DIGRESSION MEDIA : Suite aux orages, l'ascenseur de l'EMS est en panne sèche.
Cet incident nous rappelle l'importance cruciale de la gestion des risques dans tout projet ou organisation. Prenons un exemple concret que Prefix rencontre régulièrement chez ses clients : l'implantation d'un logiciel qui doit permettre d'optimiser un processus de travail.
Au démarrage du projet, Prefix procède à une analyse des risques en utilisant la démarche suivante :
🎯 Définition de l'Objectif : Avant de se lancer dans l'analyse des risques, il est essentiel de définir clairement l'objectif qui fait l'objet de l'analyse. Dans notre exemple, l'objectif sera "Permettre aux employés de gagner 20% sur leur temps de travail une fois le logiciel déployé".
🕵️♂️ Identification des Risques : Il s'agit d'identifier tous les éléments qui découlent de la question "Qu'est-ce qui pourrait nous empêcher d'atteindre cet objectif ?". Par ex. des problèmes techniques, la résistance des employés à l'utilisation du nouveau logiciel, le manque de formation, le logiciel qui ne répond pas suffisamment aux besoins des utilisateurs, etc.
⚖️ Évaluation et Priorisation : Chaque risque est évalué en termes de probabilité et d’impact. Le produit des deux permet de classer les risques par ordre de criticité. Dans notre exemple, le manque de formation a été estimé peu probable et moyennement impactant alors qu'un problème technique particulier a été estimé très probable et très impactant.
📋 Plan de Réponse : Un plan de réponses est élaboré par catégories de criticité. Dans notre exemple, le manque de formation a été estimé de criticité faible et aucune action n'a été mise en place (aucune mesure = accepter le risque), alors que pour contrer le risque de problème technique, deux mesures ont été mises en place : planifier une stratégie de tests (mesure préventive = éloigner le risque) et mettre en place une équipe de dépannage (mesure corrective = atténuer l'impact).
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