Le réaménagement du centre-ville de Rennes s'annonce comme une transformation majeure, avec une attention particulière portée à la mobilité et à l'accessibilité. Des initiatives telles que la création d'une vélorue et la piétonnisation de certaines rues témoignent de cette dynamique. La circulation douce sera encouragée grâce à l'extension du Réseau Express Vélo et la piétonnisation de la rue du Pré-Botté. Les déplacements urbains seront facilités par de nouvelles stations de trambus, tandis que l'installation de bancs et de mobiliers urbains augmentera le confort des usagers. L'accessibilité sera renforcée par des pontons flottants adaptés aux personnes à mobilité réduite, et l'ajout de 200 arbres ainsi que la végétalisation des espaces publics contribuera à une ville plus verte et plus agréable à vivre 🌳. #Travaux #Urbanisme #Vilaine
Post de William LETELLIER
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Le réaménagement du centre-ville de Rennes s'annonce comme une transformation majeure, avec une attention particulière portée à la mobilité et à l'accessibilité. Des initiatives telles que la création d'une vélorue et la piétonnisation de certaines rues témoignent de cette dynamique. La circulation douce sera encouragée grâce à l'extension du Réseau Express Vélo et la piétonnisation de la rue du Pré-Botté. Les déplacements urbains seront facilités par de nouvelles stations de trambus, tandis que l'installation de bancs et de mobiliers urbains augmentera le confort des usagers. L'accessibilité sera renforcée par des pontons flottants adaptés aux personnes à mobilité réduite, et l'ajout de 200 arbres ainsi que la végétalisation des espaces publics contribuera à une ville plus verte et plus agréable à vivre 🌳. #Travaux #Urbanisme #Vilaine Eric Audroin
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❓"Comment améliorer la qualité de vie des habitants alors même que la densité humaine va augmenter dans les quartiers de gare par l’ampleur des volumes construits ? D’abord en procurant des #espacesverts de proximité en nombre suffisant et en reliant les grands parcs urbains par des continuités aménagées. Ensuite en plaçant une mixité de fonctions urbaines à distance de marche, et en favorisant la #qualité, le #dimensionnement et le #maillage des #espacespublics à la fois pour les #mobilités piétonnes et cyclables, mais aussi pour l’#animation globale du quartier (commerces, services et équipements). Ces éléments sont essentiels, en complément d’une #offre de #transports en commun #structurante et suffisamment #cadencée pour accroître son usage. Mais cela nécessite une #coordination des #acteurs, dont les intérêts sont parfois divergents." #mobilité #SERM #aménagementurbain #qualitédevie #coordination #Synergie et #interface de projets #jesuisdisponible
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🚴♂️ Narbonne se prépare à un grand changement en 2024 avec la transformation du quartier de Cité, visant à créer un espace plus tranquille et accueillant pour tous. Découvrez les mesures clés de ce projet ambitieux ! - 🛣️ Réduction de la circulation automobile et rénovation des espaces publics pour un cadre de vie amélioré. - 🚦 Mise en place de sens uniques et de bandes de stationnement alternées pour fluidifier le trafic et sécuriser les sorties de garages. - 🚲 Introduction d'un double sens cyclable pour encourager les déplacements à vélo et promouvoir une mobilité douce. Ces initiatives s'inscrivent dans le cadre du projet "Action cœur de ville", illustrant l'engagement de la Ville de Narbonne envers le développement durable et la qualité de vie de ses habitants. Qu'en pensez-vous ? Votre quartier aurait-il besoin de telles transformations ? #Narbonne #MobilitéDouce #serieysautomobile https://lnkd.in/ey4seWhY
Narbonne : le quartier de Cité prépare sa mue
lindependant.fr
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Les zones commerciales et d’activités à l’échelle de l’îlot #04 RÉPARTION DES INVESTISSEMENTS La qualité urbaine et la sobriété foncière nécessitent de passer d’une logique d’étalement urbain mono-fonctionnel, imperméabilisé et conçu pour la voiture, à une ville diverse, marchable, attractive et fertile. Les zones commerciales, comme les autres friches urbaines, sont les lieux de ces mutations. Le développement d’une mixité de programmes et l’aménagement des mobilités permet l’intensification des usages, une diminution de la dépendance automobile et de l’empreinte carbone, des économies d’énergie, une diversification sociale et une multiplication des échanges. Cette reconfiguration urbaine apporte également des contraintes avec des proximités à composer et des co-présences à pacifier. Ces mises en relation sont à dessiner, ménager, adapter, s’approprier et vivre. Le travail de l’architecte-urbaniste est alors d’assembler et de compacter les usages urbains pour qualifier la ville. La qualité de vie sur ces territoires recomposés passent par la présence d’équipements, de services publics, de mobilités choisies, d’espaces publics et plantés, de lieux de ressourcement et de culture. Ces conditions nécessaires aux habitant.es sont à mettre en oeuvre avec une gouvernance adaptée à la forme de la ville. La composition urbaine concerne à la fois les espaces, les mobilités, les fonciers et les gestions. Avant — Urbanisation générique mono-fonctionnelle en périphérique de centre historique Après — Multiplication des propriétaires et des gestionnaires pour une ville mixte Pour en savoir plus : www.ap5.fr #sobriétéfoncière #zonescommerciales #mixitéprogrammatique #ZAN #bilancarbone #projeturbain #urbanisme
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Face à la densification urbaine et aux enjeux environnementaux, le renouvellement urbain se présente comme une solution à double tranchant : un défi majeur mais aussi une opportunité précieuse pour repenser nos villes. Le quartier des Cévennes à Montpellier illustre parfaitement cette dynamique, avec ses initiatives récentes en faveur d'un développement plus vert et plus inclusif. L'aménagement de la contre-allée Ravaz, avec ses pistes cyclables et son espace de convivialité, marque un pas vers la promotion d'une mobilité douce. La division de la grande copropriété des Cévennes en entités plus petites en est un autre, facilitant une gestion plus humaine des espaces verts et des stationnements. Ces actions reflètent un engagement fort envers une urbanisation plus respectueuse des besoins des habitants et de l'environnement. Les objectifs du projet sont ambitieux : végétaliser le quartier, créer de nouveaux espaces publics, dynamiser le commerce de proximité, et améliorer la circulation. Les réalisations de 2023, comme la remise en état de la rue Fabri de Pereisc et l'entretien des espaces verts, témoignent d'une volonté de transformer le cadre de vie des habitants, tout en ouvrant la copropriété sur son environnement. L'avenir du quartier s'annonce prometteur, avec la création d'une nouvelle place publique « Cévennes », de nouveaux espaces verts, et la restructuration des dalles pour espaces de vie. Ces projets, en collaboration étroite avec les habitants, visent à renforcer le lien social et à promouvoir une vie urbaine plus durable. Les initiatives sociales, culturelles et sportives prévues renforcent cette dynamique. #VieLocale #Montpellier
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Face à la densification urbaine et aux enjeux environnementaux, le renouvellement urbain se présente comme une solution à double tranchant : un défi majeur mais aussi une opportunité précieuse pour repenser nos villes. Le quartier des Cévennes à Montpellier illustre parfaitement cette dynamique, avec ses initiatives récentes en faveur d'un développement plus vert et plus inclusif. L'aménagement de la contre-allée Ravaz, avec ses pistes cyclables et son espace de convivialité, marque un pas vers la promotion d'une mobilité douce. La division de la grande copropriété des Cévennes en entités plus petites en est un autre, facilitant une gestion plus humaine des espaces verts et des stationnements. Ces actions reflètent un engagement fort envers une urbanisation plus respectueuse des besoins des habitants et de l'environnement. Les objectifs du projet sont ambitieux : végétaliser le quartier, créer de nouveaux espaces publics, dynamiser le commerce de proximité, et améliorer la circulation. Les réalisations de 2023, comme la remise en état de la rue Fabri de Pereisc et l'entretien des espaces verts, témoignent d'une volonté de transformer le cadre de vie des habitants, tout en ouvrant la copropriété sur son environnement. L'avenir du quartier s'annonce prometteur, avec la création d'une nouvelle place publique « Cévennes », de nouveaux espaces verts, et la restructuration des dalles pour espaces de vie. Ces projets, en collaboration étroite avec les habitants, visent à renforcer le lien social et à promouvoir une vie urbaine plus durable. Les initiatives sociales, culturelles et sportives prévues renforcent cette dynamique. #VieLocale #Montpellier
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🌍 UNE VISION DU PERIPH PARISIEN EN 2035 … 🌍 Paris change : de la piétonnisation des grands axes à la végétalisation des quartiers, la ville s’oriente vers un avenir plus durable. Les récents aménagements – pistes cyclables, espaces verts, réduction du trafic automobile – redéfinissent notre quotidien. Pour certains, ces actions sont essentielles pour une ville plus saine; pour d’autres, elles apportent de nouvelles contraintes et sont incompatibles avec la vie parisienne. 💬 Votre avis m’intéresse ! Que pensez-vous des choix d’urbanisme et de mobilité à Paris ? #Paris #AnneHidalgo #TransitionÉcologique #Urbanisme #MobilitéDurable #VilleDeDemain #Débat
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[REGARD D’EXPERT – ZAN👀🔎] Reconfigurer les entrées de ville 🏙️ est un enjeu crucial pour le développement urbain. Cette démarche de requalification nécessite une approche pluridisciplinaire afin de garantir un environnement urbain harmonieux et durable. Le ➕SYSTRA France : combiner les diverses expertises (maîtrise foncière, urbanisme commercial, éco-conception, aménagement, paysage, mobilités, ….) pour créer des espaces qui répondent aux besoins actuels tout en anticipant les défis face au changement climatique et à l’ère du ZAN. Connues de tous, fréquentées par beaucoup, les zones commerciales aux entrées de nos villes jouent un rôle névralgique dans l'économie locale et l'urbanisme. Cependant, leur évolution nécessite aujourd’hui une reconquête planifiée pour favoriser leur mixité fonctionnelle, leur désenclavement pour les modes actifs, la diminution de leurs impacts environnementaux et leur intégration paysagère. Ces zones représentent en effet, aujourd’hui les prémices d’une solution à l’aménagement du territoire de demain. Par son rôle pionnier dans le développement des infrastructures de transport, SYSTRA France s’est affirmé comme un acteur essentiel dans la transformation des espaces urbains influencés par ces infrastructures. Au-delà de la simple planification des lignes de transport, notre approche inclut une analyse profonde des répercussions économiques, sociales et environnementales, visant à concevoir une ville régénérée et résiliente. Voici une analyse des enjeux et des solutions pour les zones commerciales aux entrées de ville : https://lnkd.in/eWEhtfqc Bonne lecture👓🙂! Emilie SOLERA Aurélie Jehanno Jules LEFRERE Benjamin Taveau
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Que nous réserve le Projet de Plan d’urbanisme et de mobilité? Ce document paru la semaine dernière, a fait couler beaucoup d’encre au sujet de ses objectifs de développement du réseau du métro, de près de 200 km de lignes de tramway, ainsi que d’une expansion de l’offre de logements abordables. Or, de tels projets demeurent dans le long terme et aux dépens du financement des paliers de gouvernement supérieurs. C’est par ses autres objectifs que le document trace les contours d’un urbanisme appliqué à l’échelle proprement municipale. L’article de François William Croteau, publié dans Le Devoir le 12 juin, introduit bien une des grandes orientations du Plan à laquelle je réserve une attention particulière. « Derrière la volonté de protéger nos enfants des blessures et des accidents se cache peut-être un mal plus profond. Plus insidieux aussi. Et si le problème trouvait plutôt son origine dans notre relation compliquée au droit d’usage de la rue et de la voie publique? Tout est aménagé et encadré pour l’usage des véhicules motorisés. » Confrontée à l’enjeu de la taille et de la quantité de véhicules sur nos routes, ainsi qu’à l’urgence d’agir face à la crise climatique, la Ville « se positionne pour un repartage équitable de l’espace de la rue en faveur du vivant. Pour rendre effectif ce positionnement, Montréal développe une approche intégrée et un mécanisme d’allocation de l’espace basé sur l’augmentation des bénéfices collectifs afin que cet espace réponde davantage aux besoins de la population dans un contexte de transition écologique équitable », peut-on lire au Chapitre 2 du PPU. Celui-ci attribue aux rues une fonction de lien — dans les déplacements, mais aussi entre le domaine public et privé, une fonction environnementale — comme outil d’adaptation aux changements climatiques, ainsi qu’une fonction de lieu — d’espaces publics et de socialisation, allant jusqu’à illustrer des exemples à quoi pourraient ressembler les rues de demain. Comment y arriver? L’aménagement transitoire, tel que dans le cadre de projets de piétonnisation ou dans l’activation d’espaces publics désaffectés, nous permet d’entrevoir d’autres façons d’occuper un lieu. Les placettes temporaires ayant abouti à l’aménagement de la Place des Fleurs-de-Macadam en sont un bon exemple. D’autres interventions, telles que le mobilier du Quartier des spectacles, permettent de pérenniser l’aspect modulaire d’un site et d’y assurer une programmation. À l’échelle d’une rue locale, pérenniser l’aspect transitoire pourrait ressembler à des installations qui permettent une adaptation au fil des saisons, selon la tenue d’événement ou l’évolution d’un quartier. Alors que nous installons cette semaine avec PXP - Design intégré l’aménagement des piéto sur les rues Saint-Denis et Ontario, nous resterons à l’affut, au cours de l’été, de nouvelles façons d’interagir avec l’espace qui y émergeront. Quant au PPU, celui-ci part en consultation publique pour bonification jusqu’en 2025. À suivre…
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Notre pratique nous amène forcément à nous questionner sur le futur des villes, notamment par leur aménagement et plus spécifiquement celui de leurs rues alors qu'on s'éloigne doucement du "tout-à-l'auto". Dans l'imaginaire collectif, la "ville" est souvent figée dans sa matérialité, qu'on associe à l'asphalte, au béton, des matières inertes. Intervenant à la fois dans des projets transitoires (temporaires) et permanents à l'échelle de la ville, notre équipe se questionne quotidiennement sur les façons de conserver l'approche flexible des projets transitoires pour l'amener dans les projets permanents. À l'inverse, on aborde les projets temporaires de façon pérenne pour en maximiser la durabilité par un mode de conception qu'on qualifie en interne de design anticipatif, sensible aux problématiques du futur. C'est justement ce type d'approche agile qui permet de concrétiser rapidement des ambitions comme celle de "Renforcer l'offre et l'accès aux lieux de vie collective afin de favoriser l'équité et la vie de quartier", et ultimement d'en faire profiter l'ensemble des citoyens à court terme comme sur un horizon 25 ans.
Que nous réserve le Projet de Plan d’urbanisme et de mobilité? Ce document paru la semaine dernière, a fait couler beaucoup d’encre au sujet de ses objectifs de développement du réseau du métro, de près de 200 km de lignes de tramway, ainsi que d’une expansion de l’offre de logements abordables. Or, de tels projets demeurent dans le long terme et aux dépens du financement des paliers de gouvernement supérieurs. C’est par ses autres objectifs que le document trace les contours d’un urbanisme appliqué à l’échelle proprement municipale. L’article de François William Croteau, publié dans Le Devoir le 12 juin, introduit bien une des grandes orientations du Plan à laquelle je réserve une attention particulière. « Derrière la volonté de protéger nos enfants des blessures et des accidents se cache peut-être un mal plus profond. Plus insidieux aussi. Et si le problème trouvait plutôt son origine dans notre relation compliquée au droit d’usage de la rue et de la voie publique? Tout est aménagé et encadré pour l’usage des véhicules motorisés. » Confrontée à l’enjeu de la taille et de la quantité de véhicules sur nos routes, ainsi qu’à l’urgence d’agir face à la crise climatique, la Ville « se positionne pour un repartage équitable de l’espace de la rue en faveur du vivant. Pour rendre effectif ce positionnement, Montréal développe une approche intégrée et un mécanisme d’allocation de l’espace basé sur l’augmentation des bénéfices collectifs afin que cet espace réponde davantage aux besoins de la population dans un contexte de transition écologique équitable », peut-on lire au Chapitre 2 du PPU. Celui-ci attribue aux rues une fonction de lien — dans les déplacements, mais aussi entre le domaine public et privé, une fonction environnementale — comme outil d’adaptation aux changements climatiques, ainsi qu’une fonction de lieu — d’espaces publics et de socialisation, allant jusqu’à illustrer des exemples à quoi pourraient ressembler les rues de demain. Comment y arriver? L’aménagement transitoire, tel que dans le cadre de projets de piétonnisation ou dans l’activation d’espaces publics désaffectés, nous permet d’entrevoir d’autres façons d’occuper un lieu. Les placettes temporaires ayant abouti à l’aménagement de la Place des Fleurs-de-Macadam en sont un bon exemple. D’autres interventions, telles que le mobilier du Quartier des spectacles, permettent de pérenniser l’aspect modulaire d’un site et d’y assurer une programmation. À l’échelle d’une rue locale, pérenniser l’aspect transitoire pourrait ressembler à des installations qui permettent une adaptation au fil des saisons, selon la tenue d’événement ou l’évolution d’un quartier. Alors que nous installons cette semaine avec PXP - Design intégré l’aménagement des piéto sur les rues Saint-Denis et Ontario, nous resterons à l’affut, au cours de l’été, de nouvelles façons d’interagir avec l’espace qui y émergeront. Quant au PPU, celui-ci part en consultation publique pour bonification jusqu’en 2025. À suivre…
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