Post de Verspieren Credit & Finance

Verspieren Credit & Finance a eu l’honneur de participer au Colloque « Paris 2024 Export et attractivité de l’offre française » organisé au Ministère des finances à Bercy le 9 octobre par le Comité Ile de France des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCE) présidée par Sophie Sidos Aude Fauché Massonnet Directrice International et Ghislain Verstraete Directeur Développement, tous deux CCE, ont animé la table ronde « Gestion des risques et financement, la France place forte et attractive » en compagnie de Eric LATREUILLE Président de la Commission Internationale de l’AFDCC et de Marcel Baudson Group credit manager de MACOPHARMA. En premier lieu chacun s’est accordé à reconnaitre à Paris une place historique et forte dans la gestion des risques et le financement : elle a vu la naissance des principaux assureurs crédit mondiaux ainsi que l’essor des factors qui détiennent la première part de marché en Europe. Ensuite la France fait profiter à ses entreprises exportatrices d’un écosystème puissant : évidemment Les CCE - Paris , conseillers bénévoles dédiés aux quatre missions essentielles pour soutenir le Commerce extérieur de la France (appui aux pouvoirs publics, formation et promotion des VIE, défense de l’attractivité et surtout mentorat pour susciter et encourager les élans exportateurs dans notre pays) et Team France export y jouent un rôle majeur. Mais aussi des associations professionnelles telles que AFDCC qui réunit les crédit-managers et contribuent à sécuriser le chiffre d’affaires réalisé à l’international. La France a la particularité de disposer d’un courtage spécialisé très fort, présent en accompagnant des PME, des ETI et des grandes entreprises. Ils construisent des solutions complètes combinant sécurisation et financement des créances commerciales. Enfin les participants au networking ont unanimement souligné que la France dispose de conditions de financement court terme concurrentielles pour tout le spectre des entreprises, offrant un cadre très favorable au développement à l’international. #sécurisationdescreancesinternationales#cash#supportexportations

Faciliter et sécuriser ses transactions internationales Tout comme Thierry Navarrete chargé d'affaires à la Caisse d'Epargne Normandie, partagez vos expertises avec Le Journal des Entreprises retrouvez sa chronique dans l'édition Le Journal des Entreprises Normandie datée juin. Une entreprise qui exporte est confrontée à différents types de risques – risque pays (situation économique et politique du pays), risque de force majeur (catastrophe naturelle), risque de change, risque de transport, risque juridique (litiges) - qui tous aboutissent finalement à un risque commercial majeur : celui du non-paiement.

Deux rapports récents, rédigés l’un par Christian Noyer et l’autre par Enrico Letta et consacrés à l’Union des marchés de capitaux (UMC), montrent que plusieurs réformes d’ampleur seraient nécessaires pour mettre l’épargne européenne au service du financement et de la croissance de l’Europe. Les institutions européennes devraient mettre l’accent sur la compétitivité de l’industrie locale, favoriser la relance de la titrisation ainsi que la création de nouveaux produits d’épargne à long terme. L’Association française des marchés financiers - AMAFI ), présidée par Giordano Stephane. milite afin que ces réformes soient à l’agenda de la prochaine législature européenne.

Je suis ravi de partager avec vous mon dernier article dans le @Le Journal des Entreprises Normandie : Faciliter et sécuriser ses transactions internationales, dans lequel j'explore les meilleures pratiques ainsi que les outils indispensables pour les entreprises qui se développent à l’international. 👉 https://lnkd.in/e2dkmb87 N’hésitez pas à me solliciter pour toute question.

Association française des marchés financiers - AMAFI a publié un rapport pour un nouvel élan pour les marchés de capitaux de l’Union européenne. Deux réformes clés : développer des véhicules d'investissement long terme et redynamiser le marché européen de la titrisation. Les besoins de financement de l’UE sont massifs. Elle ne peut continuer à se priver de marchés financiers profonds et liquides à même de contribuer, aux côtés du crédit bancaire, au financement de ses entreprises tout en offrant à ses citoyens des outils d’épargne répondant à leurs besoins. Les marchés financiers sont stratégiques pour le développement des secteurs clés de l’économie européenne. Si l’Union des marchés de capitaux a permis de réaliser des progrès, notamment en matière d’harmonisation, la profondeur et la liquidité des marchés de l’UE ne sont toujours pas à la hauteur des besoins. Face à des marchés nationaux relativement modestes dans un contexte post-Brexit, leur développement, et celui de leurs acteurs, est vital pour répondre aux besoins des entreprises, y compris celles de plus petite taille qui pourraient devenir les championnes de demain. Pour cela, un changement profond d’approche est nécessaire : au-delà de la stabilité financière, la transparence et la protection des investisseurs, il faut maintenant également poursuivre des objectifs de compétitivité des marchés financiers et des entreprises. Alors que les élections européennes auront lieu en juin, l’AMAFI formule des propositions pour ce changement d’approche : un nouvel élan pour des marchés de capitaux à même de répondre aux besoins de financement de l’UE. #Amafi #Europe #Finance #Capitalmarkets #CMU

La Banque africaine de développement (AFDB) et l’Initiative Making Finance Work for Africa (MFW4A) en collaboration avec le Comité régional africain (ARC) de l’International Trade and Forfaiting Association (ITFA) vous invitent au Séminaire bancaire sur le Financement du Commerce à l’intention des professionnels africains des sous-régions concernés sur le thème « L'évolution du paysage du financement du commerce en Afrique de l'Ouest et Centrale ». La traduction simultanée sera disponible en français et en anglais. ⏲ le 02 octobre à 09H00 GMT 🔗 https://lnkd.in/eSaZBGC2 Le paysage mondial du financement du commerce évolue rapidement, sous l’effet conjugué de la pression des innovations technologiques et du renforcement des réglementations. La complexité qui résulte de cet environnement présente autant des opportunités que des défis pour les institutions financières. En ce qui concerne le financement du commerce, même si le continent est loin d’être homogène, il présente des caractéristiques et des traits notables qui correspondent aux tendances observées sur les marchés mondiaux. Cependant, les défis du financement du commerce en Afrique de l’Ouest et Centrale sont plus profonds comparés à d’autres sous-régions du continent. Le but de ce séminaire est de favoriser une meilleure compréhension des évolutions mondiales en matière de financement du commerce et de leurs implications pour ces marchés en Afrique, la tendance écrasante de la numérisation dans le financement du commerce et les défis liés à la conformité et aux règlements et règles en matière de criminalité financière. L’objectif ultime est également d’établir une plateforme éducative pour les banques d’Afrique de l’Ouest et Centrale actives dans le domaine du financement du commerce et d’encourager la collaboration avec l’ARC de l’ITFA. Rejoignez-nous pour ce qui promet d’être une session très active sur le financement bancaire du commerce en Afrique de l’Ouest et du Centre! https://lnkd.in/eSaZBGC2 Idrissa DIOP Cada DJENZOU Tedd George Mali Aurelien Niama El Bassunie, CFA Francis Kemeze Marina Finken Lamin M Drammeh Ahmed Rashad ATTOUT

Investissements VS exploitation VS Trade Ce serait intéressant de voir quelle est la part de chaque forme de crédits accordés pour voir l'orientation de l'économie nationale d'inclusion. En effet, si ces 1.000 Mds DZD supplémentaires sont un bon indice de la dynamique financière dans l'économie nationale. Si ces ressources proviennent majoritairement des banques privées, conme souhaité par Monsieur le Président de la République. Si ces financements mobilisés ont eu comme contreparties des opérateurs économiques à forte valeur ajoutée, Si ces credit sont destinés à des projets d'investissements, des opérations d'équipements et des cycles d'exploitation de sociétés et d'entreprises de l'économie réelle, Si ces financements ont bénéficié aux secteurs stratégiques, comme l'industrie, l'agriculture, le BTPH et le tourisme et non pas aux financements des importations trade, Alors, c'est dans la bonne voie. https://lnkd.in/eCe4EmY9

Un nouveau cycle va commencer pour les eurodéputés et l’essentiel sera pour les marchés financiers que l’Union des marchés de capitaux reste une priorité. Un article très intéressant de Sandra Sebag (Dr) qui fait le point sur cette question.

📧 Adapter #CSRD aux #PME : un défi pour l’EFRAG 💡 Le 22 janvier 2024, l’EFRAG a lancé une consultation publique sur l’adaptation de la directive CSRD aux petits et moyennes entreprises. La commission Analyse extra-financière de la SFAF a répondu à la partie concernant les PME non cotées. Explications par Alexiane Bellone, responsable Affaires publiques de la SFAF. Corinne Baudoin 🖱 Retrouvez l'article sur le site de la SFAF via le lien en commentaire ! #finance #bourse #banque #économie #formation

Privatisations : Les caisses de l’Etat renflouées… 27/03/2024. Ali Benyahia Le Crédit populaire algérien (CPA) vient d’allonger la très courte liste des grandes entreprises cotées à la Bourse d’Alger. L’introduction hier au marché boursier de la première banque étatique réussira-t-elle à dynamiser ce marché où figurent déjà, sur le marché principal, les quatre entreprises : le groupe Saidal (pharmaceutique), EGH El Aurassi (tourisme), Alliance assurances, Biopharm (pharmaceutique). Il s’agit là d’un des objectifs majeurs assignés à cette transaction financière, dont le gouvernement en place attend beaucoup aussi bien en termes de transformation au niveau de la gouvernance des banques publiques que de leur modernisation. En procédant de la sorte, le gouvernement Tebboune va-t-il réussir le pari de réengager le train des réformes économiques qui patinent depuis deux décennies ? La question est centrale. Il s’agit là en fait de la pierre angulaire des réformes du secteur bancaire et financier, voire des réformes économiques en général, étant donné l’impact que cette introduction ne manquera pas d’avoir sur le processus de transition vers l’économie de marché, tel que les gouvernements successifs l’ont appelé de leur vœux depuis plus de 20 ans. N’est-ce pas que la première grande tentative de privatisation des banques, en l’occurrence le CPA, remonte au début des années 2000, durant le premier mandat de Bouteflika, avant de l’abandonner, dans des circonstances jamais élucidées, au stade d’une évaluation économique à peine entamée par un cabinet étranger. Il fut question alors de céder cette banque à un repreneur étranger. Aujourd’hui, le choix porté sur la privatisation via la Bourse du CPA et de la BDL (Banque de développement local) prochainement va-t-il atteindre l’objectif qui lui est assigné, à savoir l’amélioration de son management et le défi de transparence ? Les observateurs de la scène économique méditent déjà sur le succès de la démarche et espèrent que cette opération pourra avoir un effet d’entraînement sur le reste des réformes. Il y a lieu d’indiquer, dans cette optique, que le processus des réformes inscrit à l’actif du gouvernement actuel englobe aussi la privatisation des entreprises publiques économiques du secteur industriel. Ce dernier constitue en effet un casse-tête chinois aux dirigeants, qui constatent depuis longtemps son immobilisme, si ce n’est sa décadence. Nombre d’EPE engloutissent des sommes colossales de l’argent public juste pour maintenir l’activité et donc des emplois. L’Exécutif, bien qu’il tergiverse, considère que céder ces entités au privé reste l’unique solution pour certaines d’entre elles. Mais force est de relever que toutes ces privatisations constituent une entrée d’argent pour le Trésor public. Le gouvernement peut être intéressé ainsi par renflouer les caisses de l’Etat. Il en est ainsi pour le produit de vente des 30% du capital du CPA. suite dans commentaire