Ce colloque explore le thème des racine (s) dans la littérature. Le concept des racines est central dans les réflexions humanistes, interrogeant notre rapport à la mémoire collective, à l’identité culturelle, et à la recherche du sens dans un monde en constante transformation. velimir.mladenovic@e-uvt.ro
Post de Velimir Mladenovic
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Les Chatons Philosophes bonjour Le jeudi est le jour idéal pour découvrir une notion philosophique. AUJOURD'HUI... LA COSMOGONIE* Ensemble de récits mythologiques décrivant l’origine, l’évolution de l’univers et de ses objets (étoiles, planètes, nébuleuses, systèmes solaires…), et cherchant à les expliquer. La pensée du philosophe La cosmogonie est un genre littéraire d'une remarquable persistance et d'une étonnante variété, l'un des genre les plus antiques qui soient. On dirait que le monde est à peine plus âgé que l'art de faire le monde. Paul Valéry * Si vous aimez ce contenu et souhaitez approfondir vos connaissances philosophiques, n'hésitez pas à me contacter à leschatonsphilosophes.com pour commander mon jeu de 52 cartes Les Notions Philosophiques, découvrir les autres jeux de cartes philosophie/chats... et commander ! UN GRAND MERCI !
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Le professeur Thierry-Dominique Humbrecht (Professeur ordinaire de Métaphysique dans notre Faculté) est auteur de cette excellente synthèse sur la pensée métaphysique de Saint Thomas d'Aquin. Le prof. Humbrecht dirige la Chaire d'enseignement et de recherche Saint Thomas d'Aquin et il est membre de l'UR CERES - Culture, Ethique, Religion et Société. Vous pouvez le retrouver comme enseignant (en Licence d'Etat, mais aussi en formation de niveau master et doctorat) dans notre Faculté... Institut Catholique de Toulouse De la présentation du livre : "Se mêler de métaphysique n’est pas de tout repos, même au XIIIe siècle, à l’Université de Paris, et même lorsque l’on s’appelle Thomas d’Aquin. Il faut imposer sa légitimité, tenter une synthèse entre des autorités qui ne vont pas ensemble, se battre ou renoncer. Pourtant, ce ne sont pas les circonstances qui frappent le plus, mais une pensée qui semble (à tort) couler longue et tranquille comme la Seine. Si la métaphysique de Thomas traverse les siècles, c’est pour une conception de l’être et du langage qui se distribuent jusqu’à Dieu sans l’y soumettre; pour l’analogie, la participation, la fusion du platonisme et d’Aristote; pour l’harmonie entre foi et raison, au point que l’une parle parfois avec la voix de l’autre; pour des déclarations de méthode, qui soulèvent plus de problèmes qu’elles n’en résolvent; et pour une nouveauté de vision qui ne dit pas son nom – mais que son époque avait su percevoir, sans toujours la recevoir, autant que la nôtre."
Introduction à la métaphysique de Thomas d'Aquin | Collection Bibliothèque d'Histoire de la Philosophie – Poche
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Auster a, dans ses romans, réfléchi profondément sur le langage et l'ontologie, dans un style analytique qui illustre sa connaissance de la philosophie contemporaine dans ces domaines de recherche (il avait lu attentivement des auteurs comme Wittgenstein, Goodman, Davidson, Putnam entre autres) en particulier dans City of Glass et Ghosts qui constituent les deux premiers volets de sa trilogie new-yorkaise. Un autre questionnement philosophique, qui anime la quête gnoséologique de l'écrivain, est la réflexion sur le temps et sur l'espace. Auster était un arpenteur de New York, et sa topologie fictionnelle, l'espace de sa ville, relève d'un traitement qui a certainement des relations avec celui de la méréologie de l'école polonaise en philosophie exacte, avec une logique des parties et des touts prolongée par Goodman puis par Peter Simons et Barry Smith. Je ne sais pas si cette relation à la méréologie dans l'oeuvre de Auster a été abordée. Il serait aussi éclairant de savoir si chez Auster c'est l'espace qui fonde le temps (personnellement, je pencherais pour cette option ontologique - elle paraît être illustrée dans Ghosts - plutôt que de faire naître l'espace arpenté d'une somme disjonctive de poussières d'instants discrets).
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🗞️ Aujourd'hui nécessite un peu de douceur et d'optimisme. L'inspi' d'apY colle à l'actu. "Candide ou l'Optimisme" est l'un des derniers textes de Voltaire. C’est toute son expérience et son amertume face aux déconvenues et persécutions dont il a été lui-même victime qui y sont retranscrites, et la décision de se retirer de la vie politique et du monde pour s’occuper « de son jardin » A méditer en ce jour curieux 🇺🇸 ©️ Références prises France Télévisions / www.lumni.fr Contexte historique : le XVIIIe siècle, siècle des Lumières. Genres littéraires : conte philosophique, récit initiatique. Principaux thèmes : le bonheur, la justice, l’ordre du monde et la politique. Registres : didactique, descriptif et ironique. Analyse : texte engagé et emblématique de l'œuvre de Voltaire dans lequel il dénonce l’esclavage, l’hypocrisie, la guerre et remet en cause la philosophie de l’optimisme du XVIIe siècle et en particulier Leibniz. L'adjectif « candide » devient le nom d'un héros de la littérature (célèbre exemple de l'emploi de la figure de style de l'antonomase).
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L’EXPERIENCE PROPREMENT DITE LES PORTES DE LA PERCEPTION A la question de savoir s’il y a un côté agréable ou désagréable à ce qui se passe sous ses yeux, c’est-à-dire la perception bien singulière d’un bouquet composé de trois fleurs déposées dans un vase, Huxley répond : « Ni agréable ni désagréable, répondis-je. Cela est, sans plus. Istigkeit n’était-ce pas là le mot dont maître Eckhart aimait à se servir ? Le fait d’être ». ( ) Ne se sentant ni perturbé ni déstabilisé par ce qu’il est en train de percevoir, Huxley pousse le raisonnement phénoménologique( ) jusqu’à une critique de la philosophie platonicienne. Il précise lui-même un peu plus loin que dans cette réponse, il s’agit du sens platonicien de l’Être pur : « L’Être de la philosophie platonicienne, - sauf que Platon semble avoir commis l’erreur énorme et grotesque de séparer l’Être et le devenir, et de l’identifier avec l’abstraction mathématique de l’Idée. Jamais il n’avait pu voir, le pauvre, un bouquet de fleurs brillant de leur propre lumière intérieure, et quasi frémissantes sous la pression de la signification dont elles étaient chargées ; jamais il n’avait pu percevoir que ce que signifiaient d’une façon aussi intense la rose, l’iris et l’œillet, ce n’était rien de plus, et rien de moins, que ce qu’ils étaient - une durée passagère qui était pourtant une vie éternelle, un périr perpétuel qui était en même temps un Être pur, un paquet de détails menus et uniques dans lesquels, par quelque paradoxe ineffable et pourtant évident en soi, se voyait la source divine de toute existence ». ( ) Mais cette idée platonicienne ne se détermine pas dans notre expérience sensible : le monde selon Platon est soumis aux changements, à la multiplicité et à la diversité. Pour que le savoir soit possible il faut impérativement que l’Être en soi ait une stabilité. Ce que critique Huxley dans ce passage, ce n’est pas l’Être en soi des choses de Platon, mais la manière d’y accéder. En effet, l’auteur nous soumet l’idée que l’Être est accessible par l’expérience sensible. Sophie SENDRA https://lnkd.in/giUVPY4v
La transcendance : Les écrivains visionnaires - Liber-mirabilis
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📢📢📢 Évènement papotages demain midi ! 🗣️ À cette occasion, nous aurons le plaisir d’entendre Doan Vu Duc et Laure Kazmierczak, à propos de leurs recherches doctorales. Doan Vu Duc (service de Philosophie et histoire des sciences) : Quelle est la relation entre les mots dans les sciences et dans le sens commun ? De nombreux mots font partie du sens commun et de nombreux mots font partie de la science. Et parfois, un même mot se trouve dans ces deux ensembles. Il n’est alors pas rare que les mots du sens commun soient « victimes » de l’avancée scientifique. Pourtant, leur signification semble résister. Pour pouvoir définir les sciences, une enquête sur la nature de la relation entre science et sens commun devient essentielle. Laure Kazmierczak (SEREG, service d'études et de recherches sur l'espace germanophone) : La (re)traduction de l’œuvre « La Princesse Maleine » de Maurice Maeterlinck dans les espaces russophone et germanophone : état des lieux et appareils théoriques et critiques La Princesse Maleine est le premier drame symboliste du seul récipiendaire belge du prix Nobel de littérature, le gantois Maurice Maeterlinck. Les différents (re)traductaires parviennent-ils à restituer les grands traits stylistiques qui fondent la poétique du dramaturge symboliste ? Quels sont les impératifs qui président à la retraduction de l'œuvre d'un auteur qui jouit d'une fortune considérable dans les espaces de réception russophone et germanophone ? Nombreuses sont les publications académiques - principalement françaises - consacrées ces dernières années à l'œuvre du Nobel belge qui empruntent à la philologie ainsi qu'aux arts de la scène. À ce titre, l'approche traductologique se révèle novatrice. Il s'agit de proposer une critique des traductions - entreprise liée à la question de la retraduction -, ainsi que de mettre en lumière le nom de celles et ceux qui ont œuvré au transfert ainsi qu'à la réception transnationale de Maeterlinck, prérequis indispensable à toute reconnaissance internationale. Au plaisir de pouvoir échanger entre nous autour du langage, L'équipe de l'IRSTL P-S : Des sandwiches et boissons sont offerts aux participant.e.s. 🥪 Tous les membres de l’Institut et leurs invités sont les bienvenus.
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Le Grand Architecte de l’Univers : Une symbolique universelle entre spiritualité et philosophie (Par Charles-Albert Delatour) L’expression « Grand Architecte de l’Univers » évoque une figure métaphorique associée à l’ordre, l’harmonie et l’intelligence supérieure qui régiraient l’univers. Employée couramment dans la franc-maçonnerie et le compagnonnage, cette notion dépasse largement le cadre de ces institutions. Elle trouve ses racines dans la philosophie, la théologie et les courants spirituels qui ont marqué l’histoire de la pensée humaine. https://lnkd.in/etJFFzF6
Le Grand Architecte de l’Univers : Une symbolique universelle entre spiritualité et philosophie - 450.fm - Journal de la Franc-maçonnerie
https://450.fm
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Colloque International du 12 au 16 novembre 2024 en célébration du cent-dixième anniversaire de la naissance d’Aimé Césaire (26 juin 1913 - 26 juin 2023) Lieu : Lycée Victor Schoelcher - Martinique 97200 FORT-DE-FRANCE. MERCREDI 13 NOVEMBRE de 15h40 à 16 h : Quis ut Césaire ? Phrase latine qui veut dire : « Qui est comme Césaire ? » conférence de Suzanne Dracius auteure, autrice. D’origine martiniquaise, Professeure de lettres classiques, elle a enseigné d’abord en lycée à Paris, ensuite successivement dans deux Universités aux États-Unis : d’abord, University of Georgia, ensuite Ohio University. Analyse surtout descriptive, à travers ce thème de communication, il s’agit de mettre en évidence l’originalité, particularité de la poésie d’Aimé Césaire d’une rare singularité légitimée par une reconnaissance nationale, partant du postulat de ses origines qui s’est toujours inscrite dans la lutte pour la reconnaissance identitaire, mais aussi littéraire afin que ne lui soit pas assigné la posture de sous-homme, sous-citoyen, sous-écrivain excluant toute possibilité d’encourager et de favoriser tout préjugé de race, de classe et de couleur résultant de la traite de l’esclavage. En somme, à la question : « Qui est comme Césaire ? » Il va de soi que son cas est exceptionnel, particulier. On lui reproche d’être un poète hermétique, inaccessible. Mais paradoxalement il était d’une popularité sans bornes.
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Les Chatons Philosophes bonjour Le lundi est le jour idéal pour découvrir l'anecdote du philosophe*. AUJOURD'HUI : BRUNO GIORDANO En 1660, Giordano Bruno, frère dominicain et philosophe italien, est brûlé vif à Rome. La raison ? Il refuse d’obéir au dogme religieux. Il affirme sa croyance en plusieurs concepts : l’héliocentrisme – le soleil au centre du monde – , l’atomisme – l’univers formé d’atomes associés en combinaisons fortuites, la pluralité des mondes et l’infinité de l’univers. Quelles idées vous inspirent l’anecdote ? Que feriez-vous à la place du philosophe ? Réfléchissez et partagez. * Elle fait partie du jeu de 52 cartes Les anecdotes. N'hésitez pas à le commander à leschatonsphilosophes@gmail et à visiter mon site https://lnkd.in/e2p7-ype pour découvrir les supports créés et les prestations proposées. ** Suivez-nous au fil de mes posts quotidiens ici sur Linkedlin, relayés sur mes pages Facebook Christine Destruhaut et Les Chatons Philosophes pour découvrir les autres rubriques. *** Ouvrages proposés : - les 5 fascicules thématiques Qu'est-ce que ? la philosophie ? La liberté ? La justice ? La nature ? Le bonheur ? - l'Oracle des Chatons Philosophes - en cours de rédaction : La folle journée des philosophes... J'organise des ateliers philo au domicile de parents vivant à Paris et en proche banlieue. N'hésitez pas à me contacter pour de plus amples informations. Les Chatons Philosophes - Jade la princesse étoilée, Théo le lutin malicieux et Azur la fée des songes - vous souhaitent une belle journée.
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"Mauvais œil. Une histoire médiévale" de Béatrice Delaurenti, publié par les Éditions du Cerf, est une étude approfondie des superstitions liées au regard au Moyen Âge. L'historienne analyse la notion de fascination, perçue comme une force destructrice mobilisant les connaissances scientifiques et philosophiques de l'époque. À travers les textes d'Avicenne et d'Algazel, Béatrice Delaurenti retrace trois siècles de débats intellectuels. Ce livre, riche en érudition, offre une perspective nouvelle sur la circulation des idées entre l'Orient et l'Occident médiéval, et leur impact sur la philosophie, la théologie et la médecine. Un ouvrage indispensable pour les chercheurs et passionnés d'histoire des idées. Chronique : https://cutt.ly/Iehyv6NW #littérature #critiquelittéraire #bloglittéraire #livres #lecturedumoment #auteurs #passionlecture #bookstagram #chroniquelittéraire #lecturepassion #jaimelire #litteraturefrancaise #parlerdeslivres #histoire #moyenage #superstitions #fascination #éditionsducerf #essaihistorique #livrepassion #culture #patrimoine #philosophie
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