Post de Mountanta Famorosa SALVADOR-JOSE

Merci pour l'interpellation Quentin Moreaux 𓂀 Beaucoup d'entreprises minimisent l'importance de la cartographie SI pourtant elle se fait une seule fois et après c'est juste les mises à jour. Avec la directive DORA, tous n'auront plus le choix surtout avec les pénalités qui seront appliqués d'ici Décembre par l'UE et les états membres. Le soucis avec les n ninjas qui ont toute l'entreprise dans leur tête est qu'ils oublient que cela bloque l'évolution de leurs carrières professionnelles et leurs épanouissements. L'entreprise est aussi dans un risque permanent pourtant la cartographie libère tout le monde. Vivement que toutes les entreprises la mettent en place et embrassent complètement la transformation digitale. Pour tous vos problèmes de transformation digitale sur tous les domaines, contactez Nkinda Plus d'informations ici: https://lnkd.in/eQv2EChv Pour tous vos problèmes de SOCs automatiques 24/24/7 avec corrections automatique des vulnérabilités, ,contactez toujours Nkinda, plus d'informations ici: https://lnkd.in/e_EiaS3Y Pour tous vos besoins en infrastructures Cloud, Encore Nkinda Plus d'information ici: https://lnkd.in/eVHbT62y Nkinda C'est le monde vue autrement à travers la magie du digital!

Merci Quentin Moreaux 𓂀 pour ce modèle et hiérarchisation des étapes concernant l'élaboration de la cartographie des processus (MSMFAT ?)... Effectivement Sophie Carli Bacher le diable se cache dans les détails d'une cartographie trop détaillée. Mais cette cartographie est fondamentalement nécessaire. L'analyse des événements indésirables et des risques est un bon moyen d'investiguer de mettre l'accent et la surveillance sur les processus à risque en lien avec les qualiticiens et les utilisateurs de terrain. La littérature regorge d'écrits sur la nécessité d'une telle démarche. Depuis les travaux du #gmsih il y a quelques années 😉 , je constate tous les jours que les décideurs ont encore beaucoup de difficultés à comprendre l'intérêt d'investir sur les couches fondatrices d'un SI de territoire. A l'heure où la #télémédecine et la #télésanté doivent prendre son leur essor tant curatif que préventif, les investissements épars et nourris d'ambition personnelle silotent le dispositif et anéantissent à l'extérieur de l'établissement les résultats des efforts systémiques conduits à l'intérieur ! La modélisation d'un SI Santé de territoire doit certainement revenir à ces fondamentaux et la convergence des outils doit d'abord être analysée à la lumière de cette urbanisation des processus critiques "en milieu ouvert".

La vie d'une DSI classique : +3000 actifs, 200 applis et aucune cartographie. Je rencontre un nombre impressionnant de DSI qui acceptent d’évoluer à l'aveugle ... Quand tu arrives en terre inconnue, tu as besoin d'une carte pour te repérer. J'aime dire que le SI est un vaste bâtiment, qui se détériore lentement. Comment peux-tu maintenir ton bâtiment si tu n'as aucune idée de comment celui-ci est confectionné ? (dans les moindres recoins !) La documentation est quasi inexistante, On se repose sur 4 ninjas qui ont tout le SI dans leurs têtes, Et on fait péter la prod' tous les 4 matins ... (vive le mode pompier) La surface d'attaque est extraordinaire, On déterre de la dette technique à tous les projets, On laisse mourir des technos sous le tapis, en faisant l'autruche ... jusqu'au jour où ça pétera. Comment peut-on sérieusement laisser perdurer ce type de fonctionnement en 2024 ? A l'heure où l'on reçoit 3 mails de phising par jour, Que maitriser sa surface d'attaque cyber est une question de vie ou de mort pour les entreprises ! Alors je ne dis pas qu'il faut cartographier tout son SI, Cela couterait un bras. Mais prendre le temps d'identifier ses processus critiques, Se poser les bonnes questions autour de la maintenabilité, Autour de l'obsolescence des actifs qui sont utilisés est une nécessité. Avancer dans le noir et l'inconnu est inacceptable ! Daredevil, l'aveugle qui voit davantage qu'un voyant, C’est dans les films ! Tu restes un humain, qui ne peut pas tout avoir dans la tête et oublies naturellement des choses. Alors documente et cartographie si tu ne veux pas rester un pompier qui éteint des feux toute sa carrière.

Pour la modélisation de l'architecture et la cartographie des application et flux, je conseille fortement à la norme Archimate avec l'utilisation l'outil associé gratuit ARCHI.

Excellente analyse sur l'enjeu de la #cartographie du #SI, merci Quentin Moreaux 𓂀 Certaines technologies expertes en gestion d'actifs avec modélisations graphiques dynamiques permettent de structurer ces cartographies du SI interne et ses liaisons avec les briques des parties prenantes clients et fournisseurs de SaaS. Un socle #ERP #composable lorsqu'il est intégré permet d'y associer des modules de facturation, comptabilité, suivi des amortissements, Business Intelligence, bases documentaires, applications de rapports techniques, accès aux documentations techniques en temps réel sur application smartphone dédiée, support utilisateurs, etc. L'architecture #lowcode permet de construire des fonctionnalités sur-mesure complémentaires par appui sur le socle logiciel. #UerpAssets #LeSIduSI #software #disruption U-ERP by Sikiwis

Cela va changer avec les règlements Européen notamment NIS 2, qui demande des cartographie. Il faudra cependant avoir deux cartographies, l'une avec les données stratégiques qu'il ne faut pas dévoiler et mettre sous le règlement ii901 titre II, voire dans certains cas ii901 titre III, et présenter une cartographie des risques à la place. - car s'il faut montrer sa maîtrise d'un SI - côté SI (stakeholder) et Côté SIT (Technical realisation), -il ne faut pas disséminer des informations relevant d'une CMDB, sans qualifier de critique ou névralgique, les données qu'elle contient quitte à en faire deux parfois, -cela éviterait d'engendrer des connaissances du SI dont la conséquence serait de faciliter le travail d'attaquants potentiel. -car il faut parler de risques et bien les adresser puis les tracer aux mesures palliatives mais il ne faut pas ajouter de risques en fournissant des méthodes ou information indirectes qui sont des atouts de sécurisations. En tant qu'AE, il faut travailler sur la dissémination d'informations techniques, dès la mise en place d'un plan de classement, décrivant celles qui ne doivent jamais faire l'objet de diffusion sans contrôle. Quitte à décrire un processus parallèle où ces informations cruciales doivent être consignées ( TOGAF : Architecture Contracts & Architecture Governance Framework) : -dans des documents de spécifications - en phase architecturale et poser dès le départ un guide qualifiant officiellement les données sensibles des cartographies qui ne devront pas figurer en dehors d'un document mis sous Zed (chiffré). messieurs les Urbanistes et Architectes de SI / Messieurs les Architectes d'Entreprise Numériques à vos crayons.

Je profite de ce post de Quentin Moreaux 𓂀 pour faire un appel à la communauté des systèmes d'information pour savoir qui utilise des outils de type CAASM "Cyber Asset Attack Surface Management" ou « Gestion de la surface d’attaque des actifs numériques »  et lesquels ? Ces outils permettent à priori un recensement (découverte) automatique de tout ce qui a une IP. Est ce une réponse à nos cartographies/inventaires jamais à jour ? #PartageDeConnaissances #caasm #SécuritéInformatique #cartographie

Un exemple du quotidien : +3000 actifs, 200 applis et aucune cartographie. Je rencontre un nombre impressionnant de DSI qui acceptent d’évoluer sans même une carte pour se repérer.    Quand tu arrives en terre inconnue, tu as besoin d'une carte pour te repérer.   J'aime dire que le SI est un vaste bâtiment, qui se détériore lentement.   Comment peux-tu maintenir ton bâtiment si tu n'as aucune idée de comment celui-ci fonctionne ? (dans les moindres recoins !)   Tu comptes sur tes collaborateurs historiques, qui ont une grande partie du SI dans leur tête certes, Mais la documentation étant quasi inexistante, Evidemment, vous oubliez des éléments …   La surface d'attaque est extraordinaire, On déterre de la dette technique à tous les projets, On laisse mourir des technos sous le tapis, en faisant l'autruche ... jusqu'au jour où ça pétera.   Comment peut-on laisser perdurer ce type de fonctionnement en 2024 sérieusement ?   A l'heure où l'on reçoit 3 mails de phising par jour, Que maitriser sa surface d'attaque cyber est une question de vie ou de mort !   Alors je ne dis pas qu'il faut cartographier tout ton SI, Cela te couterait un bras.   Mais prendre le temps d'identifier ses processus critiques (coucou les PCA/PRA 👋🏼), Se poser les bonnes questions autour de la maintenabilité, Autour de l'obsolescence des actifs qui sont utilisés est une nécessité.   Ingénieur, tu n'es pas Daredevil ! L'aveugle qui voit davantage qu'un voyant. Tu restes un humain, qui ne peut tout avoir dans la tête et oublies des choses. Alors documente, schématise si tu ne veux pas rester un pompier qui éteint des feux toute sa carrière.

les maps pour exploiter correctement l'entreprise et permettre aux métiers de mieux appréhender les risques Business, une galère puisque les informaticiens savent ce dont ces Métiers ont besoin. De plus en cas de cyberattaque, les métiers n'ont pas à venir se mêler de leurs affaires. Que l'entreprise reste à l'arrêt le temps qu'ils corrigent car ils savent et même ils savent sans les maps.

Ton infrastructure est-elle en train de te ralentir ? (Danger à éviter n°2) Si tu penses que ton ordinateur fait de la résistance chaque matin et que tes logiciels ont l’âge du dinosaure... il est peut-être temps de faire un check-up sérieux de ton matériel ! Chez CONVERGENCES ARCHITECTURES ET TECHNIQUES, nous sommes convaincu qu’une infrastructure vieillissante, c’est la porte ouverte à la fracture numérique. Et crois-moi, tu veux éviter ça. Alors, ton matériel, il en est où ? À jour ou complètement obsolète ?  C’est simple : si tes outils te font perdre plus de temps qu’ils t’en font gagner, ils sont déjà dépassés. Chez CONVERGENCES ARCHITECTURES ET TECHNIQUES, nous avons trois principes en béton 😉 pour que notre infrastructure reste au top niveau et booste notre productivité : 1. Matériel informatique de pointe Dans un secteur aussi exigeant que l’architecture, il nous faut du matériel qui suive la cadence. Et franchement, on est un peu fans des Surface Studio de Microsoft. Un écran tactile, un stylet, une puissance à toute épreuve... C’est notre arme secrète pour concevoir, visualiser, et collaborer en temps réel sur les projets de nos clients. 2. Logiciels toujours à jour Que ce soit en ligne ou sous licences, on ne travaille jamais avec des logiciels dépassés. Pourquoi ? Parce que les mises à jour, ce ne sont pas juste des bugs qu’on corrige, c’est souvent l’accès à de nouvelles fonctionnalités qui optimisent les process, automatisent les tâches, et sécurisent nos données. Franchement, je ne comprends pas ceux qui négligent cet aspect, et qui travaillent avec des versions différentes du même logiciel dans le même bureau. Avec les outils d’aujourd’hui, tu peux littéralement travailler de partout, sans stress. La semaine dernière, j’étais à Majorque, et j’ai bouclé un dossier sans quitter la plage (ou presque !). 3. Fichiers en cloud sécurisé Plus de clé USB à traîner partout. Tout est sauvegardé, accessible en quelques clics, et surtout protégé. La cybersécurité est un pilier qu’on ne prend pas à la légère. Le cloud nous permet non seulement de collaborer à distance, mais surtout de garantir que nos données sont sécurisées, tout en restant à portée de main, où que l’on soit. Il est temps de te poser la question : ton entreprise est-elle prête à faire face à l’avenir numérique ou est-elle bloquée par des infrastructures dépassées ? La transformation digitale ne se fait pas juste avec de grandes idées, mais avec un matériel performant et des logiciels qui évoluent avec toi. Tu penses que tes infrastructures sont à la hauteur des défis de demain ? Quels outils fais-tu évoluer pour rester compétitif ? Si cet article te parle, partage-le avec ceux qui pourraient en bénéficier, et abonne-toi à ma newsletter : https://lnkd.in/gdUmEY9P