C’est désormais officiel : Le Coq Sportif restera l’équipementier de l’équipe de France olympique et paralympique jusqu’en 2026. Malgré une période financière délicate, la marque française a su convaincre le comité olympique (CNOSF) de lui renouveler sa confiance. Une belle marque de reconnaissance pour cet équipementier historique du sport tricolore. Une prolongation de contrat inespérée Ces derniers mois, les difficultés du Coq Sportif avaient fait naître des doutes quant à sa capacité à honorer ses engagements auprès des athlètes français pour les prochains Jeux Olympiques. La marque, qui avait déjà équipé les Bleus lors des JO de Tokyo en 2021, devait initialement passer la main après Paris 2024. Mais contre toute attente, le CNOSF a décidé de lui accorder sa confiance jusqu’en 2026, pour les Jeux d’hiver de Milan-Cortina. On se serait bien passé de la crise. Mais elle se termine plutôt bien puisque toutes les tenues de compétition ont finalement été livrées à temps pour les JO de Paris. – David Lappartient, président du CNOSF Lire la suite Un soutien financier crucial Pour permettre au Coq Sportif de tenir ses délais et de livrer les tenues des athlètes français à temps, un prêt de 3 millions d’euros avait été consenti par le comité d’organisation des JO de Paris à la holding Airesis, maison-mère de la marque. L’Etat était également venu à la rescousse avec un prêt garanti de 10 millions d’euros. Des coups de pouce financiers indispensables pour surmonter les difficultés liées à la hausse des coûts de l’énergie, du transport et des matières premières. Un périmètre recentré Pour ce nouveau contrat courant jusqu’en 2026, Le Coq Sportif se concentrera sur la fourniture des tenues de représentation des athlètes français. Près de 60 000 pièces devront être produites, avec la création d’une collection unique pour les JO d’hiver de Milan-Cortina. Un défi de taille pour la marque, mais aussi une formidable opportunité de démontrer tout son savoir-faire. Lire encore plus Le défi de la montée en gamme Depuis son rachat en 2005 par Airesis, Le Coq Sportif s’est engagé dans une stratégie de montée en gamme et de relocalisation d’une partie de sa production en France, dans son usine historique de Romilly-sur-Seine. Un virage qui n’est pas sans conséquence sur les ventes et les marges, avec un chiffre d’affaires en recul de 20 millions d’euros en 2022 et une perte nette de plus de 28 millions d’euros. Malgré ces chiffres préoccupants, la marque au coq entend bien poursuivre sa stratégie et capitaliser sur son image de marque et son savoir-faire tricolore. Avec ce nouveau contrat d’équipementier olympique, elle dispose d’une formidable vitrine pour asseoir sa légitimité et sa crédibilité. À condition de réussir le défi logistique et qualitatif des prochaines échéances olympiques. En bref Le Coq Sportif équipera l’équipe de France olympique jusqu’en 2026 La marque traversait une passe financière difficile avec 28M€ de pertes en...
Post de Maelien Goarin
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Face aux défis majeurs rencontrés par Le Coq sportif, l'équipementier historique français, plusieurs questions émergent quant à sa capacité d'honorer ses engagements pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Marc-Henri Beausire, PDG de la société, a récemment affirmé que le report de la publication des résultats annuels de 2023 n'était pas lié aux Jeux, attribuant ce retard aux complexités des normes IFRS et à la consolidation des chiffres. Malgré les inquiétudes, il a rassuré en indiquant que les livraisons des tenues avaient débuté début mai, avec les dernières prévues pour début juillet. Le Coq sportif, qui avait déjà habillé les athlètes français en 1924, fait face à une pression immense. Ce n'est pas seulement une question de logistique, mais également de survie financière. En 2025, la société doit prouver sa capacité à générer des bénéfices et à investir, comme l’a souligné Vincent Chaudel, fondateur de l’Observatoire du sport business. En 2022, l'entreprise a enregistré un chiffre d'affaires de 141 millions d'euros, mais aussi une perte nette de près de 7 millions d'euros. Ce partenariat avec les JO représente une opportunité en or pour Le Coq sportif, non seulement en termes de visibilité mais aussi comme un moyen de renforcer sa position sur le marché. La marque, détenue à 78 % par Airesis, a bénéficié d'investissements substantiels depuis son rachat en 2005, avec 70 millions d’euros injectés pour soutenir son développement. Airesis, cependant, traverse une période difficile, illustrée par la suspension de sa cotation à la Bourse suisse et le retard dans la publication de son rapport annuel. En dépit des challenges, Marc-Henri Beausire reste confiant, affirmant que "tout n’est pas facile, mais nous serons à l’heure". Cette assurance est essentielle alors que l’entreprise produit 100 % de ses patronages et une grande partie de sa confection à Romilly-sur-Seine, où elle emploie 147 de ses 363 salariés. Le pari sur le "made in France" pourrait s'avérer payant, mais il expose aussi l'entreprise aux aléas d’un environnement compétitif dominé par des géants comme Nike et Adidas. La situation est suivie de près par les autorités, notamment le Comité national olympique français (CNOSF), dont le président, David Lappartient a rencontré les dirigeants de Le Coq sportif il y a près de deux semaines. Bien que les retards aient été signalés, l'engagement de l'entreprise à livrer à temps n'est pas remis en question. Au besoin, des prestataires externes pourraient être sollicités, entraînant des surcoûts mais assurant le respect des délais.
Le Coq sportif donne des sueurs froides aux organisateurs des JO
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l'immixtion du lobbying au sein de la sphère sportive est en partie expliquée par le nombre des équipementiers concernant les tenues des équipes de France, des membres du COJOP, les salariés Paris 2024 et des volontaires vs un équipementier unique ( cf post du 16 nov 2023 ) Quel lobbying concernant les tenues obtiendra t-il la 🥇🥈🥉 ou en chocolat ? ( Bravo à la maison Chaumet 🥇( LVMH ), designer des médailles JOP PARIS 2024 ! Berluti ( LVMH ) pour habiller l'équipe de France pour les cérémonies d'ouverture des JOP Paris 2024 ? Décathlon pour fournir les tenues des 45k volontaires des JOP PARIS 2024 ? Le Coq Sportif fournisseur des tenues village, entraînements, podiums et compétitions pour la plupart des athlètes participant aux JOP Paris 2024 et aux membres du COJOP, VIP, officiels PARIS 2024, soit 15k personnes ? Nike concernant les équipes de France de football masculine et féminine ? Adidas concernant les équipes de France de handball, basket et d'athlétisme masculine et féminine ? TYR concernant certaines épreuves nautiques et de natation ? Eu égard aux éventuelles difficultés du Coq Sportif à fournir en temps et heure les tenues d'entraînement et de compétition, d'autres fédérations feront-elles appel à leur équipementier habituel pour ces JOP ? #sport #lobbying #jopparis2024 #equipementiers #marketing
JO-2024: inquiétudes autour du Coq sportif, l'équipementier des Bleus rassure
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📢 Le Coq Sportif : De la crise à la renaissance grâce aux Jeux Olympiques de Paris 2024 Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont marqué un tournant décisif pour Le Coq Sportif, redonnant un souffle nouveau à cette icône du sport français. 📊 Les chiffres : 2023 : Pertes nettes de 37 millions d'euros, situation financière délicate. Prêt stratégique du comité des JO, permettant à l’entreprise de surmonter ses difficultés. Fournisseur des tenues officielles pour les athlètes et arbitres français avec 150 000 pièces produites. 💡 Les plus : Visibilité mondiale et relance des ventes, avec une croissance de 20 à 30 %. Réaffirmation de la marque comme acteur clé du sport et du lifestyle. 📈 Et pour aller plus loin : Ce renouveau offre à Le Coq Sportif une seconde chance de redéfinir son positionnement, en capitalisant sur l'élan des JO et en revisitant son modèle économique. Les JO 2024 ont non seulement relancé la marque, mais aussi marqué le début d'une nouvelle ère de croissance pour Le Coq Sportif. #LeCoqSportif #JeuxOlympiques #Paris2024 #Sport #Renouveau #Lifestyle #Croissance
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JO-2024: inquiétudes autour du Coq sportif, l'équipementier des Bleus rassure Paris, 4 juin 2024 (AFP) - Retard de livraisons, maison mère suisse suspendue en Bourse... Les difficultés du Coq sportif, choisi pour la délégation française aux JO de Paris (26 juillet-11 août), suscitent des doutes sur la livraison dans les temps des tenues par l'équipementier qui se veut rassurant. La maison mère du Coq sportif, la holding suisse Airesis qui détient 78% des parts, a été suspendue lundi du négoce à la Bourse helvétique, en raison du retard dans la publication de ses résultats annuels. De quoi alimenter les inquiétudes sur la santé de l'entreprise de plusieurs acteurs du sport et de l'olympisme français interrogés par l'AFP, qui craignent que l'équipementier ne puisse fournir les 370.000 pièces commandées pour les JO. "C'est la panique depuis quelques semaines. Certaines fédérations sont inquiètes et commencent à douter de savoir si elles auront leurs équipements", assure à l'AFP un haut responsable du mouvement olympique français qui ne souhaite pas être nommé. Le Coq sportif a indiqué mardi à l'AFP ne pas être en mesure de répondre au sujet de la suspension de sa holding, contraint par ses obligations envers la Bourse suisse. "Retard" L'entreprise, qui compte 363 salariés dont 147 dans son usine de Romilly-sur-Seine (Aube), se veut rassurante: "Nous sommes en phase finale de livraisons et productions (...) toutes les fédérations seront livrées avant les jeux évidement", assure-t-elle à l'AFP. "Nous avons effectivement pris du retard dans le paiement de certains sous-traitants", admet-elle cependant. La marque française a été choisie en 2020 par le comité d'organisation pour équiper la quasi totalité des sportifs français sur les podiums et en compétition ainsi que pour déambuler au village olympique mais aussi les officiels et les arbitres. Une poignée de fédérations, comme le football ou l'athlétisme, ne sont pas incluses dans l'accord. Les difficultés économiques du Coq sportif ne sont pas récentes. La marque a failli disparaître dans les années 1990, avant d'être rachetée en 2005 par la société d'investissement suisse Airesis fondée par l'ex-patron d'Adidas, Robert Louis-Dreyfus, et relancée depuis Romilly, redevenant l'équipementier du XV de France en 2018. Comme d'autres entreprises du secteur, elle a dû faire face à la hausse des coûts de l'énergie, du transport, et des matières premières ces derniers mois. En 2022, la holding affichait une perte de 2 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 139 millions, puis 10 millions sur les six premiers mois de 2023, selon les derniers chiffres publiés. L'Etat est déjà venu à sa rescousse en lui accordant un prêt garanti de 10 millions en 2023, dans le cadre du plan gouvernemental d'aide aux entreprises touchées par les conséquences économiques du conflit en Ukraine, a indiqué la société à l'AFP, confirmant une information de Challenges.
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Spécialiste des équipements pour les sports de combat, du judo au MMA (arts martiaux mixtes), SportCom Europe investit deux millions d’euros dans un nouveau bâtiment, près de Nantes. Par ailleurs, au cœur de sa stratégie pour accroître sa notoriété, la PME fournira les rings d’entraînement et de compétition dédiés à la boxe pour les JO de Paris 2024. Très présent à l'international, SportCom privilégie le Made in France et souhaite doubler son chiffre d'affaires d'ici à 7 ans pour atteindre 12 millions d'euros. Jean René Savary, fondateur et dirigeant de SportCom : "Être fournisseur des JO est une référence, une fierté, mais c’est aussi une pression énorme. Nous devons être à la hauteur d’une compétition internationale, être irréprochable sur la qualité du matériel et sur notre capacité à fournir les services d’installation ou de maintenance. Les JO sont diffusés en direct, et il n’est pas question qu’un problème technique vienne empêcher le bon déroulement de la compétition." Veneta Georgieva, directrice du marketing et développement international : "Nous fournissons gratuitement les rings de boxe pour les JO de Paris, ainsi que les services d’installation et de surveillance. On peut dire qu’en termes d’investissements, c’est notre budget marketing pour plusieurs années. Mais cela va nous apporter une notoriété et une visibilité incomparables." Un article de David Pouilloux 🐺 #Paris2024 #JO2024 #Sport #Boxe #ArtsMartiaux #Innovation #International #MadeInFrance
À l’approche des JO de Paris, SportCom muscle ses investissements de 2 millions d’euros
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Le Coq Sportif, marque emblématique de l’équipement sportif français, fait face à une crise majeure. Deux mois après la fin des Jeux paralympiques, l’entreprise a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Paris. Airesis, sa maison mère, avait déjà évoqué des tensions de trésorerie importantes, aggravées par les saisons de transition des produits. Malgré cette procédure, l’entreprise reste optimiste, affirmant qu’elle est en discussion avec un investisseur potentiel prêt à injecter des fonds. Cette situation s’inscrit dans un contexte de fragilité connue depuis plusieurs années. En 2020, la marque avait décroché le prestigieux contrat des Jeux olympiques de Paris 2024, supplantant notamment Lacoste. Ce choix avait suscité des interrogations, certains acteurs du mouvement olympique jugeant Le Coq Sportif insuffisamment solide financièrement. Les difficultés se sont aggravées avec la pandémie de Covid-19, la guerre en Ukraine et les tensions géopolitiques, qui ont entraîné une explosion des coûts des matières premières, de la logistique et de l’énergie. Pour faire face, Le Coq Sportif a contracté plusieurs prêts garantis par l’État (PGE), dont un de 20 millions d’euros en 2020 et un autre de 10 millions d’euros en 2023. En mai 2024, l’entreprise a également obtenu un prêt spécifique de 2,9 millions d’euros pour honorer ses engagements auprès des Jeux olympiques. En juillet, un autre prêt de 12,5 millions d’euros a été accordé par BPI France pour renforcer ses liquidités. Malgré ces soutiens, les pertes continuent de se creuser, passant de 10,5 millions d’euros au premier semestre 2023 à 18,2 millions d’euros pour la même période en 2024. L’entreprise a également dû faire face à un litige avec la Fédération française de rugby, qui réclame 5,3 millions d’euros pour des impayés. Le Coq Sportif, pourtant riche d’une histoire centenaire, avait tenté de se repositionner sur le marché en relocalisant une partie de sa production à Romilly-sur-Seine dans les années 2010. Ce choix stratégique avait sans doute pesé dans sa sélection comme équipementier officiel des Jeux de Paris 2024, pour lesquels elle a produit 150 000 tenues. Bien que toutes les commandes aient été livrées à temps, les retards dans les approvisionnements avaient suscité des inquiétudes parmi les fédérations sportives. Malgré ces obstacles, l’entreprise reste confiante. Airesis a souligné en octobre dernier que les ventes étaient portées par l’engouement pour les Jeux de Paris 2024. Depuis novembre 2023, plus de 1,2 million de pièces estampillées JO ont été vendues. Vincent Chaudel, fondateur de l’Observatoire du sport business, estime cependant que si ce contrat avait du sens, il a été très coûteux pour l’entreprise, qui n’a pas eu les moyens d’attendre un retour sur investissement. Airesis affirme néanmoins que la marque peut compter sur une dynamique renforcée par la croissance du segment des chaussures et l’enthousiasme attendu à l’international.
D’équipementier des JO au placement en redressement judiciaire : comment Le Coq Sportif en est arrivé là ?
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7 chiffres dingues pour faire le bilan des JO (après un mois de sport non-stop à Paris) 👉 𝟗 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐝'𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 : le coût total des Jeux ! Bien qu’au-dessus des 6,2 milliards prévus, mais plutôt bien maîtrisé par rapport aux autres pays hôtes dans le passé 👉 𝟖𝟓% : le taux d'occupation des logements touristiques à Paris durant les JO, soit 15% de plus qu'à la même période en 2023 👉 𝟗,𝟓 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 : le nombre de billets vendus pour ces JO, toutes épreuves confondues 👉 𝟑𝟓𝟕 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝'𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 : le chiffre d'affaires généré par l'hôtellerie durant les Jeux, boostant l'économie locale 👉 𝟐𝟒,𝟒 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 : le nombre de téléspectateurs (sur France 2) durant la cérémonie d'ouverture, battant le record d’audience précédent, lors de la finale de la Coupe du Monde 2022. 👉 𝟑𝟗 : le nombre de records olympiques battus durant ces JO 👉 𝟕,𝟕 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝'𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 : ce que la France doit débourser en termes de récompense financière pour ses Champion Beaucoup de retombées seront à observer dans les mois à venir. Mais on peut d'ores et déjà conclure que ces Jeux Olympiques de Paris 2024 ont été un franc succès : 🥉 Aucun incident de sécurité à déplorer 🥈 Une organisation très réussie dans un cadre exceptionnel 🥇 Une avalanche de médailles pour la France (64) et la Belgique (10). 𝐄𝐭 𝐭𝐨𝐢, 𝐪𝐮'𝐚̀ 𝐭𝐮 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞́ 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐱 ? (source image : Ville de Paris) Si tu me découvres avec ce post, je suis Ludovic Heck, coach budgétaire. 𝐀𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞-𝐭𝐨𝐢 pour ne pas rater mes contenus sur les finances personnelles ! 🧠
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Carte Noire à France Rugby ! 🏉☕ La marque de café Carte Noire annonce son partenariat pour 3 ans en tant que fournisseur officiel de FFR - Fédération Française de Rugby et donc du XV de France. Une première pour la marque française et un signe que le #sport est un levier de #notoriété et de #business en 2025. Si la marque avait décidé de se positionner sur les moments familiaux du cinéma, du petit écran et du grand écran, il semble que les temps ont bien changé. Le sport et le #rugby en particulier sont désormais les espaces physiques et digitaux qui créent les moments de communion pour le plus grand nombre de personnes. Avec plus de 10 millions de téléspectateurs à chaque rencontre des Bleus, l’ovalie est dans la hype du #marketing sportif en France. Equipes nationales, Ligue Nationale de Rugby (LNR), clubs et joueurs, tous sont des actifs que les marques considèrent en adéquation avec leurs valeurs. Carte Noire, avec le rugby, a trouvé son terrain d’expression sportive et laisse à sa marque sœur, du même groupe, Lavazza Group, le football avec l’équipe féminine d’Arsenal et l’univers du tennis. Preuve en est que toutes les typologies de marques, qu’elles soient de produits ou de services, doivent exploiter le sport pour se faire connaître du plus grand nombre, se différencier et en faire le sujet de préférence de marque. 📢 Chez Full Time Sports , nous croyons fermement que le sport est un levier inestimable pour toutes les marques, quels que soient leurs secteurs d’activité. Ce partenariat entre Carte Noire et France Rugby en est une nouvelle preuve éclatante. Le sport continue de fédérer, inspirer et connecter les marques à leur public. 🚀 #sponsorships #partnerships #brandmarketing #sportsmarketing #business
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🥇 Flash info olympique : ce qu'il ne fallait pas manquer de la première semaine Une première semaine des Jeux Olympiques de Paris riche en émotion et en succès pour les athlètes français, avec une ferveur perceptible un peu partout en France. Entre une météo (enfin) au rendez-vous, un tourisme bien présent et une performance historique pour la délégation française, NielsenIQ revient sur les succès les plus marquants de la semaine du 29 juillet au 4 août dernier. On s'y attendait, mais c'est bien la ville de Paris qui décroche un premier record sur le 100m de la grande consommation avec une croissance impressionnante et historique des PGC FLS de +12.4% lors de la première semaine, quand la moyenne nationale est à +3.6% en volume. Plus précisément, et si l'équipe de France n'aura pas décroché de médailles en Beach Volley, c'est bien le 7ème arrondissement de Paris (avec le très instagrammable site de la Tour Eiffel) qui arrache la médaille d'argent des arrondissements de Paris avec l'une des plus fortes croissances sur les PGC FLS à +17.7%, juste derrière le 16ème arrondissement du site de Roland Garros (+18.1%), qui aura vu le sacre (enfin) du roi Djokovic sur la terre battue du Central. Autre finale très attendue, celle qui oppose les marques nationales de grands groupes à celles des marques de distributeurs, alors même que la tendance depuis 1 an et demi annonçait les MDD favorites. Sur cette première semaine il n'en est rien, et ce sont bien les marques nationales qui remportent la médaille d'or avec une croissance de +17.9% à Paris contre +5.4% pour les MDD. Preuve que cette belle semaine sportive et ensoleillée, appuyée par un tourisme important, constituent un starting block idéal pour les grandes marques de l'hexagone, notamment sur certaines catégories de produit. Les catégories parlons-en, c'était l'une des épreuves les plus attendues de la semaine, et à la fin, quand ce n'est pas Léon qui marche sur l'eau, ce sont bien les eaux plates nature qui remportent l'or, avec 692 mille unités vendues en plus par rapport à la même semaine l'an dernier. Un podium décidemment très liquides puisque les boissons sans alcool plates et gazeuses se partagent l'argent et le bronze. Mais parmi ces catégories très estivales, il en est une qui s'est clairement démarquée dans les bassins parisiens : la glace. Avec une croissance des ventes de +126%, ce sont définitivement les reines du 50m nage libre de la semaine. Alors que la deuxième semaine approche de la fin pour clôturer ces Jeux Olympiques de Paris et avant de laisser place aux Jeux Paralympiques, NielsenIQ vous donne rendez-vous prochainement pour l'analyse de cette deuxième semaine où de nombreuses médailles restent encore à décrocher, à commencer par la finale de Football ce soir. Allez les bleus, et soyons fiers de cet incroyable évènement organisé dans notre pays. Emmanuel Fournet Xavier Segalie José Argüelles Alzúa Sebastien Monard
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Et le Tourisme, un sacré levier de croissance !!
🥇 Flash info olympique : ce qu'il ne fallait pas manquer de la première semaine Une première semaine des Jeux Olympiques de Paris riche en émotion et en succès pour les athlètes français, avec une ferveur perceptible un peu partout en France. Entre une météo (enfin) au rendez-vous, un tourisme bien présent et une performance historique pour la délégation française, NielsenIQ revient sur les succès les plus marquants de la semaine du 29 juillet au 4 août dernier. On s'y attendait, mais c'est bien la ville de Paris qui décroche un premier record sur le 100m de la grande consommation avec une croissance impressionnante et historique des PGC FLS de +12.4% lors de la première semaine, quand la moyenne nationale est à +3.6% en volume. Plus précisément, et si l'équipe de France n'aura pas décroché de médailles en Beach Volley, c'est bien le 7ème arrondissement de Paris (avec le très instagrammable site de la Tour Eiffel) qui arrache la médaille d'argent des arrondissements de Paris avec l'une des plus fortes croissances sur les PGC FLS à +17.7%, juste derrière le 16ème arrondissement du site de Roland Garros (+18.1%), qui aura vu le sacre (enfin) du roi Djokovic sur la terre battue du Central. Autre finale très attendue, celle qui oppose les marques nationales de grands groupes à celles des marques de distributeurs, alors même que la tendance depuis 1 an et demi annonçait les MDD favorites. Sur cette première semaine il n'en est rien, et ce sont bien les marques nationales qui remportent la médaille d'or avec une croissance de +17.9% à Paris contre +5.4% pour les MDD. Preuve que cette belle semaine sportive et ensoleillée, appuyée par un tourisme important, constituent un starting block idéal pour les grandes marques de l'hexagone, notamment sur certaines catégories de produit. Les catégories parlons-en, c'était l'une des épreuves les plus attendues de la semaine, et à la fin, quand ce n'est pas Léon qui marche sur l'eau, ce sont bien les eaux plates nature qui remportent l'or, avec 692 mille unités vendues en plus par rapport à la même semaine l'an dernier. Un podium décidemment très liquides puisque les boissons sans alcool plates et gazeuses se partagent l'argent et le bronze. Mais parmi ces catégories très estivales, il en est une qui s'est clairement démarquée dans les bassins parisiens : la glace. Avec une croissance des ventes de +126%, ce sont définitivement les reines du 50m nage libre de la semaine. Alors que la deuxième semaine approche de la fin pour clôturer ces Jeux Olympiques de Paris et avant de laisser place aux Jeux Paralympiques, NielsenIQ vous donne rendez-vous prochainement pour l'analyse de cette deuxième semaine où de nombreuses médailles restent encore à décrocher, à commencer par la finale de Football ce soir. Allez les bleus, et soyons fiers de cet incroyable évènement organisé dans notre pays. Emmanuel Fournet Xavier Segalie José Argüelles Alzúa Sebastien Monard
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