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🌿 Grande annonce ! Nouvelle fonctionnalité avec Concrete Dispatch : l’export carbone annuel complet pour votre entreprise. 🌍 Cette nouveauté vous permet de d’obtenir un rapport complet sur l'empreinte carbone béton de tous vos chantiers, couvrant la fabrication et le transport du béton de chaque chantier. 🏗️Fabrication du béton : Nous calculons l'empreinte carbone de chaque formule de béton, en tenant compte du bilan carbone de fabrication pour un mètre cube. 🚚Transport : Nous prenons également en compte l'empreinte carbone liée au transport du béton de la centrale au chantier. 🌟 Notre objectif est de vous fournir des données précises pour évaluer l'impact environnemental de votre entreprise, répondre aux exigences des constructions et identifier les opportunités d'économie en rejets de CO2. 📈 Choisissez la temporalité de votre export – annuel, trimestriel, ou personnalisé – pour effectuer des bilans environnementaux détaillés de l'ensemble de vos chantiers. Contactez-nous dès maintenant pour demander votre export Excel carbone entreprise. #DéveloppementDurable #ConstructionResponsable #ConcreteDispatch #GestionDeChantier #OptimisationDesRessources #ProductivitéSurChantier

La basse-carbonisation du béton : une solution innovante aux défis environnementaux et climatiques Avec l'accentuation des alertes sur le changement climatique et les impacts environnementaux négatifs des activités humaines, la recherche de solutions innovantes pour réduire les dommages environnementaux est devenue vitale. L'industrie de la construction est confrontée à de grands défis dans ce contexte, le secteur de la construction et des infrastructures étant une source majeure d'émissions de carbone et de détérioration de l'environnement. Parmi les solutions innovantes proposées pour relever ces défis, le béton bas carbone se distingue comme une option prometteuse. Cette technologie repose sur la réduction de la quantité de clinker - le composant principal du ciment Portland traditionnel - et l'utilisation de matériaux de substitution ou additifs pour améliorer les propriétés du béton sans impact néfaste sur l'environnement. Les méthodes utilisées dans la production de béton bas carbone comprennent l'utilisation de matériaux de substitution pour le clinker tels que le laitier et d'autres minéraux naturels, ainsi que l'ajout de matériaux tels que la silice nano et d'autres additifs qui contribuent à renforcer la résistance et la durabilité du béton. De plus, cela contribue à la durabilité du secteur de la construction et des infrastructures. Avec une prise de conscience croissante de l'importance de la durabilité environnementale, la demande de béton bas carbone dans les projets de construction et de développement immobilier est en hausse. Avec la poursuite du développement technologique et de l'innovation dans ce domaine, on peut s'attendre à davantage de progrès dans la recherche de solutions environnementales durables dans l'industrie de la construction et des infrastructures.

A tous les professionnels du secteur du bâtiment, et plus précisément de la construction, la lecture de cet article d'Elioth, by Egis, co-rédigé par l'infatigable Guillaume Meunier, est un indispensable si vous vous intéressez à l'impact des matériaux, et l'analyse de cycle de vie des bâtiments. Quelques faits : - Le ciment représente 7% des émissions CO2 mondiales (source GCCA, Global cement and concrete Association : https://lnkd.in/dJhEAwfF) ; - Pour un bâtiment neuf en structure béton, environ 70% des émissions CO2 sur 50 ans, est contenue dans les matériaux, donc émises à t=0 ... (source ACVs bâtiments tertiaires réalisées par D-PHI Ingénierie Conseil en 2022) ; Le béton bas carbone (qui ne fait l'objet d'aucune définition ni réglementation), et les matériaux biosourcés, peuvent-ils constituer une solution permettant de continuer à construire sans retenue ? Ou devons nous avant tout considérer le béton, et la construction neuve comme la solution de dernier recours, APRES avoir tout fait pour éviter un nouvel ouvrage : remise sur le marché des logements/bureaux vacants, transformations d'usages, surélévations, télétravail, flex-office, limitation plus stricte de la location saisonnière dans les zones tendues... ? Une partie de la réponse est dans cet article ! PS : n'hésitez pas à passer également sur le lien de l'association mondiales du ciment (GCCA) ci-avant, qui expose que l'une des principales stratégies de décarbonation sur laquelle "mise" l'industrie du ciment est... la séquestration du carbone (malheureusement, les cimentiers risquent de ne pas être les seuls à faire ce pari). https://lnkd.in/dEqRiNAd

🎉 En route vers la vulgarisation du BETON BAS CARBONE Le béton bas carbone est un béton qui permet de réduire de près de 70% l’empreinte carbone des constructions sans toutefois affecter ses performances. Cela passe par l’utilisation de matériaux éco-responsables tels que le clinker vert (766 kgCO2eq/t), l’argile calciné, les cendres volantes ou des laitiers de hauts fourneaux. En exemple nous avons : ·      Le béton ECOPact et le ciment INGEMAX ECOPlanet Prime proposé par Lafarge France ·      Le ciment PREMIUM bas carbone R CEM III/A 42.5N- de la marque EQIOM, A CRH Company ·      Le ciment bas carbone de la marque HANSON du groupe Hanson Australia Une plus large adoption de cette solution a de quoi ravir notre amis Yohann DESALLE qui a à cœur les solutions qui accélèrent la transition écologique et la réduction de l’empreinte carbone des constructions.

Le béton, un allié ou un ennemi pour la nature ? Découvrez les différentes facettes de cette relation complexe et ambiguë. Dans le monde du bâtiment, responsable de 40% de la consommation énergétique mondiale, Il est essentiel de reconsidérer chaque matériau que nous utilisons. Parmi eux, le béton de ciment se trouve souvent au cœur des débats écologiques. La France, en tant que deuxième producteur de béton de ciment en Europe, se trouve à l'avant-garde de cette redéfinition industrielle. Au-delà des critiques souvent formulées à son encontre pour son impact environnemental significatif, Entre l'extraction intensive des granulats et les émissions de CO2 lors de la production de ciment, Il est impératif de souligner les évolutions notables vers une approche plus verte : 1. Innovations dans les composants : Des avancées significatives ont été réalisées pour remplacer le clinker, principal composant du ciment traditionnel, par des matériaux moins polluants, réduisant ainsi les émissions de CO2 jusqu'à 30%. 2. Économie circulaire : Le recyclage du béton est devenu un pilier de l'industrie, transformant les débris de construction en nouveaux matériaux de construction, ce qui réduit considérablement le besoin en extractions nouvelles et diminue l'empreinte écologique du secteur. 3. Captation et stockage du carbone : La mise en œuvre de technologies permettant de capturer le carbone au sein même des matériaux de construction est probablement l'une des innovations les plus prometteuses, transformant les structures bâties en acteurs de la réduction des gaz à effet de serre. Il est crucial de reconnaître et de valoriser ces efforts, qui tentent de balancer l'omniprésence mondiale du béton avec une conscience écologique renouvelée. À travers des forums et des discussions ouvertes, Comme celui auquel j’ai participé à Rognac, Nous pouvons continuer à pousser l'industrie vers des pratiques plus durables. Le béton n'est pas seulement un pilier physique de nos infrastructures, mais aussi un exemple de l'évolution possible dans le domaine de la construction durable. Vous vous demandez comment je peux vous aider spécifiquement avec vos défis en matière de béton et de construction durable Alors, cliquez ici pour me faire parvenir vos demandes : https://bit.ly/3ys0KYv. Merci beaucoup et prenez soin de vous et de vos proches. Je suis Ali Maolida 👨🏾🍳 le 'cuistot du béton' qui vous guide à travers les innovations durables de l'industrie.

L’impact environnemental important du béton incite à imaginer de nouvelles solutions moins polluantes. Si le béton est aujourd'hui omniprésent dans toutes les étapes de la construction de nos bâtiments, l’empreinte carbone élevée de ce matériau constitué de ciment, d’eau, de sable et de granulats est de plus en plus pointée du doigt. En effet, de fortes émissions de gaz à effet de serre sont liées à sa production. Que faire pour y remédier ?

Une analyse sur l'impact de la fabrication et du transport de la pierre et du béton. Les usages et leur détérioration dans le temps sont différents. Qu'en est-il de leur recyclage, leur réemploi ? Cette chronique bien expliquée apporte des réponses sur le bilan carbone de ces matières naturelles et matériaux. 

Explorez les coulisses de l'innovation avec Kajima et plongez dans le développement de leur béton révolutionnaire, le CO2-SUICOM. Comment ont-ils trouvé l'inspiration pour créer un matériau de construction écologique? Découvrez comment leur quête d'une solution durable les a conduits à utiliser des déchets industriels et du CO2 pour façonner l'avenir de la construction

Finalement, comme dans le domaine de l'énergie, le meilleur béton est celui que l'on ne consomme pas ! On entend trop régulièrement, dans le domaine de la construction, l'expression "béton bas carbone". Il est important de rappeler qu'il n'existe aucune définition normée de ce matériau. Cependant, cela pourrait changer dans les mois à venir. Généralement, on entend par "béton bas carbone" des bétons dans lesquels le liant principal, le clinker - représentant 94% de l'empreinte carbone des bétons-, a été en partie remplacé par d'autres liants, comme le laitier de haut-fourneau - co-produit de la production de la fonte-. Le clinker émet du CO2 d'une part car sa cuisson se fait à haute température (1450°C atteints essentiellement grâce à des combustibles fossiles), d'autre part car sa réaction de production nécessite littéralement de libérer du carbone (réaction de décarbonatation du calcaire). S'attaquer à la proportion de clinker dans les compositions, c'est donc s'attaquer à une part importante du problème. Cette substitution permettrait donc de "décarboner" le béton. On voit ainsi apparaître des bétons "bas carbone" C30/37 en CEMIII/C affichant 57 kgCO2eq/m3, au lieu de 258 kgCO2eq/m3 pour un béton traditionnel en CEMI. Sauf que ... en réalité on est certainement entre 120 et 190 kgCO2eq/m3 ! Lire https://lnkd.in/ezRPykJs de Guillaume Meunier pour une analyse détaillée de ces écarts. Le problème c'est que 1/ le laitier de haut fourneau est considéré comme ayant un impact carbone négligeable (ce qui n'est pas juste puisqu'il faut bien faire fonctionner un haut fourneau pour l'obtenir), 2/ personne ne veut s'attribuer pleinement l'impact de ce co-produit (ne dites surtout pas "déchet" !) simplement ses bénéfices. La méthode d'Analyse de Cycle de Vie par allocation économique ne permet pas de répondre aujourd'hui à ce problème. De plus, il est essentiel de noter que 80% des laitiers de haut fourneau sont d'ores et déjà utilisés pour la production de ciment. Si l'on arrivait à employer la totalité de ces laitiers, alors il serait possible de répondre à 20% seulement de la demande totale de ciment en Europe. Avant de penser aux manières de décarboner le béton, il est surtout important de penser à des manières de moins utiliser de béton. Il est également important de connaître les réalités de notre pays. 80% de la ville de 2050 est déjà construite (https://lnkd.in/ei9fx9Wv.). L'avenir de la construction se trouve ainsi certainement dans la rénovation et l'aménagement des constructions et des formes urbaines dont nous allons bientôt hériter. https://lnkd.in/eQfNe4SH

Comment cette modification dans les normes du béton pourrait-elle changer radicalement le secteur du BTP ? Dans un monde dans lequel l'urgence climatique appelle à des changements radicaux dans nos modes de construction, L'industrie du béton se trouve à un tournant décisif. Le changement pourrait commencer par quelque chose d'aussi simple que la manière dont nous testons ce matériau. Et si le standard des essais de performances du béton étendait l'évaluation bien au-delà des traditionnels 28 jours. Car les bétons “bas carbone” possèdent des résistances initiales inférieures à des bétons traditionnels avec plus de clinker, La matière première du ciment responsable de la majorité des emissions de CO2. Ce qui se traduit par exemple sur les chantier avec des décoffrages des ouvrages au delà des 24h. Pour info, La valeur minimale de 5 MPa est pour le démoulage des éléments qui ne portent pas de charge, comme les dalles. Pour les éléments soumis à des contraintes mécaniques, la résistance nécessaire pour le démoulage doit être indiquée dans les spécifications fournies par le bureau d'études qui a conçu l'ouvrage. Dans ces cas, elle ne sera jamais moins de 12 MPa. Qu'arriverait-il si nous décidions de repousser cette limite des 28 jours ? Cette modification des normes pourrait transformer radicalement notre industrie. Et favoriser par exemple les bétons “bas carbone” incorporant des matériaux alternatifs autres que les cendres volantes ou les laitiers Qui ont fait d’enormes progrès en ce qui concernent l’obtention de resistances à court terme. Si cette avancée était appliquée, elle ne serait pas sans conséquences. D'un côté, elle promet une ère de durabilité accrue et de respect de l'environnement. De l'autre, elle impose un défi majeur à nos pratiques actuelles, Forçant l'industrie à s'adapter à de nouvelles normes et à repenser ses méthodes de construction. Sommes-nous prêts à embrasser ce changement? Est-ce l'aube d'une nouvelle ère pour le béton, ou un défi trop grand à surmonter? Vont-ils réellement bénéficier à l'industrie et à notre planète ? J’attends vos avis en commentaire. Pour celles et ceux qui cherchent à naviguer dans cette nouvelle ère de la construction durable, Mon programme en ligne "Maîtriser le béton : de l'apprentissage à la pratique durable" offre une ressource précieuse. Rejoignez-moi pour explorer comment ces innovations peuvent être intégrées dans vos projets, En favorisant le passage vers des processus de construction respectueux de l'environnement. Il suffit de vous inscrire ici : https://bit.ly/4bt4t7x Merci beaucoup et prenez soin de vous et de vos proches. Je suis Ali, le "cuistot du béton", passionné par l'innovation durable dans le monde de la construction.