Des élections législatives controversées viennent de se tenir en Géorgie, pays du Caucase coincé entre la Russie et la Turquie. Alors que le parti au pouvoir clame sa victoire haut et fort, l’opposition dénonce un scrutin biaisé et truqué. Elle promet de se battre pour faire respecter la volonté du peuple. Le pays s’enfonce dans une crise politique qui pourrait menacer son avenir européen. Le parti au pouvoir en tête, l’opposition crie au scandale Selon les résultats officiels portant sur 70% des bureaux de vote, le parti Rêve géorgien au pouvoir arrive largement en tête avec 53% des voix. La coalition d’opposition pro-européenne United National Movement (MNU) ne récolte que 38%. Mais ces derniers contestent ces chiffres. «Nous ne reconnaissons pas les résultats faussés d’élections volées » – Tina Bokoutchava, cheffe du MNU L’opposition dénonce « une usurpation du pouvoir et un coup d’État constitutionnel ». Selon ses leaders, elle aurait « décrypté le schéma de falsification » du scrutin par le parti dirigeant. Des déclarations explosives dans ce petit pays de 4 millions d’habitants. L’enjeu crucial de l’adhésion à l’UE Ces élections revêtent une importance particulière car elles pourraient déterminer l’avenir européen de la Géorgie. Le pays a inscrit son ambition d’adhésion à l’UE dans sa Constitution. Mais Bruxelles a averti que les chances de la Géorgie d’y parvenir dépendraient du bon déroulement de ce scrutin. Or, l’opposition accuse justement le Rêve géorgien de dérive autoritaire et de rapprochement avec la Russie. Elle dénonce son projet de modifier la Constitution pour interdire les partis pro-occidentaux s’il obtenait la majorité des trois-quarts au Parlement. Un scénario qui semble se profiler à la vue des résultats controversés. Un pays meurtri par la guerre avec la Russie La Géorgie reste profondément marquée par la brève mais intense guerre qui l’a opposée à la Russie en 2008. À son issue, Moscou a installé des bases militaires dans deux régions séparatistes géorgiennes, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud, dont elle a reconnu l’indépendance unilatéralement. Certains dirigeants du Rêve géorgien se montrent très critiques envers les Occidentaux. Bidzina Ivanishvili, l’homme fort du parti, les a qualifiés de « parti mondial de la guerre » qui traiterait la Géorgie comme de la « chair à canon ». Son parti a fait campagne en se présentant comme le seul rempart contre une « ukrainisation » du pays. Un avenir incertain Les jours à venir s’annoncent décisifs pour la Géorgie. L’opposition a déjà appelé à manifester pour défendre « la volonté du peuple ». Va-t-elle réussir à renverser la vapeur ? Le parti au pouvoir parviendra-t-il à imposer sa vision d’une Géorgie plus distante de l’Occident ? Une chose est sûre, le petit pays du Caucase est entré dans une zone de fortes turbulences. Son destin européen est plus que jamais en jeu. La communauté internationale retiendra son souffle en attendant de voir comment cette...
Post de Maelien Goarin
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La récente supposée victoire du parti prorusse « Rêve géorgien » lors des élections législatives en Géorgie suscite de vives inquiétudes quant à la régularité du scrutin. Avec un score annoncé de 54,08 % contre 37,58 % pour la coalition pro-européenne, selon les résultats de la commission électorale centrale, cette victoire a immédiatement été contestée. Salomé Zourabichvili, présidente de la Géorgie, en désaccord ouvert avec le gouvernement, a dénoncé une « falsification totale » attribuant ces irrégularités à une possible « opération russe ». L’opposition, s’appuyant sur des sondages de sortie des urnes lui attribuant initialement l’avantage, refuse de reconnaître les résultats, qualifiant ces élections de « volées ». Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a exprimé son soutien aux demandes d’une enquête exhaustive, rejoignant ainsi les observateurs internationaux et locaux qui réclament des clarifications sur les irrégularités présumées. Charles Michel, président du Conseil européen, a également exhorté les autorités géorgiennes à mener une enquête « transparente et indépendante ». Se distinguant au sein de l’Union européenne, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, un proche allié de Moscou, a félicité le « Rêve géorgien » pour sa victoire « écrasante » et s’apprête à se rendre en Géorgie pour une visite officielle. Avec une majorité de 91 sièges sur 150 au Parlement, le parti « Rêve géorgien » obtient ainsi une assise suffisante pour gouverner, bien que restant en deçà des trois quarts nécessaires pour modifier la Constitution. Ce seuil était essentiel pour concrétiser leur projet visant à restreindre les activités des partis pro-occidentaux. Mikheil Saakachvili, ex-président actuellement emprisonné et figure critique du gouvernement, a appelé à des manifestations de grande envergure pour défendre la liberté et a exhorté à un boycott du Parlement. La Coalition pour le changement, une composante de l’opposition, a renoncé à ses sièges parlementaires, refusant de cautionner le scrutin. Selon Gela Vasadze, analyste du centre stratégique sur la Géorgie, le pays entre dans une phase d’instabilité. Cependant, l’opposition semble manquer de leaders capables de canaliser efficacement la frustration populaire. Ces événements surviennent après des manifestations massives en mai contre une loi dite sur « l’influence étrangère », inspirée de la législation russe visant les « agents de l’étranger », et perçue comme une menace pour la société civile. Suite à ces tensions, l’Union européenne a suspendu le processus d’adhésion de la Géorgie, tandis que les États-Unis ont imposé des sanctions à l’encontre de certains responsables géorgiens.
Législatives en Géorgie : intégrer l’UE reste «la priorité» du gouvernement, promet le premier ministre
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Les élections législatives en Géorgie ont été marquées par la controverse, l’opposition dénonçant un scrutin « volé ». Cependant, un recomptage partiel des votes vient de confirmer la victoire du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, qui dirige le pays depuis 2012. Selon la commission électorale, le nouveau décompte de quelque 12% des bureaux de vote et 14% des bulletins « n’a pas entraîné de modification significative des résultats officiels précédemment annoncés ». Seuls de très légers changements ont été constatés dans environ 9% des bureaux recomptés. Une victoire qui ne convainc pas l’opposition Malgré ce recomptage, l’opposition persiste à ne pas reconnaître les résultats du scrutin législatif de samedi dernier. La présidente Salomé Zourabichvili elle-même, pourtant issue du Rêve géorgien mais en rupture avec le gouvernement, a dénoncé un système « sophistiqué » de fraudes pendant ces élections. Convoquée par le parquet dans le cadre d’une investigation sur cette « falsification présumée », la cheffe de l’État a annoncé mercredi qu’elle refusait de s’y rendre. Une prise de position forte qui illustre les vives tensions autour de ce scrutin. Des irrégularités constatées par les observateurs internationaux Les accusations de l’opposition ne sont pas sans fondement. En effet, les observateurs internationaux dépêchés pour surveiller le bon déroulement des élections ont eux aussi relevé des irrégularités. L’Union européenne a d’ailleurs appelé à une enquête sur ces allégations de fraudes. L’UE demande une enquête sur les allégations de fraudes pendant les législatives en Géorgie. D’après une source diplomatique européenne Un test pour l’avenir européen de la Géorgie Au-delà des enjeux de politique intérieure, ces élections revêtaient une importance particulière car elles étaient considérées comme un test pour l’avenir européen de la Géorgie. Le pays du Caucase ambitionne en effet de rejoindre un jour l’Union européenne et l’OTAN. Si le Rêve géorgien assure poursuivre ces objectifs, il est cependant accusé de dérive autoritaire. Certains craignent même qu’il ne cherche à jeter la Géorgie dans les bras de Moscou, malgré les affirmations contraires du parti au pouvoir. Des tensions persistantes avec la Russie Il faut dire que les relations entre la Géorgie et la Russie restent très tendues depuis la brève guerre qui les a opposées en 2008. Un conflit au cours duquel l’armée russe avait envahi le territoire géorgien, un épisode marquant pour le pays. Aujourd’hui encore, Moscou maintient des bases militaires dans deux régions séparatistes géorgiennes, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud, dont elle a reconnu l’indépendance. Une situation qui hypothèque sérieusement les perspectives d’intégration euro-atlantique de la Géorgie. Le gouvernement géorgien semble néanmoins déterminé à poursuivre son rapprochement avec l’Occident. Mais il doit composer avec une opposition qui l’accuse de vouloir renouer avec l’ancien maître russe et avec un...
Les élections législatives en Géorgie ont été marquées par la controverse, l’opposition dénonçant un scrutin « volé ». Cependant, un recomptage partiel des votes vient de confirmer la victoire du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, qui dirige le pays depuis 2012. Selon la commission électorale, le nouveau décompte de quelque 12% des bureaux de vote et 14% des bulletins « n’a pas entraîné de...
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En Géorgie, les élections législatives du mois dernier continuent de faire des vagues. Jeudi, la commission électorale a confirmé la large victoire du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, avec 53,9% des voix contre 37,7% pour la coalition d’opposition pro-européenne. Un résultat contesté par cette dernière qui dénonce un scrutin “volé” et une dérive autoritaire prorusse du gouvernement. Selon une source proche de l’opposition, un système “sophistiqué” de fraudes électorales aurait été mis en place, suivant une “méthodologie russe”. Des dizaines de milliers de Géorgiens sont descendus dans les rues de Tbilissi lundi, drapeaux européens et géorgiens au vent, pour protester contre ce qu’ils considèrent comme une élection truquée. Un pays tiraillé entre Europe et Russie Cette crise post-électorale met en lumière les tiraillements de la Géorgie, ex-république soviétique du Caucase coincée entre ses aspirations européennes et l’influence de son puissant voisin russe. L’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN figure dans la constitution du pays, mais certains dirigeants du parti au pouvoir multiplient les déclarations hostiles envers l’Occident. Le Premier ministre Irakli Kobakhidzé assure pourtant que “l’intégration européenne” reste la “principale priorité” de son gouvernement. Il a appelé à une reprise des discussions avec Bruxelles, gelées après l’adoption d’une loi controversée “sur l’influence étrangère” inspirée d’une législation russe. L’ombre de Moscou En toile de fond, le spectre de l’ingérence russe plane sur le processus électoral géorgien. Une accusation rejetée par le Kremlin. Mais pour beaucoup d’observateurs, le Rêve géorgien s’est engagé dans une dérive autoritaire prorusse préoccupante. Pendant la campagne, le parti s’est présenté comme le seul rempart pour éviter à la Géorgie de subir le même sort que l’Ukraine. Un argument qui résonne douloureusement dans ce pays profondément marqué par la guerre éclair de 2008 contre la Russie. À l’issue de ce conflit, Moscou a reconnu l’indépendance de deux régions séparatistes géorgiennes, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud, où ses troupes sont toujours stationnées. Enquêtes sur des fraudes présumées Face aux accusations de l’opposition, le parquet géorgien a ouvert des enquêtes sur de possibles falsifications du scrutin. 47 dossiers judiciaires ont été ouverts et deux personnes interpellées pour bourrage présumé d’urnes dans un bureau de vote de province. Mais pour la formation d’opposition Géorgie forte, ce ne sont que des gesticulations d’un “bureau du procureur contrôlé par la Russie”. Washington et Bruxelles, qui se sont inquiétées “d’irrégularités”, ont appelé à des investigations approfondies et transparentes. Dans son rapport annuel sur l’élargissement publié mercredi, la Commission européenne a prévenu qu’elle ne serait “pas en mesure de recommander l’ouverture de négociations d’adhésion” sans un changement de cap de la Géorgie. Une présidente en rupture avec le pouvoir Dans...
En Géorgie, les élections législatives du mois dernier continuent de faire des vagues. Jeudi, la commission électorale a confirmé la large victoire du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, avec 53,9% des voix contre 37,7% pour la coalition d’opposition pro-européenne. Un résultat contesté par cette dernière qui dénonce un scrutin “volé” et une dérive autoritaire prorusse du gouvernement. Selon...
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La revue de presse du retail : Géorgie: des législatives à valeur de "référendum" entre l'Europe et la Russie: Les Géorgiens sont appelés samedi aux urnes pour des élections législatives cruciales pour l'avenir de leur pays, un scrutin à valeur de "référendum" entre les formations d'opposition pro-européennes et le parti conservateur au pouvoir, accusé de dérive autoritaire prorusse. Les résultats du vote, organisé entre 04H00 et 16H00 GMT, seront scrutés de près à Bruxelles, au moment où les dirigeants européens craignent que la Géorgie ne s'éloigne de son ambition d'adhérer à l'UE, un objectif pourtant si précieux pour cette nation du Caucase qu'il est inscrit dans sa Constitution. De récents sondages indiquent qu'une alliance d'opposition pourrait rassembler assez de voix pour vaincre le Rêve géorgien, le parti du discret milliardaire Bidzina Ivanichvili, qui tire en sous-main les ficelles du pouvoir depuis une dizaine d'années. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #GrandeConso #retail
Géorgie: des législatives à valeur de "référendum" entre l'Europe et la Russie
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NOUS DEVONS TOUS SOUTENIR LES DEMOCRATES GEORGIENS : des milliers d’habitants manifestent dans la rue contre l’annonce jeudi dernier par le gouvernement pro-russe de sa décision d’arrêter les négociations d’adhésion à l’Union Européenne. Ces manifestations sont violemment réprimées par la police anti-émeutes. La présidente de la république Salomé Zourabitchvili, dont le mandat se termine théoriquement le 19 décembre prochain, a annoncé hier soir qu’elle resterait au pouvoir jusqu’à l’organisation d’élections libres et démocratiques : « Tant qu’il n’y aura pas de nouvelles élections (…) mon mandat se poursuivra (...). Personne en dehors de la Géorgie, parmi nos partenaires démocratiques, n’a reconnu les élections ». L’ancienne diplomate française, dont la famille avait quitté la Géorgie indépendante lors de l’invasion soviétique en 1921, a été élue à la tête de la Géorgie en 2019 au suffrage universelle. Pro-Européenne convaincue, elle a obtenu l’année dernière que son pays acquiert le statut d’état candidat à l’Union Européenne. Elle est la figure de proue de l’opposition face au gouvernement de plus en plus pro-russe du Rêve Géorgien financé par le milliardaire Bidzina Ivanichvili dont la fortune est estimé à un quart du produit national brut du pays. MERCI DE RELAYER CE MESSAGE. Depuis plusieurs années, les sondages enregistrent que 80% des Géorgiens se déclarent en faveur de l’adhésion de leur pays à l’Union Européenne et à l’OTAN. Face à la guerre hybride menée par Vladimir Poutine pour reconquérir cette ancienne république de l’Union Soviétique, les Géorgiens n'ont d'autre choix que de manifester comme les Ukrainiens fin 2013 sur la place Maïdan. Quant aux dirigeants des principaux pays démocratiques, ils sont en ce moment malheureusement aux abonnés absents. Il est donc indispensable que le maximum de personnes attachées à la défense de la liberté et de la démocratie apportent leur soutien au peuple géorgien. #georgie , #freegeorgia , #democratie , #europeanunion
En Géorgie, la présidente Salomé Zourabichvili déclare qu’elle ne quittera pas son poste à l’issue de son mandat
lemonde.fr
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🇬🇪 Les élections législatives en Géorgie, qui ont eu lieu le 26 octobre 2024, et qui sont remportées par le parti au pouvoir Rêve géorgien, ont provoqué des remous politiques et accentué les tensions avec l’Union européenne. Le scrutin, donnant 53,9 % des voix au parti majoritaire face à une coalition pro-européenne, qui a obtenu 37,7 %, a suscité des accusations de fraude. 💡 Pourquoi déclare-t-on que les votes ont été volés ? Peut-on dire que la Géorgie tombe sous l'influence russe ? Est-ce que les résultats de ce scrutin sont dangereux pour l'Union Européenne ? Retrouvez l'article complet sur notre site et n'hésitez pas à le partager et à laisser un commentaire. https://lnkd.in/eXntTW3c
Géorgie : Victoire contestée du Rêve géorgien, entre influence russe et aspirations européennes
eurasieanalyse.fr
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Moi, Emmanuel Macron et mon parti appelé ironiquement "Renaissance", j'ai : - Exercé une pression sur les Français pour s'injecter une substance qui n'a aucune efficacité en matière de lutte contre la "plus grande plandémie de l'Histoire". Une substance qui est même, empiriquement, contre-productive, au regard du fait que les non-injectés, le lot témoin, a mieux résisté au virus. Une substance qui entraîne, par ailleurs, des effets secondaires graves, des décès, des reprises de maladies plus ou moins stabilisées. - Soufflé sur les braises du conflit israélo/palestinien en apportant un soutien inconditionnel à un État dont les dirigeants sont loin d'être blancs comme neige, c'est le moins que l'on puisse dire, au point de provoquer une fronde du Quai d'Orsay. - Alimenté des émeutes suite au décès du prénommé Naël en violant de manière patente la présomption d'innocence du policier mis en cause, le tout en totale rupture avec les principes de séparation des pouvoirs et d'indépendance de la Justice, dont je suis le garant ; - Soufflé sur les braises du conflit russo/ukrainien en fournissant une aide à l'Ukraine afin de réaliser, au forceps, le projet d'intégration de ce pays dans le couple OTAN/UE. Je suis même prêt à mettre en danger la sécurité de "mes" compatriotes - des personnes, par ailleurs, que je méprise de manière éhontée - pour réaliser cet objectif, "quoiqu'il en coûte"... - Participé à provoquer, avec mes amis banquiers centraux, et par diverses manœuvres, une inflation à deux chiffres signant ainsi la fin de l'abondance, une inflation conduisant des millions de nos compatriotes dans la précarité alimentaire. - Augmenté la dette publique de 800 à 900 milliards d'euros en 7 ans, afin de préparer mon objectif de mise sous tutelle de la France ; - Autorisé - encouragé - la vente d'une multitude d'entreprises sensibles à des investisseurs étrangers. LISTE DE GRIEFS LOIN D'ÊTRE EXHAUSTIVE ! Et, dans un sondage relatif aux élections européennes, ma liste est donnée à 21% d'intentions de vote...un niveau proche de celui obtenu par la majorité dite présidentielle - comme le relate l'article en lien - en 2019 (22,42%). C'est beau la démocratie !
SONDAGE EXCLUSIF LCI - Européennes : le RN toujours largement en tête devant le camp présidentiel | TF1 INFO
tf1info.fr
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🖋 Notre Président Alexandre MANCINO défend une vision claire pour sortir la France du marasme politique actuel, en évitant le deux poids deux mesures et en assumant une ligne pragmatique. Les élections législatives revêtent une importance cruciale pour l'avenir du pays. Une clarification évidente doit avoir lieu par le vote que nous souhaitons le plus massif possible. Ce choix de société déterminera l'avenir de la France. https://lnkd.in/ghvSmTVX
[Législatives 2024] - Une vision claire pour sortir du marasme — Cercle Orion
cercleorion.com
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Quelques éléments d’analyse dans Le Monde dans cet article de Philippe Ricard. Si l’évolution de la guerre en Ukraine est une question cruciale pour l’Europe, la stratégie du Président de la République consistant à placer l’Ukraine au cœur de la campagne pour les élections européennes risque de produire des effets ambivalents. Du point de vue de l’opinion publique en France, la partie de l’électorat défavorable à l’UE est aussi celle qui se caractérise par les plus fortes réserves envers le soutien à l’Ukraine; par ailleurs, les enquêtes d’opinion suggèrent que les Français se situent parmi les Européens les plus réticents vis-à-vis des élargissements à venir de l’UE. Un an après le discours de Bratislava, qui avait marqué une rupture dans le discours des autorités françaises vis-à-vis de l’élargissement avec un message positif adressé aux pays d’Europe centrale, orientale et baltique, il reste à convaincre une opinion publique française sceptique. 20 ans après l’élargissement de 2004, les élections européennes pourraient constituer une occasion d’ouvrir ce débat… Encore faut-il pour cela un message politique clair et renouvelé qui soit énoncé et porté de manière forte sur le sujet non seulement en Europe… mais aussi en France…
Elections européennes : le pari ukrainien risqué de Macron
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