Matériel de Brasserie Haut de Gamme à Vendre – Démarrez ou Développez Votre Activité Un nouveau projet, une opportunité. Dans le cadre de mon association à un nouveau projet rassemblant vin, bière, sodas, et spiritueux, je propose à la vente un matériel de brasserie haut de gamme. Cet équipement isobare et entièrement thermorégulé est conçu pour les professionnels exigeants qui souhaitent optimiser ou lancer leur production avec du matériel de qualité supérieure. Une capacité de production optimale. Conçu pour produire jusqu’à 3000 hectolitres par an, ce matériel offre des performances exceptionnelles pour garantir des produits de haute qualité. Que vous soyez une brasserie artisanale ou industrielle, ces équipements apporteront une efficacité opérationnelle sans compromis. Accompagnement sur-mesure. Je vous propose également un accompagnement complet pour l’installation, l’optimisation et la mise en route du matériel. L’objectif est de vous permettre d’exploiter tout le potentiel de cet équipement dès le début. Un petit plus à envisager. Vous envisagez de vous lancer rapidement ? La cession d’une de mes marques pourrait être une option à considérer pour vous positionner rapidement sur le marché. #brasserie #matériel #isobare #thermorégulé #opportunité #croissance #production #investissement #boissons #nouveauprojet
Post de Thomas Carteron
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Intéressant pour anticiper!
😱LE MARCHÉ DE LA BIÈRE ARTISANALE SECOUÉ ! On entend beaucoup de choses en ce moment dans le milieu brassicole, entre potentiels dépôts de bilan, cessions et acquisitions ou même créations de nouvelles brasseries. Le secteur brassicole traverse une période mouvementée. Une récente enquête du SNBI révèle que 67 % des brasseries françaises rencontrent des difficultés financières. Les crises récentes, la hausse des coûts, une concurrence accrue et une offre supérieure à la demande en sont à l'origine. 🤔𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 : entre 2010 et 2018, on a assisté à l'âge d'or du craft. Nombre de brasseries ont vu le jour, introduisant des styles incroyables tels que les IPA, NEIPA et autres sour aux fruits. Une période de création intense, pendant laquelle les brasseurs ont démontré leur savoir-faire, allant jusqu’à influencer les brasseries industrielles. 💥𝗜𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 : aujourd'hui, la course à la nouveauté s’est un peu essoufflée. À l'instar de groupes de musique indépendants qui réalisent que leur succès n'est pas éternel, les brasseurs prennent conscience que le marché est saturé et que le paysage est en train de changer. Les grands industriels rachètent des brasseries emblématiques et pour les autres, espérer perdurer, c'est se professionnaliser. 🤸♂️𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseurs mettent désormais en avant des gammes permanentes éprouvées, modernes, mais plus accessibles. La bière artisanale ne doit plus seulement être un produit de geek, mais rester populaire. Les brasseries de taille moyenne, ont pris le parti de s’ouvrir aux distributeurs régionaux ou nationaux, pour toucher une clientèle plus large. Enfin, le craft français fait son apparition en GMS. Une stratégie devenue incontournable pendant le Covid, pour nous comme pour d’autres. 🌳𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 : les IPA et NEIPA continuent de séduire, mais il devient également important de maîtriser ses classiques, sans rogner sur la qualité et en valorisant le local, le bio ou le réemploi. Une quête de sens pour les brasseurs et les consommateurs qui se tournent aussi vers des styles traditionnels, ne nécessitant que très peu de matières premières importées. 👊 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseries deviennent plus pointues et explorent de nouveaux segments de marché. Bières éphémères travaillées, mais aussi à faible teneur en alcool, hop tea, eaux pétillantes houblonnées ou aux fruits, répondant ainsi à une demande croissante de boissons originales et saines. 🍻 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 : les brasseries traversent une période difficile, mais le marché de la bière artisanale entre dans une nouvelle phase, où l'innovation et la tradition coexistent. En misant sur la qualité, la constance, la réduction de leur impact sur l’environnement et en adoptant des stratégies commerciales solides, les brasseries peuvent non seulement survivre, mais prospérer. La créativité des brasseurs face aux contraintes du marché promet un avenir riche en possibilités. À nous de l’écrire ! ✏ ✨
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à lire ;)
😱LE MARCHÉ DE LA BIÈRE ARTISANALE SECOUÉ ! On entend beaucoup de choses en ce moment dans le milieu brassicole, entre potentiels dépôts de bilan, cessions et acquisitions ou même créations de nouvelles brasseries. Le secteur brassicole traverse une période mouvementée. Une récente enquête du SNBI révèle que 67 % des brasseries françaises rencontrent des difficultés financières. Les crises récentes, la hausse des coûts, une concurrence accrue et une offre supérieure à la demande en sont à l'origine. 🤔𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 : entre 2010 et 2018, on a assisté à l'âge d'or du craft. Nombre de brasseries ont vu le jour, introduisant des styles incroyables tels que les IPA, NEIPA et autres sour aux fruits. Une période de création intense, pendant laquelle les brasseurs ont démontré leur savoir-faire, allant jusqu’à influencer les brasseries industrielles. 💥𝗜𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 : aujourd'hui, la course à la nouveauté s’est un peu essoufflée. À l'instar de groupes de musique indépendants qui réalisent que leur succès n'est pas éternel, les brasseurs prennent conscience que le marché est saturé et que le paysage est en train de changer. Les grands industriels rachètent des brasseries emblématiques et pour les autres, espérer perdurer, c'est se professionnaliser. 🤸♂️𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseurs mettent désormais en avant des gammes permanentes éprouvées, modernes, mais plus accessibles. La bière artisanale ne doit plus seulement être un produit de geek, mais rester populaire. Les brasseries de taille moyenne, ont pris le parti de s’ouvrir aux distributeurs régionaux ou nationaux, pour toucher une clientèle plus large. Enfin, le craft français fait son apparition en GMS. Une stratégie devenue incontournable pendant le Covid, pour nous comme pour d’autres. 🌳𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 : les IPA et NEIPA continuent de séduire, mais il devient également important de maîtriser ses classiques, sans rogner sur la qualité et en valorisant le local, le bio ou le réemploi. Une quête de sens pour les brasseurs et les consommateurs qui se tournent aussi vers des styles traditionnels, ne nécessitant que très peu de matières premières importées. 👊 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseries deviennent plus pointues et explorent de nouveaux segments de marché. Bières éphémères travaillées, mais aussi à faible teneur en alcool, hop tea, eaux pétillantes houblonnées ou aux fruits, répondant ainsi à une demande croissante de boissons originales et saines. 🍻 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 : les brasseries traversent une période difficile, mais le marché de la bière artisanale entre dans une nouvelle phase, où l'innovation et la tradition coexistent. En misant sur la qualité, la constance, la réduction de leur impact sur l’environnement et en adoptant des stratégies commerciales solides, les brasseries peuvent non seulement survivre, mais prospérer. La créativité des brasseurs face aux contraintes du marché promet un avenir riche en possibilités. À nous de l’écrire ! ✏ ✨
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😱LE MARCHÉ DE LA BIÈRE ARTISANALE SECOUÉ ! On entend beaucoup de choses en ce moment dans le milieu brassicole, entre potentiels dépôts de bilan, cessions et acquisitions ou même créations de nouvelles brasseries. Le secteur brassicole traverse une période mouvementée. Une récente enquête du SNBI révèle que 67 % des brasseries françaises rencontrent des difficultés financières. Les crises récentes, la hausse des coûts, une concurrence accrue et une offre supérieure à la demande en sont à l'origine. 🤔𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 : entre 2010 et 2018, on a assisté à l'âge d'or du craft. Nombre de brasseries ont vu le jour, introduisant des styles incroyables tels que les IPA, NEIPA et autres sour aux fruits. Une période de création intense, pendant laquelle les brasseurs ont démontré leur savoir-faire, allant jusqu’à influencer les brasseries industrielles. 💥𝗜𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 : aujourd'hui, la course à la nouveauté s’est un peu essoufflée. À l'instar de groupes de musique indépendants qui réalisent que leur succès n'est pas éternel, les brasseurs prennent conscience que le marché est saturé et que le paysage est en train de changer. Les grands industriels rachètent des brasseries emblématiques et pour les autres, espérer perdurer, c'est se professionnaliser. 🤸♂️𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseurs mettent désormais en avant des gammes permanentes éprouvées, modernes, mais plus accessibles. La bière artisanale ne doit plus seulement être un produit de geek, mais rester populaire. Les brasseries de taille moyenne, ont pris le parti de s’ouvrir aux distributeurs régionaux ou nationaux, pour toucher une clientèle plus large. Enfin, le craft français fait son apparition en GMS. Une stratégie devenue incontournable pendant le Covid, pour nous comme pour d’autres. 🌳𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 : les IPA et NEIPA continuent de séduire, mais il devient également important de maîtriser ses classiques, sans rogner sur la qualité et en valorisant le local, le bio ou le réemploi. Une quête de sens pour les brasseurs et les consommateurs qui se tournent aussi vers des styles traditionnels, ne nécessitant que très peu de matières premières importées. 👊 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseries deviennent plus pointues et explorent de nouveaux segments de marché. Bières éphémères travaillées, mais aussi à faible teneur en alcool, hop tea, eaux pétillantes houblonnées ou aux fruits, répondant ainsi à une demande croissante de boissons originales et saines. 🍻 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 : les brasseries traversent une période difficile, mais le marché de la bière artisanale entre dans une nouvelle phase, où l'innovation et la tradition coexistent. En misant sur la qualité, la constance, la réduction de leur impact sur l’environnement et en adoptant des stratégies commerciales solides, les brasseries peuvent non seulement survivre, mais prospérer. La créativité des brasseurs face aux contraintes du marché promet un avenir riche en possibilités. À nous de l’écrire ! ✏ ✨
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Très informatif Thomas nous livre une belle analyse que je vous invite à consulter. J'y ajouterai deux autres angles d'appréciation : 🛒 + 💶 Le contexte économique actuel, d'un point de vue global, fait que les ventes, depuis environ 15 mois patinent; et ce n'est pas uniquement le marché de la bière artisanale qui est concerné. La bière industrielle l'est aussi ! Les produits plaisir/loisirs connaissent aussi une chute ; entre la météo, le pouvoir d'achat et un contexte economique et politique quelque peu anxiogène, ... plein de facteurs expliquent que par exemple, la saison touristique 2024 (en Bretagne) ne restera clairement pas dans les anales. Chez les grossistes en boissons, le constat est un marasme ambiant avec des volumes en chute de 20% environ. Ajouté à cela, les effets des crises récentes (les PGE du Covid, l'explosion du prix du verre suite à la guerre en Ukraine, etc...). 🔏 🔐 L'evolution des parts de marchés et les habitudes consommateurs . On parle de renouvellement de gammes, d'innovation craft, et les brasseries artisanales ont su proposer des produits originaux, bousculant les habitudes. SAUF que le gros du volume, c'est à dire 95% du marché, reste encore la blonde industrielle. Encore aujourd'hui, le consommateur consomme majoritairement de la bière (je ne vais pas citer de marque...) dont la recette n'a pas changé depuis des lustres. Que ce soit en pack de K., en canette de H. ou sur les buvettes des stade de foot.... Alors les industriels surfent sur la vague "craft" (dont le terme n'est justement encadré par la loi)... Et le consommateur consomme naïvement des IPA qui n'en sont pas (le terme IPA n'est pas non plus encadré par la DGCCRF). Les brasseries artisanales sont au début d'un nouveau cycle; à chacune de jouer sa partition pour ne pas rester cantonné à 5% de part de marché.
😱LE MARCHÉ DE LA BIÈRE ARTISANALE SECOUÉ ! On entend beaucoup de choses en ce moment dans le milieu brassicole, entre potentiels dépôts de bilan, cessions et acquisitions ou même créations de nouvelles brasseries. Le secteur brassicole traverse une période mouvementée. Une récente enquête du SNBI révèle que 67 % des brasseries françaises rencontrent des difficultés financières. Les crises récentes, la hausse des coûts, une concurrence accrue et une offre supérieure à la demande en sont à l'origine. 🤔𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 : entre 2010 et 2018, on a assisté à l'âge d'or du craft. Nombre de brasseries ont vu le jour, introduisant des styles incroyables tels que les IPA, NEIPA et autres sour aux fruits. Une période de création intense, pendant laquelle les brasseurs ont démontré leur savoir-faire, allant jusqu’à influencer les brasseries industrielles. 💥𝗜𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 : aujourd'hui, la course à la nouveauté s’est un peu essoufflée. À l'instar de groupes de musique indépendants qui réalisent que leur succès n'est pas éternel, les brasseurs prennent conscience que le marché est saturé et que le paysage est en train de changer. Les grands industriels rachètent des brasseries emblématiques et pour les autres, espérer perdurer, c'est se professionnaliser. 🤸♂️𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseurs mettent désormais en avant des gammes permanentes éprouvées, modernes, mais plus accessibles. La bière artisanale ne doit plus seulement être un produit de geek, mais rester populaire. Les brasseries de taille moyenne, ont pris le parti de s’ouvrir aux distributeurs régionaux ou nationaux, pour toucher une clientèle plus large. Enfin, le craft français fait son apparition en GMS. Une stratégie devenue incontournable pendant le Covid, pour nous comme pour d’autres. 🌳𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 : les IPA et NEIPA continuent de séduire, mais il devient également important de maîtriser ses classiques, sans rogner sur la qualité et en valorisant le local, le bio ou le réemploi. Une quête de sens pour les brasseurs et les consommateurs qui se tournent aussi vers des styles traditionnels, ne nécessitant que très peu de matières premières importées. 👊 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : les brasseries deviennent plus pointues et explorent de nouveaux segments de marché. Bières éphémères travaillées, mais aussi à faible teneur en alcool, hop tea, eaux pétillantes houblonnées ou aux fruits, répondant ainsi à une demande croissante de boissons originales et saines. 🍻 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 : les brasseries traversent une période difficile, mais le marché de la bière artisanale entre dans une nouvelle phase, où l'innovation et la tradition coexistent. En misant sur la qualité, la constance, la réduction de leur impact sur l’environnement et en adoptant des stratégies commerciales solides, les brasseries peuvent non seulement survivre, mais prospérer. La créativité des brasseurs face aux contraintes du marché promet un avenir riche en possibilités. À nous de l’écrire ! ✏ ✨
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🍺 🥛 ☕ Chez AUDEBERT BOISSONS, distributeur mais aussi concepteur de bières, sodas, café et bientôt whisky, l’été se prépare dès février. Mais c’est bien à présent que se joue cette haute saison qui pèse deux tiers du chiffre d’affaires. La Montagne, avec le journaliste Patrice Campo, propose un gros plan sur une entreprise, basée à Lempdes (Puy-de-Dôme), où la pression est toujours positive. 🥃 Dans une partie des vastes locaux que l’entreprise occupe depuis octobre 2019, juste derrière le bâtiment principal qui abrite les installations d’embouteillage, de brasserie et de torréfaction, se monte un drôle de mikado en bois, une installation unique en son genre par sa taille, œuvre de la société charentaise KALLAFUT, qui permettra d’installer et gérer quelque 1.750 fûts. De quoi accueillir l’un des futurs produits phares de l’entreprise : le whisky maison, dont les premières bouteilles doivent sortir en fin d’année. 🍻 L’an dernier, c’est le pari de la bière sans alcool que l’entreprise a relevé, avec sa Bougnat 0 %. "Ce ne sont pas encore des gros volumes, mais il y a un marché avec des chiffres qui augmentent chaque année, souligne le directeur de production, Michael Inverardi, qui élabore les recettes. L’idée était de se rapprocher vraiment du goût de la bière traditionnelle, pour que ceux qui en consomment ne se sentent pas exclus." 🌄 Cette boisson connaît des grosses ventes en été, comme la plupart des produits de la maison Audebert. "Sur six mois, d’avril à octobre, nous réalisons deux tiers de notre chiffre d’affaires de l’année", explique Philippe Audebert. Le chiffre d’affaires annuel global, pour 2023, s’était établi à 22,5 M€, contre 19,8 M€ l’année précédente. #economie #biere #puydedome #cantal #correze #boisson #biere #whisky #auvergne #auvergnerhonealpes
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🕖Rentrée épicurienne avec nos six artisans partenaires. Nous avons le plaisir d’accompagner six producteurs et artisans du terroir dans le cycle de vente de leurs produits, en les présentant aux restaurateurs et hôteliers de la région. Notre volonté : offrir à chaque artisan son plein potentiel commercial. En tant qu'agence commerciale, nous les libérons de la prospection, cette activité prenante et chronophage, pour leur permettre de se concentrer sur l'essentiel : produire et perfectionner leurs produits. ⁉️ Qui sont-ils ? Que font-ils ? Où sont-ils ? ✅La réponse dans ce carrousel.
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𝗘𝗧𝗜 𝗡𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲, 𝗹𝘂𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝘀𝘂𝗿 : Marc Siari, CEO de la COMPAGNIE DES PATISSIERS 𝗣𝗮𝗿𝗹𝗲𝘇-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 : Originaire de Marseille, j'ai rejoint l'entreprise familiale en 1992 après des études de commerce puis j'en ai pris la direction en 1995 avec 25 salariés; À l'époque nous étions importateurs de produits alimentaires en conserve. En 1997, je co-fonde la structure KRUGER FRANCE avec le groupe allemand Krüger et nous développons ensemble une gamme d'épicerie sucrée. 12 ans plus tard, très attiré par le milieu industriel, j'échange avec un Meilleur Ouvrier de France qui m'évoque le potentiel des activités de pâtisserie, soulignant le fait que les seules limites dans ce secteur sont la créativité. Les barrières à l'entrée n'étant pas trop élevées, le marché national et international étant favorable, je saisis l'opportunité de racheter une usine près d'Aix en Provence que nous avons ensuite spécialisée sur la fabrication de tartes à destination de grands comptes. 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗮𝗶𝗻𝘀𝗶 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗮̂𝘁𝗶𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗻𝗲́𝗲 ? Exactement ! Nous avons dès lors dû développer de nouvelles gammes de produits, trouver les fonds nécessaires à investir, attirer des talents... Car seul, je ne serais pas allé bien loin ! Et c'est ainsi qu'en 2018, nous avons acquis un 2ème site de production, marquant notre arrivée en Région Normandie, à Heudebouville dans l'Eure. Accueillant 120 salariés, ce site est spécialisé dans la fabrication de flans crus et cuits et de moelleux. Cela nous a permis de nous ouvrir à la Grande-Distribution. Enfin, nous continuons notre développement en 2024 puisque nous venons de créer le groupe industriel MAS avec l'acquisition en ce début d'année de Maître Pierre, entreprise créée il y a 35 ans en Lorraine, spécialiste de tartes fines, tartes flambées, flammekueches et quiches. Cette nouvelle acquisition nous ouvre à la tarterie salée surgelée et va accélérer notre croissance en France ainsi qu’à l’international. 𝗘𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 (incluant Maître Pierre) : 🔹 60 millions d'euros de CA attendus en 2024 🔹 environ 300 salariés 🔹 Un catalogue de 500 références 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗿𝗲𝗷𝗼𝗶𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗖𝗹𝘂𝗯 𝗘𝗧𝗜 𝗡𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗱𝗶𝗲 ? Devenant Entreprise de Taille Intermédiaire avec la création du groupe MAS, j'ai souhaité rejoindre le Club ETI Normandie car la région m'a toujours soutenu dans nos projets de développement. Je crois beaucoup en l'intelligence collective et en l'intérêt de partager avec ses pairs. Le fait que le club traite de problématiques communes telles que la RSE, l'attractivité ou encore le "produire en France" a fini de me convaincre. De plus, je suis ravi que ce ne soit pas un club de dirigeants et que mes collaborateurs puissent y participer, je pense notamment à Olivier Pommiès, Directeur de notre site normand, Nicolas MERIENNE, Directeur des opérations ainsi qu'à Géraldine DUMEURGER, Directrice RSE, Marketing et R&D.
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⛔ NON MERCI ! SKUMENN on vous voit partout ! 😅 Partout vraiment ? En 2023, la part de marché de la bière artisanale en France était en augmentation, mais elle restait relativement modeste par rapport à d'autres pays, représentant environ 5 à 6% du marché total de la bière en volume. Aujourd’hui avec les crises successives et l’explosion du coût de l’énergie, un certain nombre de brasseries sont à la peine. En 2024 selon le SNBI (syndicat national des brasseurs) 1 brasserie sur 10 envisage une fermeture. 👉 Voilà pour le contexte et voici ce que je réponds : « C’est vrai qu’on est fiers d’être présent dans les endroits qui aiment mettre en valeur les bonnes brasseries, mais on a rarement le monopole des becs ou des rayons. 😊 Oui, on s'est fait une place dans notre ville, dans notre région, mais on est très loin d'être aussi omniprésents que les bières industrielles même en local. Il faut comparer ce qui est comparable ! 🤸♀️ Bien entendu qu’on essaie de se faire remarquer, c’est élémentaire ! Vous nous voyez souvent ? 😁 Tant mieux c’est parce qu'on a une personnalité, un goût, une démarche, une histoire qui se démarque. Pas parce qu'on est partout, tout le temps. 🍻 Alors la prochaine fois que vous nous voyez, n'hésitez pas à lever votre verre au nom de tous les artisans brasseurs qui se bougent pour vivre de leur passion, offrir de bonnes conditions de travail à leurs équipes bien souvent à tailles humaines et donner du sens à leur métier. 👊 Alors, prêt à faire la différence ?
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#Prestataire 100% dédié à la #logistique du #vin et des #spiritueux, DARTESS a entrepris deux nouveaux #entrepôts de stockage/ conservation de grands crus dans sa région bordelaise d’origine, pour un total de 30.000 m². Cet investissement de l’ordre de 20 M€ s’inscrit dans le cadre de son plan stratégique DARTESS 2027 visant à consolider sa position de partenaire logistique de référence des acteurs de la filière vinicole à travers ses différents métiers de mise en bouteilles / conditionnement, stockage / préparation, transport et conseil. À cet horizon, l’ambition est d’atteindre les 40 M€ de CA à l’échelle hexagonale (et même 50 M€ à 5 ans), sachant qu’après 4 années de croissance soutenue, l’activité de cette filiale du Groupe Tesson s’est stabilisée à 30 M€ sur 2023... (retrouvez l'intégralité de cet article dans la Newsletter de Supply Chain Magazine SCM) #supplychain #supplychainmagazine Frédéric Lanteri
Dartess étaye son plan 2027 avec deux nouveaux entrepôts Grands Crus
supplychainmagazine.fr
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La revue de presse du retail : Jean-Marc Lafont "Le Beaujolais n'a pas d'autre choix que de valoriser ses vins" - Vitisphere: La poursuite de la valorisation semble coûter au Beaujolais des référencements (avec des sorties de rayons en Grande Distribution : -6 % de ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Jean-Marc Lafont "Le Beaujolais n’a pas d’autre choix que de valoriser ses vins"
vitisphere.com
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Conseillère en immobilier . Capifrance . Excellence+ . Luxe & Prestige . Leader d'équipe de conseillers.
3 moisRomain Majet