Post de UNamur - Recherche

👨🔬 𝗡𝗼𝘀 𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 « 𝗪𝗼𝗿𝗹𝗱'𝘀 𝗧𝗼𝗽 𝟮% 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝘀𝘁𝘀 𝗹𝗶𝘀𝘁 » 👍 L’Université de Stanford a publié un classement prestigieux qui met en lumière les chercheurs les plus influents dans un large éventail de domaines scientifiques. Cette liste, établie sur base de critères bibliographiques, vise à fournir un moyen normalisé d'identifier les leaders scientifiques mondiaux. Il s’agit d’un critère parmi d’autres permettant d’évaluer la qualité de la recherche scientifique. Douze chercheurs de l’Université de Namur en font partie ! Cette liste, créée par l'Université de Stanford et publiée en août 2024 est compilée en collaboration avec le laboratoire ICST d’Elsevier à partir de données Scopus, vise à fournir un moyen normalisé d'identifier les meilleurs scientifiques du monde et de reconnaître les scientifiques qui ont eu un impact significatif sur leurs domaines respectifs. Lire la suite de l'article ➡️ https://lnkd.in/ee-DYzrg #worldtop #chercheur #recherche #elsevier #scopus #unamur Elsevier Charlotte Beaudart Namur Research Institute for Life Sciences (NARILIS) Benoît Champagne Alain Decrop NADI-CeRCLe - Research center for Marketing & Service Management Olivier Deparis Jonathan Douxfils Patrick Kestemont Alexandre Mayer naXys Research Institute Carine Michiels Antoinette Rouvroy Frederic Silvestre Bao-Lian Su Johan Wouters Stanford University UNESCO

Quatorze chercheurs de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) classés parmi les scientifiques les plus influents selon le classement Stanford-Elsevier 👏 👏👏 Depuis 2019, Stanford University en collaboration avec Elsevier établit un classement mondial à partir de Scopus, une base de données transdisciplinaire. Pour l'année 2023, l'université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) est particulièrement honorée de compter 14 chercheurs parmi ce podium. Ce classement prestigieux est établi à partir d’une quarantaine d'indicateurs prenant compte divers paramètres comme le nombre de publications, le nombre de citations dans des revues scientifiques, ainsi que la position du chercheur dans les articles (auteur principal ou coauteur). Bien que ces indicateurs et ce classement présentent des limites, ils permettent de dresser un panorama des chercheurs ayant un impact sur la communauté scientifique mondiale. Elsevier est un acteur clé dans la diffusion des publications scientifiques. L'entreprise gère Scopus, l'une des plus grandes bases de données de citations au monde, permettant d'évaluer la portée et l'influence des travaux de recherche. De son côté, Stanford, une des universités les plus renommées, est reconnue pour son rôle dans la recherche de pointe et l'analyse de l'influence scientifique à travers le monde. Découvrez les chercheurs de l'#URCA 👉 https://lc.cx/DtwD-z

Fier de faire partie de ce classement, surtout une opportunité pour mettre en avant l'important travail collectif et l'expertise de mon laboratoire Unité Mixte de Recherche FARE (tutelles Université de Reims Champagne-Ardenne et INRAE) pour apporter de nouvelles connaissances et une expertise sur la transformation des ressources végétales, dans les processus naturels et dans les procédés de biotechnologie. #bioéconomie #biomasse #écosystème #transformation #modélisation #bioproduits

[ 🎤 Colloque : 𝗟'𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗦𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 (𝗘𝗦𝗥) 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝘀 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 15 - 17 octobre à Poitiers] ✔ Ce colloque scientifique souhaite faire dialoguer les chercheurs en sciences sociales autour de l'Enseignement Supérieur et la Recherche (ESR) comme objet scientifique. ✔ Il rassemble sur trois jours une communauté nationale issue de plusieurs disciplines (économie, gestion, sociologie, science politique, géographie, sciences de l'éducation, histoire, etc.) autour de différentes thématiques liées à l'ESR. Une sélection de communications fera l'objet de publications dans le cadre de numéros spéciaux de revues françaises dont 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗘𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶. Plusieurs chercheurs du Céreq y interviennent : Arthur Félix W. Sawadogo stephanie Moullet arnaud dupray Alexie Robert Jean-François Giret Programme complet▶ https://lnkd.in/eXSv6Fw7

💡Qu’est-ce qu’inventer et innover en #SHS, et dans la réflexivité ? À lire, cet ouvrage collectif publié par la MSHB.

🌳 La recherche, un arbre des connaissances aux multiples branches La science est un immense arbre, dont chaque branche représente une discipline ou un domaine d'étude. Au fil des siècles, les scientifiques ont développé des techniques et une méthode unique pour comprendre le réel : la démarche scientifique. Cette méthode, toujours en évolution, repose sur des principes solides qui guident la recherche et l'innovation. ✨ Les étapes de la démarche scientifique 1️⃣ Poser une problématique : Tout commence par une question liée à un phénomène observé. Par exemple, dans un laboratoire de l'INSERM, une équipe cherche à identifier le gène responsable de la leucémie pour avancer en thérapie génique. 2️⃣ Formuler une hypothèse : Une proposition est faite pour expliquer ce phénomène. Celle-ci sera validée ou infirmée par les expériences. 3️⃣ Élaborer un protocole : Les scientifiques mettent en place des méthodes rigoureuses pour tester leur hypothèse, en variant un minimum de paramètres pour une analyse fiable. 4️⃣ Obtenir et interpréter des résultats : Les expériences sont répétées pour limiter les incertitudes. L'analyse des données nécessite un vocabulaire et des outils spécifiques. 5️⃣ Valoriser les découvertes : Même un résultat inattendu ou une erreur peut enrichir le savoir collectif et guider les futures recherches. 🔬 L'arbre des connaissances : un cycle sans fin Comme les branches d’un arbre, chaque question scientifique mène à d'autres interrogations. La recherche avance par exploration méthodique, mais elle laisse toujours place à l'inconnu. Ce cycle continu, entre hypothèses, expérimentations et découvertes, est au cœur de la progression des sciences.

La Maison des sciences de l'homme en Bretagne a le plaisir d’annoncer la parution de l’ouvrage Découvrir, inventer, innover en sciences sociales sous la direction de Marion Lemoine-Schonne, (CNRS – Institut de l'Ouest : Droit et Europe (IODE), Université de Rennes, UMR CNRS 6262) et Watteaux Magali (Université Rennes 2 – UR Tempora et UMR 7041 ArScAn). À travers la publication de cette série « Métier de chercheur·e » coéditée avec les Presses universitaires de Rennes, la MSHB, attachée à sa dimension fédérative, participe à la valorisation de la recherche en SHS au sein du territoire breton. Avec les contributions de : Dominique Boullier, Régis Briday, Isabelle Catteddu, Caroline Censier-Calmus, Gérard Chouquer, Josépha Dirringer, Stéphanie Hémon, Pierre-Damien Huyghe, Danièle Kergoat, Martina Knoop, Christian Le Bart, Alix Levain, Maria-Teresa Maiullari-Pontois, Isabelle Michallet, Goulven Péron, Patrick Poncet, Éric Thouvenel, Stéphanie Vermeersch. Ouvrage publié avec le soutien de l’Université de Rennes Alors que les grandes découvertes scientifiques connues du grand public sont souvent issues des sciences exactes, l’enjeu est ici de montrer, au travers de l’expérience des chercheurs, en quoi consistent les découvertes, inventions et innovations en sciences humaines et sociales. Qu’est-ce qu’inventer quand on est juriste ? Entre découverte et redécouverte, comment s’exerce le métier d’historien ? De quoi procèdent les innovations dans les disciplines d’observation de la société, quels en sont les freins ? Les questions soulevées sont nombreuses, dans un contexte d’incitation croissante à l’interdisciplinarité ou d’appels à l’innovation par les institutions pilotes de la recherche. En interrogeant la condition du chercheur dans son singulier métier, l’ouvrage combine de manière originale des témoignages et des analyses, invitant à la réflexivité sur ce sujet peu traité. >> Commander l’ouvrage sur le site des PUR : https://lnkd.in/enyawFpV >> Voir une présentation détaillée de l'ouvrage sur le site de la MSHB : https://lnkd.in/epJCxhiP #SHS #édition #parution #recherche #decouverte #innovation #invention

✨ Publication de mon article de thèse ! ✨ Je suis ravi de partager une grande nouvelle : la publication de l'article scientifique issu de ma thèse, intitulé Generic Coupling between Internal States and Activity Leads to Activation Fronts and Criticality in Active Systems dans la revue Physical Review Letters ! Après des mois de recherche, de production et d'analyse des données et d'encore plus long mois (et même d'années) de rédaction, rerédaction, d'échanges et de collaborations puis de refus de plusieurs revues … C'est avec une immense satisfaction que je vois ce travail enfin publié ! Cet article explore une théorie différente de la littérature concernant les comportements collectifs (principalement animaux, mais nous en faisons partie) selon laquelle les individus ne seraient pas soumis à des forces sociales au sens de la physique mais bien à des interactions probabilistes rendant mieux compte de la capacité de choix des individus. Cette étude apporte notamment de nombreuses avancées dans le domaine des systèmes complexes créant des ponts entre différents domaines et abordant de nombreux thèmes, tels que les équations de réaction-diffusion, la criticalité et les cascades, ainsi que les phénomènes d'émergence source de nombreuses image magnifique au sein des comportements collectifs (cf. l'image ci-dessous extraite de ma thèse). Je tiens à remercier chaleureusement toutes les personnes qui ont rendu cela possible : Mes directeurs de thèses, Fernando Peruani et Richard Bon, pour leurs conseils inestimables et leur soutien indéfectible. Fernando tout particulièrement y aura cru jusqu'au bout et se sera battu pour permettre la publication de ce travail ! Et évidemment mention spéciale à Parisa Rahmani qui aura poursuivi l'étude et la complétion des résultats, apportant le blindage nécessaire à cette étude. Vous pouvez consulter l'article complet ici : https://lnkd.in/detNa8WD. (nécessitant un abonnement à la revue) #recherche #thèse #publication #science #académique #fiersdemontravail

Classement Stanford 2024 : l’Algérie brille avec 68 chercheurs parmi le Top 2% mondial Par rima.a 19 septembre 2024 La prestigieuse université américaine de Stanford a publié son classement annuel et son Top 2% des chercheurs et des scientifiques les plus cités au monde, pour l’année 2024. Ce classement met en lumière les chercheurs les plus influents du monde entier qui ont marqué l’année par leurs contributions dans leurs disciplines respectives. Pour dresser cette liste, l’université américaine s’est basée sur les données de Scopus d’Elsevier. Classement Stanford 2024 : les chercheurs algériens en force ! Dans ce prestigieux classement, l’Algérie a fait augmenter le nombre de ses chercheurs qui ont réussi à inscrire leurs noms dans ce classement de Standford. En effet, ce sont 68 chercheurs issus des universités algériennes qui figurent dans la liste. Avec une performance exceptionnelle, l’université de M’Sila se positionne en tête des universités algériennes avec le plus important nombre de chercheurs cités dans ce top 2%. Ce résultat témoigne du progrès significatif de cet établissement, notamment grâce à la recherche scientifique, l’encouragement des études académiques et la mise à disposition de toutes les ressources nécessaires. Parmi les noms issus de l’université de M’sila qui se distinguent dans ce classement, on cite : Bouarissa Nadir ; Berri Saadi ; Chouder Aissa ; Houssini Abdesselam ; Maireche Abdelmadjid. Le professeur Lotfi Mouni dans le top 2% de Stanford Parmi les lauréats sélectionnés pour figurer dans ce classement de l’année 2024, figure le nom du professeur Lotfi Mouni, de l’université de Akli Mohend Oulhadj de Bouira. À son actif, il compte plusieurs travaux de recherche et publications scientifiques internationales. Un autre nom distingué par l’université américaine est celui de Djamila Rekioua, issue de l’université Abderrahmane Mira de Bejaia. Par ailleurs, de l’université de Chlef, on retrouve Djilali Salih, Bergout Tarik de l’université de Batna 2. De plus, le classement comprend plusieurs autres chercheurs de l’université d’Oum El Bouagui, dont on cite Ounnas Adel. Mais aussi, FOuad Bourada de Sidi Bel Abbas et Djaouadi Tahar Hassain de l’université de Ibn Khaldoun de Tiaret. Par ailleurs, de l’université de Sétif, on retrouve Arras Abdelghani et Triki Houria de l’université Badji Mokhtar Annaba. Le reste des noms des chercheurs algériens sont consultables sur la base Scopus d’Elsevier...