Post de Ville de Malmedy

🤝 Avec l'humble fierté d'avoir contribué à ce bel ouvrage en proposant un article consacré aux Châteaux de la Seine. 🙏 Les châteaux de la Seine : C'est la première fois que l'on adopte ce point de vue, l'étude en perspective de tous les châteaux construits en bord de Seine, en IDF, sous l'Ancien Régime ⚜️ ! ➡️ Qui sont les maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre de ces châteaux ? Observe-t-on une filiation ou une continuité ? ➡️ Quels sont les avantages et les inconvénients d'une implantation en bord de Seine ? ➡️ En fonction de la topographie de la parcelle, quels types de jardin construit-on : en perspective ? en terrasse ? en parallèle de la Seine ? Quelques réponses bientôt 😉 Un merci infini à Stéphanie Celle qui ne cesse de croire en ce sujet passionnant et novateur.

L’histoire d’un bâtiment Auvergnat : La Maison de l’Apothicaire à Montferrand Édifice classé Monument Historique le 3 janvier 1889 Il s’agit d’une Maison à pans de bois du XVe siècle. La maison de l'apothicaire se trouve au cœur du quartier Montferrand, à Clermont-Ferrand. La bâtisse, typique du Moyen Âge, en pans de bois et colombages, se situe rue de la Rodade, au croisement avec la rue des Cordeliers. Le bâtiment a subit un abaissement du niveau de l’axe nord-sud en 1733 et 1734 et a transformé la physionomie du bâtiment dont l’ancien rez-de-chaussée se trouve maintenant au premier étage.  Le soubassement et l’ancien rez-de-chaussée sont en pierre de Volvic. Les deux étages au-dessus, en encorbellement, sont à pans de bois. La toiture à 2 pans se caractérise par 2 versants pouvant être ou non de même surface. En façade, la Maison de l’Apothicaire retient l’attention par son enseigne : deux figures sculptées en vis à vis, à gauche un apothicaire tenant son instrument médical un clystère, et à droite son patient en attente de son traitement. Jadis une officine d’apothicaire, puis local commercial accueillant un café pendant plus d’un siècle et demi. Le café a cessé son activité, car le lieu n’était plus adapté aux différentes normes et a été désaffecté en janvier 2022, cette demeure est une des nombreuses curiosités de l’ancienne cité médiévale qu’est Montferrand. Aujourd’hui, l'association de sauvegarde de l'apothicaire de Montferrand œuvre pour faire vivre le lieu que ce soit des boutiques éphémères ou des expositions... À terme, l'association souhaiterait que la maison de l'apothicaire devienne une maison du patrimoine de Montferrand. #immobilier #montferrand #agentimmobilier #kw

L’histoire d’un bâtiment Auvergnat : La Maison de l’Apothicaire à Montferrand Édifice classé Monument Historique le 3 janvier 1889 Il s’agit d’une Maison à pans de bois du XVe siècle. La maison de l'apothicaire se trouve au cœur du quartier Montferrand, à Clermont-Ferrand. La bâtisse, typique du Moyen Âge, en pans de bois et colombages, se situe rue de la Rodade, au croisement avec la rue des Cordeliers. Le bâtiment a subit un abaissement du niveau de l’axe nord-sud en 1733 et 1734 et a transformé la physionomie du bâtiment dont l’ancien rez-de-chaussée se trouve maintenant au premier étage.  Le soubassement et l’ancien rez-de-chaussée sont en pierre de Volvic. Les deux étages au-dessus, en encorbellement, sont à pans de bois. La toiture à 2 pans se caractérise par 2 versants pouvant être ou non de même surface. En façade, la Maison de l’Apothicaire retient l’attention par son enseigne : deux figures sculptées en vis à vis, à gauche un apothicaire tenant son instrument médical un clystère, et à droite son patient en attente de son traitement. Jadis une officine d’apothicaire, puis local commercial accueillant un café pendant plus d’un siècle et demi. Le café a cessé son activité, car le lieu n’était plus adapté aux différentes normes et a été désaffecté en janvier 2022, cette demeure est une des nombreuses curiosités de l’ancienne cité médiévale qu’est Montferrand. Aujourd’hui, l'association de sauvegarde de l'apothicaire de Montferrand œuvre pour faire vivre le lieu que ce soit des boutiques éphémères ou des expositions... À terme, l'association souhaiterait que la maison de l'apothicaire devienne une maison du patrimoine de Montferrand. #immobilier #montferrand #agentimmobilier #kw

La ville de Neuchâtel insolite (87) PERSISTANTE AUBERGE Les noms de rue plus ou moins étonnants ne manquent pas en ville de Neuchâtel. J’ai choisi celle du Coq d’Inde pour son côté intrigant, mais aussi parce que la place du même nom a connu une riche histoire. Intriguant? Cette rue doit son nom à l’auberge du Coq d’Inde. Elle s’est ouverte du côté nord en 1631. Quant au coq d’Inde, c’est tout simplement le nom de l’on donnait autrefois au dindon (voir image en commentaire). Auparavant, l’endroit portait le nom de rue des Chaudronniers. C’est là que s’activaient les artisans travaillant le fer et l’étain, des orfèvres, des maréchaux-ferrants et des chaudronniers. Côté sud, le bâtiment situé au numéro 3 présente une particularité: contrairement à ce qu’avaient décidé les autorités avant la construction de ce nouveau groupe d’habitations, le propriétaire n’a pas respecté l’alignement prévu pour les façades, les étages et les corniches. Ces exigences architecturales, une nouveauté à l’époque, datent de 1684. Elles préfigurent le futur règlement communal de construction. A noter que la fontaine présente aujourd’hui à l’entrée est de la rue du Coq-d'Inde fut d’abord un puits (dès 1681), avant de devenir une fontaine en 1875. Elle a été déplacée à plusieurs reprises sur la place des Halles (voir image en commentaire). Etonnant, non? La série complète se trouve aussi su mon compte Instagram: https://lnkd.in/e9cUUW27 #neuchatel #neuchâtel #neuchatelville #place #coqdinde #fontaine #architecture #urbanisme #nomsderues Ville de Neuchâtel République et Canton de Neuchâtel ArcInfo

Découvrez comment il est possible de vivre dans un lieu chargé d'histoire tout en profitant du confort moderne. Cette chapelle du XIIIe siècle, magnifiquement restaurée, est une véritable pépite immobilière située au cœur d'Avignon. Avec sa terrasse en roof top, elle offre une expérience de vie unique. #ImmobilierDePrestige #PatrimoineHistorique #Avignon #immobilier #montpellier #centrimmo #centrimmobyscs Besoin de conseils pour votre projet ? ✅ Christophe Sintès ✅ christophe@centrimmo.fr

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L'Hôtel de Ville de la Wilaya de Souk Ahras (La mairie) vient de recevoir un don financement pour la modernisation, la mise en accessibilité, en musée de l'histoire. Siège principal de la première mairie de l’Algérie indépendante, la bâtisse, véritable joyau architectural, est un témoin de premier ordre de l’Histoire de la ville. La bâtisse construite en 1886 et inaugurée officiellement en 1887 sous l’égide d’ingénieurs français mais de mains maltaises et italiennes, était destinée avec son style mi-baroque mi-médiéval, aux visiteurs européens qui devaient se reconnaître à travers un bâtiment qui viendrait briser le décor local. On y implanta un commissariat civil et plusieurs services de l’administration coloniale. L’Hôtel de ville de Souk Ahras est un bel édifice de style baroque, mais ayant subit beaucoup de dégradations, pour cause d’abandon durant des années, et absence totale d’entretien. Des opérations de réhabilitation effectuées antérieurement n’ont pu produire les effets escomptés et c’est en insistant sur la valeur historique de cette construction vieille de plus d’un siècle, témoin de toute une histoire d’une ville qui préserve jalousement ses joyaux architecturaux. La détérioration des tuiles en schiste et du réseau de chéneaux d’évacuation des eaux pluviales ont permis aux eaux de pluie de s’infiltrer durablement, et de dégrader charpentes, planchers et murs. La restauration consiste principalement à la mise hors d’eau de l’édifice, notamment par le traitement des tuiles en schiste, impossibles à remplacer du fait de leur inexistence sur le marché local, et de leur prix excessif sur le marché étranger. D’autre part, less travaux nécessitent la réparation de maçonneries, et des enduits. Des travaux de renovation ont été déjà réalisés en 2005 par une Agence d'architecture d'Alger Atelier 3 dimensions. Faouzi DJOUDI

Très belle maison moderne livrée en Gironde

Les Jardins de la Cathédrale : le projet qui va entrer dans l’histoire de Valence Ce projet consiste à réaliser un double escalier monumental permettant de relier la basse-ville et le centre-ville piétonnier, mais pas seulement : il s’agit d’aménager un véritable espace public de 2000 m2 avec des terrasses et des jardins suspendus. L’escalier double s’inspire du projet du 19e siècle de l’architecte Bailly de créer un escalier monumental axé sur le clocher de la cathédrale de Valence, projet prenant sa source au 11e siècle, lors de la construction de cette dernière. Le projet de Bailly n’avait jamais abouti mais la Ville de Valence avait gardé des plans historiques. Ce sont ces plans sur lesquels Philippe Aramel, l’architecte des Bâtiments de France, s’est appuyé pour proposer le projet aux élus municipaux, qui ont de suite été conquis par la perspective d’un escalier patrimonial entouré de jardins. L’objectif : créer une liaison directe entre le parvis de la cathédrale, la place des Ormeaux, le cœur de ville et la basse-ville, sachant qu’une seconde liaison permettra de traverser les jardins du Nord au Sud, depuis la rue de la cathédrale jusqu’à la place Pie VI et les boulevards. Cet escalier permettra non seulement d’assurer la jonction entre la basse-ville et le centre-ville piétonnier mais aussi d’aménager et d’embellir l’espace disponible depuis la démolition de l’école Pérochon en 2019. L’escalier Sud permettra de relier la place Mirabel Chambaud au parvis de la cathédrale par une succession de cinq volées (série continue de marches entre deux paliers). L’escalier fera 3,2 m de largeur et sera accompagné de deux mains courantes de chaque côté. Le parti pris structurel consiste à renforcer les murs existants de manière à sécuriser et stabiliser le talus et les murs de soutènement (celui de la cathédrale St-Apollinaire et celui situé au Nord de l’ancienne école). Cette stabilité étant une question permanente qui doit ainsi être définitivement résolue. Le projet comprend 1 380 m² de surfaces végétalisées, soit près de 6 fois l’espace végétalisé de la place des Ormeaux qui vient de s’achever et l’équivalent du square Bonzon, rue Marx Dormoy. Au niveau de l’escalier monumental, la végétation permettra d’accompagner l’architecture et les percées visuelles. Le jardin est traité en une trame régulière retranscrivant l'image des jardins médiévaux. La composition est marquée par la succession de 3 massifs dont la floraison ou le feuillage des végétaux reprennent les couleurs liturgiques (violet, rouge, vert, blanc ou encore doré). Un massif sera traité par une pelouse comme un espace de contemplation. Il comprend également 500 m² aménagés : l’accessibilité des terrasses aux personnes à mobilité réduite sera réalisée depuis la place Pie VI (circulation, parvis, seuil, passerelles…).