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L'HABIT FAIT-IL LE MOINE ?! ET SI JE VOUS DISAIS QUE L'ON M'A PROPOSÉ QUELQUE CHOSE QUI NE SE REFUSE PAS ?!? Un séminaire doctoral de printemps (du 27au 29 mai 2024). Paris, mardi 28 mai 2024, c'est la Journée thématique transversale : L’habit fait-il le moine ? Évidemment, on m'invite ! Évidemment, j'ai accepté d'intervenir dans le cadre de ce séminaire de l'Ecole universitaire de recherches Humanités, Création et Patrimoine (CY Cergy Paris Université) invité par Nicolas Vernot (chercheur invité - «Signes, symboles, héritages» à l'EPSS. bien que je déteste Paris (j'ai réussi à me perdre sur un trajet de 9 minutes à pied), il s'agit d'un honneur que je ne pouvais refuser et, de toute façon, je présageais déjà une grande émulation considérant qu'il s'agissait d'une Journée thématique transversale : pour faire simple, autour de "L'habit fait-il le moine ?", plusieurs spécialistes allaient exposer leurs propres lumières dans leurs propres domaines pour mieux comprendre la société qui nous entoure, l'histoire, le vivre ensemble et les codes qui découlent de tout cela. Ces mêmes codes qui nous permettent de décorer notre corps, nos lieux de vie ou qui permettent d'identifier la fonction et le grade au service de la communauté... concernant mon intervention, voici ce qu'a écrit notre historien et organisateur : "Entretien avec Valère Lélian Prosperi, tatoueur depuis 25 ans. Discutant : Nicolas Vernot Relevant de la marque et de la parure, le tatouage, tantôt public, tantôt intime, passe pour être fortement investi symboliquement : ne lui confie-t-on pas une part de notre identité ? Nous avons tous à l’esprit les tatouages traditionnels berbères ou maoris ou, plus proches de nous, ceux des marins, des prisonniers ou des bikers… mais à l’heure d’une diffusion sans précédent de la pratique, les tatouages relèvent-ils de l’intention symbolique ou de l’effet de mode ? Les profondes mutations que connaît la pratique amènent à questionner non seulement les motivations des commanditaires mais aussi, en miroir, l’identité professionnelle du tatoueur…" Si j'ai été grandement surpris par les graphismes d'anciens papiers peints ("Habiller les murs" avant d'habiller la peau) que nous à présenté Christophe Leblan (responsable des archives privées aux archives départementales de l’Oise), j'ai retenu tout particulièrement les interventions de ma compatriote Federica Mancini (chargée de collection, Département des Arts graphiques, Musée du Louvre, doctorante EUR) et le travail impressionnant du lieutenant-colonel Marcel Joussen-Anglade (chef du Département Histoire et Symbolique, Service historique de la Défense). Cette journée m'a fait voyager au propre comme au figuré. Quand on donne, on reçoit... Que ce soit des autres et de soi-même. Et Vous, qu'en pensez-vous : l'habit fait-il le moine ?!

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Julie Chauchart

Experte en recrutement et mentor au sein du Mercato de l'Emploi

6 mois

Très intéressant comme sujet Valère Prosperi ! En tant que recruteuse, je trouve que cela fait aussi partie de mes missions que de passer outre certains apprioris liés à "l'habit" en général et c'est un plaisir tout particulier quand je peux accompagner mes clients à prendre un autre axe de vue.

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