Post de Tony Dupuis

Je n’ai pas de master. MAIS J’ai une boîte qui fait un CA à 6 chiffres. J’ai + 300 K abonnés sur mes réseaux et 150 K sur les réseaux de mon média Way. C’est parce que je n’ai pas de master, que j’ai tout le reste. Parce que j’ai choisi de développer des compétences autrement. Des compétences qu’on n'enseigne pas toujours à l’école. Parce que j’ai refusé de passer 2 années de plus à faire semblant d’écouter les cours tout en bossant sur autre chose. Pourtant, l’autre jour, j’étais au téléphone avec une école pour donner des cours sur le fonctionnement des réseaux sociaux, et un peu gêné, l’interlocuteur me dit que si je n’ai pas de master, ça va bloquer. Il me dit que c’est la direction, que ce n’est pas de son fait. Je comprends. Et en même temps, je ne comprends pas du tout. Vouloir que les intervenants délivrent un contenu pédagogique de qualité à ses étudiants, c’est normal. Estimer qu’il n’y a qu’avec un master qu’on s’en assure, c’est dommage, peut-être même un peu dangereux. Si les masters suffisaient à rassurer sur les compétences d’un professionnel, il n’y aurait pas autant de jeunes diplômés au chômage. Selon moi, rien n’est plus formateur que le terrain.  Rien ne parle mieux de vos qualités de professionnels que vos accomplissements concrets. Il est grand temps qu’en France, on fasse bouger les lignes. Qu’on stop cette culture du master qui pousse des jeunes à des débuts professionnels très compliqués, car on leur a promis qu’il leur ouvrirait toutes les portes. Il est temps qu’on arrête de ramener la valeur des professionnels à leur diplôme et au nom écrit dessus. L’école ne correspond pas à tout le monde. “Si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera toute sa vie à croire qu'il est stupide”.

𝗡𝗲 𝘀𝗼𝘆𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲́ 𝗱'𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝘆𝗲́ L'aspiration la plus fréquente et légitime de tout étudiant sur le banc de la fac reste et demeure l'obtention d'un emploi dès après la fin du cursus universitaire. Je comprends tout à fait cette aspiration et salus les quelques rares étudiants qui arrivent à l'atteindre dès la fin de leurs études. Cependant, laissez moi vous dire que le monde professionnel est une question de processus qu'il ne faut surtout pas briser au risque de vous exposer à des conséquences qui pourront vous rattraper tout au long de votre carrière professionnelle. Je vous expose ci-dessous quelques étapes non exhaustives qu'il faut suivre pour une bonne intégration professionnelle réussie et pérenne. ETAPE N°1 : FORMER VOUS EN INFORMATIQUE Vous ne devez pas sortir de l'université sans savoir manipuler un ordinateur avec ses fonctions basiques. Pure encore, vous ne devez pas accepter un emploi sans connaître l'informatique sinon je suis désolé de vous dire que vous serez un robot qu'on va toujours faire tourner par ci et par là. ETAPE N°2 : CHERCHEZ DES RELATIONS DEPUIS L'UNIVERSITÉ Si vous pensez que l'université n'est pas un cadre de réseautage idéal, laissez moi vous dire que vous vous tromper sur toute la ligne. Il n'y a pas de petite relation, c'est pourquoi vous devez entretenir des bonnes relations même avec le dernier de la classe. Votre égo ne doit pas vous pousser à faire du mal à un individu. Par exemple moi j'ai eu mon premier stage à l'aide d'un professeur de l'université et mon premier emploi à l'aide d'une amie de l'université aussi. ETAPE N°3 : DÉVELOPPER UNE COMPÉTENCE DANS LAQUELLE ON VOUS RECONNAÎT ET VENDEZ LA Peut être vous allez me dire que vous n'avez pas d'argent pour vous former étant donné que vous venez de finir l'université, mais si vous venez d'un village comme moi, n'hésitez à aller vendre le seul taureau qui reste dans le pâturage et venez investir dans votre formation. ETAPE N°4 : SOYEZ HONNÊTE C'est l'une des étapes la plus importante pour ne pas dire la seule importante. Peut être vous vous demandez souvent pourquoi les entreprises aiment recruter par recommandation non? Et bien c'est simple, l'entreprise est un lieu où on aime pas courir trop de risques, donc elle préfère des gens honnêtes qu'elle va former que des gens malhonnêtes compétents. ETAPE N°5 : PRIEZ, SOYEZ PATIENT ET ESPÉREZ Quelque soit la situation dans laquelle vous vous trouvez, n'oubliez que seul DIEU pourra vous assister, donc gardez toujours l'espoir de voire un jour son aide venir et patientez sans vous en vouloir ou en vouloir aux autres car je suis sûr que votre tour viendra comme chez le coiffeur. Enfin, vous voilà outillés de quelques éléments qui pourront probablement vous aider dans votre bonne intégration professionnelle sans que vous ne soyez obligés de quémander précocement un boulot dont le salaire ne pourra même pas couvrir vos dépenses mensuelles. #Kebou

"Natacha, on fait le même métier au quotidien et toi, tu vas créer une formation pour aider d'autres personnes à apprendre notre métier ? 😲" Voilà ce qu'une personne m'a dit, avec un ton extrêmement dénigrant, après l'annonce de la formation complète que je cocrée avec Claudel FADOLO. Cette réaction m'a fait réaliser une chose fondamentale : ■ Quand tu fais ce que les autres n'osent pas, tu es critiqué·e. ■ La critique est souvent le reflet des insécurités des autres. ■ Ceux et celles qui critiquent révèlent parfois leur frustration face à leur propre inaction. Mais cela ne nous arrêtera pas. Créer une formation ne signifie pas que l'on se place "au-dessus" des autres. C'est simplement rendre l'accès à ces compétences plus facile pour celles et ceux qui veulent progresser dans leur carrière. Claudel et moi avons lancé cette formation pour quatre raisons simples : ✔️ Répondre à une forte demande : Claudel avait déjà lancé une version initiale après de nombreuses sollicitations, et il m'a proposé de le rejoindre pour créer une version plus complète et numérique. ✔️ Offrir une expérience pratique : Beaucoup de professionnel·les veulent se former, mais manquent d'accès à des projets réels pour développer des compétences pratiques. ✔️ Combler le manque de formations approfondies : Il existe peu de programmes qui intègrent à la fois la théorie et la pratique en modélisation du risque de crédit. ✔️ S'adapter aux besoins du marché : Les banques recherchent des analystes capables de maîtriser à la fois les méthodes classiques et le machine learning, tout en maîtrisant la réglementation bancaire. Donc, à ceux et celles qui sont surpris par cette initiative : La jalousie et la comparaison sont humaines. Mais plutôt que de laisser ces sentiments vous freiner, prenez un moment de réflexion. Demandez-vous si un projet similaire pourrait vous intéresser. Et lancez-vous! Et pour celles et ceux qui souhaitent soutenir cette initiative, votre aide nous serait précieuse. Votre retour nous permettra d'affiner cette formation afin de mieux répondre à vos attentes. Prenez quelques minutes pour répondre à notre questionnaire : https://tally.so/r/3yEkLd Merci à tous et à toutes pour votre soutien. L'aventure ne fait que commencer, let's go! 🚀

Navigateur en quête de cap après le bac? Voici ma boussole! La période post-bac représente un croisement capital. 🎯 Comme coache certifiée, j'oriente cette transition avec des astuces pragmatiques. - Commence par un examen introspectif. Qui es-tu réellement, qu’aimes-tu et quelles sont tes forces? La compréhension de toi-même est le socle de toute orientation réussie. - Renseigne-toi sur les métiers existants. Un métier que tu ne connais pas peut être ta vocation. Fais-toi une idée en rencontrant des professionnels ou via des stages. - Pèse bien le pour et le contre de chaque filière. Au-delà des passions, considère l’employabilité et les débouchés concrets. - N’oublie pas les soft skills. Certaines compétences comme la communication ou l'adaptabilité sont transversales et valorisées partout. - Élaborons ensemble un plan d'action spécifique 🚀. Mon rôle est de t'accompagner à clarifier et à concrétiser tes aspirations. L'orientation post-bac est plus qu'un choix académique, c'est l'amorce d'un parcours de vie. Discutons-en pour élever tes options au niveau de tes ambitions! #AbsoluteProductionCoaching #orientation #confianceEnSoi #gestionDuStress #methodologiepourréussirsesétudes

La course aux diplômes est un sport national où chacun s'efforce d'accumuler le plus de papiers possibles. Comme si notre valeur se mesurait au poids de notre porte-documents. Quelle époque fascinante que la nôtre, où l'on préfère passer des années sur les bancs de l'école plutôt que d'acquérir de véritables compétences ! Comment pourrions-nous nous sentir supérieurs sans notre précieuse collection de diplômes encadrés ? Il est bien plus commode de se cacher derrière ces bouts de papier, preuves irréfutables de notre intelligence et de notre valeur. Qu’importe que l'on sorte de l'université sans savoir rédiger un e-mail correct ou gérer un budget. L'essentiel est d'avoir ce sésame qui ouvre toutes les portes – du moins, c'est ce qu'on nous a fait croire. Pourquoi s'embêter à développer des compétences pratiques quand on peut simplement accumuler des acronymes après son nom ? Ne parlons pas de ces autodidactes qui osent prétendre avoir appris par eux-mêmes. Quelle audace ! Comment peut-on accorder du crédit à quelqu'un qui n'a pas passé des années à mémoriser des théories obsolètes et à régurgiter des informations lors d'examens stressants ? La vraie intelligence se mesure à notre capacité à supporter l'ennui et à nous plier aux exigences d'un système éducatif parfois déconnecté des réalités du monde professionnel. Des esprits chagrins suggéreront que l'expérience pratique pourrait avoir de la valeur. Ne nous laissons pas berner par ces idées subversives. À quoi bon savoir faire quelque chose si l'on n'a pas le diplôme pour le prouver ? La compétence sans certification, c'est comme un arbre qui tombe dans une forêt sans témoin : ça n'existe pas. Pensez au merveilleux sentiment d'accomplissement que l'on ressent en ajoutant une nouvelle ligne à son CV. Master, MBA, doctorat. Chaque nouveau diplôme est comme un trophée dans notre vitrine personnelle. Peu importe si l'on ne se souvient plus de la moitié de ce qu'on a appris. L'important est de pouvoir l'afficher fièrement sur LinkedIn. N'oublions pas non plus le plaisir de s'endetter pour financer ces précieux bouts de papier. Quoi de mieux que de commencer sa vie professionnelle avec une dette équivalente au PIB d'un petit pays ? C'est le prix à payer pour faire partie de l'élite des sur-diplômés sous-employés. Et si jamais on se retrouve à effectuer un travail qui n'a rien à voir avec nos études ? On pourra toujours se consoler en regardant nos diplômes accrochés au mur, preuves tangibles que l'on est trop qualifié pour ce que l'on fait. C'est ça, la vraie réussite. Continuons dans cette course effrénée. Accumulons les diplômes comme d'autres collectionnent les timbres. Ignorons les compétences réelles, l'expérience pratique, l'adaptabilité. Après tout, dans un monde en constante évolution, quoi de mieux que de s'accrocher à des connaissances potentiellement obsolètes ?

Mais à quel moment allez-vous réagir ?! Est-ce que vous vous rendez compte de ce qu’il se passe ?! Plus de 300 000 personnes. Plus d’une personne sur trois. 36 %. Ça, ce sont les chiffres du taux de rupture de contrat d’apprentissage en France. Et il semblerait que ça ne choque personne que tant de jeunes voient leur avenir mis en péril par un système abusif. Mais une question demeure : Comment est-il possible que les écoles et les entreprises acceptent un pourcentage si élevé sans rien faire pour l’empêcher ? J’ai ma réponse. Mais j’aimerais connaître la vôtre. Mon réseau est majoritairement constitué d’acteurs de l’apprentissage. Alors je vous demande : 1️⃣ Que faites-vous pour empêcher ça ? Du moins, si vous en avez réellement envie.. 2️⃣ Comment réagissez-vous face à cette statistique ? Car dans 8 échanges sur 10, vous me répondez que vous n’êtes pas confronté à ce problème. 3️⃣ Si vous perdez de l’argent et des étudiants à cause de cela, que mettez-vous en place pour l’empêcher ? Je rappelle que la majorité des étudiants disent ne pas être assez accompagnés par les écoles. 4️⃣ En tant qu’entreprise, que mettez-vous en place pour fiabiliser vos recrutements d’alternants ? Et si la réponse est « rien », pourquoi assumer ce risque ? 5️⃣ La majorité des entreprises disent que le problème est l’accompagnement des écoles. Pourquoi acceptez-vous de travailler avec elles si le taux de rupture est si élevé ? Il n’y a aucune attaque dans mes questions. Ce sont de vraies interrogations, car moi, j’ai ma propre réponse. Mais je veux connaître les vôtres. Quoi qu’il en soit, si vous êtes un acteur du milieu de l’apprentissage, vous ne pouvez plus fermer les yeux devant ces chiffres en constante augmentation. On est dimanche, prenez le temps de répondre à chaque question qui vous concerne. Et si vous voulez changer cela, je suis là pour vous accompagner. 🤝🏻 Faisons en sorte que tout le monde gagne et que ce système redevienne celui de l’excellence. 🚀 #SKILLIE #BalanceTonAlternance #Entreprises #Ecoles #Apprentissage

🎓 Résultats et Engagements : Bilan de la Session 2024-2025 🎓 Pas de tests de sélection depuis 25 ans, mais un entretien dynamique approfondi pour évaluer les compétences comportementales et la motivation. Écoute active des souhaits des candidats, accompagner et guider chaque apprenti dans son projet. Savoir dire un bon non et aiguiller. Et si c’est un #OUI c’est le début de l’aventure. Nous partons du principe que le diplôme précédent légitime le suivant, fondement même de la #méritocratie. C’est un prérequis exigeant pour l’équipe, car nous pourrions nous faciliter le travail. Mais cela fait partie des valeurs de l’établissement. La #Mêmechancepourtous. Ateliers de recherche d’emploi, sourcing et mise en relation avec les #entreprises du territoire. C’est notre principale activité de l’été et nous sommes ouverts pour répondre aux besoins de #recrutement. Avec un modèle calibré à 12 élèves par classe, nous détectons les fragilités et permettons aux meilleurs de performer. Cette année, nous avons eu plusieurs élèves obtenant 20/20 à une épreuve finale professionnelle. Nous travaillons également sur l’employabilité avec des règles fondamentales de vivre ensemble. L’équipe lutte activement pour éviter les ruptures et tisse des liens avec les partenaires pour qu’aucun jeune ne se retrouve sans rien. Les moyens investis dans le suivi sont importants, avec un équipement moderne et des conditions de travail optimales pour former nos élèves. Même si tout ne fonctionne pas toujours à 100%, notre méthode marche aussi bien qu’ailleurs et donne à tous la possibilité d’avoir un emploi et un diplôme. Il faut être humble, nous travaillons avec de l’humain en devenir. Une session a été en deçà de nos attentes, mais l’équipe est déterminée à travailler d’arrache-pied pour améliorer tout ce qui peut l’être en amont. Pour la session 2024-2025, nous clôturons avec un taux de réussite de 91 % pour les élèves ayant présenté la totalité de leurs épreuves . 5 filières à 💯% . Un grand bravo à nos apprentis ! Merci aux chefs d’entreprise sans qui ce challenge serait impossible, aux parents qui nous suivent dans l’accompagnement éducatif, aux partenaires qui nous mettent en lien avec les jeunes, et à l’équipe qui manœuvre pour répondre aux exigences de chacun. En route vers de nouveaux défis ! 🚀 ➡️ https://lnkd.in/eZHC5XZE #Éducation #Méritocratie #Accompagnement #Réussite #Formation #Employabilité #VivreEnsemble #Résultats2024_2025

À 6 points prêts, je n’obtenais pas mon Brevet des Collèges. Et pourtant… 👇 Collégien, j’étais un élève turbulent et qui ne s’intéressait pas à grand chose. J’ai toujours fourni le minimum pour passer d’une classe à l’autre. J’étais le clown de service. 🤡 Malgré ça, je suis passé entre les mailles pour rejoindre le Lycée Général. Et avec toutes les lacunes accumulées, l’année de Seconde a été compliquée. Une année de transition. Puis j’arrive 1ère ES. Et là, un vrai shift s’est fait. Je me suis mis à m’intéresser à chaque matière. J’ai inversé mon rapport à l’apprentissage en le prenant comme une chance d’apprendre des choses plutôt qu’une contrainte. En 2017, j’obtiens finalement mon Bac ES avec 16,77 de moyenne et la fameuse mention Très Bien. Puis je termine mes 1ères années d’études Major de Promotion avant de décrocher un Bac+5 en Gestion. Aujourd’hui, j’ai un taf dans lequel je m’éclate : accompagner des entrepreneurs dans leur croissance. L’objectif de ce post n’est pas la vantardise (et les études ne sont pas une fin en soi). C’est plus un message d’espoir aux étudiants ou élèves pommés. Changez votre rapport à l’école. Prenez ça pour une chance d’apprendre des choses, pas une contrainte. Et avec force de travail, vous rattraperez votre retard comme je l’ai fait. Force à tous. ✊ 🌱🌳

Ai-je le droit de continuer mes études après un BUT ? c'est la curieuse question qu'un de mes anciens étudiants m'a posé récemment ... j'ai été assez surprise et je lui ai demandé pourquoi cette question, réponse - ben le BUT c'est pour aller travailler après, et à l'IUT ils ne doivent pas nous aider ... Alors UNE vous devez savoir que vous faites ce que vous voulez !!! DEUX : c'est votre avenir, c'est vous qui décidez, même si votre objectif peut paraitre impossible aux autres, c'est votre objectif donc donnez vous les moyens de réussir, ne lâchez rien, croyez en vous ! je me souviens d'un étudiant qui souhaitait faire une prépa ATS après son DUT car il avait conscience de ses faiblesses en math et physique, ce gamin s'est fait pourrir par son prof de math car ce dernier l'estimait nul en math donc il a fait en sorte que le dossier soit défavorable ... comment un prof peut décider que la démarche n'est pas réfléchie et raisonnable dans ce cas ? perso je trouvais que la décision était logique et j'ai accompagné cet étudiant qui fait son petit bonhomme de chemin maintenant ! TROIS : c'est vous qui construisait votre avenir, soyez honnête avec vous même et vos capacités pour envisager la meilleure poursuite d'études ou pour trouver la meilleure entreprise pour vos projets QUATRE : c'est vous qui irez bosser tous les jours de 8h à 18h, personne d'autres ! N'hésitez pas à me poser des questions ou à commenter par vos expériences, des témoignages c'est toujours super car c'est du vécu !

Faire prépa ou choisir une autre voie pour réussir ses études de commerce ? On décrypte les pour et les contre. Les + : 1) Maîtrise de charges de travail intenses : En prépa, on apprend à supporter une charge de travail hors norme, ce qui peut s’avérer très utile pour suivre le rythme dans des métiers exigeants comme le M&A. 2) Réputation auprès des employeurs : En France, certains employeurs privilégient encore les candidats passés par la prépa (à diplôme égal). Cette tendance est différente aux US/UK... Un ami a récemment passé un entretien et avait mis sa prépa sur son CV. Les recruteurs américains lui ont demandé ce que c'était... 3) Cohésion et camaraderie : Travailler pendant deux ans entouré de personnes partageant un objectif commun permet de tisser des liens solides et de se créer une seconde famille (malgré quelques rivalités possibles). Les - : 1) Concurrence et incertitude : Les concours sont très compétitifs, et rejoindre une prépa ne garantit pas l’intégration dans une top école de commerce. Beaucoup n’obtiennent pas le retour sur investissement escompté. 2) Alternatives +  accessibles : Les admissions sur titre (AST) offrent un accès plus facile aux mêmes diplômes. Un bon score au TAGE MAGE ou GMAT, accessible après 3 à 6 mois de préparation intensive en parallèle des études, permet d’intégrer les meilleures écoles (combiné à un bon dossier). 3) Épanouissement des AST : Les AST s’épanouissent plus durant les deux premières années d’études (vie étudiante, premières expériences professionnelles, échanges internationaux, associatif…). La prépa a donc ses avantages et c’est une super option quand les efforts portent leurs fruits, mais ce n’est pas toujours garanti. Elle est idéale pour ceux qui cherchent à se surpasser, tandis que les AST sont mieux adaptées à ceux qui veulent s’ouvrir au monde, entrer rapidement dans la vie adulte et jouer la sécurité. Qu’en pensez vous ? Curieux de lire vos avis !