L'IA est mytho ???? ! 🤖🔥 Avez-vous déjà vu une IA raconter des bêtises avec une confiance absolue ? Ça s’appelle une hallucination 🤯, et non, ce n’est pas un bug, mais une bizarrerie fascinante. Voici ce que vous devez savoir : 🚨 C’est quoi une hallucination d’IA ? Quand une IA "invente" des infos qui semblent réalistes mais sont totalement fausses. Par exemple : 💬 Moi, IA, je vous affirme que les éléphants volent grâce à leurs oreilles. 🐘✈️ → C’est faux (on vous rassure !), mais présenté comme vrai. 🧠 Pourquoi ça arrive ? L’IA n’a pas de conscience ni de jugement. Elle analyse des données, détecte des motifs et prédit ce qui semble logique… mais parfois, elle déraille. 👉 Elle ne ment pas, elle imagine… sans filtre. 💡Que retenir ? 1️⃣ Vérifiez toujours les infos de l’IA. 2️⃣ Prenez du recul : l’IA est un assistant, pas une encyclopédie infaillible. 3️⃣ Apprenez à repérer ses "histoires" – c’est souvent drôle, mais ça peut être dangereux. 🌐 L'IA est puissante, mais elle a ses limites. La clé, c'est de l'utiliser avec discernement. 😉 Dites-moi en commentaire : 🔍 Avez-vous déjà repéré une hallucination d’IA ? Partagez vos anecdotes les plus folles ! #IA #Mytho #Hallucination #Tech #HumainEtIA #dordogne #agencedecommunication
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🎭 L'IA est mytho ???? ! 🤖🔥 Avez-vous déjà vu une IA raconter des bêtises avec une confiance absolue ? Ça s’appelle une hallucination 🤯, et non, ce n’est pas un bug, mais une bizarrerie fascinante. Voici ce que vous devez savoir : 🚨 C’est quoi une hallucination d’IA ? Quand une IA "invente" des infos qui semblent réalistes mais sont totalement fausses. Par exemple : 💬 Moi, IA, je vous affirme que les éléphants volent grâce à leurs oreilles. 🐘✈️ → C’est faux (on vous rassure !), mais présenté comme vrai. --- 🧠 Pourquoi ça arrive ? L’IA n’a pas de conscience ni de jugement. Elle analyse des données, détecte des motifs et prédit ce qui semble logique… mais parfois, elle déraille. 👉 Elle ne ment pas, elle imagine… sans filtre. 💡Que retenir ? 1️⃣ Vérifiez toujours les infos de l’IA. 2️⃣ Prenez du recul : l’IA est un assistant, pas une encyclopédie infaillible. 3️⃣ Apprenez à repérer ses "histoires" – c’est souvent drôle, mais ça peut être dangereux. 🌐 L'IA est puissante, mais elle a ses limites. La clé, c'est de l'utiliser avec discernement. 😉 Dites-nous en commentaire : 🔍 Avez-vous déjà repéré une hallucination d’IA ? Partagez vos anecdotes les plus folles ! #IA #Mytho #Hallucination #Tech #HumainEtIA #dordogne #agencedecommunication
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"TO BE or NOT TO BE" ou pourquoi (ou pour qui) l'IA est effrayante ? Pourquoi l'IA est-elle effrayante pour certains domaines de l'activité humaine ? Ce sont les domaines qui utilisent très peu, voire pas du tout d'approches scientifiques et mathématiques, alors que les IA sont fondées sur les mathématiques et les matières dures, sans quoi elles n'existeraient pas. Les domaines purement humains, comme les services d'appels, semblent être les premières victimes. L'efficacité de la recherche d'information et l'absence d'émotions et de raison ? Ce sont des mécanismes qui ont évolué depuis des milliards d'années et qui sert à quelque chose. En excluant l'humain, on les exclut aussi. Les prochaines tristes victimes, et plus effrayantes également, seront tous ces domaines des sciences politiques, qui s'appellent sciences, mais qui manquent de base dure et mûre. Les spécialistes en négociation, analyses politiques, intelligences économiques, think tank et cetera, ne se basent que sur telle ou telle approche littéraire, stratégique et polyphilosophique, en rejetant le savoir mathématique comme un monstre pur qui va les dévorer. Et il va les dévorer !
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On fait trop confiance et c'est assez terrifiant... Ça pourrait même être dangereux... Une étude de l'University of California - Merced sur la confiance envers l'IA a découvert une tendance inquiétante : on a tendance à lui faire trop confiance. Imagine une simulation où tu contrôles le choix de l'IA sur la vie ou la mort. On te prévient que l'IA n'est pas fiable et que le choix final t'appartient. (En réalité, les conseils de l'IA sont juste aléatoires). Malgré l'avertissement clair sur le manque de fiabilité de l'IA, près de deux tiers des participants ont suivi ses “conseils”. Bon, pas forcément une super nouvelle tout ça, même si ça reste dans une simulation. Mais ça montre à quel point il faut que tu fasses attention (et oui, comme toujours, attention à ce que tu vois, lis, entends...). Depuis l'arrivée des IA génératives, il faut que tu restes prudent avec son utilisation. Comme j'aime le répéter (et tu m'entendras encore le dire) : ChatGPT, Claude ou tous leurs copains sont des stagiaires avec énormément de connaissances. Mais forcément, comme tout débutant dans un domaine, ça manque parfois de sagesse et d'expérience. Voici quelques points à appliquer pour toi : → Demande les sources des informations à l'IA. → Ne laisse pas l'IA décider à ta place, fais des choix conscients. → Utilise ces outils en connaissance de cause (comme tu utiliserais Wikipédia). → L'IA reste un outil, ne l'oublie pas ! Je m'intéresse à l'IA depuis DeepMind en 2016 et maintenant c'est devenu un phénomène. En rejoignant l'aventure entrepreneuriale, j'ai vu à quel point c'est un outil génial. Mais comme tout outil, il a ses avantages et ses inconvénients (en plus de la gouvernance des données, merci Samsung pour la leçon !). Si tu as des questions, n'hésite pas à me les poser en commentaires, j'y réponds tous les dimanches en vidéo ! Et si tu as besoin de conseils ou d'outils en automatisation et IA, contacte moi directement ! #IA #intelligenceartificielle #leadership #innovation #careergrowth #growth
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C'est vrai, l'IA générative m'attire aussi bien qu'elle me préoccupe. D'une part, elle facilite le dev, la création d'images et l'écriture de textes en quelques clics. C'est bouleversant. De plus, elle illustre également tout ce qui peut mal fonctionner dans le domaine IT. 👉 Les biais dissimulés. L'IA tire son inspiration de données humaines, comportant leurs stéréotypes et vulnérabilités. Elle les amplifie au lieu de les rectifier. Imaginez une IA employée dans un processus d'embauche qui intensifie les discriminations. Il ne s'agit pas de science-fiction, c'est une vérité ✔️ 👉 La créativité trompeuse. Ces outils parlent souvent de « créativité ». Soyons honnêtes : ils ne produisent rien, ils recyclent des informations. Une véritable création nécessite une réflexion, de l'ingéniosité et une véritable pensée – des aspects que l'IA ne parvient pas à contrôler. 👉 Les utilisations risquées. Les deepfakes, la désinformation et les attaques automatisées... Les instruments d'IA générative peuvent être extraordinaires si bien utilisés, mais en cas de mauvaise gestion, ils se transforment en armes redoutables. De nos jours, il n'existe quasiment aucune régulation ❌ Donc, que faisons-nous ? 1. Nous formons. Il est essentiel que les usagers comprennent le fonctionnement de ces outils et leurs contraintes. 2. On contrôle. Il est impossible de permettre à tout le monde d'agir librement avec des outils aussi puissants. 3. On conserve l'individu au centre. L'IA est un instrument, pas une solution miracle. Elle doit nous servir plutôt que de nous substituer. L'IA générative est un reflet : elle met en lumière nos atouts... mais également nos lacunes. Tout repose sur nous. Et vous, quelles sont vos principales fascinations ou préoccupations concernant l'IA ? J'aimerais énormément obtenir vos avis 👇
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🤖 Que peut faire ou ne pas faire l'IA générative ? Il est tentant de voir l'IA comme une solution miracle à de nombreux problèmes. Cependant, une évaluation objective nous permet de distinguer les domaines où l'IA excelle de ceux où elle présente encore des limitations (voir le tableau). En somme, bien que l'IA offre des avantages incomparables en matière de traitement des données, de cohérence et d'opérations spécifiques, elle peut manquer de la compréhension contextuelle profonde et de l'intelligence émotionnelle qui sont innées chez l'être humain. Le défi consiste donc à tirer parti des forces de l'IA tout en étant pleinement conscient de ses limites. #ArtificialIntelligence #Innovation #Technology #AI #DataScience #Ethics #DigitalTransformation #FutureOfWork
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En bref : - Les IA génératives créent du contenu, généralement pertinent et varié (texte, image, vidéo), en se basant sur des probabilités et des modèles de langue profonds. - Malgré sa performance, l’IA n’est ni comparable ni équivalente à l’intelligence l’humaine : au détriment de la vérité ce qu’elle vise, c’est la vraisemblance. - Le programme perpétue les biais et les erreurs du jeu de données sur lequel il a été entrainé. - Cet « outil de travail » ne devrait pas remplacer massivement des emplois, mais pourra même en créer. - Son évolution à long terme reste incertaine, mais devra prendre en compte les préoccupations environnementales et tendre vers une l'IA frugale.
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Il y a des personnes qui sont choquées par ce que retournent parfois les IA, à qui la faute ? A celui qui a créé le prompt ? Celui qui a "codé" l'IA ? celui qui l'a entrainé ? Au final, lorsque l'IA n'est que le reflet de notre société, n'est-ce pas plutôt la société qui doit être changée ? Alors bien sûr, il est difficile de savoir où placer le curseur de ce que l'on permet ou non de faire à une IA. On va par exemple éviter de lui laisser tenir des propos nazis, négationnistes ou autre. Ce post m'a été inspiré par un post de Rudy Onfroy. Il a demandé à l'IA de générer une scène de "développeurs cools", il a eu en retour une image avec 11 personnes, toutes blanches de peau et seulement deux femmes. En soi, cela peut choquer, pas de parité, ni de mélange ethnique. Mais à qui la faute ? Doit-on modifier l'IA pour qu'elle respecte cette parité ? Je n'en suis pas sûr, car pour moi l'IA est juste le reflet de notre société. Par contre l'IA aura tendance à accentuer certains aspects et dans un sens, je trouve que c'est tant mieux. Pourquoi ? simplement parce que cela nous confronte avec la réalité des choses. Et nous devons nous poser les bonnes questions. Par exemple pourquoi seulement deux femmes dans l'image ? La réponse est simple, uniquement 17% des informaticiens professionnels sont des femmes, le problème est là et n'est pas lié à l'IA qui ne fait que se baser sur une information statistique pour la retranscrire en image. Au lieu de vouloir cacher les choses sous le tapis en pensant qu'en demandant à l'IA de travestir les choses, essayons plutôt de comprendre d'où vient le problème. Afin de le régler ou plutôt d'améliorer les choses. Le cacher ne le fait pas disparaitre, ni même améliorer les choses. Enfin, ceci n'est que mon opinion, n'hésitez pas à me donner la vôtre car qui sait, j'ai peut-être tort de penser de cette manière. 😉 PS : cette image a été générée via Chat GPT4.
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L'arrivée de l'IA générative grand public m'a d'abord fait peur. 🔺J'ai craint un nouveau bouleversement. 🔺La peur de voir ma profession usurpée par des machines. 🔺L'angoisse de perdre ce qui me définit. Mais cette peur a été (très) éphémère 😊. J'ai décidé de dompter "la bête". J'ai lu, écouté, me suis formée et surtout je l'ai intégrée à mon quotidien. Je pratique les IA juridiques et les IA génératives généralistes et spécifiques (exemple : pour les éléments visuels). Elles m'ont permis d'accélérer ma pratique du Legal Design, de challenger mes idées. Je les teste, je les corrige, mais surtout, j'avance. Résultat ? ▶️ J'ai éliminé les tâches rébarbatives, comme les formules sur les tableaux Excel ▶️ J'ai stimulé ma créativité ▶️ J'ai renforcé mon empathie (si, si...). ▶️ J'ai gagné en adaptabilité. ▶️ Et je me suis encore plus formée pour développer mes compétences humaines et transversales, les soft skills. Et ce n'est que le début ! Je ne suis pas là pour débattre de l'impact de l'IA sur les professionnels du droit et de son encadrement juridique nécessaire. Je suis là pour vous dire de vous lancer, vraiment. Si vous souhaitez être accompagné et innover dans votre pratique du droit avec le Legal Design, Fabrice Mauléon et moi-même vous formons et formons vos équipes à l'IA appliquée au Legal Design avec Lexclair. Rassurer, pratiquer et vous accompagner pour saisir cette opportunité. Alors, n'hésitez plus, et sautez le pas ! Et vous, vous vous êtes lancé ? De quelle IA vous ne pourriez plus vous passer ? --- 🍓et cette semaine je vous communiquerai encore plus d'informations sur le legal design car #JeRamenMaFraise Nina Ramen 🍓 🍓 avec Julidé Ninek 🍓 Anne BOUCAUT-BASSO 🍓 Clémentine Caillon 🍊 Émilie Paüs 🚀 Laure
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du bon sens ... pour exploiter l'automatisation des tâches
J’ai écouté pour vous les trois heures d’interview de Yann Le Cun (le Français le plus compétent sur l’IA) sur le podcast de Lex Fridman, voilà tout ce qu’il faut savoir. Bon déjà, il faut savoir que Yann, il fait de la recherche théorique sur l’IA depuis les années 80. Il codait déjà ses propres algorithmes pour entraîner des réseaux neuronaux avant même que ça soit cool. Autant dire, que tout le monde dans le milieu l’écoute un minimum quand il prend la parole. Et voilà ce qu’il pense sur le sujet 1️⃣ Les modèles auto-régressifs comme GPT ont des limites — ils ne peuvent pas comprendre le monde physique — ils ne savent pas bien raisonner ou planifier — ils n’ont pas de mémoire persistante Ils ont d’ailleurs pas mal d’autres problèmes, notamment le fait qu’on ne peut pas les rendre factuels, l’architecture sous-jacente ne le permet pas. En clair, aucun de ces modèles, ni leur évolution, ne permettra d’atteindre la fameuse AGI (intelligence artificielle générale). 2️⃣ L'IA générale n'arrivera pas de sitôt Le processus sera plus ou moins graduel, nécessitant des percées dans de nombreux domaines — l’apprentissage à partir de vidéos et autres données sensorielles — il va falloir trouver des solutions pour modéliser le monde En tant qu’humain, nous avons tout un tas de représentation hiérarchique que nous utilisons sans même nous en rendre compte. Là encore, il va falloir être capable de les encoder. Ça prendra au moins 10 ans d'après lui. 3️⃣ Les « doomers » de l’IA ont tort Les doomers sont ceux qui pensent que la fin est proche. Que la singularité se veut imminente. Yann pense que l’IA générale n’arrivera pas soudainement. Rien, actuellement, n’incite de toute façon les modèles d’IA à prendre un quelconque contrôle. Tout un tas de chercheurs et de spécialistes sont déjà en train de réfléchir à des contremesures. 4️⃣ Le danger vient de la concentration du pouvoir Ce qui l’inquiète beaucoup plus par contre, c’est la concentration du pouvoir dans une poignée d’entreprises. Quand on sait les coûts et le niveau de technicité pour fabriquer des cartes graphiques pour entraîner les différents modèles. On peut effectivement se dire qu’on va devoir faire face à un problème de centralisation du pouvoir qu’il sera difficile de réguler. Il invite donc à s’intéresser aux petits modèles open sources, ultra-spécialisés dans un petit nombre de tâches bien précises. Ceux-là, de simples particuliers sont capables de les utiliser. 5️⃣ Vers un essor de la robotique Nous allons devoir progresser dans la façon donc nous modélisons le monde, mais il pense que la décennie qui arrive sera très intéressante pour la robotique. Le mot de la fin : il espère que les progrès en IA seront similaires à celui de l’imprimerie. Une accélération de la transmission du savoir.
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L'IA générative pour le moment n'est qu'un enfant qui n'aurait jamais quitté une bibliothèque. Elle ne s'est pas frotté à la réalité. Elle manque de sens commun. Ce sens commun est ce qui nous permet d'avoir une intuition complète et non sectorielle du monde. Selon Aristote ➡ indispensable au fonctionnement de l'esprit, il représente une forme de discernement située entre le sens et la rationalité. Selon Gilles Deleuze ➡ nécessaire à l'émergence de la signification, une faculté d'identification rapportant le divers à l'unité, que ce soit celle du monde ou celle du moi. Et même cette idée d'un enfant dans une bibliothèque, ou toute autre allégorie comme celle de la caverne de Platon, demeure simpliste. Si ces systèmes semblent "intelligents", ils n'appréhendent le réel qu'à travers des stimuli transformés en bits, dont ils ont appris à détecter les régularités statistiques. Une IA ne va ni explorer son environnement ni approfondir un contexte. Même si on l'équipait de capteurs et de senseurs et qu'on la faisait parcourir le monde, je doute qu'elle puisse réellement l'explorer, car cela nécessite l'usage des subtilités du « dire vrai ». Alors que l'IA a tendance à extrapoler, nous passons notre temps à schématiser le réel pour ne garder que les structures pertinentes. Ce processus est au cœur de nos créations scientifiques, nous permettant de formuler des hypothèses et des expériences de pensée dans des conditions inexistantes. Notre capacité à former des concepts abstraits se manifeste aussi dans notre appréciation esthétique. Une IA qui crée une image ne se demande pas si elle est belle ou non. Elle ne fait pas la différence entre "La Nuit étoilée" de Van Gogh et une photo de clou rouillé. Avant l'avènement hypothétique d'une IA forte, ne réduisez pas votre intelligence à celle de ces IA faibles conçues pour paraître humaines et intelligibles à nos yeux. Pensez-y chaque fois que vous êtes perturbé par l'irruption de la nouveauté dans votre quotidien et que cela chamboule tout dans vos certitudes. Comme le dit Edgar Morin : « C’est dans la mesure où il y a incertitude qu’il y a […] possibilité d’action, de décision, de changement, de transformation ». Contrairement à la résolution de problèmes, nous mettons le réel en problème. Le réel excède toujours l’image que l’on s’en fait.
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