Post de The Galion Project

📰 "Les procédures collectives se multiplient dans les start-up, avec des entrepreneurs souvent mal préparés et des entreprises à la gestion atypique. Les dirigeants redoutent de voir leur responsabilité engagée." selon Les Echos ➡ En réponse aux défis auxquels sont confrontées les licornes et d'autres entreprises qui ont privilégié la croissance par rapport à la rentabilité, LER porte le Groupe d'Intervention Relance (#GIR). Cette initiative vise à apporter un soutien crucial aux sociétés aux prises avec des difficultés financières et des incertitudes sur le marché. 🚀 LA solution pour la relance Sous la direction d'une équipe d'entrepreneurs chevronnés, notre Groupe d'Intervention est destiné à offrir son expérience et ses compétences aux entreprises en difficulté. Dans le contexte actuel, où les défis de trésorerie et les changements stratégiques sont de plus en plus fréquents, nous sommes là pour faire la différence et relancer la croissance. Pour en savoir plus sur le GIR et sur la manière dont nous pouvons collaborer pour soutenir votre entreprise, n'hésitez pas à nous contacter : sdeboishebert@ler-associes.fr https://lnkd.in/eFTg2m9U #GIR #redressementjudiaire #conciliation #mandatadhoc #retournement #startup #vcfunds #frenchtech

[ Food for thought ] Camille Wong publié hier dans Les Echos un article très intéressant concernant les procédures collectives des start-up. 📊 A titre d'exemple, en 2023, il y a eu 32 start-up qui ont été déclarées en faillite et 5 en procédure d'insolvabilité. Au premier trimestre 2024, 6 start-up ont été déclarées en faillite et 12 en procédure d'insolvabilité... 👉 A lire ici - https://lnkd.in/eFTg2m9U Le constat est que ces start-up, financée en capital-risque, ne parviennent pas à se refinancer car leur structure, non rentable, sont très vite confrontées au « mur de la dette ». Ces entrepreneurs, mal préparés et qui rêvent de réussites flamboyantes, sont très vite à court de cash et sont perfusés par l'argent des investisseurs et par les subventions publiques. 💡 Cet article met en lumière, selon nous, la nécessité d'être bien accompagné(e) : ➡ dès le début du projet entrepreneurial pour structurer le projet, ➡ pour bien préparer sa levée de fonds et de choisir les "bons investisseurs", ➡ mais également afin de préparer son entreprise à une procédure de prévention (mandat ad hoc, conciliation) lorsque le CA n'est pas / plus là et que le mur de la dette devient infranchissable. 📻 Stay tuned - nous allons organiser une table ronde dans les prochaines semaine sur la levée de fonds v. dettes bancaires. #empoweringwomen #empoweringfutures #entrepreneurship #femmesentrepreuses #entreprenariatfeminin #herclub #clubHER #herbusinessclub _ _ _ _ _ _ Her M&A Club est le premier club 100% féminin qui référence des expertes (avocates, coachs, BA, financiers) qualifiées pour soutenir les dirigeantes et favoriser l'entrepreneuriat féminin.

OMAJ est placée en redressement judiciaire. Je suis investisseur depuis 2023, et ça fait mal. La seconde main souffre, et avec elle, nos espoirs. Mais c'est le jeu de l'investissement en startup. Voici ce que j’en retiens : • La résilience est clé   Chaque revers est une leçon. • Diversification du portefeuille   Concentrer ses investissements dans un seul secteur est risqué.   Explore plusieurs avenues pour équilibrer. • Transparence et communication   La clarté avec les fondateurs est primordiale.   Un dialogue ouvert mène souvent à des solutions innovantes. • Le réflexe d’apprendre   Chaque échec est une bibliothèque d’enseignements.   Rassemble, réfléchis, applique. • Accès direct aux investisseurs   Facilite les levées de fonds et renforce la communication. L'expérience d'Omaj nous rappelle que rien n'est acquis. C'est aussi une opportunité pour revoir nos méthodes. Un grand soutient à Paul Charon et Marine Daul Mernier, merci pour cette aventure. Comment vois-tu l'avenir des investissements dans les startups ? Partage ton avis.

L'entrepreneuriat n'est pas un long fleuve tranquille. Et quand on rajoute de l'eau - via une levée de fond - les remous des rapides peuvent déstabiliser toute l'embarcation voire la faire chavirer . L'équipe est l'atout le plus important dans une startup bien avant l'idée, la technologie ou le financement. Quand des investisseurs montent à bord, l'équipe s'élargit de facto. On prévoit forcément ce qu'on va faire avec le cash mais prépare-t-on aussi méticuleusement les futures relations avec les investisseurs ? Et quand ca commence à dériver, est-on conscient des positions de chacun et des écarts ? Encore une belle occasion d'utiliser l'outil "Startup Founder Canvas" de Cogiteo pour conduire un check collectif sur tous ces aspects. Et si les tensions naissent, pensez à la médiation avant d'appeler votre avocat 😀 Une histoire à méditer https://lnkd.in/gghzJTmp

À l’image de ce que décrit Garry Kasparov dans La vie est une partie d’échecs, la vie juridique d’une startup exige stratégie et anticipation. Lors des levées de fonds, chaque mouvement compte, et des erreurs peuvent se révéler fatales, compromettant même la sortie — un objectif à garder en tête dès la constitution de la société. Pour éviter les coups fatals lors d’une levée de fonds, voici trois des principaux pièges juridiques que chaque startup doit anticiper avant même d’entrer en négociations et des ébauches de solutions pour les surmonter. 👍🏻 Ne pas anticiper les implications sur la cap table : Une structure de capitalisation désordonnée ou une dilution mal maîtrisée complique les tours futurs et donc à terme la sortie et rend la startup de ce fait moins attrayante pour les investisseurs. 💡 Solution : demander aux petits investisseurs de se regrouper dans une holding, soit dès leur entrée, soit ultérieurement à première demande de la société (une clause sera prévue en ce sens dans le futur pacte d’actionnaires, ou dans le contrat d’investissement rapide s’il s’agit de BSA Air). 👍🏻 Ne pas être « investment ready » : L’absence de préparation sur des éléments clés comme les contrats (y compris les contrats de travail), la propriété intellectuelle qui n’appartient pas à la startup ou les aspects règlementaires (RGPD, licences règlementaires) peut ralentir ou bloquer une levée de fonds. 💡 Solution : procéder à un audit préalable (équivalent à une VDD) et effectuer les régularisation nécessaires avant la levée. 👍🏻 Ne pas s’entourer d’un conseil expérimenté : S’appuyer sur des conseillers peu spécialisés dans les levées peut entraîner des erreurs stratégiques et des complications inutiles, voire entrainer la rupture des négociations. 💡 Solution : choisir un conseil expérimenté avec un track record solide, qui connait bien les pratiques de place et sait « choisir ses combats » dans la négociation (gouvernance, sortie, good et bad leavers) et le faire rentrer dans la négociation le plus en amont possible pour bien cadrer les futures négociations. En anticipant ces écueils, les startups et leurs fondateurs peuvent aborder leurs levées de fonds avec sérénité et confiance, prêtes à jouer une partie gagnante. Comme aux échecs, la clé est toujours de penser aux coups d’après pour pouvoir se consacrer pleinement aux négociations proprement dites, dont le déroulement doit lui-même être anticipé. Et vous, quels autres pièges récurrents identifiez-vous ? Squair

Un silence stratégique : pourquoi les start-up ne révèlent pas leur valorisation 🤫 Mimétisme, contrôle de la communication, argument pour lever des fonds… Autant de raisons qui expliquent pourquoi les fondateurs de start-up gardent le silence sur leur valorisation.

Un silence stratégique : pourquoi les start-up ne révèlent pas leur valorisation: Mimétisme, contrôle de la communication, argument pour lever des fonds… Autant de raisons qui expliquent pourquoi les fondateurs de start-up gardent le silence sur leur valorisation.

Un silence stratégique : pourquoi les start-up ne révèlent pas leur valorisation: Mimétisme, contrôle de la communication, argument pour lever des fonds… Autant de raisons qui expliquent pourquoi les fondateurs de start-up gardent le silence sur leur valorisation.

📰 EuraHelp cité dans un article des Les Echos ! ↪️ Quand la French Tech découvre le tribunal de commerce Il y a trois semaines, Les Echos mettait en lumière les défis actuels des start-ups face aux procédures collectives et au tribunal de commerce, un sujet plus que jamais d’actualité. 🤝 EuraHelp, est citée comme initiative solidaire, mobilisée pour accompagner et soutenir les entreprises dans ces moments critiques. 🙏 Un grand merci à l'équipe des Les Echos, en particulier à Camille Wong pour cet article qui fait écho à l'importance d'une solidarité entrepreneuriale en ces temps parfois incertains. 🍂 Alors que l'automne est là, c'est le moment idéal pour rappeler l'importance de s'entraider et de se soutenir dans l'écosystème entrepreneurial. 💪 Parce que vos difficultés d'aujourd'hui peuvent devenir vos forces de demain ! 🚀 📌 Retrouvez l'article complet ici :  https://lnkd.in/eFTg2m9U #Eurahelp #Entrepreneuriat #FrenchTech #Startup #TribunalDeCommerce #SolidaritéEntrepreneurs #LesEchos

"Selon une récente étude, les défaillances d’entreprises de la French Tech ont atteint un pic en 2023. Près de 70 % des start-up françaises concernées avaient levé des fonds au cours des trois dernières années. La mécanique est souvent la même : la start-up, financée en capital-risque, ne parvient pas à se refinancer. Sa structure, non rentable, est vite confrontée au « mur de la dette », qu’il faut commencer à rembourser – soit une dette contractée durant une précédente levée de fonds, soit un prêt garanti par l’Etat (PGE) durant la période Covid." "Les juges dans les tribunaux de commerce sont d’anciens ou actuels chefs d’entreprise, qui donnent bénévolement de leur temps. Ils sont issus d’entreprises aux modèles économiques plus « classiques » et découvrent l’outrance de certaines start-up : des pertes abyssales, des chiffres d’affaires parfois dérisoires et des équipes surstaffées." https://lnkd.in/e4sbA_cb