Post de Uside

𝐀̀ 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐞 𝐫𝐞́𝐢𝐧𝐯𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 La liberté, avouons-le, n’est pas toujours cette noble quête choisie dans un éclat d’héroïsme. Parfois, elle se glisse dans nos vies comme une évidence brutale, une nécessité absolue, une bouée de sauvetage dans un courant qui nous emporte. Elle naît d’un besoin viscéral : respirer à nouveau, se délester de ce qui pèse, dépoussiérer un quotidien devenu trop étroit. Pas un caprice, non. Une urgence. Se réinventer, c’est admettre que la vie n’a rien d’un rêve éveillé où tout coule de source. C’est une construction permanente, une chorégraphie parfois hésitante entre le désordre et l’harmonie. Chaque jour, on empile des choix, on ajuste, on répare. Ce n’est pas une fuite en avant, mais une opportunité déguisée. Une occasion de polir les angles, d’explorer les possibles, d’esquisser des versions inédites de soi-même. La liberté, finalement, c’est ce geste audacieux de s’autoriser. S’autoriser à grandir, à s’effondrer, à rebondir. À travers le tumulte, elle devient un pari sur soi, un clin d’œil à l’avenir, un joyeux désordre d’essais et d’erreurs. Et si la perfection nous échappe – tant mieux. On ne vient pas au monde avec un mode d’emploi. La vie, c’est surtout une sacrée improvisation.

Comme le dit une amie : "What goes round, comes round", nous tissons ensemble ! En tant que lieu engagé dans la transition et le ressourcement, nous sommes sensibles à L'arbre aux étoiles à la question du « #soin » : comment ne pas sombrer par la charge mentale et émotionnelle ? #burnout Je crois que la vie nous apprend à changer de regard en portant une attention nouvelle à ce qui se passe ... à l’intérieur, afin d'éviter le piège de ne lire "l'actualité" (réalité) qu'à la surface. C’est à mon sens le 1er point de départ de toute action : est-ce que cette proposition fait sens avec qui je suis ? Pour aller (un battement de cœur) plus loin, est-ce que cette action prend soin de ma personne et des êtres vivants ? #egotoeco Finalement, nous-mêmes pouvons décider de prendre soin dans toutes nos #relations et dans toute #action. En matière de #transition cela peut se traduire par des engagements : ➡ en droit, avec notamment celles et ceux qui militent pour la reconnaissance des #écocides ➡ dans l’éducation, où l’enseignant.e laisse la place aux passeur.ses de #nature ➡ dans l’économie, plus #sociale et #solidaire ➡ en politique, où là aussi des nouvelles #valeurs infusent certains projets ➡ dans le domaine de la santé et de l’alimentation, plus respectueuse du #vivant ➡ dans l'art, qui a toujours ouvert de nouvelles #portes ... A notre échelle à L'arbre aux étoiles, nous nous sentons engagés à prendre soin : 🌱 du lieu : rénovation des espaces, et soin au vivant 🏘 de nos visiteurs : amélioration des fonctionnalités 🙍♀️🙍♂️ de nous deux : renforcement de l’équipe opérationnelle 🖼 du territoire et de ses habitants : consolidation de l’ancrage local (accueil de soignants ou d’étudiants, insertion professionnelle, art et artisanat…) ; 🌍 de la planète : avec notamment plus de séminaires “entreprises”, levier essentiel de la transformation sociétale Quelque soit notre situation, nous pouvons prendre conscience dans chaque action de cette opportunité de soin. Il y a - à cet endroit - de très belles rencontres à vivre (parler avec un inconnu en est un exemple), et cela nourrit un changement important de regard sur notre monde. La vie répond à notre psyché et donne ce que nous cherchons à voir …alors, comment allez-vous prendre soin de vous aujourd'hui ? #care #holistique #équilibre

« Il y a deux moments dans l’année où l’on prend de bonnes résolutions : l’un pour la nouvelle année et l’autre à la rentrée de septembre. Ces résolutions, qui vont de l’inscription à la salle de sport aux cours de dessins, en passant par débarrasser plus souvent le lave-vaisselle ou regarder moins souvent la télévision, viennent d’un désir enfoui très profondément en nous… Celui de changer, d’être une nouvelle personne. Pour certains, cela se traduit matériellement par l’achat d’une nouvelle tenue vestimentaire, d’une nouvelle coupe de cheveux, d’un nouvel itinéraire pour aller au travail, qui vont accompagner les résolutions qui ont été prises. Comme si l’on voulait physiquement devenir quelqu’un d’autre et que le temps pour cela était enfin venu. Face à ce désir de renouvellement, merveilleusement humain, il y a ce mot étrange : « rentrée ». Rentrer, c’est-à-dire « entrer de nouveau »… Cette idée de retour était déjà présente en 1140 lorsque le mot aurait été utilisé pour la première fois dans la langue française, selon le Centre national des ressources textuelles et lexicales. Ce terme de « rentrée » laisse penser que nous rentrerions en étant exactement les mêmes qu’avant, que nous nous sommes juste absentés pendant un moment et que nous reprenons notre place au bercail, ni vu ni connu. Aurions-nous inventé ce mot pour nous rassurer les uns les autres ? « Non, non, ne t’inquiète pas, je me suis absenté cet été, mais je reviens, je n’ai pas changé, tout sera comme avant »… Est-ce pour ne pas étonner, pour ne pas déstabiliser les autres que nous n’osons pas changer profondément ? Il serait tellement plus juste, tellement plus vrai de dire qu’il s’agit d’une « entrée », - et non d’une rentrée -, d’un commencement, d’un nouveau monde et d’une nouvelle personne, que l’on inaugure. La métamorphose n’est-elle pas le bonheur de la vie ? Pourquoi en aurions-nous honte ? Tous les vivants sont appelés à la métamorphose, les plantes, comme les animaux et les êtres humains ; il n’y a que les morts qui ne changent plus… C’est d’ailleurs peut-être cela qui rend la mort si terrible ! Nous, qui avons souvent tant de mal à vivre les changements, nous devrions nous souvenir que leur possibilité même est le luxe des vivants. Ne revenons pas, mais venons ! Ne rentrons pas… Mais entrons ! » Retrouvez ma chronique pour Radio RCJ #rentrée https://lnkd.in/e6VRinUT

Faites vos voeux ! C'est l'époque, puisque l'augmentation d'une unité sur le compteur des années donne traditionnellement l'occasion de se souhaiter tout un tas de trucs pour les 12 mois à venir, en général sympathiques, puisqu'il est assez rare de recevoir un message où l'on vous souhaite ennuis de santé, misère affective, ruine, et malheurs en tout genre. Mais, dans un certain nombre de domaines, "souhaiter" qu'arrivent - que tombent du ciel en quelque sorte - des choses positives alors que nous n'aurions rien fait pour serait plus une preuve de naïveté que de gentillesse. Pour un fumeur et buveur invétéré, par exemple, on peut bien sur lui souhaiter une bonne santé, mais ce voeu se matérialisera d'autant plus facilement que tabac et alcool seront laissés de coté le plus souvent possible. En matière de climat, de ressources ou d'environnement, il n'y a malheureusement à peu près que des cas de figure de cette nature. On peut "souhaiter" un climat qui ne nous réserve pas trop de mauvaises surprises, une biodiversité qui se maintienne au mieux, des ressources en quantités suffisantes pour continuer à bénéficier de ces auxiliaires mécaniques qui nous rendent la vie si douce (et si longue), mais ces souhaits ne se matérialiseront pas sans que le récipiendaire du souhait - c'est à dire tout le monde - n'y mette du sien. Notons que "y mettre du sien" c'est pour partie renoncer... à d'autres voeux du Nouvel An ! Il y en a un, en effet, qui est très traditionnel : celui qui concerne l'aisance matérielle, généralement évoquée au travers du mot "prospérité". On peut en tirer une conclusion : la seule chose qui sera certaine, en 2025 comme avant, c'est que dans ces domaines il n'y aura pas de solution simple, au sens de à la fois efficace et indolore. Pour avancer, il faudra, comme les années précédentes, beaucoup de réflexion, de travail collectif, de pédagogie, et de recherche de consensus sur les contreparties, et tout cela sans perdre le sens du temps qui passe. En ces temps incertains, avoir une prévision sur laquelle on peut compter, c'est déjà ça. Alors bonne année !

Tous mes voeux pour 2025... ...en commençant par celui de trouver la force de rassembler les efforts individuels pour en faire une réussite collective. Pour cela, il nous faudra être capable : 1) de ne plus opposer ces efforts les uns aux autres, mais de bien les mesurer, de les hiérarchiser, et peut-être de les équilibrer. 2) de faire preuve de l'abnégation qui manque trop souvent dans nos réflexions. L'abnégation comme capacité de dépassement qui nous pousse à réaliser le meilleur de nous mêmes, à faire les efforts nécessaires pour réussir. L'abnégation aussi et surtout pour faire preuve d'exemplarité et entraîner les autres... un voeu que je formule tout particulièrement à l'adresse de nos représentants élus au Parlement. Pour finir, je citerai Simone WEIL: "Il est toujours plus utile de songer à ses propres fautes, pour y mettre fin, qu'à celles de l'autre."

Des solutions simples, efficaces ET indolores en 2025 (et les années suivantes) ?

STOP ! Répondre à la question de l’illustration, c’est inévitablement entrer dans un champ moral, un champ de références propres ou un modèle clanique. Choisir, c'est renoncer ? A quoi ? C'est savoir ce qui est bien ou mal pour les autres ? Et si l'innovation s'inscrivait aussi dans le champ du relationnel, sans solutions présentées comme miracles ? Edwin, camarade de promotion d’Edgar, le sait. Il a vu son ami, régénéré, revenir dans son établissement, après un congé sabbatique d’un an à faire le tour du Kazakhstan en vélo. (voir saison 10 de la story d’Edgar). Le constat fut sans appel. En un an, rien n’avait changé. Les couloirs étaient glaçants de morosité. Le développement de l'efficacité collective était encore en discussion au codir et les difficultés à faire vivre le bien travailler ensemble étaient réelles. Edwin sourit car ce manque de qualité relationnelle était peut-être lié à une absence de pratique de l'ingénierie relationnelle ? Effectivement, cette approche pouvait apparaître comme une technique contre intuitive ! Edwin se demandait, en fait, comment rendre évidente et accessible l’association entre les termes ingénierie et relationnelle ? Ce modèle, reflet d’une synthèse en matières relationnelle et managériale, apparaît, pour l'instant, comme “une curiosité, mal appréhendée et pourtant d’actualité”, se dit-il. Cela ressemblait fort à un challenge pour 2025. En attendant, il monta dans son véhicule. Curieusement, la radio diffusait “Dieu fumeur de havanes”, interprétée par un célèbre duo. Il sourit car tout semblait clivé dans ce monde où la sensation qui rôdait, était que tout le monde voulait en découdre. C’était à lui de faire vivre un modèle inédit sans entretenir les clivages. Cela lui allait comme un gant, lui qui, en entreprises, n’avait jamais été, dans des clans, preuve de son savoir “rester vivant”. Non fumeur, sa question du moment, à quelques jours du réveillon, était plutôt gastronomique : chapon ou sanglier, après le velouté de potimarron aux noix de Saint-Jacques ? Bon Noël à tous. #qvt #rse #management #leadership #rh #gastronomie #lephildesresolutionsrelationnelles.   —------------------------------------------------------------------------------- Par la co-construction, c’est, peut-être, le moment de fiabiliser vos relations professionnelles sans vous épuiser et de poser ensemble les priorités qui correspondent aux réalités de votre champ professionnel, où qu’il soit, par la mise en œuvre de l'ingénierie des relations. Cette démarche propose des outils concrets et opérationnels au service des personnes et de l’organisation pour construire l'entente et la confiance.

Attendre et Espérer: 2 verbes qui ont un sens dans nos vies professionnelles 📙 Ceux sont les 2 derniers mots du livre le Comte De Monte Cristo d’Alexandre Dumas  et aussi du film éponyme sorti cette année sur nos écrans. 📽️ La dernière image du film est Edmond Dantès, à la barre de son bateau, sûrement en pleine mer Méditerranée avec ces 2 verbes dits en voix off. Ainsi, chacun de nous est libre d’imaginer la fin de cette aventure, de cette vengeance et d’imaginer la future vie d’Edmond Dantès, de Mercédès et des autres protagonistes Attendre et espérer résonnent en moi car ils sont importants en période de changement. Le changement est inhérent à toute vie professionnelle et comment faire face à ce changement, comment le vivre ? 1️⃣ ATTENDRE L’attente, c’est une affaire intime, elle est vécue de façon différente par chacun, et peut changer en fonction des moments de notre vie professionnelle. L’attente peut être : ✳️ Fébrile ✴️ Stratégique, comme Pénélope en attendant le retour d’Ulysse qui défaisait la nuit le travail de tissage fait le jour. La stratégie est mettre à profit ce temps pour se préparer à d’autres opportunités en donnant un sens personnel à l'attente ✳️ Sereine en acceptant de prendre conscience de ce qui dépend de soi, d’agir sur cette partie là et d’accepter de lâcher prise sur ce qui dépend des autres, de notre entreprise ✴️ Longue, chacun met son cursus en fonction de sa patience ou de son impatience ✳️ Une étape nécessaire pour se poser, prendre du recul, pour réfléchir Ce que je trouve difficile dans l’attente, c’est de ne pas connaître la date de fin. Il faut réussir à accepter cet impondérable et vivre avec. ❓ Et vous, quels adjectifs, utiliseriez-vous pour parler de l’attente ? ❓ Qu’avez-vous découvert sur vous lors de cette attente ? 2️⃣ ESPERER 🔥 L’espoir, je le visualise comme une flamme qui peut être par moment flamboyante, d’autres fois à peine présente.. Cette flamme  🔸 peut être entretenue, protégée 🔷 mise à l’épreuve par des éléments extérieurs comme l’eau 🔸peut être ravivée grâce au souffle ❓ Et vous, quelle place a l’espoir dans votre vie professionnelle ? ❓ Quelle métaphore utilisez-vous pour visualiser, parler de l’espoir ? 3️⃣ Et VOUS , quels autres verbes, utiliseriez-vous qui résonnent en vous ?   Florence Gouézo Vanessa Juge christiane DI NATALI Eric Poyet ERIC RODDE Lucie Fontaine Stéphane Grossin Jean-Louis MONTALBETTI Carole CEBE Carole RAUX #coaching #lacherprise #ccf #hsbc

On nous dit très souvent de rester ancré·e dans l’instant présent, notamment pour calmer l’esprit. Et c’est vrai que c’est bien. Sur un tapis de yoga, pendant les moments précieux, en famille ou avec des amis. Mais le faire tout le temps comporte un risque. Celui de s’endormir dans notre confort actuel. Il est précieux, pour ne pas dire indispensable de regarder aussi le passé, le futur est ailleurs pour rester éveillé·e, parfois enervé·e mais surtout conscient·e des changements pour se mobiliser et passer à l’action. C’est l’enseignement de mes lectures du mois de mars que je te partage ici : 📗 Le livre de Camille Etienne, 𝑷𝒐𝒖𝒓 𝒖𝒏 𝒔𝒐𝒖𝒍𝒆̀𝒗𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆́𝒄𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝑫𝒆́𝒑𝒂𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒍’𝒊𝒎𝒑𝒖𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒄𝒕𝒊𝒗𝒆 📕Le roman graphique 𝑭𝒆𝒎𝒎𝒆 𝑽𝒊𝒆 𝑳𝒊𝒃𝒆𝒓𝒕𝒆́ sous la direction de Marjane Satrapi ⏮️ Regarder dans le passé sans déraper dans le “C’était mieux avant” mais juste constater : les glaciers fondent, il n’y a plus d’oiseau dans nos jardins #solastalgie ⏩ Oser se projeter dans le futur et affronter les conséquences des activités humaines sur le vivant en s’informant sur la base d’études solides. Coucou les rapports du giec par exemple. Imaginer aussi, ce que pourrait être un futur sobre et enthousiasmant. C’est le premier pas pour changer individuellement et collectivement, proposé dans l’ouvrage de Camille. Ne soyons pas des grenouilles qui dans la tiédeur de l’eau ne sentent pas le bouillonnement venir. 🌎 Regarder ailleurs pour s'inspirer, en Iran par exemple ou les femmes déjà très jeunes font preuve de tellement de courage pour acquérir des droits, plus de liberté et parfois juste la vie. Mais aussi où les hommes sont à leurs côtés dans ce combat, parce qu’ils ont compris que tout le monde a à y gagner dans une société féministe. 😡 Je préviens, ces lectures peuvent entraîner un sentiment de colère et une sévère de se mobiliser ! Et toi, quelles sont les lectures qui t’ont marqué ces dernières semaines ?

🎯 L'intelligence motivationnelle au service de l'ingénierie relationnelle : un regard différent sur le management de demain ! Cher "Edwin", votre analyse des dynamiques relationnelles en entreprise révèle une approche novatrice de l'intelligence motivationnelle. Votre capacité à décrypter les mécanismes de motivation collective, tout en transcendant les clivages traditionnels, offre de nouvelles perspectives. Tu as raison, Philippe BUATIER, l'innovation managériale ne réside pas tant dans les grands bouleversements que dans notre aptitude à comprendre et activer les leviers motivationnels subtils qui animent les équipes. Démocratiser l'ingénierie relationnelle - illustre parfaitement cette approche qui privilégie la compréhension fine des dynamiques humaines plutôt que l'application de modèles préconçus qui nous enferment dans des cases, des lettres, des étiquettes !! 🙏 Merci à toi d'avoir été dans les premiers à développer ton approche avec les outils de l'Intelligence Motivationnelle, issus des travaux de la Louisiana Tech University et dispo chez DynamiKMood 🤩 🚀 #IntelligenceMotivationelle #Management DynamiKMood #LeadershipTransformationnel #Qualiterelationnelle #IngénierieRelationnelle