Post de UNANIMES - Union des Associations Nationales pour l'Inclusion des Malentendants et des Sourds

Un enfant HPI utilise le mot Nyctalope en classe, l’enseignante se croyant insultée l’exclut. Mais… en lisant l’article ce qui me saute le plus aux yeux c’est : 1/ l’enseignante ne connaît pas ce vocabulaire alors que c’était précisément le sujet de la leçon 🫣 2/ on met à la porte un enfant de 5 ans? Pardon? Et ça va sinon? 3/ la remise en question de l’adulte est… impossible. Bref, je comprend que dans une classe surchargée on puisse avoir mal entendu et compris un autre mot. Dans ce cas là on intervient oui, mais exclure un enfant de 5 ans de la classe n’est ni adapté ni légal. Et si on appliquait les droits de l’enfant à l’école ? Pour rappel l’éducation des enfants doit se faire sans violences physiques ni psychologiques. Même s’il avait employé une insulte à 5 ans il y a un recadrage à faire et des explications à fournir à l’enfant, mais l’exclusion n’apporte rien sinon rassurer un adulte en manque de sentiment d’autorité. #education #droitsdelenfant

Des cours d'initiation à la sexualité à l'école : des retours d'élèves troublants. Les retours d'élèves concernant ces cours soulèvent des préoccupations légitimes. Il est troublant de constater que certains enfants ont été choqués, perturbés, voire traumatisés par des contenus inadaptés et/ou inappropriés. En tant qu'avocate, mais surtout en tant que défenseur des droits des enfants, je trouve essentiel de donner la parole à ceux qui ont été affectés par ces cours dispensés par des intervenants dont on ne connaît pas le cursus et de façon non planifiée, ce qui laisse les parents extrêmement dubitatifs voire légitimement inquiets. La protection des mineurs doit être notre priorité absolue, et cela inclut la qualité et l'adéquation des informations qui leur sont fournies, notamment en matière d'éducation sexuelle. Je vous encourage tous à ouvrir le débat, à partager vos expériences et à demander des comptes sur ce qui est enseigné à nos enfants. Ensemble, faisons entendre notre voix pour garantir un environnement éducatif sûr et respectueux pour tous. Protégeons nos enfants, protégeons leur innocence. Leurs droits et vos droits méritent d’être défendus ! #ProtectionDesMineurs #ÉducationSexuelle #Débat

🔴 « L’instruction primaire est obligatoire pour les enfants des deux sexes âgés de six ans révolus à treize ans révolus ; elle peut être donnée soit dans les établissements d’instruction primaire ou secondaire, soit dans les écoles publiques ou libres, soit dans les familles, par le père de famille lui-même ou par toute personne qu’il aura choisie. » 🔍 Par cet article historiquement célèbre, l’instruction est rendue obligatoire le 28 mars 1882. Forts du fait que c’est l’instruction qui est obligatoire – et non l’école – des parents, pour ne pas déroger à la loi, ont défini une « Instruction en famille (IEF) » qui respecte ainsi la lettre de la loi – et qui n’est rien d’autre qu’une non-scolarisation. 👉 Cette situation concerne, pendant plusieurs années, autour de 70 000 « enfants » ou jeunes, c’est-à-dire autour de 0,5% au plus de la population scolarisée. C’est jugé tolérable… jusqu’à ce que le pouvoir – dont la vocation est en permanence de se manifester et de s’accroître – décide de restreindre la loi fondatrice de 1882. 🔥 SERIE SPECIALE DROITS DE L’ENFANT. Jean-Pierre Lepri interroge les réelles motivations du pouvoir à vouloir imposer la scolarisation des enfants pour des résultats parfois médiocres. 📌 Notre liberté éducative est en danger ! Les écoles alternatives aux pédagogies humanistes sont fermées de façon arbitraire, à un rythme très soutenu depuis début 2024. L’instruction en famille (IEF) est de plus en plus restreinte, poussant une centaine de familles à entrer en désobéissance civile. La plupart des pédagogies sont sous le joug de propagandes diffamantes. En bref, la liberté de choix éducatif disparaît peu à peu, mettant en danger les droits fondamentaux de chacun. Dans ce contexte, Combat publie plusieurs tribunes de personnalités engagées dans la défense des droits de l’enfant. https://lnkd.in/dFmeet6D

Retrouvez notre bulletin d'information du droit. ⚖ Cette semaine sur le thème de l'autorité parentale.👩👩👦 LES FAITS Madame X et Monsieur Y, ont deux enfants et décident de se séparer. La résidence habituelle des enfants est fixée chez leur père. Le père peut-il décider seul pour les enfants. LA REGLE DE DROIT 🏛 Article 371-1 du code civil « L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité. » LA SOLUTION 💡 Les deux parents doivent donc décider ensemble pour les enfants. Il est généralement fait une distinction entre les actes usuels et les actes non usuels. Un acte usuel est un acte de la vie courante (ex.une autorisation d’absence d’une journée à l’école par exemple, un rendez-vous chez le coiffeur) Il peut être pris par l’un des deux parents sans l’accord de l’autre, et même par le parent chez qui l’enfant ne réside pas habituellement. Un acte non usuel est un acte important dans l’éducation de l’enfant. Il doit être pris par les deux parents ensemble (ex. choix de la religion, de l’orientation scolaire). Le partage de photos ou vidéos de votre enfant sur les réseaux sociaux nécessite l’accord de l’autre parent. Vous pouvez aussi retrouver tous nos flyers sur le site du Cabinet. N'hésitez pas à partager le bulletin :-) #droit #information #enfant #autoriteparentale

🔴 Sami a 7 ans. Il est inscrit en CE1 dans un grand établissement scolaire public. Il n’a pas toujours connu l’école. Quand il a atteint l’âge de l’obligation scolaire, sa mère a fait le choix de l’instruire elle-même. Sami était un enfant épanoui. Les contrôles réalisés par l’administration étaient positifs et laissaient espérer une poursuite de l’Instruction En Famille (IEF) tant que cela convenait à l’enfant. 🔍 Mais la maman du petit garçon est séparée du papa depuis le début de la grossesse. Et ce dernier ne supporte pas que l’enfant ne soit pas scolarisé. Élevant la contestation auprès de l’administration, Sami se voit contraint d’être scolarisé. Il bénéficiera enfin d’une véritable socialisation, clame-t-on. Oui, et enfin, sa mère ne lui avait-elle pas offert un cocon, à part de la vie réelle ? La vie réelle est brutale, et jalouse aussi, puisqu’elle ordonne à tous de s’adapter à elle, sans échappatoire ni alternative, de supporter sa violence, de l’admettre comme nécessaire. 👉 Il avait alors 4 ans. Trois années ont passé et la vie réelle, il s’y est confronté. Il en porte les stigmates. Il côtoie chaque jour, impassible, la brutalité. Et puis, il y a le jour de trop, celui où tout bascule. 🔥 SERIE SPECIALE DROITS DE L’ENFANT. La juriste Tatiana Gransart dénonce la triste réalité du harcèlement dans nos salles de classe… et jusque dans nos bureaux. 📌 Notre liberté éducative est en danger ! Les écoles alternatives aux pédagogies humanistes sont fermées de façon arbitraire, à un rythme très soutenu depuis début 2024. L’instruction en famille (IEF) est de plus en plus restreinte, poussant une centaine de familles à entrer en désobéissance civile. La plupart des pédagogies sont sous le joug de propagandes diffamantes. En bref, la liberté de choix éducatif disparaît peu à peu, mettant en danger les droits fondamentaux de chacun. Dans ce contexte, Combat publie plusieurs tribunes de personnalités engagées dans la défense des droits de l’enfant. https://lnkd.in/dzDSi4ra

🖌️ Retrouvez l’entretien de la présidente de notre association ( letempsdelenfance.fr) Carine Chaix en "une" du JDD qui évoque notre action auprès de la ministre de l’Éducation nationale pour que les enfants soient protégés des dérives des cours d’éducations à la sexualité. Extrait « Dans l’enceinte scolaire, des écoliers sont aujourd’hui choqués par des propos inadaptés ou des images à caractère sexuel lors de ces cours d’éducation à la sexualité. Nous demandons que des garanties soient posées pour les protéger. Il est d’abord impératif de sortir les élèves de maternelle, primaire et 6e du champ de l’obligation légale de ces cours. La loi instaurée par Jack Lang en 2001 a produit tant d’effets délétères, qu’il est maintenant urgent de la modifier ou, a minima, de revoir ses modalités d’application. Nous demandons que des limites claires sur les contenus et les supports pédagogiques de ces cours soient posées et qu’une formation obligatoire sur ces sujets sensibles et sur les stades de développement psychique des enfants soit dispensée aux enseignants. Le rôle de premier éducateur des familles doit, par ailleurs, être respecté, par une information préalable sur le contenu et le moment de ces séances. Lorsqu’on sait que l’Éducation nationale peine déjà à assurer sa mission de transmission des connaissances et de partage des valeurs de la République, comment lui ajouter une telle responsabilité sans poser toutes ces garanties ? » #Enfant #protection #école

À tous les parents, enseignants, chefs d’établissements, directeurs d’écoles, personnels de santé scolaire… bref, à tous les acteurs de la communauté éducative, PRENEZ LE TEMPS DE REGARDER CETTE VIDÉO JUSQU’AU BOUT ! https://lnkd.in/eASSGuSd Celle-ci expose clairement les dérives qu’engendrent les programmes à l’éducation à la sexualité dispensés aujourd’hui dans les écoles de France. Toute personne responsable et soucieuse du développement cognitif, affectif, psychique et sexuel de ses enfants doit s’informer, ouvrir les yeux, sur cette volonté qu’il y a, de la part de nos dirigeants, d’établir une sexualisation précoce des enfants, dans le cadre scolaire. La mission de l’école est-elle d’instruire ou de scandaliser nos petits ?

Un exemple à suivre

Brochure « Attention à mon attention ! Une brochure pour expliquer le TDA/H aux enfants ». Cet outil pratique est conçu pour que chaque personne confrontée à un enfant atteint de TDA/H puisse lui expliquer les raisons de son trouble à l’aide de mots simples et d’images parlantes et l’aider à apprendre comment faire pour l’apprivoiser. https://lnkd.in/gc9N2QUm #tdah #tdahenfant

🔴  Je suis un enfant non-scolarisé de 53 ans. Cette phrase de présentation, que je trouve la plus juste, suscite généralement la curiosité, voire l’incrédulité. Surtout si j’ajoute que je suis probablement la seule personne ici présente à pouvoir répondre à la question : qu’advient-il d’un enfant que l’on n’interrompt pas dans ses jeux pendant un demi-siècle ?  🔎 L’ordre du monde – profondément patriarcal – que nous connaissons, nous incite à penser qu’il est impossible de « devenir » sans en passer par les contraintes prévues au programme scolaire, sans le cadre d’institutions considérées comme indispensables à la formation de la personne et à son intégration dans la société. 👉 Pourtant, cette enfance ininterrompue et persistante, ma vie, celle de ma soeur et celle de mes enfants, démontre que d’autres chemins sont non seulement possibles, mais aussi porteurs d’informations utiles à tous les autres. 🔥 SEMAINE SPECIALE DROITS DE L’ENFANT. A travers le récit de son expérience personnelle, André Stern appelle à préserver notre droit fondamental de choisir le chemin éducatif qui convient le mieux à chaque enfant. 📢 Notre liberté éducative est en danger ! Les écoles alternatives aux pédagogies humanistes sont fermées de façon arbitraire, à un rythme très soutenu depuis début 2024. L’instruction en famille (IEF) est de plus en plus restreinte, poussant une centaine de familles à entrer en désobéissance civile. La plupart des pédagogies sont sous le joug de propagandes diffamantes. En bref, la liberté de choix éducatif disparaît peu à peu, mettant en danger les droits fondamentaux de chacun. Dans ce contexte, Combat publie plusieurs tribunes de personnalités engagées dans la défense des droits de l’enfant. https://lnkd.in/gm4T6zWu #enfants #droitsdelenfant #education #ecole #parents #parentalité #IEF #écologie