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🌱🏗️ La construction et l'exploitation des bâtiments sont responsables de 25% des émissions de CO2 en France. Face à ce défi, le réemploi émerge comme un levier essentiel pour réduire notre empreinte carbone dans le secteur de la construction. 🔍 Rejoignez-nous le 21 mars 2024 à la Maison des ESSEC pour une table ronde dédiée à cette pratique en plein essor. Ensemble, explorons les solutions concrètes pour une construction durable et respectueuse de l'environnement. Ne manquez pas cette opportunité de contribuer à un avenir plus vert et plus responsable #ConstructionDurable #Réemploi #Environnement 🌍💡

 Décret tertiaire : la fin programmée des PME ? Après des reports le décret tertiaire se met en place. C’est quoi ? Un moyen de réduire les consommations d’énergie et de devenir vertueux vous diront les officiels. Une arnaque écologique en réalité, comme prétexte pour dépouiller les petits propriétaires, vous expliqueront les plus méfiants. Comment faire accepter une mesure néfaste en la présentant comme une avancée nécessaire ? C’est très simple. D’abord il faut assujettir le texte à un impératif écologique et poser les vertus d’une sobriété énergétique qui sans ce préalable conduit inexorablement aux catastrophes naturelles dues essentiellement et sans condition à l’homme. Oui, on ne prend pas en compte l’activité solaire, les variations d’axe de rotation de la Terre, qui sont à l’origine des changements climatiques, comme proposé par Joseph Adémar en son temps, puis démontrés par Milankovitch, qui s’appuya sur des travaux de la NASA. Non, ça on l’occulte car LE responsable c’est l’humain. Dans ce schéma et comme c’est une directive Européenne, chère Union heureusement que nous l’avons, le gouvernement en sujet obéissant, impose le décret tertiaire. Qu’est ce que c’est que cette usine à gaz ? Rien de moins qu’une disposition lancée en forme d’oukase, en bonne bolchevisation de notre société, avec pour objectif affiché de réduire la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 40% d’ici 2030, 50% en 2040 et 60% en 2050. Ça en impose dit comme ça, et surtout c’est clair. Sont concernés les propriétaires et locataires inclus dans un site ou bâtiment de 1000m² ou plus, selon certaines modalités. Le site du gouvernement parle de surface plancher, mais l’organisme chargé de vous rappeler à l’ordre si vous ne vous êtes pas identifiés sur la plateforme ad hoc s’est visiblement affranchi de cette nuance. La première question qu’on se pose est : et si on n’y arrive pas à ces économies ? Eh bien c’est très simple, pour le moment il n’y a pas de réelles mesure de coercition mais elles sont en réflexion. On sait par avance qu’on devra faire appel à une… lire la suite sur… https://lnkd.in/eafmPmap https://t.me/R_P_France Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

Décret tertiaire : la fin programmée des PME ? Après des reports le décret tertiaire se met en place. C’est quoi ? Un moyen de réduire les consommations d’énergie et de devenir vertueux vous diront les officiels. Une arnaque écologique en réalité, comme prétexte pour dépouiller les petits propriétaires, vous expliqueront les plus méfiants. Comment faire accepter une mesure néfaste en la présentant comme une avancée nécessaire ? C’est très simple. D’abord il faut assujettir le texte à un impératif écologique et poser les vertus d’une sobriété énergétique qui sans ce préalable conduit inexorablement aux catastrophes naturelles dues essentiellement et sans condition à l’homme. Oui, on ne prend pas en compte l’activité solaire, les variations d’axe de rotation de la Terre, qui sont à l’origine des changements climatiques, comme proposé par Joseph Adémar en son temps, puis démontrés par Milankovitch, qui s’appuya sur des travaux de la NASA. Non, ça on l’occulte car LE responsable c’est l’humain. Dans ce schéma et comme c’est une directive Européenne, chère Union heureusement que nous l’avons, le gouvernement en sujet obéissant, impose le décret tertiaire. Qu’est ce que c’est que cette usine à gaz ? Rien de moins qu’une disposition lancée en forme d’oukase, en bonne bolchevisation de notre société, avec pour objectif affiché de réduire la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 40% d’ici 2030, 50% en 2040 et 60% en 2050. Ça en impose dit comme ça, et surtout c’est clair. Sont concernés les propriétaires et locataires inclus dans un site ou bâtiment de 1000m² ou plus, selon certaines modalités. Le site du gouvernement parle de surface plancher, mais l’organisme chargé de vous rappeler à l’ordre si vous ne vous êtes pas identifiés sur la plateforme ad hoc s’est visiblement affranchi de cette nuance. La première question qu’on se pose est : et si on n’y arrive pas à ces économies ? Eh bien c’est très simple, pour le moment il n’y a pas de réelles mesure de coercition mais elles sont en réflexion. On sait par avance qu’on devra faire appel à une société privée missionnée pour préconiser les axes de progrès. Une embauche de gens improductif donc, qui seront en réalité des liquidateurs et dont on fera on ne sait quoi lorsqu’il n’y aura plus rien à liquider. Ce verbiage est toujours à la mode dans ce genre d’exercice, comprenez, on va obliger le propriétaire à faire des travaux de rénovation énergétique. Certains observateurs ont déjà souligné que beaucoup ne seraient pas en mesure de les réaliser, à cause de leur coût exorbitant et seraient donc contraints de vendre. On va nous rétorquer qu’il y aura des aides pour y parvenir. Une blague de plus, d’abord parce que dans un pays endetté jusqu’au cou, on ne voit pas comment on trouvera de l’argent pour soutenir cet effort, c’est un peu comme la voiture électrique... Lire la suite https://lnkd.in/gUpdF2vr

Le secteur du #bâtiment et de la #construction, c’est 21 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre #GES. Cet impact devrait s’accroître au cours des années à venir au regard de la croissance très rapide des zones urbaines, notamment dans les pays du #Sud. Aussi, il est urgent de modifier les procédés de construction et d’utilisation des bâtiments. Ce forum mondial a été l’occasion pour les hauts fonctionnaires et les acteurs du bâtiment, ainsi que pour d’autres parties prenantes, de débattre de la #décarbonation et de la #résilience du secteur.  (Lettre de l'ADEME International Septembre 2024)

La #goodnews : Selon le Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), la transition #écologique pourrait engendrer 150.000 créations d'emplois d'ici à 2030 avec néanmoins des reconfigurations profondes suivant les secteurs. A titre d'exemple, la nécessité d'engager la rénovation thermique des bâtiments créerait à elle seule 210.000 emplois et le recours croissant à l'#électrification et aux #bioénergies en générerait 75.000. Un bon signal pour la société à condition d'accompagner la transformation des modèles d'affaires des filières qui en bénéficieront moins "naturellement" à l'instar de l'#automobile. https://lnkd.in/eJqkMcp4 #RSE #transitionénergétique

🌿 Dans un contexte où la transition écologique est de plus en plus présente, on observe que le secteur du BTP consomme l'équivalent de 43% de l'énergie annuelle en France et émet 23% des émissions de gaz à effet de serre. 🤯 Il est temps d’agir sur le bâti existant pour répondre aux normes européennes fixées d’ici 2050. ⌛ Pour cela, plusieurs mesures doivent être prises : 🏠 accélérer les compétences du marché quant à l’entretien et la rénovation des bâtiments, et permettre aux entreprises de se développer dans ce sens, 🔧 créer une centaine de milliers d’emploi dans le secteur BTP d’ici 2030, 💶 aider financièrement les particuliers, et les accompagner dans leurs démarches administratives, pour réhabiliter leur résidence. Pour tout savoir, cliquez sur le lien en commentaire ⬇️ #renovation #TransitionEcologique #BTP #CMQ

🚀 Défi lancé au secteur du BTP ! 🚀 L'heure n'est plus à la contemplation mais à l'action face à l'urgence climatique. 🌍 Mon dernier article plonge au cœur des émissions de scope 3, révélant des réalités incontournables sur l'impact colossal de la production de ciment et d'acier. Spoiler : jusqu'à 90% de vos émissions de GES se cachent où vous ne les attendez pas. Mais tout n'est pas sombre ! 🌟 J'explore des solutions déjà existantes, comme la technologie ACT, capable de réduire les émissions de CO2 du ciment de 70% - un changement de jeu majeur. Alors, pourquoi diable l'industrie du BTP hésite-t-elle à adopter massivement ces innovations ? Les freins sont réels mais pas insurmontables. Ce secteur d'activité se trouve à un tournant. Entre normes rigides, résistance au changement et barrières financières, le chemin vers la décarbonation est semé d'embûches - mais aussi d'opportunités incroyables ! 🚀 ✨ Êtes-vous prêts à relever le défi et à devenir des pionniers de la transition écologique dans le BTP ? Découvrez comment dans mon dernier article – un appel à l'action pour bousculer les conventions et embrasser l'avenir durable. 🔥 #BTP #Décarbonation #Innovation #RSE #Scope3 #Achats

J’ai assisté ce matin à une conférence intéressante tenue par l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (Ifpeb) et Carbone 4 (merci aux intervenants !) sur le bilan carbone d’une rénovation versus démolition-reconstruction… Conclusion : les résultats dépendent grandement du projet mené ! ⚠️ Une rénovation énergétique qui n’intègre pas une dimension bas-carbone ne sera pas forcément plus économe en émission de CO2 qu’une démolition-reconstruction performante ! 🛢️/♻️ Sans sortie des énergies fossiles et sans réemploi/récupération de l’existant, on atteint difficilement une bonne performance carbone sur l’opération. 🤔 Vous souhaitez offrir à votre bâtiment une seconde vie ? Vous vous demandez s’il ne vaut pas mieux faire table rase et aller vers des locaux neufs ? Avec ORESTE nous vous aidons à faire le point sur les différentes solutions envisageables pour que vous puissiez choisir celle qui vous correspond le mieux. #clusterécobâtiment #enerJmeeting

La gestion efficace des outils et matériels est essentielle pour réduire l'empreinte carbone dans le secteur du bâtiment. 🦺 En optimisant les ressources et réduisant les temps d'inactivité, nous pouvons augmenter la productivité tout en étant plus respectueux de l'environnement. 🌱

Ce début d'année est particulièrement tonique et politiquement tendu dans le cadre ou nous devons prendre position fermement en notre ame et conscience pour ce faire entendre politiquement en refusant par exemple comme nous le faisons de continuer à remplir le dossier pour être RGE jusqu'à ce que le système soit impacté comme le dit Emmanuel Macron ou son 1er ministre Gabriel Attal par le choc de simplification. C'est un mille-feuille administratif qui ne garantit en rien la qualité du travail et d'ailleurs ne le qualifie même pas ! Nous sommes pour la transition écologique, notre abaissement de notre empreinte carbone en tant qu'entreprise du batiment mais pas que, c'est un beau concept dont le calcul a été inventé par Jean-Marc Jancovici mais qui on l'oublie souvent ne prend en compte qu'une partie de l'équation. La pollution des rivières, des fleuves avec ce qu'on rejete dedans pour fabriquer les matériaux, la pollution des terres font également partie de l'équation et on en entend bien plus rarement parler car cela touche le gros capitalisme, les grand capitaines d'industries. Il est plus facile de faire plier les petites entreprises et les particuliers sur le CO² pour en faire payer la note au final que de vraiment travailler aussi férocement sur les autres grosses pollutions ! C'est ce qu'on appelle créer du bruit de fond pour cacher les autres gros problèmes à résoudre. ESHOR FFB - Fédération Française du Bâtiment Ministère Écologie Territoires