultations gouvernementales, le maire de Cannes et président de l’Association des Maires de France (AMF), David Lisnard, affiche une posture nuancée. Entre espoirs pour l’avenir du pays et lucidité sur les défis à relever, l’élu Les Républicains trace sa voie. Une vision portée par “l’espérance sans illusions” Devant les élus locaux réunis mardi pour la conférence de rentrée de l’AMF, David Lisnard a martelé une formule qui lui est chère : “Avoir de l’espérance mais pas d’illusions”. Un mantra qui résume bien sa philosophie politique, mêlant volonté d’avancer et conscience aiguë des réalités. Tout va bien, je ne suis pas désœuvré, je ne suis pas en attente, voilà mon état d’esprit ! Vive les communes, vive Cannes, vive l’AMF et on espère dire “Vive la France !” mais ça reste quelque chose à construire – David Lisnard Alors que son nom a circulé pour Matignon, le maire de Cannes reste focalisé sur ses mandats locaux et la défense des collectivités. Mais il n’en oublie pas pour autant les enjeux nationaux, conscient que l’avenir de la France passe aussi par les territoires. Une rencontre à Matignon en toute sérénité Mardi après-midi, David Lisnard est attendu à Matignon pour évoquer la composition du futur gouvernement avec le Premier ministre Michel Barnier. Une échéance qu’il aborde avec tranquillité : La rencontre était prévue depuis une semaine. – David Lisnard Fidèle à son pragmatisme, l’édile cannois entend porter les attentes des élus locaux, sans préjuger de l’issue des tractations gouvernementales. Une attitude qui tranche avec les spéculations effrénées des derniers jours. Plaidoyer pour un “système” plus respectueux des territoires Au-delà des questions d’étiquettes partisanes, David Lisnard insiste sur la nécessité de refonder un “système” jugé trop centralisé et déconnecté. Un modèle qui, selon lui, a “torpillé” sa potentielle nomination à Matignon. Les gens qui aiment l’efficacité et dire les choses peuvent peut-être déplaire. – David Lisnard Mais loin de se décourager, le président de l’AMF voit dans cette séquence politique l’occasion de replacer les collectivités au cœur du débat. Avec pour mot d’ordre : redonner aux élus locaux les moyens d’agir au plus près du terrain. Rester “les pieds sur terre” pour construire l’avenir En bon gestionnaire, David Lisnard entend garder “les pieds sur terre” face aux défis qui attendent le pays. Une approche réaliste qui n’exclut pas pour autant la capacité à se projeter et à innover. À l’image de son action à la tête de la ville de Cannes, l’élu assume une ligne exigeante, alliant vision à long terme et résultats concrets. Une méthode qu’il entend promouvoir au niveau national, pour réconcilier les Français avec l’action publique. Dans un contexte politique incertain, David Lisnard incarne ainsi une nouvelle génération d’élus, ancrés dans les réalités locales mais capables de porter une vision ambitieuse pour l’avenir. Un profil qui pourrait...

A la lecture de cet article, je mesure la chance qui est la mienne, d’être le Maire de #MontreuilJuigné où les habitants sont bienveillants et dans le dialogue permanent, où les agents exercent leur mission avec professionnalisme et sens du service public et où mes collègues élus sont mobilisés et engagés ☺️ ➡️ Le Parisien

qu’est-ce que la FNCC ? Frédéric Hocquard : C’est une fédération qui existe depuis 1960, et regroupe des élus à la culture, de différentes collectivités, beaucoup de communes, mais aussi des départements, des régions, des intercoms, des métropoles… C’est une fédération pluraliste sur le plan politique, donc avec des élus de différentes sensibilités politiques. Ces élus réfléchissent autour des questions culturelles et cherchent à trouver une parole collective autour des grands sujets qui concernent la culture.