Post de Union des industriels pour la valorisation des extraits de chanvre (UIVEC)

Encore septique … les douloureux chroniques représentent une population funambule , tout support pharmacologique est a risque de faire basculer le patient vers les pseudo addictions surtout en tenant compte de leurs histoires de vie traumatiques . maintenir un équilibre thérapeutique au fil du parcours de soin est un challenge. On verra comment c’est concrètement applicable

💊 𝓜𝓮́𝓭𝓲𝓬𝓪𝓶𝓮𝓷𝓽𝓼 𝓪̀ 𝓫𝓪𝓼𝓮 𝓭𝓮 𝓬𝓪𝓷𝓷𝓪𝓫𝓲𝓼 🌿 : 𝓾𝓷𝓮 𝓺𝓾𝓮𝓼𝓽𝓲𝓸𝓷 𝓭'𝓗𝓾𝓶𝓪𝓷𝓲𝓽𝓮́ ? Les médicaments à base de cannabis, ou "cannabis médical", font l’objet d’une expérimentation de politique publique depuis le 26 mars 2021. 3200 patients, en impasse thérapeutique, ont été traités dans ce cadre, ils souffrent de cancer, de sclérose en plaques, de crises d’épilepsie quotidiennes, de complications d’un AVC ou d’une lésion de la moelle épinière, de douleurs neuropathiques ou sont en situations palliatives. Cette expérimentation, portée par ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, a fait l'objet d'un rapport publié par la Direction Générale de la Santé - DGS en novembre 2023. Ce dernier permet de confirmer la faisabilité du circuit de prescription et de délivrance de ces médicaments, et de conclure à une efficacité cliniquement significative du cannabis médical dès 3 mois de traitement chez des patients réfractaires aux thérapeutiques accessibles dans les 5 indications de l’expérimentation. Elle s’est aussi avérée rassurante sur la sécurité d’emploi. Ce rapport officiel a permis au gouvernement Borne d’inclure l’article 78 dans la loi de financement de la sécurité sociale 2024 qui devaient permettre l’autorisation de ces médicaments au plus tard le 31 décembre 2024. Ainsi, compte tenu des résultats positifs de l’expérimentation, il a été proposé par la direction générale de la santé la création d’un statut temporaire adapté pour le cannabis à usage médical. Ces médicaments seraient soumis à une autorisation temporaire limitée à une durée de cinq ans, renouvelable par période de cinq ans, délivrée par l’ANSM. 𝘾𝙚𝙡𝙖 𝙣𝙚́𝙘𝙚𝙨𝙨𝙞𝙩𝙚 𝙡𝙖 𝙥𝙪𝙗𝙡𝙞𝙘𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙪𝙣 𝙙𝙚́𝙘𝙧𝙚𝙩 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙚 𝘾𝙤𝙣𝙨𝙚𝙞𝙡 𝙙'𝙀𝙩𝙖𝙩, 𝙣𝙤𝙩𝙞𝙛𝙞𝙚́ 𝙖𝙪 𝙥𝙧𝙚́𝙖𝙡𝙖𝙗𝙡𝙚 𝙖̀ 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙞𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙚𝙪𝙧𝙤𝙥𝙚́𝙚𝙣𝙣𝙚, 𝙦𝙪𝙞 𝙥𝙚𝙧𝙢𝙚𝙩𝙩𝙧𝙖 𝙖̀ 𝙡’𝘼𝙉𝙎𝙈 𝙙𝙚 𝙙𝙚́𝙡𝙞𝙫𝙧𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙪𝙩𝙤𝙧𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙘𝙚𝙨 𝙢𝙚́𝙙𝙞𝙘𝙖𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨. 𝙄𝙡 𝙧𝙚𝙨𝙩𝙚𝙧𝙖 𝙖𝙡𝙤𝙧𝙨 𝙖̀ 𝙖𝙧𝙗𝙞𝙩𝙧𝙚𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙞𝙭 𝙚𝙩 𝙙𝙪 𝙧𝙚𝙢𝙗𝙤𝙪𝙧𝙨𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙧𝙣𝙞𝙚𝙧𝙨. Fin décembre 2024, le gouvernement Barnier a prolongé in extremis l’accès à ces traitements pour éviter un arrêt brutal au 1er janvier 2025. Mais cette prolongation de 6 mois est assortie d’une injonction aux médecins d’arrêter tous les traitements aux 1200 patients encore traités ... et sans alternatives. 🎙️ interview pour l'Humanité avec Mado GILANTON, présidente d'Association APAISER S&C. #santé #sante #medecine #patient #douleur Santé France Cannabis Union des industriels pour la valorisation des extraits de chanvre (UIVEC) Direction Générale de la Santé - DGS ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé https://lnkd.in/dMXzVySV

🤷 𝑨-𝒕-𝒐𝒏 𝒍𝒆́𝒈𝒂𝒍𝒊𝒔𝒆́ 𝒍𝒆𝒔 𝒇𝒖𝒎𝒆𝒓𝒊𝒆𝒔 𝒅'𝒐𝒑𝒊𝒖𝒎 𝒆𝒏 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒓𝒄𝒊𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒆́𝒅𝒊𝒄𝒂𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒂̀ 𝒃𝒂𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒓𝒑𝒉𝒊𝒏𝒆 ? 👉 Donner accès aux médicaments à base de cannabis médical pour des patients en impasse thérapeutique est une question de santé, pas de sécurité intérieure. ⛔ Arrêtons les amalgames. Il est possible d'une part de lutter contre le trafic de drogues à condition d'y adjoindre une prévention systémique des usages, des risques et dommages associés et d'autre part de donner accès à des médicaments avec des substances actives, comme le THC ou le CBD. 1️⃣ 𝔻𝕚𝕗𝕗𝕖́𝕣𝕖𝕟𝕔𝕖𝕤 𝕗𝕠𝕟𝕕𝕒𝕞𝕖𝕟𝕥𝕒𝕝𝕖𝕤 𝕕𝕒𝕟𝕤 𝕝𝕖𝕤 𝕠𝕓𝕛𝕖𝕔𝕥𝕚𝕗𝕤 𝕖𝕥 𝕝'𝕦𝕥𝕚𝕝𝕚𝕤𝕒𝕥𝕚𝕠𝕟 👉 Des médicaments prescrits : l'accès au cannabis médical se fait uniquement sur ordonnance médicale et dispensation en pharmacie. Son utilisation est donc supervisée, avec des doses contrôlées, dans le but d'améliorer la qualité de vie des patients souffrant de maladies graves en impasse thérapeutique. 👉 Un cadre réglementaire : le cannabis médical est soumis à des réglementations strictes, similaires à celles des médicaments conventionnels. Sa production, sa distribution et son utilisation sont étroitement contrôlées pour garantir la sécurité des patients. 2️⃣ 𝕀𝕞𝕡𝕝𝕚𝕔𝕒𝕥𝕚𝕠𝕟𝕤 𝕡𝕠𝕦𝕣 𝕝𝕒 𝕤𝕒𝕟𝕥𝕖́ 𝕡𝕦𝕓𝕝𝕚𝕢𝕦𝕖 👉 Des bénéfices thérapeutiques : le cannabis médical offre des avantages thérapeutiques significatifs pour certains patients, notamment ceux atteints de complications du cancer et de ses traitements, d'épilepsie, de spasticité, en soins palliatifs. 👉 Contrôle de la qualité : En autorisant ces médicaments, cela garantit que les patients reçoivent un traitement sûr et efficace, contrairement au marché noir non réglementé. 3️⃣ 𝔼𝕩𝕡𝕖́𝕣𝕚𝕖𝕟𝕔𝕖𝕤 𝕚𝕟𝕥𝕖𝕣𝕟𝕒𝕥𝕚𝕠𝕟𝕒𝕝𝕖𝕤 De nombreux pays ont déjà fait la distinction entre cannabis médical et récréatif. Par exemple, 33 États américains autorisent le cannabis médical, tandis que seuls certains ont légalisé son usage récréatif. En Europe, 21 pays sur 28 autorisent le cannabis à usage thérapeutique, sans nécessairement légaliser son usage récréatif. L'autorisation du cannabis médical est une décision de santé publique basée sur des preuves scientifiques et des besoins médicaux. Elle n'implique en aucun cas une décision associée sur la légalisation du cannabis dit récréatif, qui relève d'un débat sociétal et de santé publique distinct. Yannick NEUDER, 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑎𝑛𝑡𝑒́, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑙'𝑜𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑢𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝑎𝑚𝑒́𝑙𝑖𝑜𝑟𝑒𝑟 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑠𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑖𝑡𝑒́. #santé #médecine #cancer #douleur Ministère de la Santé Cabinet du Premier ministre

🚀 Plongez dans notre interview exclusive avec Madame la Sénatrice Anne Souyris, Sénatrice de Paris, à l'occasion des Assises du Cannabis Médical. Nous explorons les résultats de l'expérimentation du #cannabis médical en France, les défis et les opportunités pour l'avenir. Découvrez comment les indications thérapeutiques actuelles pourraient s'élargir, les questions entourant la vaporisation des sommités fleuries, et l'importance de la production nationale pour assurer la souveraineté sanitaire. Madame la Sénatrice Anne Souyris partage des insights précieux sur ces sujets et bien plus encore, offrant une perspective éclairée sur l'intégration du cannabis médical dans notre système de santé. #Santé #Innovation #CannabisMédical #Pharmacie #SantéPublique #InterviewExclusive #AssisesDuCannabis #AnneSouyris #France #TraitementsAlternatifs

Gestion des risques L'agence du médicament engage des mesures contre la soumission chimique Le détournement de l'usage de spécialités pharmaceutiques se développe. L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé annonce plusieurs mesures pour renforcer la détection de ces substances. Le procès des viols de Mazan (Vaucluse) a mis en lumière le phénomène de la soumission chimique, permise par l'usage détourné de certains médicaments. Cette problématique est suivie de longue date par les autorités sanitaires puisqu'une enquête nationale spécifique de pharmacovigilance est réalisée chaque année par le Centre d'évaluation et d'information sur la pharmacodépendance-addictovigilance de Paris. La dernière enquête montre une "augmentation significative des signalements et une part des médicaments psychoactifs à hauteur de 56,7% des substances impliquées", indique l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans un communiqué. Elle annonce engager un travail avec les laboratoires pharmaceutiques commercialisant des médicaments pouvant être détournés pour mettre en place des "mesures appropriées pour alerter et protéger les potentielles victimes". La liste des classes thérapeutiques concernées est vaste et accessible puisque les antihistaminiques, les benzodiazépines, les antidépresseurs, les opioïdes ou encore la kétamine sont détournés de leur usage à des fins de soumission chimique. Certaines ont aussi des propriétés amnésiantes. À noter qu'une expérimentation sur la détection d'une soumission chimique était prévue dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale ayant conduit à la censure du Gouvernement. La mesure faisait néanmoins l'unanimité des parlementaires et devrait être réintégrée dans le prochain budget de la sécurité sociale. L'ANSM va demander aux laboratoires titulaires d'une autorisation de mise sur le marché (AMM) de mettre en place des mesures pouvant rendre le détournement plus difficile ou à alerter davantage les victimes potentielles. "Ces changements peuvent porter sur l'aspect visuel (colorant ou texture inhabituelle), ou l'ajout d'un goût ou d'une odeur identifiables", propose l'agence. Les AMM, puis les médicaments sur le marché, seront modifiées sur la base des propositions des industriels et des discussions collégiales qui suivront dans le comité d'interface de l'agence. "Nous travaillons également à des solutions à long terme pour que les nouveaux médicaments qui seront mis sur le marché intègrent d'emblée ces caractéristiques permettant de rendre leur détournement plus détectable", complète l'ANSM. Elle entend avancer de concert avec ses homologues européens pour partager les bonnes pratiques de prévention de la soumission chimique

LE TRAMADOL ET LA CODÉINE PRESCRITS SUR ORDONNANCE SÉCURISÉE DÈS LE 1ER DÉCEMBRE [Diffusé le 11-10-2024] Auteur : Dr Emmanuel GROSS Le tramadol et la codéine sont des médicaments opioïdes présents dans des médicaments seuls ou en association avec d'autres substances, telles que le paracétamol ou l'ibuprofène. Les enquêtes de pharmacodépendance et d’addictovigilance montrent la persistance des cas de mésusage (abus, surdosages), de dépendance et de présentation d’ordonnances falsifiées pour ces médicaments. Afin de réduire ces risques, depuis 2017, tous les médicaments contenant de la codéine ont été soumis à une prescription médicale et en avril 2020, la durée maximale de prescription des médicaments contenant du tramadol a été réduite à 12 semaines (3 mois). L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a également sensibilisé à plusieurs reprises les prescripteurs sur la nécessité de prévenir et traiter les troubles liés à l’usage des antalgiques opioïdes. Si actuellement ces 2 principes actifs ne peuvent être dispensés que sur présentation d’une ordonnance, les risques de mésusage, de dépendance, d’abus et de surdosage qui leur sont associés restent importants. C’est pourquoi l'ANSM prend de nouvelles mesures. À compter du 1er décembre 2024, les médicaments contenant du tramadol ou de la codéine (incluant la dihydrocodéine) devront être prescrits sur une ordonnance sécurisée à partir du 1er décembre 2024. Egalement, l'ANSM aligne la durée maximale de prescription de la codéine sur celle du tramadol : ces médicaments ne pourront pas être prescrits plus de 3 mois (12 semaines). Au-delà, la poursuite d’un traitement par codéine nécessitera une nouvelle ordonnance. Enfin, les prescriptions établies avant le 1er décembre demeureront valables jusqu’à leur terme, ces médicaments devant être délivrés par les pharmaciens dans les plus petits conditionnements possibles, adaptés à la prescription. Parallèlement, l'ANSM travaille à la mise en place de mesures supplémentaires pour mieux informer les patients sur les risques de dépendance et de surdosage liés à ces médicaments. Elle envisage notamment de demander aux laboratoires d’apposer des mentions d’alerte sur les boîtes de médicaments contenant du tramadol ou de la codéine. RÉFÉRENCES [1]. Tramadol et codéine devront être prescrits sur une ordonnance sécurisée dès le 1er décembre. ‐ ANSM. Jeudi 26 septembre. https://ansm.sante.fr [Lien] [2]. Le tramadol et la codéine seront prescrits sur ordonnance infalsifiable à partir du 1ᵉʳ décembre. ‐ Le monde. Jeudi 26 septembre. https://www.lemonde.fr [Lien] https://lnkd.in/ep526GdF

L'introduction du cannabis thérapeutique en France marque une étape significative dans l'évolution des pratiques médicales et des politiques de santé publique. Cette avancée s'inscrit dans un mouvement mondial de reconnaissance des bénéfices potentiels du cannabis pour certaines conditions médicales. Cependant, cette évolution soulève également des questions pertinentes concernant la sécurité, les effets secondaires et le risque de dépendance associés à l'utilisation de médicaments à base de cannabis. https://lnkd.in/eXkhfucX

💡 Une avancée réglementaire majeure pour les pharmaciens 💊 La substitution des médicaments biologiques par des biosimilaires est désormais possible, sous conditions strictes. Une étape clé pour renforcer l'accès aux soins et garantir une traçabilité rigoureuse. ➡ Quels médicaments sont concernés ? Quelles implications pour l’officine ? Découvrez tous les détails dans cet article. #Pharmacie #Biosimilaires #SantéPublique #Substitution #Innovation #ÉconomieDeLaSanté

🔎 L’étude clinique de phase 2B pour le candidat-médicament AEF0117 d’AELIS FARMA, qui visait à démontrer son action sur la baisse de consommation du cannabis et à déterminer les critères d’évaluation et les doses optimales à utiliser pour les futures études, n’a pas été probante. Si le candidat-médicament a été bien toléré et aucun problème de sécurité identifié, les critères d’évaluation mesurant la proportion de participants ayant réduit le nombre de jours de consommation de cannabis par semaine, voire d’abstinence totale, n’ont pas été atteints. Ce qui suggère que « les participants souffrant d’addiction au cannabis pourraient être résistants à modifier le nombre de jours de consommation par semaine », précise Aelis Farma dans un communiqué. « La dose la plus élevée de 1 mg/jour, AEF0117 a cependant montré des tendances consistantes de réduction quantitative globale de cannabis consommé par semaine », en particulier chez les dépendants modérés. La biotech girondine fondée par Pier Vincenzo Piazza doit ainsi poursuivre ses analyses visant « à investiguer la portée de ces améliorations quantitatives afin de déterminer le meilleur plan d’action stratégique et réglementaire ». Le laboratoire américain Indivior, avec qui Aelis Farma a signé un partenariat incluant une option de licence exclusive pour les droits mondiaux d’AEF0117, a indiqué son intention de ne pas exercer cette option avant d’avoir vu les analyses supplémentaires des données cliniques. #biotech #gironde #santé

Si vous ou vos patients prenez des comprimés d’Accel-ondansétron à dissolution orale (ODT), de Mint-bétahistine ou de PMS-pirfénidone, sachez que ces trois médicaments génériques font l’objet d’un rappel en raison de préoccupations relatives à leur innocuité et à leur efficacité pouvant entraîner des effets néfastes sur la santé. Les données d’essais dont les entreprises se sont servies dans leurs demandes d’homologation ne sont plus fiables. Les trois entreprises avaient retenu les services d’une même organisation de recherche sous contrat tierce, qui a depuis été associée à des problèmes d’intégrité de données. Santé Canada n’est pas convaincu que ces trois médicaments génériques sont équivalents à leurs homologues de marque pour ce qui est de la quantité d’ingrédient actif libéré dans l’organisme et de la vitesse à laquelle il est ainsi libéré. Les produits touchés ne peuvent donc pas être considérés comme sûrs et efficaces. Les produits devraient être rapportés en pharmacie pour être remplacés. Pour en savoir plus : https://ow.ly/qR4H50Sc88N