[Emmaüs France : réaffirmation des valeurs de solidarité, dignité et respect face aux manquements signalés] 🕊️🤝 📺 L’émission Complément d'enquête du jeudi 6 juin relatait des témoignages et des manquements quant aux conditions d'accueil dans certaines Communautés. Emmaüs France condamne ces mauvaises pratiques. ❌ Rappelons que chacune des 300 structures qui agissent sous le nom d’Emmaüs sont gérées par une structure locale, juridiquement indépendante. 🏠 Les situations évoquées lors du reportage ont fait l’objet d’un suivi étroit de la part d’Emmaüs France, parfois d’enquêtes menées par un cabinet indépendant, et, le cas échéant, de mesures ciblées. 🔍 Emmaüs France condamne donc fermement tout manquement avéré relatif aux conditions d’accueil au sein de ces structures. 🚫 Emmaüs pratique l’accueil inconditionnel, mais défend également un accueil digne, dans des conditions respectueuses de chacun et chacune et non discriminatoires. 💚👥 La priorité d’Emmaüs reste et restera toujours la solidarité et l’accueil des plus vulnérables. 🌍❤️ Il est de notre devoir d’assurer un accueil digne pour toutes et tous. ✨ Pour Emmaüs France, cela s’est traduit notamment par des mesures d’urgence pour venir en aide aux Compagnes et Compagnons grévistes du Nord, puis, aujourd’hui, par le lancement d’un plan d’actions « Accueil et accompagnement des personnes ». 🚀📋 👉 Plus de détails ici : https://lnkd.in/eUNNdrdH #EmmaüsFrance #Solidarité #Dignité #Respect #Accueilinconditionnel #Communauté #Support #Entraide #ActionSociale #Vulnérabilité #PlanDAction #Urgence
Post de Val de Brie Emmaüs (VBE)
Plus de posts pertinents
-
𝐄𝐧 𝐆𝐮𝐲𝐚𝐧𝐞, 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐭𝐨𝐮𝐬, 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐡𝐚𝐜𝐮𝐧.𝐞 ✊ Depuis plus de 20 ans, notre association s'engage en Guyane pour lutter contre les inégalités et accompagner les populations vulnérables. Aujourd'hui, nous franchissons une nouvelle étape avec la sortie du 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐝𝐨𝐲𝐞𝐫 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐫𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́ 𝐝𝐮 𝐆𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞 𝐒𝐎𝐒, conçu à partir des constats de terrain des équipes du Groupe SOS Solidarités et Groupe SOS Jeunesse. Dans ce plaidoyer, nous proposons 𝟏𝟕 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐫𝐞̀𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 : ➡ Prévenir et accompagner les #addictions ➡ Soutenir la #parentalité ➡ Traiter la #violence, notamment chez les jeunes ➡ Garantir l’#accèsauxdroits pour tou.te.s ➡ Former les professionnel.le.s du sanitaire et social En effet, 𝐥𝐚 𝐆𝐮𝐲𝐚𝐧𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐟𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝𝐞́𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬, comme les #inégalités territoriales, la hausse de la #pauvreté, un flux migratoire permanent ou encore des situations d’extrêmes violence. En parallèle, ce territoire est riche d’une nature et de cultures exceptionnelles, où existent et se développent de multiples initiatives au profit des populations qui méritent d'être (re)connues. 📢 Ce plaidoyer incarne notre détermination à participer, aux côtés des partenaires locaux, des pouvoir publics et des habitant.e.s, à la construction d'𝐮𝐧𝐞 𝐆𝐮𝐲𝐚𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝐨𝐮̀ 𝐜𝐡𝐚𝐜𝐮𝐧.𝐞 𝐚 𝐬𝐚 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞̂𝐦𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐮𝐬𝐬𝐢𝐫. 📥 Découvrez le plaidoyer dans son intégralité dans la section commentaire. #Plaidoyer #Guyane #Solidarité #Inclusion #GroupeSOS Gaëlle Tellier Chantal Mir Pascal FRAICHARD Jean-François MARUSZYCZAK Guylaine Chauvin Maxime Zennou Mickaël GOURMELEN Barbara Bertrand
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🤝 Notre société se doit de croire en chacun et d’agir avec tous 🤝 La confiance en autrui et l’inaliénabilité de la dignité de la personne sont des valeurs premières du projet associatif de Cités Caritas. Pour Cités Caritas, l’accès aux droits fondamentaux et la solidarité face à la détresse ne doivent pas être sous conditions et à géométrie variable. Cela représenterait un risque majeur pour les acteurs de l’accompagnement social et du médico-social et pour les milliers de personnes qu’ils accompagnent avec fierté et engagement au quotidien. L’identité de Cités Caritas puise sa source dans la Cité d’urgence, une Cité conçue pour abriter et protéger les personnes en détresse, selon des valeurs de fraternité, d’engagement et de confiance. Ces valeurs sont les nôtres. Elles sont le socle de l’accueil inconditionnel que nous prônons. L’histoire de Cités Caritas témoigne du rôle nécessaire de la société civile et des associations dans la lutte contre les exclusions. En préfigurant centres d’hébergement et de réinsertion sociale, les ateliers protégés ou encore les appartements de coordination thérapeutique, Cités Caritas s’est systématiquement employée pour faire entendre les besoins de ceux dont la voix ne porte pas. L’association en retire des convictions fortes qui guident chaque professionnel au quotidien et sont une digue face au risque de repli sur soi. Nous espérons pouvoir poursuivre avec sérénité nos missions auprès des personnes les plus fragilisées. 70 ans après la création de la première Cité-Secours, cette voie doit continuer à nous fédérer !
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🔥 Des initiatives comme celle-ci changent des vies ! Découvrez comment... Nous sommes fiers de voir des associations comme la Fédération des acteurs de la solidarité Hauts-de-France de la solidarité se mobiliser pour lutter contre l’exclusion et la pauvreté. 🙌 Située à la Ville de Lille dans la Région Hauts-de-France, la Fédération des acteurs de la solidarité, véritable force de proposition, interpelle tous les acteurs de la société pour construire des politiques publiques ambitieuses qui favorisent l’accès à l’hébergement, à l’emploi, à la santé, et bien plus encore. 💡 Leurs actions parlent d’elles-mêmes, par exemple : 🏘️ Favoriser l’accès à l’hébergement et au logement 💼 Agir pour l’emploi de tou.te.s 🏥 Protéger le droit aux soins et à la santé 🎭 Promouvoir l’accès à la culture et aux loisirs 🎒 Lutter contre l’exclusion des enfants et des jeunes C’est ce genre d’engagement et de mobilisation citoyenne qui fait vraiment bouger les lignes et apporte des solutions durables aux plus vulnérables de notre société. Habitat Solidaire se tient aux côtés de la Fédération des acteurs de la solidarité et soutient ces initiatives qui renforcent les valeurs de solidarité, de justice sociale et d’inclusion. Bravo à Pascal Brice et à toutes les équipes, les bénévoles et les partenaires qui travaillent jour après jour pour un avenir plus juste. 👏 Nous avons tous un rôle à jouer. Ensemble, construisons des solutions pour une société plus équitable ! 🤝 #Solidarité #LutteContreExclusion #Inclusion #HabitatSolidaire #EngagementSocial #AccesPourTous #DroitsHumains #FédérationDesActeursDeLaSolidarité
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
En France, une personne sur cinq se sent seule. 🤍 Appel à projets : Réveillons la Solidarité ! En janvier 2023, 12% de la population vivant en France est en état d’isolement relationnel. En juillet 2023, 45% des moins de 25 ans disent se sentir seuls "tous les jours", "presque" ou "souvent". Les rencontres épisodiques voire inexistantes avec les membres de leur réseau de sociabilité (famille, amis, voisins, collègues de travail ou activité associative) les installent dans une situation de vulnérabilité psychologique et sociale. Depuis plus de 15 ans, la Fondation de France soutient les Réveillons de la solidarité à travers cet appel à projets : des projets festifs et participatifs, portés par les associations de terrain, pour retisser un lien social avec les personnes isolées. Ces moments sont l’occasion de rencontres entre des groupes, des personnes, des voisins… qui souvent se côtoient sans se connaître. Par des actions collectives, ces réveillons de la solidarité peuvent initier des liens durables et améliorer "le vivre ensemble" et la fraternité dans un quartier ou un village. Il est important que les personnes isolées puissent, elles aussi, construire et vivre ces moments particulièrement chargés de sens. Les actions de solidarité seront menées entre le 1er décembre et le 7 janvier 2025. Les projets sont à soumettre avant le 4 septembre (lien en commentaire). Photo : © Anne-Cécile Esteve - Fondation de France Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Solidarité #Culture #Société #Planète
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🏃♂️ 🏃♀️ Le 1er juin, une soixantaine d’associations et de personnalités du milieu de l’enfance publient le manifeste Bruxelles aux enfants, pour une ville enfants bienvenu·e·s. 🤸♀️ Alors que 22% de la population de Bruxelles a moins de 18 ans, la ville ne répond pas à leurs besoins. Il est temps d’y remédier ! Cinq solutions sont détaillées pour y arriver : ➡ multiplier les espaces publics de qualité ➡réduire l’exposition aux dangers du trafic ➡développer une infrastructure favorisant les modes actifs ➡développer l’autonomie des enfants ➡garantir la participation des enfants et des parents dans les instances de décision. 👉 https://lnkd.in/eEuZKAxx... 👀 Vous pouvez également télécharger le Manifeste "Bruxelles aux enfants : Manifeste pour une ville enfants bienvenu.e.s" https://lnkd.in/eMt8eRem...
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
LE SCANDALE DES ENFANTS EN SITUATION DE RUE EN AFRIQUE : LA FAUTE AUX AUTORITES ETATIQUES ? J’ai eu l’opportunité de prendre part à un groupe de discussions où les échanges portaient sur la responsabilité des autorités étatiques quant à la réalité des enfants en situation de rue. Les échanges convergeaient dans le sens où « les autorités étatiques sont responsables de la situation des enfants dans les rues ». Les avis étaient partagés: La mauvaise gouvernance, la corruption, le manque de transparence et de responsabilité, l'inefficacité des politiques publiques et l'absence de programmes sociaux adéquats sont des éléments qui aggravent la réalité des enfants en situation de rue et qui font que la pierre « doit être jetée » aux autorités étatiques. Les avis sont fondés c’est évident, mais j’avoue, je reste partagé. Sans parti pris et sans considération politique aucune bien entendu. Néanmoins, ces échanges ont suscité en moi plusieurs réflexions et le besoin de partager. Quand on parle de couches défavorisées, l’Etat est-il le seul ou le premier concerné ? Je continue d’y réfléchir et souhaiterais vous associer à cette réflexion. Il est certes indubitable que la présence des enfants dans les rues en Afrique et les conditions des couches défavorisées peuvent être attribuées à plusieurs facteurs, parmi lesquels à mon avis, la mauvaise gouvernance joue un rôle important. Très rapidement, je me suis essayé à faire un état des lieux des différents secteurs d’activités et/ou missions régaliennes de l’Etat. Sur le plan économique par exemple, le chômage élevé et la pauvreté généralisée dans nos pays créent un énorme faussé ainsi que des inégalités sociales et forcent certaines familles à envoyer leurs enfants dans la rue pour travailler. En éducation, la question de l’accès à l’éducation dans nos pays est une plaie au front et nous le savons tous. Plusieurs enfants manquent d'accès à une éducation de qualité et abordable qui peut les conduire à quitter l'école et à chercher des moyens de subsistance dans la rue. Sur le plan sanitaire, l'accès limité aux services de santé et à des programmes sociaux de soutien peut laisser les familles vulnérables sans assistance. Pour pousser un peu plus loin ma réflexion, plusieurs pays en voie de développement en Afrique et dans le monde connaissent des conflits et déplacements. Conflits armés, guerres civiles, déplacements internes sont des réalités qui à mon avis, forcent souvent les familles à fuir leurs foyers, laissant de nombreux enfants sans protection et sans ressources. Je m’en arrête là, dans l’espoir de lire vos avis. Je reste confiant que nos Etats peuvent mettre en place des réformes économiques, sociales et politiques pertinentes, ainsi que des initiatives communautaires et des partenariats internationaux afin de susciter des solutions durables qui contribueront à l’éradication (utopiste oui mais pourquoi pas) du phénomène des enfants en situation de rue. Erroce Ekundayo YANCLO
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
𝐃𝐞́𝐟𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐧 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐢𝐧𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 : 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 Face aux récentes déclarations du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, il est crucial de rappeler notre mission. Chez Groupe SOS Solidarités, nous œuvrons chaque jour pour garantir aux personnes en CRA l'accès à leurs droits fondamentaux. Contrairement aux accusations, nous n'avons aucun pouvoir de décision : notre rôle est d'accompagner juridiquement et socialement les personnes retenues, sans interférer avec le processus judiciaire. Les associations comme la nôtre (France terre d'asile, La Cimade, Forum réfugiés, Solidarité Mayotte) jouent un rôle vital pour préserver l'intégrité et la justice dans ces lieux de privation de liberté. Il est essentiel que la société civile continue d'agir avec indépendance et impartialité, dans le respect des principes démocratiques. Ensemble, nous veillons à ce que l'accès aux droits ne devienne jamais un privilège réservé à certains. Retrouvez à ce sujet les éclairages de Mathilde Buffiere, responsable du service rétention au Groupe SOS Solidarités, dans les colonnes Le Monde. (lien en commentaire) #DroitsHumains #Solidarité #Justice #Indépendance #CRA #AccèsAuxDroits Chantal Mir Louiza DACI Céline Guyot Pascal FRAICHARD Jean-François MARUSZYCZAK Gaëlle Tellier #GroupeSOS
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
𝗘𝗡𝗙𝗔𝗡𝗧𝗦 𝗗𝗘𝗦 𝗢𝗨𝗧𝗥𝗘-𝗠𝗘𝗥 𝗘𝗡 𝗦𝗢𝗨𝗦 𝗙𝗥𝗔𝗡𝗖𝗘 ? Nous avons clôturé hier soir avec le comité de pilotage, avec les représentants du Département de la Guadeloupe et du Ministère de la Justice avec jean-pierre Rosenczveig qui préside le comité outre-mer du Conseil national de la protection de l'enfance (CNPE) les quatrième « Rencontres territoriales de la protection de l’enfance en outre-mer ». Parmi tous les thèmes débattus avec les 600 participants, il nous reste au moins trois sujets à relayer dans les instances poliques : 👉Si les outre-mer français sont une richesse pour la France, ils ne peuvent demeurer durablement l’une de ses principales poches de pauvreté. 𝑪𝒐𝒖𝒑𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒃𝒓𝒂𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒃𝒖𝒅𝒈𝒆𝒕𝒔 𝒅𝒆́𝒅𝒊𝒆́𝒔 𝒂𝒖𝒙 𝒐𝒖𝒕𝒓𝒆-𝒎𝒆𝒓, 𝒔𝒐𝒖𝒗𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 re𝒕𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝒅𝒆́𝒗𝒆𝒍𝒐𝒑𝒑𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒎𝒑𝒖𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒓𝒑𝒔 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒑𝒂𝒚𝒔. 👉Promouvoir les valeurs et l’égalité républicaine, c’est mettre en œuvre effectivement l’égalité des droits et appliquer le droit positif. La Charte sociale européenne est un traité du Conseil de l'Europe. Elle complète la Convention européenne des droits de l'homme en garantissant les droits économiques et sociaux tels que l'emploi, la protection contre la pauvreté, l'éducation, le logement, la santé et la non-discrimination. 𝑳𝒂 𝒏𝒐𝒏 𝒂𝒑𝒑𝒍𝒊𝒄𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑪𝒉𝒂𝒓𝒕𝒆 𝒔𝒐𝒄𝒊𝒂𝒍𝒆 𝒆𝒖𝒓𝒐𝒑𝒆́𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒊𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒖𝒍𝒕𝒓𝒂𝒎𝒂𝒓𝒊𝒏𝒔 𝒓𝒆́𝒗𝒆̀𝒍𝒆 𝒖𝒏𝒆 𝒅𝒊𝒔𝒄𝒓𝒊𝒎𝒊𝒏𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒊𝒏𝒇𝒐𝒏𝒅𝒆́𝒆 à l'encontre des populations qui résident dans ces territoires. 👉 𝑳𝒂 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒄𝒓𝒊𝒔𝒆 𝒎𝒂𝒋𝒆𝒖𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊̂𝒕 𝒂𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅’𝒉𝒖𝒊 𝒍𝒂 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒄𝒆 (𝒔𝒂𝒕𝒖𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒇𝒔, 𝒑𝒆𝒓𝒕𝒆 𝒅’𝒂𝒕𝒕𝒓𝒂𝒄𝒕𝒊𝒗𝒊𝒕𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒆́𝒕𝒊𝒆𝒓𝒔, 𝒊𝒏𝒆𝒒𝒖𝒊𝒕𝒆́𝒔 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒓𝒊𝒕𝒐𝒓𝒊𝒂𝒍𝒆𝒔…) est amplifiée dans les outre-mer. Elle appelle des réponses rapides, adaptées et assorties la ou c’est nécessaire d’un plan de rattrapage indispensable pour prévenir la montée des violences (agies et subies) et le ressentiment d’une jeunesse trop souvent perdue sur des chemins qui ne mènent nulle part Il nous restera aussi et pour longtemps la force des liens qui se sont renforcés ou noués dans une dynamique de réseau uni, engagé et solidaire pour et par la cause des enfants. Groupe SOS Jeunesse Entreprendre position avec les outre-mer Guylaine Chauvin Fatma LEONARD-TALBI Isabelle Richard Caroline Nisand Rémi Pialat Gilles Séraphin Laure NELIAZ Jean-Benoît DUJOL Adrien Taquet Perrine GOULET XAVIER IACOVELLI Isabelle SANTIAGO Claude Roméo Marion CANALES CNAPE, la fédération des associations de protection de l'enfant Collectif CIDE Outre-mer Mathilde Detrez Hamza BENSATEM Sofiane Kherarfa Alexandre Lourié idealCO Laurent LAGIÉ-DEFRANCE Eric DELEMAR
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
C'est la journée internationale des enfants en situation de rue ! Pour célébrer le 20ème anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant (signée en 1989), l'UNESCO a organisé en 2009, la journée des enfants des rues. La date est restée dans le calendrier ! Selon les dernières estimations, environ 150 millions d’enfants sont considérés comme des enfants vivant en situation de rue à travers le monde, un chiffre qui révèle l’ampleur et la complexité de ce problème global. Ces enfants, âgés de trois à dix-huit ans, se retrouvent dans la rue pour diverses raisons, telles que la fuite de la violence domestique, l’extrême pauvreté ou l’abandon. Ils sont exposés à de multiples dangers, notamment la malnutrition, l’exploitation et l’absence d’accès à l’éducation et aux soins de santé. Chaque enfant mérite un avenir sûr et prometteur, et il est de notre responsabilité collective de transformer cette aspiration en réalité. PARTAGE avec les enfants du monde et deux de ses partenaires, Keoogo au Burkina Faso et Voice of children au Népal agissent spécifiquement pour la protection de ces enfants et jeunes en situation de rue. L'objectif est double : garantir la survie de ces enfants et permettre leur développement et leur intégration réussie dans la société. #EnfantsEnSituationDeRue #ProtectionDesEnfants #JournéeInternationaleDesEnfantsEnSituationDeRue
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire