L'Unafor à #Valence pour la réunion des présidents et des directeurs d'udaf et uraf. Présentation de quelques nouveautés du catalogue. #udaf #unaf #valence Merci pour l'accueil et l'ambiance à Udaf de la Drôme - Udaf 26
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Mon dernier article sur les exercices militaires de l’African Lion et le rôle de nos Forces Armées Royales. Par Fahd Elberrak : Les organisations terroristes au Sahel sont devenues de plus en plus flexibles et s’adaptent dans leurs stratégies et attaques aux changements géopolitiques régionaux, ce qui a poussé plusieurs pays Subsahariens à faire appel aux services des SMP (Sociétés Militaires Privées) et même des mercenaires de plusieurs nationalités pour faire face à ces menaces terroristes, une stratégie ou politique qui s’est avéré inappropriée aux particularités politico-militaires régionales.. des régimes fragiles, des frontières non contrôlées, une souveraineté pas totalement garantie, l’absence d’un cadre juridique qui borde le travail de ces SMP. Le African Lion répond à un besoin spécifique pour plusieurs pays de la région, c’est celui de renforcer leurs armées nationales régulières.. les rendre plus compétitives et plus opérationnelles à travers des formations et des manœuvres qui répondent à ce type de menaces, car il y a des SMP qui ne sont engagées seulement que pour former certaines armées nationales subsahariennes, une prestation qui coûte des fortunes pour des pays surendettés ou qui enregistrent des taux de pauvreté extrêmement élevés et des IDH très faible !! D’ailleurs, il faut noter que les FAR se sont engagés depuis plusieurs années dans la formation et l’accompagnement de plusieurs armées nationales subsahariennes, une politique qui confirme la vision royale humanitaire qui consiste à développer une coopération Sud-Sud, à aider les pays du continent à instaurer la paix et la stabilité afin d’assurer un développement durable qui répond aux attentes des populations. Une politique qui consacre la stratégie et l’engagement durable du Maroc envers la légitimité et la sécurité continentale, ainsi cet exercice renforce le « Soft Power » Marocain pour jouer le rôle de leader et puissance régionale qui garantit la paix et la stabilité. #Fahdtalks
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Accuser la FINUL de complicité avec le Hezbollah est une exagération. Il est important de rappeler ses missions, renforcées par la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU. Celles-ci incluent : Garantir le respect du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, soutenir l'armée libanaise dans son déploiement dans le sud du Liban, une zone historiquement dominée par le Hezbollah, et prévenir la reprise des hostilités, notamment en surveillant les mouvements d'armes. Les objectifs de la résolution 1701, adoptée en août 2006, sont clairs : mettre fin aux hostilités entre Israël et le Hezbollah, déployer l'armée libanaise et la FINUL dans le sud du Liban, créer une zone exempte de toute force armée autre que la FINUL et l’armée libanaise, empêcher l’approvisionnement en armes de groupes non étatiques, et soutenir la souveraineté du Liban. Malheureusement, alors qu'Israël a respecté ces dispositions, le Hezbollah ne l'a pas fait. Pourquoi la FINUL n’a-t-elle pas réussi à faire appliquer la résolution ? Le Hezbollah reste une force politique et militaire influente, surtout dans le sud du Liban. Son enracinement local et son soutien populaire rendent difficile la tâche de la FINUL et de l’armée libanaise. De plus, les patrouilles de la FINUL sont souvent entravées par des blocages ou des restrictions d'accès imposés par le Hezbollah ou les habitants. En tant que force de maintien de la paix, la FINUL n'a pas les moyens d'agir de manière coercitive. Elle ne peut pas désarmer le Hezbollah ni imposer directement l’interdiction des armes, se limitant à l’observation et à l’assistance à l’armée libanaise. De plus, le Hezbollah bénéficie d’un soutien externe, notamment de l’Iran, ce qui complique encore plus les efforts pour empêcher le transfert d’armes. La FINUL dépend aussi de l’armée libanaise, qui manque de moyens et de volonté politique pour affronter directement le Hezbollah, en raison des tensions internes au Liban et de la fragilité de son gouvernement. En somme, la mission de la FINUL est quasi impossible à accomplir, en raison de l’absence de décisions politiques fermes de la part des États notamment de l’occident, qui semblent préférer maintenir un certain statu quo, par manque de courage politique. Alors qu'Israël a dû faire face à plus de 8 000 tirs de projectiles en un an et évacuer plus de 80 000 de ses citoyens du nord du pays, il a pris des mesures directes pour réagir. Il est cependant surprenant de constater que pendant des années, le non-respect de la résolution 1701 par le Hezbollah n’a guère suscité de réaction majeur. En revanche, dès qu’Israël prend des actions en réponse, les accusations de crimes de guerre fusent #FINUL
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➡ Un an après sa création, quel bilan pour l’Alliance des États du Sahel ? Il y a tout juste un an, le 16 septembre 2023, les régimes militaires putschistes du Mali, du Burkina Faso, et du Niger adoptaient la charte du Liptako-Gourma et créaient l’Alliance des États du Sahel : l’AES. Avec pour but affiché de combattre ensemble les groupes armés présents sur leurs territoires respectifs. Aujourd'hui, l’Alliance est devenue Confédération, avec un périmètre d’action élargi. Un an après sa création, quel bilan peut-on tirer ? Initialement, l’Alliance des États du Sahel (AES) a été conçue comme un pacte de défense, pour « lutter contre le terrorisme », les groupes armés liés à al-Qaïda ou à l’État islamique, mais aussi contre « toute rébellion armée ou autre menace portant atteinte à l'intégrité du territoire », à commencer par les rebelles du CSP (Cadre stratégique permanent), dans le nord du Mali. La Charte du Liptako-Gourma prévoyait ainsi que « toute atteinte à la souveraineté et à l'intégrité du territoire de l’un des pays membres » serait « considérée comme une agression contre les autres », et entraînerait « un devoir d'assistance », « y compris l'emploi de la force armée ». En clair, l’AES est d'abord la promesse d’une mutualisation des moyens militaires pour combattre les groupes armés non étatiques au Sahel. Coopération militaire : un bilan mitigé Un an plus tard, de ce point de vue, le bilan est mitigé. L’armée malienne a délogé les rebelles du CSP de leur fief de Kidal, une victoire incontestable, mais uniquement grâce à ses supplétifs de Wagner et non à ses alliés du Niger ou du Burkina Faso. En dehors de quelques maigres prêts matériels, aucune contribution significative. Quant aux attaques des groupes jihadistes, et notamment du Jnim, elles n’ont jamais été aussi nombreuses et meurtrières. Pour ne citer que ce chiffre : plus de 3 000 civils tués dans ces trois pays rien qu’entre janvier et juin dernier, selon l’ONG Acled, contre 2 500 lors des six mois précédents. Des bilans qui n’ont cessé d’augmenter au cours des dernières années. « Très souvent, des drones maliens interviennent au Burkina ou vice-versa, explique Arthur Banga, enseignant-chercheur spécialiste des questions de défense à l'université Félix-Houphouët-Boigny d'Abidjan. Il y a des appuis de drones, des appuis aériens et des échanges d'informations. L'aspect psychologique est aussi très important, on l'a senti quand la Cédéao menaçait d'intervenir au Niger. De ce point de vue, c'est un succès. » « Après, nuance le chercheur, du point de vue de la réussite opérationnelle, ce bilan est beaucoup plus mitigé. L'idée, l'engagement, ne suffisent pas. Il faut aussi le mettre en application à travers la doctrine, des états-majors communs, des exercices d'entraînement, des exercices d'intervention. Il y a tout ça qui manque. Et ça montre d'ailleurs, au-delà de l'AES, les difficultés que posent les questions de sécurité collective en Afrique. » (...)
Un an après sa création, quel bilan pour l’Alliance des États du Sahel?
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En Île-de-France comme dans les autres régions, espérons que nos décideurs politiques et administrations prennent la mesure du danger que fait peser la prolifération du frelon asiatique.
Un collectif d'association apicoles d'Ile-de-France, soutenu par les deux syndicats #Unaf #SNA, interpelle sur le danger que représente le #frelonasiatique et appelle à action collective organisée.
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#Qatar🇶🇦🇫🇷 les actions de coopération interarmées (IA) se sont multipliées notamment avec l’exercice AL KOOT qui témoigne de réelles avancées tant dans le domaine tactique que logistique. La mission d’expertise (ME) « CBRN Training 2/2 » s’est soldée par un vrai succès et la satisfaction des Qatariens. Cette mission a permis des discussions avec les différents acteurs de cette #coopération sur les différents programmes en cours de réévaluation. La coopération 2️⃣0️⃣2️⃣5️⃣ se prépare donc, avec une approche renouvelée.
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#RDC _ #Rwanda _ #M23 : 🚨Les États-Unis demeurent résolus à travailler avec leurs partenaires régionaux pour mettre un terme à l'escalade de la violence dans l'est de la RDC. Nous avons fermement appelé tous les groupes armés non-étatiques, y compris le #M23 sanctionné par les États-Unis, à cesser les hostilités et à déposer les armes. Nous appelons de nouveau le #Rwanda à cesser de soutenir le M23 et à immédiatement retirer les Forces armées rwandaises du territoire congolais, étant donné que leur appui à ce groupe armé n'a servi qu'à déstabiliser davantage l'est de la RDC. Les États-Unis soulignent depuis longtemps qu'il est primordial que tous les états respectent la souveraineté et l'intégrité territoriale de chacun. Toute affirmation contraire est fausse.
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Formation "avancée" au système d information #IORIS, au profit du personnel des forces armées, du centre de fusion de l information maritime et de la police aux frontières en Polynésie française. IORIS est une plateforme regionale de partage de l information et de gestion des évenements de mer, proposee par l'UE. Elle permet de connecter les acteurs de l'Etat avec leurs homologues regionaux, via un reseau de communautés d interet. Bilan d'un an d'utilisation: des exercices multilatéraux, des opérations conjointes et une meilleure "maritime domain awareness" avec nos voisins de l'Indopacifique. CRIMARIO II Secrétariat général de la mer - Premier ministre (SGMer) MICA Center
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La signature d’un protocole entre la direction zonale des compagnies républicaines de sécurité Nord et le GSBdD de Lille, avec l’appui du commandement des forces opérationnelles terrestres (CFOT), va permettre au groupement de renforcer utilement les capacités dédiées à la préparation opérationnelle de son personnel militaire en lui ouvrant l’accès au stand de tir de la CRS. Identifié comme une priorité par le CGHC Philippe Jacob, directeur central du service du Commissariat des armées (SCA) au titre de l’Ambition 2030, le renforcement de la militarité au sein du GSBdD s’appuie principalement sur la préparation opérationnelle. Celle-ci vise à disposer d’un personnel moralement, physiquement et techniquement prêt à exercer son métier dans un contexte sécuritaire dégradé. Les séances de tir entrent dans le fond de sac indispensable à tout militaire. Ce savoir-faire est un prerequis pour assurer un service armé par exemple ou pour pouvoir être projeté. #armees #sca #crs #militarite #cfot #combat #projection #forcesmorales #durcissement #resilience #protection #hauteintensite
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[#Reportage] Gabon : Défense Nationale : Plus de 130 généraux au Gabon contre à peine 16 aux États-Unis 📱066441717 📞 011775663 Au cœur de l’appareil étatique sous l’ère Ali Bongo Ondimba, les Forces de défense et de sécurité n’ont jamais été aussi présentes au sommet de l’Etat. Il faut dire qu’avec le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) à la tête du pays, difficile de mettre de côté la « grande muette ». Plus étonnant tout de même, le nombre de généraux que compte le Gabon, qui ne s’est jamais au grand jamais illustré sur un théâtre de guerre, s’élève à plus d’une centaine, alors qu’aux États-Unis, première puissance de feu au monde, ils sont 8 fois moins. #GMTTv #GMT #Gabon
[#Reportage] Plus de 130 généraux au Gabon contre à 16 aux États-Unis
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Non, El Fasher n'est pas épargné par la guerre El Fasher, capitale du #Darfour du Nord, fait l'objet de combats depuis novembre déjà. Les FSR avaient en quelques jours pris le contrôle de Nyala (Sud), Zalingei (centre) et El Geneina (ouest), avant de diriger leurs efforts vers le nord. Après la chute d'Ed Daein (est, fin novembre), El Fasher est la dernière ville darfourie échappant à leur contrôle. Ces combats n'étaient pas anodins. Les dommages aux infrastructures pétrolières ont provoqué une réaction du #SoudanduSud. La prise d'un village tenu par le #SLM-MM et l'assassinat d'un commandant avaient décidé les principaux mouvements rebelles de la Darfur Joint Protection Force à déclarer la guerre aux #FSR, rejoignant ainsi le camp des #FAS (#SLMMM, #JEM et #GSJEF en anglais). Les accrochages se sont poursuivis depuis, à intervalles réguliers. La large offensive entreprise par les FSR au Darfour, au #Kordofan, dans les alentours de Khartoum et en Al Jazirah laissaient supposer qu'ils étaient à l'initiative. Leur dénégation cette fois-ci est rendue intéressante par le récent discours de Burhan (FAS) qui avait annoncé une offensive tous azimuts le 30 janvier au Kassala, rompant au moins de manière rhétorique avec la posture défensive qui prévalait jusqu'alors : "depuis les États de l'est, du centre et du nord", mais aussi au Darfour (https://lnkd.in/eVZuhCFh). Les inquiétudes au sujet de camps d'entraînement établis en #Érythrée au bénéfice de rebelles alliés aux FAS (Congrès bedja mais aussi SLM-MM, https://lnkd.in/e87eycCg) et l'incident ayant récemment opposé des membres de factions rivales du SLM dans l'État de Gedaref (https://lnkd.in/ee9fBQNe) semblent bien indiquer que le temps de l'inaction est terminé pour la faction de Minni Minnawi. Reste à savoir si le SLM-MM et les FAS ont les moyens d'effectuer "une sortie" à El Fasher, en coordination avec les combats actuels à Omdurman et à Bahri / Khartoum-Nord. Les autres incertitudes immédiates, de grande importance, sont l'allégeance des Misseriya du Kordofan de l'ouest et de l'Abyei, suite à la prise de contrôle par les FSR de Babanusa, et une éventuelle offensive d'éléments variés sous la direction du nr 2 du régime Malik Agar en direction d'Al Jazirah.
Soudan: des accrochages à El Fasher, un fief rebelle du Darfour
rfi.fr
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Enseignant chez Créf pharmacie
8 moisDes formations de tres grande qualite . Merci frederic