Les ponts de Paris 🌉 : des géants sous surveillance Le savais-tu ? Les ponts de Paris, comme le Pont Neuf, sont inspectés régulièrement pour assurer leur sécurité et prévenir toute dégradation ⚙️. En plus de la pollution, ces structures doivent faire face aux variations climatiques, aux vibrations du trafic et à l’humidité du fleuve. Les travaux d’entretien incluent souvent le nettoyage des pierres, la réparation des fissures et la stabilisation des fondations sous l'eau. Chaque pont a son histoire et nécessite une attention particulière pour traverser les siècles ! #PontDeParis #Rénovation #BTP #Tinel #Entretien #Travaux
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Le radier général est une fondation plane qui répartit uniformément les charges d’un bâtiment sur toute sa surface, offrant une grande stabilité, notamment sur des sols peu portants. Il est souvent utilisé pour les constructions de grande envergure ou lorsque les charges sont importantes.
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Ces tunnels géants ne sont pas d’origine humaine ou géologique
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L'extension du brise-lames de 345 m fait partie des composantes du Package II du projet d'extension du Port de Toamasina et elle est bien achevée comme nous montre cette photo. Pour rappel : Les principales fonctions d'un môle sont l'accostage et la protection contre les vagues. Un brise-lames est une construction du type épis, digue ou jetée (môle), établie devant un port, une zone aménagée, une plage ou un littoral vulnérable à l'érosion. Il peut constituer un abri pour protéger une zone de mouillage lors de mauvais temps. Le brise-lames n'est pas, contrairement à une digue ou une jetée, obligatoirement accessible de la terre. Mais une jetée ou une digue sert fréquemment de brise-lames. Les ingénieurs maritimes utilisent parfois le terme « digue » pour désigner un brise-lames. #ExtensionPortToamasina #ExtensionduBriseLames #DiguedeProtection #InfrastructureDurable #Environnement
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Sans le bâtiment, Notre-Dame serait toujours à genoux. 🔥 Le 15 avril 2019, on regardait tous Notre-Dame brûler. Le bois centenaire qui crépitait, les flammes qui dévoraient la flèche… Un choc pour notre patrimoine 🇫🇷 Mais la cathédrale n’est pas tombée seule. Elle a emporté avec elle un mythe : « les métiers du bâtiment invisibles. » Cinq ans plus tard, c’est faux. C’est grâce à eux qu’on parle maintenant de “résurrection” et non de “ruine” : • Les charpentiers, perchés à 30 mètres, qui reconstruisent “la forêt” de bois comme en 1200, à la main, pièce par pièce. Ils “habillent” une cathédrale avec des gestes d’autrefois. • Les tailleurs de pierre, penchés des heures pour sculpter des gargouilles qui regardaient le monde avant même la découverte de l’Amérique. • Les couvreurs, qui posent chaque feuille de plomb comme si le toit était un écrin royal. • Les grutiers, invisibles, mais sans qui rien ne s’élèverait. Et énormément d’autres… Tous ces métiers, ces mains, elles ne racontent pas seulement un chantier, elles prouvent une vérité : Quand tout brûle, seuls ceux qui construisent sauvent. Ils étaient des milliers sur place. Ils ne cherchent pas la gloire. Ils se lèvent, prennent leurs outils et reconstruisent l’Histoire, pour qu’aujoirdhui, on relève la tête pour regarder une flèche qui touche à nouveau le ciel. Alors, la prochaine fois que vous passez devant un chantier, arrêtez-vous. Parce que sans le BTP, le monde s’effondre et rien ne renaît. #MétiersduBTP #NotreDameDeParis #HérosDeLombre #Renaissance
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Maquette numérique du fort de la Compagnie du Sénégal dans les années 1720 : hypothèse de reconstitution, survol du fort et aperçu d'une captiverie. Edifice exigu et construction de médiocre qualité, le fort est alors composé de divers bâtiments ajoutés et reconstruits au fil des ans à partir de la première Habitation du XVIIe siècle. Le fort connaîtra ensuite un important agrandissement vers l'Ouest dans les années 1740. De faible valeur militaire, son rôle était surtout celui d’un entrepôt fortifié et d’un lieu symbolique de pouvoir, l'île étant plutôt défendue par des batteries de canon. Les étages étaient destinés aux diverses fonctions du fort ( salle à manger, appartement du directeur de la Cie, bureaux, chapelle) mais la plupart des employés de la Cie vivaient à l’extérieur dans le village. Le rez-de-chaussée était consacré à la traite, avec côté Nord les magasins pour les marchandises, et au Sud les deux captiveries. Les captiveries, parfois désignées comme des fosses ou des caves, étaient deux espaces longs et étroits d’une surface respective de 120m² et 180m² ponctués d’une rangée de piliers soutenant les poutres des terrasses du fort. Il n’y avait quasiment aucune ouverture à part la porte et quelques meurtrières. Les journaux de navires de traite de cette époque indiquent des embarquements de plusieurs centaines d’esclaves depuis Saint-Louis. Il est possible que 3 à 400 esclaves y aient été enfermés simultanément. Les conditions de vie dans ces espaces étroits, sombres et mal ventilés devaient être épouvantables. Les transformations ultérieures, notamment au XIXe siècle, ont fait disparaître la plus grande partie des ouvrages de cette époque. La maquette numérique permet de mieux visualiser des espaces aujourd'hui disparus et connus seulement par des plans et gravures anciennes. #architecture #fortification #construction #patrimoine #mémoire #histoire #archives #senegal #esclavage #3dmodeling #twinmotion
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Le pont Joubert, mentionné pour la première fois en 1083, est un témoin précieux de l'évolution architecturale et historique de Poitiers. Initialement, ce pont médiéval commandait l'entrée principale de la ville du côté est, avant la construction du pont Neuf en 1778. En 1451, le pont Joubert fut reconstruit avec un système défensif plus élaboré, comprenant des portes et un pont-levis intégrés aux remparts de la cité. Ces éléments étaient essentiels pour protéger la ville des invasions. Les tours, bien que démolies en 1829 pour faciliter la circulation, témoignaient de l'importance militaire du pont. La transformation la plus radicale survint en 1900, lorsque l'entreprise Hennebique agrandit le pont et y ajouta un parapet en béton, lui conférant son aspect actuel. Cette modernisation marqua la perte définitive de son cachet médiéval. En 1982, les inondations endommagèrent gravement le pont, nécessitant des réparations importantes, notamment le remplacement des parapets par des grilles pour permettre l'écoulement de l'eau. Ainsi, le pont Joubert n'est pas seulement un ouvrage d'art, mais aussi un témoin des diverses époques de Poitiers, reflétant les besoins défensifs, les évolutions architecturales et les défis environnementaux auxquels la ville a dû faire face. Avez-vous des souvenirs ou des informations à partager sur ce pont historique ? N'hésitez pas à commenter ! #PontJoubert #Immobilier #Poitiers
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Le Village de l'Étrange Prologue Au fin fond de Norroy-le-Veneur, là où les cartes s’effacent et où les GPS ne captent plus, se dresse un lieu aussi étrange que redouté : Le Meltem. Un nom qui évoque à la fois le vent, les légendes et une société dont le mystère n’a d’égal que son humour décalé. Traversé par un ruisseau aux eaux noires et grouillantes de secrets, Le Meltem abrite SIS, une société qui regroupe les fonctions transverses d’un groupe œuvrant dans l’assainissement et l’environnement. Le Meltem n’est pas qu’un simple bâtiment administratif. C’est un écosystème étrange où les cauchemars prennent forme, où des créatures monstrueuses viennent en pèlerinage : des sangliers à trois têtes, véritables cerbères des lieux, des renards à cinq queues fouettant l’air, et des chauves-souris géantes qui, pour des raisons inexpliquées, volent à l’envers. À la tombée de la nuit, des engins de chantier fantomatiques se mettent mystérieusement à l’œuvre, érigeant des structures invisibles à l’œil nu. Mais le mystère le plus terrifiant réside dans les couloirs du bâtiment principal. Là-bas, derrière des portes jamais ouvertes, se cachent des secrets que même les plus braves des collaborateurs préfèrent ignorer. Pourtant, dans cet étrange théâtre, le personnel de SIS continue à travailler, inconscient des forces qu’ils déclenchent. Et si derrière l’humour de leur PDG se cachait quelque chose de bien plus sombre ? Et si le projet de ce "village d’entreprise" tant attendu n’était qu’une façade pour quelque chose d’indicible ?
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Le #GoldenGateBridge à San Francisco, un chef-d'œuvre d'ingénierie. Terminé en 1937, le pont suspendu qui s’étend sur 1 280 mètres entre ses deux tours principales, a dû être construit avec une précision extraordinaire pour résister aux conditions climatiques et géologiques extrêmes, notamment les vents violents et les tremblements de terre fréquents en Californie. Un détail particulièrement important est la tolérance prévue dans les câbles principaux du pont. Chaque câble principal du #GoldenGateBridge mesure 92 cm de diamètre et est constitué de 27 572 fils d'acier enroulés ensemble. Ces câbles devaient supporter une charge combinée de 887 000 tonnes, tout en restant suffisamment flexibles pour permettre au pont de se déplacer sous l’effet du vent ou des variations de température. Le pont est conçu pour osciller jusqu'à 8 mètres latéralement au centre de sa travée principale, et cette marge est critique. Si l’épaisseur des câbles ou leur tension avait été mal calculée, les oscillations auraient pu soit trop réduire la flexibilité (provoquant des fissures ou des ruptures), soit augmenter le balancement au point de rendre le pont instable et dangereux à traverser. En 1951, un vent exceptionnel de 110 km/h a fait osciller le pont de manière spectaculaire, mais la structure est restée stable grâce à ces marges parfaitement calibrées. Le #GoldenGateBridge est aujourd'hui l'un des ponts les plus célèbres du monde, et sa durabilité prouve que la précision dans les moindres détails peut faire la différence entre une construction éphémère et un monument qui traverse les âges. Vos projets méritaient la même rigueur ! C'est pourquoi à Sace Agency, nous mettons un point d'honneur à garantir que chaque élément de votre projet soit pensé, mesuré et exécuté avec soin. 📞 Contactez-nous dès aujourd'hui : +228 90 92 36 96. #SaceAgency #ChaqueDétailCompte _______ Sace Agency : Nous sommes une agence de com.munication à 360° qui propose une gamme complète de services pour accompagner les entreprises, marques et institutions dans leur transformation digitale et leur communication globale. Expertise multidisciplinaire mais approche personnalisée. Que ce soit pour des projets numériques, de création de contenu, d’impression ou d’affichage, nous mettons notre savoir-faire au service de nos clients pour maximiser leur impact.
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Le 3 décembre 1917, le pont de Québec est enfin ouvert au trafic ferroviaire. 🌉 Sa construction avait commencé dès 1900, mais les années 1907 et 1916 ont été marquées par deux effondrements malheureux qui ont fait plusieurs dizaines de morts. Finalement terminé en septembre 1917, le pont sera mis à l’épreuve et n’ouvrira au trafic que deux mois plus tard, pour n’être officiellement inauguré qu’en août 1919. Encore aujourd’hui, il s’agit du plus long pont cantilever au monde. Usito dit de l’adjectif « cantilever » qu’il qualifie « une structure, spécialement un pont, dont les poutres principales se prolongent en porte-à-faux et soutiennent à leur tour une poutre de portée réduite ». On utilise aussi le nom masculin « un cantilever » en parlant d’un pont. 🏗 Ce type de construction porte aussi un autre nom, plus français, mais moins connu. Le mot « pont » est alors accompagné d’un adjectif complexe (ou locution adjectivale). Un indice? L’adjectif complexe est présent dans la définition de « cantilever ». Autre indice? Au figuré, cet adjectif veut dire « dans une situation délicate ou ambiguë ». La réponse dans Usito 👉 https://lnkd.in/eS2q8-gj.
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Un radier est une dalle plane, éventuellement renforcée de nervures, qui constitue la fondation d'un bâtiment en s'étendant sur toute l'emprise de l'ouvrage . Il est utilisé lorsque le sol présente une capacité portante relativement faible , les charges du bâtiment sont significatives ou lorsque la surface des semelles conventionnelles dépasserait la moitié de l'emprise du bâtiment. Le radier permet de réduire la pression exercée sur le sol et ainsi de minimiser les risques de tassement.
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